Yonidouce

Introduction : Ce texte n’est ni une fiction, ni un témoignage, il est les deux. Une uchronie.

Au commencement était le témoignage, véridique, totalement véridique. Une soirée en amoureux que mon mari a voulu immortalisé, l’un de ses amis venus vivre quelques temps à la maison et sa découverte de notre cassette intime. Tout cela s’est bien passé et a bien donné lieu à une suite. Mais cette suite est racontée ici « un peu différemment ». Qu’est-ce que nous avons réellement fait ? Qu’importe, j’en garde un merveilleux souvenir.

 

Il y a une vingtaine d'année (nous n’avions que 5 ou 6 ans de mariage, pas beaucoup plus) nous recevions un ami venu passer quelques jours à la maison (ami militaire en stage). Il dort dans le salon.

Mon mari lui montre la télé, le magnétoscope et mes quelques films stockés. A l'époque nous enregistrions les films x pour se les regarder à une heure décente. Il y en avait donc 2 ou 3 derrière. L'air de rien mon mari le lui indique au cas où !

Au cours du séjour, un peu gêné mais l’œil pétillant de malice et d’excitation, Marc m'interpelle alors que Pierre mon mari est sorti faire des courses.

- Dis-moi Alanys, vous avez oublié ça parmi vos cassettes! 

Je tends la main pour prendre la cassette et mon cerveau me joue des tours. Je vis la scène au ralenti, comme parait-il lorsqu'on vit un accident. Je vois ma main approcher de la cassette et en même temps je me dis 'non ce n'est pas possible! Il n'a pas fait ça!' 

" Il " c'est Pierre... l'idiot ! 

- Et "ça" ... 

Je reconnais l'adaptateur de cassette qui permet de visionner les VHS de notre caméscope. Et quelques jours plus tôt avant l'arrivée de Marc, nous l'avions regardée. Une cassette intime de couple. De notre couple. Pierre avait souhaité immortalisé une soirée anniversaire de rencontre, pour nos vieux jours, avait-il précisé. Il s'était surpassé pour cette soirée-là. Un petit repas aux chandelles, des fraises et du champagne, des boucles d'oreilles en saphir bleu qui essayaient de briller autant que mes yeux, disait-il, et un autre cadeau à ouvrir après le repas.

Ainsi débutait la vidéo... La vidéo que manifestement notre ami avait visionnée !

Imaginer que Marc ait pu voir cela me terrifie.

Ce repas fut aussi extraordinaire qu'indécent. Pierre m'avait dit : "tu vois, ce soir tout ce qui est sur la table je l'utiliserai pour te donner du plaisir, et en prendre aussi".

Je m'en souviens comme s'il venait de me le dire, tout est encore si présent dans mon esprit, mon regard se pose encore sur cette table si joliment dressée : Chandeliers dont les bougies diffusaient une lumière douce, Champagne rosé si frais que la condensation faisait déjà couler des larmes de rosée de long de son col, en entrée un magnifique plat d'asperge...

Que n'avons-nous pas fait ce soir-là !

J’en oublie Marc, devant moi car devant mes yeux je revois la scène, encore si proche ! Et quelle scène ! Mais jugez vous-même :

Pierre fit couler le breuvage pétillant dans des coupes en cristal. Nous avons trinqué à cette soirée qui s'annonçait des plus chaudes. 

- À toi mon amour 

- À nous!

Nous nous sommes embrassé tendrement et longuement, ce qui m'échauffe rapidement en général, comme si ma bouche, ma langue, mes lèvres étaient directement reliées à mes zones érogènes. 

La caméra était posée sur le buffet à deux mètres de nous, et seul le clignotement de la led rouge indiquait l'enregistrement. 

- Sais-tu que les premières coupes de champagne auraient été moulées sur le modèle du sein de la Pompadour?

Je l'ignorais et à bien y regarder, il est vrai que la forme, le volume évoquent un sein, bien rond. 

- On va vérifier ça! Enlève ton chemisier!

Devant mon hésitation ou plutôt ma surprise, Pierre prend l'initiative et défait mes boutons un à un, puis pour être tout à fait à l'aise, il ôte mon chemisier. 

- Allez! Fais-moi voir tes beaux petits seins! 

Cette fois je réagis et dégrafe l'attache de mon soutien-gorge. Je l'aurais bien gardé un peu, un achat récent, spécialement prévu pour l'occasion, mais Pierre était plus intéressé par le contenu que par le contenant. Ma fine parure de dentelle noire est allée rejoindre le chemisier sur le dossier de la chaise.

Mes jeunes seins pointaient avec arrogance. Le baiser précédent ? Le froid ? Pierre ne pût se contenir et déposa un baiser sur le téton érigé de mon sein droit. 

Puis d'une voix solennelle :

- Nous allons vérifier le fondement de cette croyance populaire. Ne bougez plus Madame, l'instant est historique.

Puis il prend sa coupe vide dans laquelle perle quelques gouttes et l'applique sur mon sein. J'ai un mouvement de recul et un petit cri car le verre est glacé. La coupe en épouse parfaitement le galbe. 

- Magnifique! Madame, votre sein est parfait! Et quelle vision troublante !

Il a apposé la seconde coupe sur le sein libre, et il est vrai que mes pauvres seins couverts devaient offrir un spectacle bien surprenant sous leurs cloches de verre. 

Puis Pierre a retiré les coupes et s'est empressé de les réchauffer d'une bouche gourmande, avide de chair et de champagne. Quel délice! J'ai toujours adoré cette fougue de mon mari qui emporte tout, qui submerge tous mes barrages dans un torrent de désir.  

Mes seins furent honorés on ne peut mieux, et d'autres parties de mon corps s'étaient enflammées. 

Ils sont assez menus mais terriblement sensibles. J'adore quand il me les caresse, quand il me les embrasse !

Les frissons parcourent tout mon corps et quand il me pince un téton avec ses lèvres c'est comme si mon corps était pris d'un spasme incontrôlable. Et lorsqu'il le relâche, une chaleur m'enveloppe. Mes seins, bien-sûr, hypersensibles, se tendent vers sa bouche mais comme un tremblement de terre qui se prépare, je sens mon ventre qui brûle, mon sexe qui s'enflamme.

- Laisse-toi faire.  Me dit Pierre en finissant de me déshabiller.

Sur chaque centimètre de peau dénudée il dépose un baiser, fait courir ses doigts.

Lorsque je suis enfin nue, il me semble être la corde d'un arc prête à se rompre. Sa bouche tourne autour de mon sexe, sans le toucher. Son souffle vient l'exciter ! Je tends le bassin pour qu'il m'embrasse, il se recule.

- Attends!

Il se saisit de la bouteille de Champagne et en verse une larme sur mes seins, puis les lèche. C'est froid et merveilleux à la fois.

Il recommence. Un filet de champagne s'échappe d'entre mes seins et coule sur mon ventre. Sa langue l’attrape avant qu'il ne se perde trop bas. Il me lèche le nombril avec gourmandise, l'embrasse avec passion. C'est bon mais j'aimerais qu'il passe à plus sérieux, j'ai besoin qu'il s'occupe de mon sexe, j'ai besoin de quelque-chose en moi.

Nouvelle rasade de champagne qu'il laisse couler... la fraîcheur pétillante enflamme encore mon bouton et inonde mon sexe grand ouvert. Sensation aussi étrange que jouissive !

Il ne lèche pas, j'attends, j'enrage !

Il recommence, le champagne coule sur mes seins, mon ventre, mon sexe. Je ferme les yeux et me laisse aller en arrière. D'un coup je sens ses lèvres sur mon sexe. 

Je jouis immédiatement.

Me connaissant il s'immobilise, ses lèvres posées sur mon intimité. Puis se recule. Il me sourit.

- Ça va ?

- Oui.

Il souffle doucement sur mon sexe, j'aime bien, reprend la bouteille et en verse un peu directement sur mon clitoris. Sa langue pointée entre mes lèvres pour recueillir le cocktail Champagne-Plaisir féminin. 

Il recommence, une fois, deux fois... Sa langue pointe maintenant mon petit trou.

Il me caresse avec le goulot, verse presque directement dans mon vagin un peu de champagne qu'il boit immédiatement, la pointe de sa langue taquinant toujours mon petit trou.

Je suis sur un nuage.

Il se recule un peu pour admirer son œuvre. 

- Je vais finir par être saoul!!! Ivre d'alcool et ivre de ton jus, ivre de toi...

Il attrape mes jambes sous les genoux et les rabat sur ma poitrine. J'empoigne mes chevilles dans une position des plus indécentes, qui soulève mon bassin et m'ouvre complètement. 

Pierre glisse le goulot dans mon intimité et lève d'un geste vif la bouteille puis la rabat aussitôt. Je sens le liquide m'envahir et régurgiter, comme un volcan de lave froide et mousseuse.

Pierre me dévore littéralement, ne laissant perdre aucune goutte. Il s'attarde longuement sur la vallée entre mes fesses, explorant avec application mon autre orifice.

Il pose la bouteille et je le devine parcourir la table à tâtons, alors que sa bouche continue à me gamahucher. Puis à nouveau, il se recule et je sens sa langue sur mon clitoris et ...  

En même temps sur mon anus?

J'essaie de comprendre et soulève la tête. Sa bouche est bien plaquée sur le haut de mon sexe. Mais ce ne sont pas ses doigts qui me taquinent l’œillet. 

C'est tellement bon que je décide de n'élucider ce mystère qu’un peu plus tard. Je sens cette langue souple s'introduire doucement dans mes reins. S'introduire et pénétrer encore, puis se retirer doucement et revenir toujours plus profond.

La sensation est délicieuse et les dents qui grignotent mon petit bouton ne vont pas tarder à me faire exploser.

La phrase qu'a prononcé mon mari tout à l'heure, me revient comme une évidence "... tout ce qui est sur la table je l'utiliserai pour te donner du plaisir..."

Les asperges ! Pierre est en train de me sodomiser avec une asperge ! 

- Tu es dingue mon chéri, c'est bon mais c'est n'importe quoi !

- Tu n'aimes pas ?

- Si mais les asperges sont si fragiles que si j'avais un peu serré les fesses je lui aurais coupé la tête ! Et d'ailleurs c'est un miracle que cela ne se soit pas passé et je n'ai pas trop envie de me retrouver avec un bout d'asperge là-dedans... Et puis c'est dommage, on ne peut plus les manger !

- Ne t'inquiète pas, il en reste suffisamment Et tu m'as accueillie si facilement, il m'a semblé que tu n'attendais que ça !

- Oui! mais réfléchis un peu !

- Tu sais bien que dans ces moments-là, tout mon sang se concentre dans mon appareil génital... En tout cas, tu as l'air d'aimer ça! 

Et après ce petit intermède, il replonge entre mes cuisses et me dévore le clitoris à nouveau. Il retire simultanément l'asperge et au fur et à mesure de la libération je sens monter un orgasme gigantesque, comme si la crainte d'avoir ce légume dans le rectum m'avait empêché de jouir jusque-là. 

Mes fesses décollent et ma chatte se plaque contre les lèvres gourmandes. Mon corps s'arque, tétanisé, puis quelques secondes plus tard, il retombe lourdement.

Il me connaît bien et me laisse revenir doucement. Il sait que s'il me touche encore ce sera désagréable. Il m'embrasse amoureusement, me caresse les seins... et verse encore un peu de Champagne sur mon sexe.

- Hey !! Ça va pas ?-

- Je tente de calmer l'incendie

Et avant que je ne parle à nouveau il m'embrasse encore. Il sait me faire taire.

Mais d'une main il reprend des asperges, je sens leur contact frais sur mes lèvres intimes

- mmmmm... qu'est-ce... mmmmmm

C'est comme une énorme langue froide et humide qui me lécherait à la fois mes lèvres intimes, mon clitoris.

Je sens un début d'intrusion. Je vais protester, ça suffit comme ça.

Mais les asperges commencent à avoir raison de ma résistance. Elles se glissent de partout, s'infiltrent, s'insinuent...

En même temps je sens le goulot dur et froid menacer mon petit trou.

- Tu es infernal ! 

Je suis en train de jouer dans 9 semaines et demie, Kim Basinger aux mains de Mickey Rourke dans la scène cul-inaire mais en version hard!!!

Qu'est-ce-qu'il ne va pas encore inventer ?

Il n'invente plus, il continue.

Je sens les asperges sortir.

- Tiens ! Me dit-il en posant une tête d'asperge sur mes lèvres

Je la mange, c'est bon.

- MMM ! Tu es fou toi !

- Je sais !

Dit-il en m'embrassant encore et, pendant que sa langue s'enroule sur la mienne, il pousse le goulot de la bouteille entre mes fesses.

- Mais enfin !

- Dis-moi que tu n'aimes pas et j'arrête

- Tu es stupide

Puis une à une, il trempe les asperges en moi et nous les mangeons ensemble. Le Champagne pas vraiment au frais !!!

L'entrée prend fin sur ces délices. 

Pierre me redresse puis me nettoie gentiment de nos débordements, dans tous les sens du terme.

Puis il revient de la cuisine, avec une superbe assiette de tournedos sauce au poivre.

Au moins là je ne risque pas d'intromission incongrue, bien que la recette d'asperge de Pierre méritât les éloges.

Pierre pose le plat sur la table, prend une serviette et me bande les yeux. Je ne me suis pas rhabillée pour la suite du repas et je me sens vulnérable entre les mains de mon "pervers" de mari.

J'entends des bruits de vaisselle comme si Pierre débarrassait la table. Puis il m'empoigne par les cheveux, me redresse puis me couche à plat ventre sur la table.

Quelle force il se dégage de lui dans ces moments-là. Je me sens si menue, si faible dans ses bras. Il me saucissonne dans la nappe, bloquant tout mouvement de mes bras. 

Seule mes jambes sont libres, mais pas pour longtemps. Il attache chacune de mes chevilles aux pieds de la table, jambe largement écartées.

Il fouille entre mes fesses d'un index indélicat.

- Ça manque de lubrifiant tout ça! dit-il d'un air menaçant.  

J'ai un peu peur, Je ne sais pas ce qu'il veut faire.

Malgré tout, j'ai confiance et attends la suite en fermant les yeux.

Je sens qu'il me badigeonne l’entre-fesse ainsi que le sexe avec un du gras... Je me demande quoi? Jusqu’à ce que je sente les premiers picotements.

Non! Mais décidément il est complètement fou!! La sauce au poivre!! Je sens mon entrejambe s'enflammer, mes muqueuses gonfler...

- Qu'est-ce que tu fais? arrête-ça tout de suite! ça brûle!!!

- Je vais éteindre l'incendie! et il enfouit son nez entre mes fesses et vient laper la sauce à grands coups de langues gourmands.

La fraîcheur, la douceur de sa bouche m'apaise aussitôt, et toute la zone hyper-sensibilisée devient volcanique, les nerfs à vif. Il joue de la pointe de sa langue et me fait sursauter en s’immisçant dans mes orifices brûlants. J'ai envie... J'ai envie...

J'ai envie qu'il me prenne. Qu'il me pénètre vraiment. Envie de me sentir pleine de lui, de sa virilité.

J'ai envie de quelque chose de plus sérieux en moi.

J'ai envie...

- Ouuuuuiiii ! Je n'ai pas pu retenir mon cri, je n'en ai pas eu envie non plus. 

Pierre s'est engouffré en moi! C’est vraiment le mot. Il m'a prise comme un soudard. Il faut dire que le pauvre (?) depuis le début de nos petits jeux était sous tension extrême.

Et bien sûr, il a choisi mes fesses (enfin l’accès, là, entre mes fesses) ! Souvent, il me prend comme ça, quand il est excité. 

J'adore cette sensation de plénitude malgré la douleur générée. Une douleur qui se transforme rapidement en jouissance. 

Pierre est déchaîné et martyrise mes petites fesses sans défense, les fessant avec vigueur. Toute la zone de mon bas-ventre à mon postérieur n'est plus qu'une fournaise, et le magma au centre de mon corps est entrain de bouillonner, prêt à exploser. 

A grands coups de rein, il me défonce.

J'avais envie de lui, vraiment! Du sérieux ! Mais je ne pensais pas qu'il oserait me prendre ainsi. Il sait que je suis très douillette de ce côté et que je n'aime pas avoir mal. Il est vrai que l'air de rien il m'avait sacrément préparée, entre les asperges vinaigrette et le goulot de la bouteille de Champagne, mon petit trou l'a accueilli assez facilement. Mais malgré tout quand il rentre aussi vite ça me fait mal ! Pas longtemps mais quand même!

- Tu es fou de rentrer comme ça par-là, tu sais que ça me fait mal !

- Désolé ! Et tu as encore mal maintenant ?

- Non

- Dis-moi que tu aimes ça !

- Oui j'aime ça ! Tu es un goujat mais j'aime ça !

- Tu aimes quoi ? Dis-le-moi !

- J'aime quand tu es dans mes fesses !

- Et tu aimerais en avoir plus ?

- Oui !

Il prend la caméra et vient faire un gros plan de notre union. Son sexe fiché en moi et le mien ouvert, grand ouvert, libre, disponible.

Éclairée à la lueur des chandeliers, la scène doit être sombre ! J’aime autant.  Mais pas lui et il allume la torche pour mieux filmer notre petite cochonnerie.

Puis il éteint la torche et repose le caméscope sur son pied, sans sortir de moi, et allume un peu de lumière;

- J'adore les chandeliers, me dit-il,  mais d'abord c'est pas avec deux chandeliers, même à trois bougies chacun que l'on va avoir l'oscar du meilleur éclairage, et puis ils étaient sur la table...

.. et donc susceptibles de participer à la fête.

Je sens quelque chose de dur se frayer un chemin entre mes lèvres enflées et grasses de cyprine. La bougie (et oui!) entre aisément et la pénétration ne semble jamais devoir se terminer. 

Le diamètre n'est pas bien conséquent et cette intromission a plutôt tendance à me mettre sur les nerfs. Heureusement, derrière, Pierre continuer à me pilonner avec force.

Il se doute de quelque chose, car il retire la bougie et la remplace par... deux bougies... trois? Je ne sais pas!

Toujours est-il que maintenant je me sens bien remplie, et que le plaisir est proche. D'autant que Pierre accélère la cadence, si c'était encore possible.

Je suis partagée entre gêne et plaisir;  J'adore son sexe mais là où il est cela me gêne, j'aime qu'il me caresse, voire qu'il me masturbe, mais là avec ces bougies ! Le plaisir monte mais reste bloqué par ces petites gênes. Il s'écarte un peu même et des idées bizarres me traversent : je deviens spectatrice. Je veux savoir s'il m'a vraiment mis toutes les bougies. J'essaie de me relever un peu pour voir, ce n'est pas facile. Il est profondément fiché au fond de moi. Je n'ai eu que le temps d'apercevoir le blanc des bougies avant de devoir repartir en arrière. Alors instinctivement c'est ma main qui vient se poser dessus. Pendant qu'il me sodomise je compte. Oui il m'en a mis trois ! Tout le chandelier ! (enfin juste les bougies).

- Tu aimes ça ? prends-les, bouges-les ? Caresses-toi! Me dit-il prenant mon geste pour ce qu'il n'était pas.

Je lui souris, laisse un doigt ou deux sur les bougies et tourne la tête. Le caméscope me regarde. Autre gêne. Et petite excitation. Mon esprit vagabonde : Certes l'excitation initiale est passée mais je viens de glisser ailleurs. Derrière la vitre du caméscope des gens me regardent. Cela m'excite. Je me caresse. Mon mari le sent et accélère ses mouvements, j'arrive, je jouis !

Une main virile pousse les bougies au-delà de ce que j'aurais pu imaginer. Puis il attrape mon sexe à pleine main et le chiffonne. 

J'adore quand il perd la tête, quand il ne maîtrise plus ses gestes... qui domine qui?

Dans un ultime coup de rein, mon mari se plaque à mes fesses et grogne dans mon cou. Il se déverse au plus profond de moi, en pinçant mon petit bouton, ce qui déclenche en moi un nouvel orgasme.

Nous sommes tous deux un peu secoués. Mon mari reprend le dessus le premier.

- Bon, on passe au dessert!!

Oh oui ! J'aimerais bien faire une petite pause, une petite douceur après tout cela. Non que je sois totalement rassasiée, et il le sait, mais un petit répit sera une bonne chose. 

 Après m'être vêtue d'un joli kimono, nous avons presque repris notre petit repas en amoureux, et comme j'ai un appétit d'oiseau et la tête ailleurs mon esprit vagabonde; je vois mon mari comme l'ultime gourmandise. Le sent-il ? Il se lève, se dirige vers le caméscope. Il l'avait mis sur pause, il doit le relancer. Mmmm! un frisson me parcourt.

Il dispose ensuite des petites coupelles de sucreries sur la table basse du salon. Miel, confitures, crème caramel, chocolat, vanille...

Puis il s'assoit dans le fauteuil juste au-devant de l'objectif de la caméra, qui est donc derrière lui à hauteur de ses yeux.

Il ouvre ses jambes et me dit : 

- Viens! Viens prendre ton dessert! tu pourras l'accommoder à ta façon! 

Son sexe est plutôt flaccide, suite aux événements passés. Il m'attend tel un pacha, devant une de ses concubines.

J'approche...

Je préfère le salé que le sucré mais je ne suis pas contre une petite douceur.

Je prends la coupelle vanille, m'agenouille devant lui et approche la crème. Je le regarde, prends son sexe peu alerte entre deux doigts.

- Dis-donc ce n'est pas très flatteur pour moi !

- Désolé, mais il ne tient qu'à toi...

Je plonge le bout de son sexe dans la vanille et le léchouille, un peu, beaucoup, passionnément.

J'alterne la vanille, le chocolat et le caramel. Un pot de caramel salé ramené de Bretagne, Mmm!  Ça c'est bon!

Il est déjà très dur, "il" me donne envie d'un peu plus, encore, encore...

- Attention de ne pas prendre du poids avec toutes ces sucreries!

Le mufle! Je suis à ses pieds, en train de le sucer "à sa demande", je réalise ses fantasmes (et un peu les miens...) et il s'occupe de ma silhouette.

Il mériterait que je les laisse en plan, lui et sa queue. Mais je ne sais pas qui serait le plus puni? 

En plus, ces douceurs m'empêchent d'apprécier le goût de sa queue, et Dieu sait si je l'apprécie. 

Je continue donc sans assaisonnement, j'avale la hampe du mieux que je peux, mais je suis vite limitée par la taille imposante de la chose. 

Il pose ses mains dans mes cheveux, et je sais qu'il ne va pas résister longtemps. Je glisse alors une main entre mes cuisses et caresse mon petit bouton et ma fente trempée. 

Alors il attrape le caméscope et me filme en gros plan en train de la manger. Je le regarde, regarde l’œil de la caméra et lui sourit. 

Puis il fait courir jusque sur mon sexe pour capturer le jeu de mes doigts.

De son autre main il essaie de prendre quelque chose sur la table... une banane.

Une banane! « Le » cliché!! Il ne va quand même pas? 

- Avec la peau ou sans la peau ?

Oh! Après tout je l'ai bien déjà fait sans lui... 

Il trempe la banane dans la crème vanille et la glisse entre mes fesses. Une belle banane africaine, pas une petite banane des Antilles !

Ma chatte étant déjà occupée par mes doigts, il badigeonne de crème mon petit trou avec le fruit. Petit à petit, il insiste et pénètre légèrement.

Heureusement la précédente sodomie m'a préparée, et mon anus est déjà assoupli. La sensation est étrange et il me semble que si je serre mes sphincters je vais couper la banane en deux.

Mon mari n'a pas toutes ces considérations et continue la pénétration au plus profond de moi.

C'est un peu difficile mais agréable! Cette zone est très sensible et malgré ma gêne, j'aime bien ce qu'il me fait. 

Il pousse, la banane s'enfonce. Il lui donne un mouvement d'avant en arrière, frugale sodomie ! C'est horrible mais j'aime ça et mes soupirs me trahissent.

Il s’arrête, Me regarde me caresser, la banane fichée dans mes fesses.

- Ne bouge pas, continue à te caresser.

Il attrape la caméra et zoome sur mon intimité.

- Tu aimes ou tu te forces pour me faire plaisir ?

J'imagine cette vidéo vue et revue par d'autres personnes. Vue par mes voisins, mes amis... 

Je mouille abondamment. Je ne sais que répondre.

Je préférerais avoir son sexe à la place de la banane, mais alors je ne pourrais plus le manger... et j'aime tellement ça, le manger.

En fait, il me faudrait plusieurs hommes, mais ça je ne pourrais jamais le lui avouer. 

- Oui! j'aime ce que tu me fais..Mmmpff . J'aime te prendre dans ma bouche en même temps! MMMfff  je vais ... jouir...

Il manipule à nouveau la banane et reprend ses va-et-vient.

- Tu crois que tu pourrais jouir uniquement par le cul?

J'imagine des spectateurs en train de voir ça, d'entendre ça... Mon chéri est un poète méconnu !

- Oui certainement!... (je n’en sais rien en fait, mais je sais qu’il attend cette réponse)

Je le regarde, regarde la caméra et lui encore et complète ma réponse (et là, vraiment sincère).

- Mais promets-moi de garder mon dessert préféré. Ne le gaspille pas!

Puis fixant la caméra :

- Tu imagines si c'était un film porno que tu tournais... ça m'effraie d'imaginer plein de mecs qui se soulageraient en nous regardant et toute cette liqueur gaspillée... Quelle horreur ! J'espère au moins que leurs copines seraient aussi gourmandes que moi !  

Il se lève et m'ordonne :

- Mets-tes mains dans ton dos! Ne te caresse plus.

Il les attache avec avec... je ne sais quoi.

Puis il se rassoit dans le fauteuil, m'empoigne par les hanches, me fait pivoter et me fait monter sur lui à l'envers, ma bouche reprend sa place sur son phallus triomphant, mes jambes sur ses épaules, ma chatte à quelques centimètres de ses yeux. Un quasi 69 vertical, en équilibre précaire, je dois croiser mes jambes derrière sa tête pour rester en place. Il n'a qu'à avancer sa bouche pour me lécher la fente. Mais ce n'est pas dans ses intentions apparemment. Il récupère la banane qui était tombée lors de notre gymnastique, et la réintroduit vaillamment dans mon orifice impatient. Je pense qu'il veut vérifier mes dires. Le fruit dans une main, la caméra dans l'autre, il fait des gros plans de mon cul avalant le fruit avec avidité et de ma bouche gourmande qui fait disparaître presque entièrement son membre.  

La position est inconfortable et le plaisir n'est pas vraiment là, mais l'excitation oui. J'adore quand il s'excite comme ça. Ça m'amuse et m'excite à la fois.

Pierre a posé la caméra qui continue à filmer mes fesses et pose une main sur ma tête. Il se tend, se cambre et rugit. Je l'avale du plus que je peux et recueille son nectar qui coule au fond de ma gorge. Je le nettoie patiemment jusqu'à ce qu'il se détende doucement.

- Ouf... tu m'as vidé! à toi maintenant, je vais finir ce que j'ai commencé!

Il me fait glisser sur ses genoux, mes fesses exposées comme pour une fessée et reprend la pénétration avec la banane. Il y met une telle vigueur que je ne tarde pas à exulter, ayant ma récompense crémeuse, et imaginant les voyeurs en train de se masturber en visionnant la vidéo. C’est dingue l’impression que fait un simple caméscope ! 

Je suis fourbue, cassée mais heureuse. Il m'a offert sa liqueur, un peu salée, doucement parfumée, je l'adore.

Je regarde le caméscope.

- Tu n'en as pas marre de ce truc, on coupe ?

- Si tu veux, et puis cette trace de moi au coin de tes lèvres feront un joli final !

Je passe ma langue, en effet il en restait dehors.... j'aime ça.

Il coupe.

Je me souviens de cette soirée comme si c'était hier.

Et depuis hier soir notre invité en a aussi une bonne idée...

 

Le sourire peint sur les lèvres de Marc, en dit plus que tout commentaire. Il a vu, tout vu, sans aucun doute. Que faire? Faire comme si rien ne s'était passé? Attendre sa réaction ? Peut-être ne dira-t-il rien... Mais mon mauvais génie commence à me murmurer : c'est l'occasion rêvée, tu as toujours voulu savoir l'effet que tu pouvais procurer sur les autres? L'as-tu excité? S'est-il masturbé en regardant la cassette? D'un autre côté je suis une femme "honorable" (enfin après ce que je lui ai montré...) et s'il ne dit rien on en restera là.... 

J'attends, un peu, j'attends, puis je ne peux plus résister. 

J'essaie de ne pas éluder tout en essayant d'écarter le danger

- Je vois que tu as aimé dis-donc ! Je ne sais pas quel film c'était, tu connais ton pote il aime bien ce genre de film et je ne suis même pas sûre qu'il ne les regarde qu'avec moi. Je suis sûre qu'il en voit d'autres quand je n'y suis pas !

- Oh je ne sais pas si tu as vu celui-là mais je suis certain que ce que vit la nana te plairait !

- Pourquoi ?

- Je ne sais pas, disons que la nana semble vraiment prendre son pied tout en restant très classe alors que c'est vraiment très très chaud !

- Et ça me plairait ?

- Disons qu'il y a des choses troublantes : tu es aussi belle que la nana, encore plus classe qu'elle mais quelque chose dans tes yeux me dit que tu pourrais être capable d'en faire au moins autant. Oui, tu es aussi belle, au moins aussi belle, encore plus classe, certainement et tes yeux pétillent. Oh oui ils pétillent tu sais ! 

- En fait j'adorerais tourner un film comme ça avec une nana pareille !

- Et tu crois que le réalisateur apprécierait ?

- Je ne sais pas. Peut-être que si je lui faisais voir un bout d’essai...

- Tu sais d’après ce que tu me dis ça à l'air d'être un film d'amateur, je crois que si tu le veux vraiment il faudrait que ces amateurs t'y invitent, et qui te dit que le gars n'est pas jaloux ou possessif ?

- Oui, tu as raison. Je me demande déjà si j'ai une chance de plaire à la fille! Alors le mari... Qu'est-ce que tu en penses ? Si tu étais dans cette situation ?

- Si j'étais dans cette situation ... …Je suis un peu perdue, je répète mécaniquement sa question « si j'étais dans la situation de lui demander de participer à mes ébats avec mon mari? » 

- C’est juste insensé ! La question ne se pose pas mais, mais…Peut-être qu’à sa place… Je ne sais pas.. oui, peut-être accepterais-je... Si la personne qui me le demandait, m'assurerait de sa complète discrétion bien sûr. Je pense aussi que tu devrais plaire à la fille… mais tu es plutôt beau gosse! Même si j'imagine que cette fille aurait d'autres critères que ta belle gueule.

Marc est intrigué ou ne veut pas comprendre "d’autres critères?" 

- Je te laisse imaginer, des critères à prendre en compte si j’étais dans cette situation, bien sûr. 

- Tu veux dire que ... Selon comment je suis équipé… C'est important pour toi, la taille de ... ? Marc semble perdre pied. 

- Ben faut voir !

Et peut-être aussi que la fille en a déjà parlé à son mari, peut-être qu'ils sont d'accord tous les deux…

…Mais Non. En fait si c'était moi je n'accepterais pas comme ça!

Marc est surpris, cela semble en contradiction avec ce que je viens de dire.

- Comprends-moi, je suis une femme honnête. Et même si j'ai des fantasmes comme tout le monde je ne me vois pas accepter un truc pareil. Même s'il est séduisant comme toi, même s'il avait de quoi me surprendre avec son chose... parce que oui ça compte pour moi. Et du coup même s'il pouvait, avec Pierre, me combler vraiment, de partout. Bien-sûr cela me tente. Mais non, je n'accepterai pas.

- Dommage. Si tu avais été cette nana, je me serais damné pour partager cette intimité, ce fantasme...

- Si j'étais cette Nana, j'aimerais me retrouver dans une pareille situation sans jamais avoir à me prononcer, à avouer un tel fantasme.

- Alanys? Marc? Vous êtes là ?

Pierre rentre des courses, interrompant nos confidences, laissant Marc sur des charbons ardents et moi tout de même fortement troublée par cette conversation.

Nous passons à table comme si de rien n'était, avec je le sens des regards lourds de la part de Marc. Pierre semble ne rien remarquer, ce qui m'étonne, vu sa finesse d'esprit pour ces choses-là.

Puis nous poursuivons au salon, digestif et discussions animées et variées. Fourbue, je décide d'aller me coucher, laissant les deux compères en plein débat politique. Je ferme les yeux et plonge presque aussitôt dans une nuit troublée, ou des scènes de la vidéo viennent hanter mes rêves, dans lesquels Marc s'est invité, Marc et son sexe énorme, gigantesque... Des caresses me font frissonner... Éveillée, endormie... Pierre est contre moi et ses mains parcourent mon corps... Ou rêvais-je encore? 

- Mmm !  Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu sais qu’il y a Marc à côté ! Il peut nous entendre!

- Et bien ça lui donnera des idées pour ses prochains fantasmes

- Tu es dingue ! Sans parler qu'il vit là, ça pourrait être dangereux !

- J'ai confiance en toi.

- Pas moi !

- Que veux-tu dire?

- Que j'ai des pulsions moi-aussi et me laisser toute seule avec lui tout excité c'est jouer avec le feu!

- Tu craquerais ?

- Je ne veux pas te tromper.

- Ce n’était pas vraiment ma question… Tu craquerais pour lui si on n'était pas ensemble ?

- Oui, certainement !

- Donc j'ai le droit de m'inquiéter.

- Je te répète que je ne te tromperais pas mais que ça reste vachement délicat, surtout que tu lui as laissé toute ta collection de porno et qu'il ne se gêne pas pour les regarder.

- Tu crois qu'il a vu « notre » cassette ?

Bien sûr, il ne me l'a pas dit directement, mais ses sous-entendus laissent peu de place au doute.

- Arrête! mmmmm!!

Pierre me connaît par cœur, et il sait ce qu'il doit faire pour que je ne sois plus qu'une poupée molle dans ses bras.

- Tu es toute mouillée, coquine... ça t'excite de parler de ça, hein? 

Je retiens mes soupirs et dans le noir les mains qui me caressent n'ont plus d'identité. Des mains de mâle en train d'échauffer sa femelle. Les mains de Pierre, les mains de Marc... J'ai peur des rivages vers lesquels il veut m'emmener, mais ma libido me joue des tours. Ces caresses de plus en plus précises, ces mains qui me pétrissent gagnent peu à peu le combat. Tout à coup, tous mes sens sont en alerte. Un courant d'air? Un grincement de porte, un couinement de parquet? Une raie de lumière dans l'obscurité? Une respiration... Je suis pétrifiée... Je bloque les mains de Pierre là où elles se trouvent. Ses doigts continuent sournoisement à me supplicier...

- Arrête !

- Pourquoi ? Je sais que tu en as envie, tu es trempée !

Je murmure :

- La porte...

Il me murmure

- Laisse-le regarder, on fait comme si...

Nous essayons d'être silencieux, je ne veux pas qu'il sache que nous l'avons découvert.

- Tu es fou. Je ne veux pas

- Il regarde, il s'excite, tout le monde s'amuse...

- Je ne veux pas franchir ce pas... pas maintenant

- Mais plus tard... ma cochonne adorée? ... alors on va le faire patienter mais il en aura pour son argent. Il va souffrir tu sais ?

- Chut!

Et il reprend ses caresses de plus belle, et, un peu rassurée je me laisse aller d'avantage. Mais je n'avouerai pas ma complicité. Je n'ai rien vu.

C'est moi qui suit du côté de la porte. Insidieusement, Pierre tire les couvertures à lui. 

Je résiste, gardant mes épaules couvertes, étant en chien de fusil, mon visage tourné vers lui. Ainsi mes soupirs sont dirigés vers mon homme et je peux lui parler très doucement.

Quelle contrainte que le silence! Aussi excitante que d'avoir les yeux bandés ou les mains liées. Ce qui d'ailleurs n'est pas loin de la réalité, étant donné que j'essaie de bouger le moins possible, d'avoir le souffle régulier, souhaitant vraiment faire croire que je suis endormie. 

Pierre tire encore sur le drap, dernier rempart de ma nudité. Je sens l'air frais envelopper mes hanches comme une délivrance. La fraîcheur que je ressens sur mes fesses se transforme en chaleur sur mes joues et dans tout mon corps.

Marc est-il vraiment là, en train d'observer mes fesses blanches dans la nuit? Ou suis-je en train de fantasmer? Mon plaisir coule littéralement entre mes cuisses, d'autant plus que Pierre continue ses investigations. 

Sa main ferme se pose doucement sur ma cuisse. Il tire vers lui me forçant à m’allonger, à plat ventre.

Sa main me caresse les fesses, les cuisses, remonte, s'insinue et tire encore vers lui, doucement, fermement, m'obligeant à m'ouvrir.

Ainsi allongée je me cache, je ne vois rien, et dans l'obscurité de la chambre Marc ne devrait rien voir non plus.

Il me caresse désormais, vraiment, intimement.

Je relève un genou, je m'ouvre d'avantage, je m'offre d'avantage.

- Ne bouge pas ! Me dit-il. 

Je l'entends farfouiller dans sa table de nuit.

Puis je sens un objet pointer entre mes cuisses et s'appliquer contre mes lèvres. Une pression et hop! Il disparaît dans ma chatte. D'après ce que je ressens, on dirait un œuf, dans la taille comme dans la forme. Puis sans aucun contact de Pierre, je le sens ressortir doucement, comme si on le retirait à l'aide d'une ficelle.  Puis un doigt le pousse à nouveau, et après une légère hésitation, l’œuf reprend sa place à l'intérieur de moi. Puis plus rien... quasiment rien, si ce n'est un imperceptible chatouillis au plus intime de moi-même. Une très légère vibration, inaudible, qui enfle doucement. L’œuf doit appuyer sur mon point G car je ne tarde pas à m'agiter sérieusement... tout en essayant de continuer à donner le change, de la belle endormie. Pierre doit avoir la commande de l'objet en main car il tremble de plus en plus fort au fond de moi et j'ai vraiment du mal à rester stoïque. 

Je chuchote à l'oreille de Pierre qui est tout contre moi 

- Arrête ça! Je vais jouir... 

- Oui ma chérie... Jouis en silence! Mais ne bouge pas! Contiens-toi!

L'épreuve est difficile et presque douloureuse...

Alors doucement je me laisse aller, je me laisse envahir par le plaisir.

Je le sens monter, monter... cela n'explose pas, pas encore, ça monte mais n'explose pas...

- Laisse-toi aller, rêve qu'on te caresse...

Je l'entends se lever, quelques pas et il revient sur le lit.

Il caresse mes fesses. J'aime ça.

Les vibrations baissent et se relancent. Cela me surprend, m'empêche d'arriver mais me maintient dans une situation d'excitation très forte.

Je sens sa main, ses doigts qui écartent mes fesses et le contact d'un objet froid. D'une main, il ouvre de l'autre il joue avec son objet et mon petit trou...

Et les vibrations changent encore ! Sacrée télécommande.

J'ai la tête dans l'oreiller et j'étouffe mes cris. Je suis aussi tétanisée, car je ne veux pas montrer mes réactions. Si Marc est dans la chambre, il ne faut pas qu'il croit que j'aime ça. 

Si Marc est dans la chambre... Je le sens, je le vois... C'est peut-être lui qui s'occupe de mon anus... Non! Il ne faut pas! Je rêve... je fantasme... C'est Pierre qui m'a conditionnée, mais en fait nous sommes seuls...

J'en suis sûre! Je m'en persuade!

L'objet pénètre difficilement entre mes fesses. Pas très large, mais froid! L’œuf dans mon sexe se met à bondir, comme s'il avait à l'intérieur une bille métallique qui sauterait dans tous les sens. 

Je mords l'oreiller et tend mes fesses en remontant encore plus mon genou sous moi. Quel spectacle je dois offrir! Mais à qui? Qui en profite?  Je cambre mon cul, je m'ouvre, je m'exhibe...

Et malgré moi j'aime ça.

Pierre murmure à mon oreille (ce n'est donc pas Marc, ouf!) :

- J'adorerais te filmer comme cela... dommage que le caméscope soit coincé au salon

Et disant cela il fait sortir le petit cylindre froid de mes fesses. Machinalement j'ouvre les yeux, la tête sur le côté. De la lumière éclaire mes fesses !

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Je joins l'utile à l'agréable... la magie de la Maglight ! Ça éclaire et c'est étanche !

- Éteins !

- Non ! J'aime te regarder, tu es si excitante comme ça !

- Et la porte ???

- Ne t’inquiètes donc pas, tu ne crains riens ici

Je ne suis pas certaine que ce soit la réponse que j'attendais.

- Ne bouge pas je vais chercher le caméscope

- Et Marc ?

- Il doit dormir, je ne ferai pas de bruit...

Pierre sort de la chambre. Je suis pétrifiée. Comment ai-je pu me mettre dans une telle situation? D'un autre côté, je n'ai qu'un mot à dire et tout s'arrête. Tout s'arrête! Est-ce que c'est ce que je veux vraiment? Je suis si excitée... au bord de l'explosion depuis plusieurs minutes. Mais la pointe d'appréhension qui persiste m'empêche de basculer dans le plaisir. 

Avant de partir Pierre a ralenti les vibrations de l’œuf, ce qui me maintient sous tension... Je mijote à feu doux.

Je suis toujours dans la même position, pour obéir au maître de mes désirs, pour répondre aux désirs de mon "maître", le cul en l'air, exposée, la croupe illuminée. Mon sexe coule, fond. Je sens de l'air parcourir ma nudité. La porte est entrouverte... pourtant Pierre n'est pas encore remonté. J'entends des bruits éloignés au rez-de-chaussée.

Enfin je l'entends revenir, mon cœur semble vouloir exploser pris entre l'excitation et la peur, je ressens un petit courant d'air, surtout entre mes cuisses mouillées par mon plaisir...

Les murmures de Pierre me rassurent (s'il murmure c'est que Marc dort) :

- Voilà j'ai le caméscope. Attends pour être plus tranquille je vais masquer ton visage comme cela tu ne craindras pas que l'on te reconnaisse! 

Et il me pose un foulard autour des yeux. 

Je ne sais pas s'il est censé me rendre aveugle ou juste discrète. Je pense qu'il espérait me rendre aveugle... mais je vois au travers.

- Commet c'est ? Me demande-t-il ?

Je joue le jeu ("mon" jeu ?):

- Je ne vois rien, tu devras me guider

Il allume la lumière de la chambre.

Je suis toujours le nez dans les couvertures, et je me risque à tourner la tête pour essayer de voir derrière moi. Je vois une ombre se déplacer et suppose que c'est Pierre qui s'affaire pour installer la caméra sur son pied. Je tourne un peu plus la tête et je me fige et resserre mes cuisses. Dans le fauteuil, là, il y a quelqu'un... je crois... je gémis... 

- Tout va bien, ma chérie?

- Ou...oui. Les sons ont du mal à sortir de mes lèvres.

- Voilà je suis presque prêt!

J'ai du mal à distinguer avec ce satané foulard, d'autant plus que la lumière m'aveugle un peu. A moins que ce soit des vêtements entassés sur le siège. La forme reste parfaitement immobile, aussi je me décontracte un peu. J'ai vraiment les nerfs à vif. 

- Tu es prête ma chérie? J'aimerai que tu montres à la caméra comment tu t'y prends pour exciter un homme à distance...

- Quoi ? T'es pas un peu gonflé toi ! Tu me mets comme ça et tu veux que je prenne l'initiative ?

- Tu sais bien que c'est à ce moment-là que tu m'excites le plus. Je sais bien que tu ne me refuses rien... Là je voudrais que tu m'offres tes envies.

- Je ne sais pas...

Et puis sa demande me reviens : "montre à la caméra comment tu t'y prends pour exciter un homme à distance" ; alors je pense à Marc... Je reste dos à la porte, je me redresse, à genoux mais les épaules sur le drap, mes fesses plein cadre.

- Alors trouve-moi quelque chose qui se verra à la caméra 

Et sortant l’œuf vibrant de mon sexe j'ajoute :

- Quelque chose d'assez gros pour que ça se voit, ou alors des trucs rigolos que l'on a à la maison. Allez, à toi de jouer : qu'est-ce qui exciterait un homme à distance ? Allez, bon chien ! Va chercher !

Je ne murmurais plus, je parlais normalement, voire peut-être même plus fort que normalement. Tant pis ! A Dieu vat !

A nouveau, je l'entends se diriger vers les escaliers. 

Pendant qu'il cherche je remue les fesses, effectuant lascivement un mouvement rotatif, comme si je voulais écrire des 8 avec mon cul. Et lorsque j'arrive au terme de ma figure, je me cambre au maximum et tend ma croupe à la caméra. Si j'osais, je m'ouvrirais à deux mains... 

Si j'osais... et pourquoi n'oserais-je pas? 

Mes épaules plaquées sur le lit, j'envoie mes mains en arrière et empoigne mes fesses à deux mains, ouvrant un peu plus mon entre-fesse, m'exhibant comme jamais. 

J'imagine la cassette diffusée dans un cinéma porno, avec des dizaines d'hommes en train de se branler. Je vois leurs glands rouges et gonflés surgir entre leurs doigts serrés, se masturber autour de moi, comme s'ils voulaient remplir les deux puits que je leur offre. Je m'excite toute seule et je décide de me libérer avant que Pierre ne revienne. J'en avais tellement envie que je jouis en une minute, deux doigts sur mon petit bouton, un autre tapotant mon anus. 

Je ne veux pas que Pierre le sache, aussi je fais le moins de bruit possible mais les soubresauts de mon corps ne laissent aucun doute sur la puissance de mon orgasme. 

Je me sens un peu soulagée mais loin d'être rassasiée. Cette situation me met dans un tel état qu'il va falloir assurer pour éteindre l'incendie en moi.

J'entends Pierre arriver. 

- Je t'ai trouvé quelque chose qui devrait te plaire... et te combler ma petite gourmande. Sa voix est enjouée. Qu'est-ce qu'il va encore inventer? 

- Le bon chien t'a ramené son nonoss. Il délire?! Et puis je me souviens que c'est moi qui l'ai traité de « bon chien » tout à l'heure. 

- Encore une seconde, je couvre de préservatifs et tu vas pouvoir t'amuser...

Il me pose l'objet dans la main. J'ai du mal à évaluer ayant toujours les yeux bandés. En tout cas, c'est très gros et très dur. On dirait un énorme sexe en pierre ou en bois, avec comme une paire de testicules des deux côtés!! Enfin, de petits testicules... Non!!! Il n'a pas fait ça!!! Il est complètement à la masse mon chéri. Si je ne me trompe pas, c'est l'os de bœuf que j'ai acheté pour Skill (notre chien)!!!

Je suis vraiment très surprise.

Il a déjà essayé tout ce qui peut entrer, tout ce qui a un manche ou une forme longue... mais jamais l'os du chien !

- Alors c'est comme ça qu'un homme est excité loin de sa femme ! Au moins celle-là tu ne le montreras à personne !

- Justement... dans celle-là tu es masquée.

- Et tu vas la montrer ?

- Pourquoi pas ?

- A qui ? À Marc?

- Tu aimerais ?

- Oui... Masquée.

- Alors mérite-le, excite-le, imagine-le devant la télé en train de baver devant toi, vas-y !

- Imagine-le organiser une séance de projection privée avec une escouade de militaires en mission, privés de femmes depuis des semaines...

Oh oui, je l'imagine, je les imagine... dans une région chaude, en Afrique équatoriale, la chaleur, l'humidité, les hommes en pantalons de treillis et en marcel, la sueur sur leur peau qui fait luire les muscles..

Je me tourne sur le dos, je me caresse, je presse mes seins, j'en pince les pointes... Gros plan sur mes tétons dressés.

Les hommes crient, ils m'encouragent, m'invectivent, la tension monte... 

J'ai chaud moi aussi, mes mains glissent sur mon corps, elles sont inexorablement attirées vers mon entrecuisse, mes cuisses s'ouvrent, mes doigts ouvre ma chatte poisseuse... 

« Elle est trempée cette salope! » 

Je me sens prête à tous les accueillir entre mes jambes.

« La vicieuse... Elle est ouverte! Elle nous attend ! » 

Je découvre mon petit bouton entre deux doigts et le caresse, je coule, ruisselle... 

« Vas-y fais toi jouir ! » Les treillis s'ouvrent et libèrent des sexes tendus vers moi...

Je prends l'os et cherche le côté le plus adéquat. Il est énorme ! J'en fais à peine le tour avec mes doigts!

« Défonce-toi! Prends-le bien au fond! Tu nous sens au fond de toi? » Les mains s'agitent sur les sexes rougis, sur les glands congestionnés.

Je glisse l'os entre mes lèvres. La boule, comme un gros gland distend mes chairs, puis s'engouffre dans mon sexe.

Les mains accélèrent... les sexes sont rouges! Les muscles saillent sur les avant-bras... les tatouages... la chaleur... l'odeur mâle...

Je sens leurs odeurs, je les entends. Ils n'existent pas vraiment (pas encore ?) mais je sens leur présence.

Je fais glisser l'os monstrueux dans mon sexe, je tends mon bassin, mon sexe, vers la caméra, je vérifie le foulard sur mes yeux...

- Venez bandes de monstres ! Plantez-moi cette chose au fond de moi, faites-moi jouir avec ce truc comme si c'était vos sexes réunis. aussi gros que tous vos sexes ensemble, aussi durs que votre excitation ! ... Venez !

MMMMmmmm! Sensation assez inédite que ce renflement qui ramone mon intimité. Et qu'est-ce que c'est dur! Rigide! Je pousse, je pousse, mais l'os est interminable... Heureusement que je suis passablement excitée.

Les hommes ont les yeux exorbités... leurs sexes cramoisis gouttent... ils crient indistinctement... des grognements... 

J'entame des va-et-vient avec mon substitut. Il me semble que j'atteins des endroits inexplorés... dans mon sexe, dans mon cortex... Je vais jouir à nouveau...

Un viol collectif... Tous les membres sont en moi! Leurs mains rugueuses me palpent! Ils m'empoignent...

- Pierre, j'ai envie que tu t'imagines me regardant dans ta chambre d’hôtel et j'ai envie que tu crois que j'ai un amant alors masque ton visage et remue toi-même ce chose !

En fait j'ai envie de me voir et de voir un homme, un inconnu profiter de moi.

Je lâche la chose, tends mon sexe vers la caméra.

- Venez ! Prenez-moi, il aime regarder.

J'attends quelques instants puis j'aperçois la silhouette masquée de Pierre approcher. Il prend en main l'objet et commence à me tarauder. Mes mains libérées peuvent s'occuper de mon petit bouton.

La pénétration est plus virile.

Ça y est ! Ils sont en moi! Leurs bites dures me remplissent. Je sens l'odeur de leurs organismes en surchauffe. Pierre regarde, ils me baisent! C'est bon ce qu'ils me font! 

- Oui ma chérie! Prends ton pied!

Bizarrement la voix de Pierre me semble plus loin que ce que j'imaginais. Mais je suis dans un tel état!! 

Sa main attrape une de mes chevilles, la soulève, et replie ma jambe contre ma poitrine. Il fait de même avec l'autre jambe, m'ouvrant complètement à la caméra. 

Puis il reprend son va et vient entre mes cuisses. J'entends un bruit près de la caméra.

- Pierre? PIERRE ???

Je n'ai plus de doute mais en avais-je encore ?

J'aime me cacher, me poser en victime. C'est plus difficile de s'avouer ainsi. Comment dire, Vicieuse ? Non je n'aime vraiment pas. Mais c'est si vrai. J'aime le plaisir, j'aime exciter mon mari, je suis trempée et j'ai une boule de feu dans le ventre à imaginer Marc dans la pièce. Marc qui me touche... Non! Ils n'ont pas osé !

Je veux garder un peu de mon intimité. Ne pas savoir. Pas vraiment. Pas officiellement. Mais moi je veux savoir. Et je sais comment...

J’attrape son bras pour qu'il reste là :

- Viens je veux te manger !

C'est le branle-bas de combat (?!?) J'entends bouger et sens l'affolement. 

Je tire sur le bras et rapproche l'homme qui s'y rattache. Ce n'est pas Pierre. Je le sais. Son bras, ses vêtements...

Je le défais fébrilement. Un sexe lourd surgit et heurte ma joue. L'odeur... et maintenant le goût, la texture de la peau... Ça fait longtemps que mes doutes se sont envolés. Il est très large et j'ai du mal à prendre son gland dans ma bouche. J'adore cette grosse queue qui m'envahit. J'en rajoute un peu, innocente.

- Oh Pierre j'en avais tellement envie !

Je fais honneur à notre invité et mange sa queue avec avidité. J'essaie de l'avaler le plus loin possible, ce qui me fait énormément saliver. 

- Comme tu es gros ce soir, mon chéri!

Je suis le petit chaperon rouge et manifestement ce n’est pas mère-grand qui peut s’enorgueillir d’un si appétissant appendice… Je pense que plus personne n'est dupe mais tout le monde respecte le pacte.

Je suis une hétaïre à genoux et j'honore tous les jeunes militaires de mon fantasme. 

- J'ai envie de toi, mon chéri, j'ai envie... fais-moi jour avec tous tes amis...

Je le mange comme une folle. Bien sûr que ce n'est pas Pierre, bien évidemment. Et j'aime ça.

J'essaie d'aller très loin mais je ne suis pas très douée pour cela. Et j'ai envie de lui faire plaisir. 

- Mmm tu es bon, meilleur encore que d'habitude, je t'adore mais excuse-moi je ne peux pas aller plus loin. Mais si tu me promets de me garder ta liqueur pour tout à l'heure - tu sais que je te boirai toujours - Si tu me le promets je te laisserai aller là où tu sais…

- Précise-moi ça

Ce n'est pas la voix de Pierre.

- Si tu me promets d'arriver dans ma bouche comme tu sais que c’est mon petit plaisir alors tu pourras me prendre par le petit trou, je sais bien que c’est un peu le tien et tu n’y as pas droit souvent...

- Tu sais à quoi tu t'engages? Je suis très large et souvent on m'a refusé ce plaisir rare... Aussi pour ça, je suis prêt à te promettre tout ce que tu veux... 

Je n'entends plus Pierre, mais je sais qu'il doit être aux anges. 

Marc sort de ma bouche dégoulinant de salive, tellement il a visité le fond de ma gorge. 

Je me retourne, soulève mes fesses et enfouis ma tête dans l'oreiller. Je sens qu'on s'active derrière moi. Mes fesses sont écartées, une sensation fraîche sur mon petit trou (du gel? de la salive?) Puis je sens une énorme boule venir buter dans ma raie, à la recherche de la grotte interdite.

Après que je les aie mis au garde à vous avec ma bouche, les militaires m'ont retournée, et maintenant ils s'occupent de ma croupe... Ils m'ont promis de tous y passer... 

Le gros sexe a trouvé l'entrée. Il pousse doucement mais fermement. Il pénètre inexorablement entre mes fesses. J'en ai le souffle coupé.

- Viens mon chéri, Viens dans moi mais n'oublie pas que tu voulais que j'excite un homme, tu sais celui qui me regarde dans sa chambre d'hôtel, dans la chambrée de la caserne ou dans la cabine du sex-shop, alors n'oublie pas que la caméra doit tout voir.

Je sens mon amant remonter derrière moi, presque debout. L'angle de pénétration est incroyable. Il entre dans mes fesses mais il me semble qu'il remplit mon vagin aussi !

- Là il devrait en avoir pour son argent ! Ou alors il faudrait se rapprocher de la caméra.

- Ou la faire venir à nous... 

J'ose tout désormais. Je n'ai rien avoué mais tout cela m'amuse. Et puis quel plaisir aussi.

J'entends du bruit. Je sens aussi qu'il y a plus de lumière. Pierre a dû s'avancer avec le caméscope !

- Oh oui mon chéri, j'en avais tellement envie ! enfonce-toi au fond de moi, montre-lui comment me faire jouir !

Marc (même si je ne me dévoile pas, je peux le nommer désormais), Marc donc s'introduit complètement en moi. Heureusement, il n'est pas très long, mais il est si large que je me sens remplie comme jamais.

Je sens ses testicules venir buter contre moi. Ouf !!! Je suis écartelée. La sensation est étrange car de par sa position, le seul contact que j'ai avec lui, c'est sa queue dans mon cul.

Il se retire lentement et je sens le renflement de son gland, chacune de ses veines, ses pulsations tout au long de son retrait. Que c'est bon! Avant de ressortir totalement, il entreprend de se réintroduire en moi.

J'entends le zoom de la caméra et j'imagine le gros plan. J'imagine ...

..le voyeur dans la chambre d'hôtel se branle, parfaitement captivée par l'action. Les militaires sont tous avec moi. Ils me pénètrent de concert avec Marc. Ils sont tous entre mes fesses...Je délire.  

Marc commence les allers-retours avec toujours autant de lenteur et de fermeté. Comme un piston bien huilé ayant atteint sa vitesse de croisière.

Et que c'est bon !

Je ne suis pas sûre d'avoir tenue plus d'une minute avant de jouir. Je me lâche, mon râle s'intensifie, je hurle presque... Si Marc dort encore il va se réveiller !

- Déjà ?  Me demande mon amant un rien déçu.

Déçu et insatisfait. Fourbue je me laisse doucement aller à plat ventre mais Marc m'accompagne, toujours planté en moi. 

- J'ai encore envie ! me susurre-t-il implorant.

- Tu sais bien mon chéri que je peux arriver plusieurs fois, surtout comme cela ! Continue mon amour !

Je ne sais pas ce que pense Pierre de ces mots d'amour, sont-ils pour lui ou pour Marc ?

De toute façon cela paraît avoir un effet sur mon amant qui me semble durcir et grossir encore ! Ses mains se pose sur mes reins, il prend appui sur moi, me plante dans le lit et reprend ses mouvements entre mes fesses. Profonds, puissants.

Il ne me faut pas longtemps pour jouir encore. Marc s’arrête.

- Dis-donc tu aimes vraiment ça toi !

- Tu le savais déjà non ?  Retourne-moi, je veux que la caméra me filme ainsi.

- Tes désirs sont des ordres !

Mais il exécute mes ordres à sa façon. Il replie mes jambes sous moi, puis toujours fiché au plus profond de moi, il attrape mes jambes sous mes genoux et me retourne, me faisant coulisser autour de son pieu.

Quelles sensations!! Étonnant! Il faudra que je réessaie ça !! Maintenant mes jambes repliées, il les ouvre. J'entends le ronronnement de la caméra tout proche. Pierre doit se régaler à faire des gros plans de mon sexe ouvert et de mon cul empalé. Marc reprend ses va-et-vient et dans cette position il pénètre encore plus profondément en moi. 

C'est incroyable! je vais jouir à nouveau. Je perds pied!

- Oh oui vas-y ! Plus fort ! Défonce-moi! 

- Tu aimes ça te faire défoncer, hein? Les mots ont un effet dévastateur.

- Oh oui défonce moi le cul! Vas-y ! Vas-y! Ouuuuiiii !

...

Marc est toujours fiché en moi. Il n'a toujours pas joui, et il veut tenir sa promesse.

Je me demande quand va-t-il m’offrir sa liqueur... Toujours empalée, face à la caméra, je me détends un peu, me laisse un peu aller, les yeux fermés derrière mon foulard.

Soudain je sens quelque chose de froid et dur contre mon sexe. J'ouvre les yeux. Je vois au travers du foulard la silhouette de Pierre juste devant moi. J'entends sa voix : 

- Tu as oublié ton chien-chien qui veut jouer avec toi ! On va cacher son nonoss !

Mais ça ne rentrera jamais!! Déjà, Marc me remplit le fondement de son gros mandrin, comment veut-il faire pénétrer cet os qui est au moins aussi large?

Pierre ne s'est jamais arrêté à ce genre de considération, et je n'ai plus beaucoup de volonté pour résister, après ces trois orgasmes successifs.

Marc ne bouge plus, il semble apprécier, d'autant plus que les agissements de Pierre lui génèrent des sensations à travers la mince paroi séparant les deux orifices. 

Je suis tellement excitée, ouverte que Pierre réussit à me pénétrer avec l'os, et commence à agiter l'intrus dans mon sexe.

Je n'ai jamais été aussi pleine. Pleine, il n'y a pas d'autre mot! 

Une nouvelle vague de plaisir se crée dans mon ventre. Et lorsque Marc se met à bouger, le tsunami se déclenche. L'os est poussé par le ventre de Marc et s'enfouit petit à petit dans mon sexe.

Je suis submergée, mais je suis sans force. Ma bouche s'ouvre sur un cri qui ne sortira jamais. Je suis tétanisée. Je jouis.

Marc se retire doucement. Je sens une présence toute proche, je tourne la tête... ma récompense !!!

Presque instinctivement j'ouvre la bouche. Un jet chaud et puissant  me fouette les lèvres. J'ouvre plus grand pour ne rien perdre. Je sens le second jet sur ma langue. J'avance et attrape son gros gland entre mes lèvres. C'est moi qui va et vient, et lui qui jouit, qui se répand dans ma bouche. Il semble ne devoir jamais s'arrêter. Il est bon, salé, pas trop épais. Un petit goût de vanille derrière, une légère amertume aussi. J'adore. Je le garde entre mes lèvres, longtemps.

Alors que Marc se relâche, que moi-même je ralentis et ne bouge plus, son sexe vide toujours entre mes lèvres, je sens l'os monstrueux qui sort de mon sexe. 

Marc recule, s'échappe doucement. Je suis un peu déçue. Il comprend, son gland gorgé de plaisir se pose à nouveau sur mes lèvres. J'ouvre à nouveau ma bouche. 

 

Ce n'est pas Marc...

 

Sam 2 jun 2012 Aucun commentaire