Yonidouce
J’aime juste quand, rasé de prés, tu poses ta joue là, si prés de ce
plaisir qui t’attend.
J’aime quand tu n’y fais rien, endormi ou presque, posé au creux de mon aine.
Je sens ton souffle caresser mon intimité.
Mes sens s’éveillent doucement.
J’aimerais que tu t’occupe de moi mais on est si bien ainsi !
-
J’aime quand tu n’oses pas, ou devrais-je dire quand tu veux m’obliger à te supplier.
J’aime quand ta langue glisse sur ma peau, explorant chaque millimètre sans se risquer à goûter au fruit défendu. Mon ventre se serre, se noue.
Je meure d’envie de plonger mes doigts dans tes cheveux pour que tu mettes fin au supplice ! je me retiens. J’aime ce supplice et je sais que tu aime me sentir ainsi.
J’aime quand, alors que je me cambre à me briser les reins pour t’obliger à m’embrasser vraiment, tu viens mordre l’arrête qui sépare ces fossettes que tu aimes tant.
-
J’aime quand tu ne me touches plus, quand tu restes là à quelques centimètres de ta proie, immobile.
J’aime quand tu souffles, un souffle lent et régulier, sur mes lèvres ouvertes. J’aime quand ton souffle se concentre sur mon clitoris brulant du désir de toi. J’aime ce souffle qui ne saurait sécher ce miel qui coule de moi et t’enivre malgré toi.
-
J’aime quand, toujours immobile tu plantes ton regard dans le mien.
J’aime cette promesse muette.
J’aime quand, ne me lâchant pas du regard tu ouvre doucement la bouche, tout doucement
Et que tu plonge comme un cobra sur une proie pourtant toute offerte.
-
J’aime cette violence libératoire qui me transperce et me fait jouir dans la seconde !
J’aime me sentir comme un papillon épinglé par un naturaliste sadique, ta langue me transperce et mon corps se tend, prêt à rompre.
Tu m’infliges une jouissance si soudaine et si persistante !
J’aime me sentir comme la guitare que le rocker fait vibrer longtemps en écrasant la corde contre le bois, et qui du bout de son majeur fait rouler jusqu’à l’épuisement.
J’aime quant tu pince si fort mon bouton entre tes lèvres agressives.
-
J’aime cette jouissance née de ton si beau visage ;
J’aime celle qui va suivre quand plus rien au fond de moi ne pourras ignorer ce contact si doux et i puissant.
J’aime même quand un peu trop gros, un peu trop brute, tu viens frapper au fond de moi, et que j’ai mal.
-
J’aime quand, après tout, c’est entre mes lèvres que tu t’abandonneras.
J’aime m’endormir ainsi, savourant la chance que j’ai d’être mariée à un amant adorable.
-
Mais j’aime rentrer chez nous avec le souvenir encore chaud d’autres saveurs…
J’aime quand tu n’y fais rien, endormi ou presque, posé au creux de mon aine.
Je sens ton souffle caresser mon intimité.
Mes sens s’éveillent doucement.
J’aimerais que tu t’occupe de moi mais on est si bien ainsi !
-
J’aime quand tu n’oses pas, ou devrais-je dire quand tu veux m’obliger à te supplier.
J’aime quand ta langue glisse sur ma peau, explorant chaque millimètre sans se risquer à goûter au fruit défendu. Mon ventre se serre, se noue.
Je meure d’envie de plonger mes doigts dans tes cheveux pour que tu mettes fin au supplice ! je me retiens. J’aime ce supplice et je sais que tu aime me sentir ainsi.
J’aime quand, alors que je me cambre à me briser les reins pour t’obliger à m’embrasser vraiment, tu viens mordre l’arrête qui sépare ces fossettes que tu aimes tant.
-
J’aime quand tu ne me touches plus, quand tu restes là à quelques centimètres de ta proie, immobile.
J’aime quand tu souffles, un souffle lent et régulier, sur mes lèvres ouvertes. J’aime quand ton souffle se concentre sur mon clitoris brulant du désir de toi. J’aime ce souffle qui ne saurait sécher ce miel qui coule de moi et t’enivre malgré toi.
-
J’aime quand, toujours immobile tu plantes ton regard dans le mien.
J’aime cette promesse muette.
J’aime quand, ne me lâchant pas du regard tu ouvre doucement la bouche, tout doucement
Et que tu plonge comme un cobra sur une proie pourtant toute offerte.
-
J’aime cette violence libératoire qui me transperce et me fait jouir dans la seconde !
J’aime me sentir comme un papillon épinglé par un naturaliste sadique, ta langue me transperce et mon corps se tend, prêt à rompre.
Tu m’infliges une jouissance si soudaine et si persistante !
J’aime me sentir comme la guitare que le rocker fait vibrer longtemps en écrasant la corde contre le bois, et qui du bout de son majeur fait rouler jusqu’à l’épuisement.
J’aime quant tu pince si fort mon bouton entre tes lèvres agressives.
-
J’aime cette jouissance née de ton si beau visage ;
J’aime celle qui va suivre quand plus rien au fond de moi ne pourras ignorer ce contact si doux et i puissant.
J’aime même quand un peu trop gros, un peu trop brute, tu viens frapper au fond de moi, et que j’ai mal.
-
J’aime quand, après tout, c’est entre mes lèvres que tu t’abandonneras.
J’aime m’endormir ainsi, savourant la chance que j’ai d’être mariée à un amant adorable.
-
Mais j’aime rentrer chez nous avec le souvenir encore chaud d’autres saveurs…
Mer 10 fév 2010
5 commentaires
Mon mari ne l'a pas lu... mais le pratique si bien!
Quant à mes amants, ils sont un peu loin... Je suis très sage actuellement
Bisous mouillés
Quant à mes amants, ils sont un peu loin... Je suis très sage actuellement
Bisous mouillés
Yoni
quelle belle déclaration d'AMOUR à votre époux juste avant la Sainr Valentin chère Yoni, quel chance il a d' être aimé ainsi de vous même si vous aimez goûter à d'autres saveurs
je voudrais soufler doucement et longuement moi aussi sur votre sexe si beau que vous nous offrez, merci belle et si désirable Yoni
je voudrais soufler doucement et longuement moi aussi sur votre sexe si beau que vous nous offrez, merci belle et si désirable Yoni
jean - le 11/02/2010 à 18h11
Vous avez eu, cher Jean, une petite suite de ce texte improvisé exprimant juste... ce que j'aime
Bisous salés
Bisous salés
Yoni
On découvre ce blog. Il est magnifique. Quelle plume ! Aussi belle dans le romantisme du dernier texte que dans la sensualité forte des précédents. Chapeau bas Madame l'écrivaine ! Les photos,
quoiqu'un peu rare c'est vrai, sont aussi bien alléchantes.
christal - le 16/02/2010 à 09h31
Je vous remercie pour votre gentillesse à mon égard.
J'ai voulu par ce blog me confier à des inconnu(e)s. Mettre en forme mon paradoxe pudeur-exhibitionisme, envies-culpabilité... Suis heureuse de recevoir un accueil aussi chaleureux de votre part.
Bisous mouillés
J'ai voulu par ce blog me confier à des inconnu(e)s. Mettre en forme mon paradoxe pudeur-exhibitionisme, envies-culpabilité... Suis heureuse de recevoir un accueil aussi chaleureux de votre part.
Bisous mouillés
Yoni
Je dirais aussi quel reve doux ..... que je caresse de loin....
a ton gout......
Bisous tout mouillés
a ton gout......
Bisous tout mouillés
cederic - le 15/03/2010 à 17h14
J'aime tant ... le plaisir d'offir et de recevoir
la pincée de sel sur une douceur
Bisous mouillés
Votre plaisir qui rechauffe mes lèvres
Yoni
Mes levres en sont brulantes de désir.... et partage, le gout de cette douceur salé et inconnue....
Ton plaisir en rechaufferais les miennes.....
Bisous tout mouillés
Ton plaisir en rechaufferais les miennes.....
Bisous tout mouillés
Cédéric - le 18/03/2010 à 16h31
Bisous tout Mouillés......