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Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 23:08

 

Mon aventure trop vite écourtée avec la maréchaussée a provoqué chez mon amant de cœur une question : ais-je déjà pratiqué les jeux de l’amour avec un homme et une femme ?

Je ne peux répondre aussi brutalement que « oui » ou « non ». Je vous dois quelques confidences.

Et la réponse arrivera d’elle-même. Peut-être pas tout de suite.

Mais bref !

Oui, comme le suggérait mon ami, cela commença en club.

C’était la toute première fois que nous venions dans ce genre d’endroit et, si on en avait lu beaucoup de chose, la pratique est toujours surprenante. Et je fus agréablement surprise car il n’y avait rien de glauque ou vulgaire mais une ambiance plutôt raffinée. Il y a des règles strictes et les gérants insistent poliment mais fermement sur le respect de l’autre et qu’un simple signe de refus, si discret soit-il signifie qu’il ne faut pas insister sous peine d’exclusion du club. Libertin mais sacrément directif !

Arrivés assez tôt, nous avons pu apprécier l’évolution de la soirée. Une mise dans l’ambiance d’une grande simplicité. De la musique de qualité, une ambiance chaude au sens « agréable » et conviviale. Un vidéoprojecteur projetait des clips musicaux parfois un peu plus sexy que ceux qui passent à la télé mais sans plus. Puis la sono a pris le relais, avec DJ plutôt bon et toujours des projections mais de plus en plus chaudes jusqu’au pur porno.

Les gens étaient plutôt plus âgés que nous mais pas très (j’avais 35 ans à l’époque) et avaient soignés leur tenue : classique-chic pour les messieurs, franchement plus glamour pour les dames avec pas mal de lingerie de qualité (bas et porte-jarretelles) pour les dames plus âgées et mini robe pour les plus jeunes.

Nous avons beaucoup dansé, un peu bu (nécessaire pour éliminer la gêne évidente) et ouvert les yeux comme des gosses dans un magasin de jouets.

Après quelques danses un peu dynamiques, nous nous effondrons l’un contre l’autre dans un grand canapé moelleux… Mmm ! Je suis bien !

Je pose ma tête contre mon amoureux et ferme les yeux de bonheur. Je les ouvre un court instant plus tard et mon regard se pose sur le couple en face de nous, à un mètre à peine. Ils sont jeunes, beaux et manifestement très amoureux au regard de leur façon passionnée de s’embrasser avec fougue et gourmandise. Je me reconnais en eux et me plait à les regarder. Leur bonheur est communicatif. L’Homme embrasse la jeune femme en lui caressant doucement la joue, c’est si mignon, si touchant !

Puis ils se séparent un instant. Elle attrape son verre, boit une gorgée et se laisse allée en arrière sur le dossier du canapé. Il la suit et vient lei dévorer les lèvres. Il aime embrasser cet homme là. Mon cœur de midinette commence à éprouver une petite poussée de jalousie, d’envie en tout cas. J’adorerais être livrée à sa gourmandise.

Et d’un coup je me réveille ! Sans cesser de l’embrasser et d’une main de maître il a défait les boutons de son chemisier et exposé à tous une poitrine orgueilleuse et dont les pointes semblaient, malgré la pénombre, durs comme du marbre.

Loin de se plaindre, la jeune femme pose sa main sur le pantalon de son amant… Très vite un sexe débordant de vie et de puissance nous est offert en pâture. J’aurais adoré me précipiter sur lui, le goûter, le manger, le faire fondre doucement, magnifique sucre d’orge pour grande enfant !

Nous étions au spectacle ! Quelques voyeurs s’étaient approchés mais comme le couple était faces à nous, juste séparés par une table basse, les voyeurs ne nous gênaient pas.

Sans m’en rendre compte, et comme je le fais souvent quand avec mon mari on se regarde un film X à la maison, je pose ma main sur son sexe et commence à le caresser avec nonchalance tout en regardant un film particulièrement réaliste.

Et lorsque sa main glisse sous ma jupe et sous mon string (nous étions au tout début de ma période de débauche et il m’arrivait encore de porter quelque chose sous mes jupes, mais je vous rassure je ne m’embête plus avec ça) et que ses doigts viennent s’occuper de mon clito, je n’ai réagi qu’avec un grand soupir d’aise.

Me voici en train de me faire tripoter devant tout le monde et ça le fait si naturellement…

La jeune femme est passée depuis un moment déjà au plaisir qu’ils me refusent : une fellation gourmande.

Elle a quitté son chemisier et vraiment, sa poitrine est une insulte aux pauvres femmes comme moi qui n’auront jamais (sinon après un passage sur le billard) de quoi exciter les hommes comme elle peut le faire. Et ils sont maintenant assez nombreux autour du couple. Ils y a des femmes aussi mais je suis moins attirée et ce n’est pas ce que je regarde en premier.

La jeune femme se relève et enjambe son homme. Relève sa mini mini jupe (et manifestement elle n’avait rien dessous) et viens s’empaler sur son homme. Ouaou ! À un mètre de moi ! Une première.

Mon mari profite que l’attention soit portée sur les autres pour me dire de venir s’asseoir sur lui. Sur ses genoux mais face à eux pour que je continue à regarder.

Je me lève. Il a serré ses jambes. Je m’installe un pied de chaque coté et commence à descendre. Sa main vient se poser à plat sous mes fesses : « attends une seconde » me dit-il. Puis guide ma descente. Je sens son sexe dur qui est dehors. D’un doigt il écarte mon string et se glisse en moi. Je le laisse faire. Ma jupe repose sur mes cuisses. Je suis hyper discrète. Enfin je croyais.

Mon plaisir monte en flèche et je joui en quelques secondes.

Je reste un instant assise sur mon chéri. Empalée sur un pieu qui n’a pas encore exprimé son plaisir. Il sait qu’on va repartir et me laisse souffler un instant.

Pendant ce temps il maintient son excitation en me caressant les seins et en matant nos voisins. D’ailleurs eux aussi ont du arriver à un tournant de leur petite affaire et la jeune femme s’est mise accroupie, les pieds sur le canapé, dos à lui … et face à nous.

Nos regards se sont croisés. Elle m’a souri. C’était le sourire d’un ange ! Impudique, naturelle, heureuse et sans aucune perversion. Juste un sourire de bonheur partagé avec nous, avec moi.

Ses genoux ainsi relevés et écartés laissaient voir un sexe presque aussi glabre que le mien. Ma voisine était adepte du ticket de métro. Pas moi mais ce soir là personne ne le voyait.

Des voyeurs de plus en plus nombreux se masturbaient ouvertement devant elle et elle ne se gênait pas pour en caresser un ou donner quelques coup de langue à un autre, voire gober un gland imprudent sur lequel elle ne s’attardait pas.

Mon mari continuait à me pénétrer doucement, s’arrêtant souvent pour ne pas en finir trop vite.

Et les voyeurs commençaient à s’intéresser presque autant à nous. Il y avait deux ou trois gars prés de moi qui se masturbaient.

Et c’est moi qui n’en pouvais plus. Je me suis mise à imposer mon rythme. Me plantant le gros sexe de mon homme jusqu’au fond de moi et glissant jusqu’à sentir son gland au bord de mes lèvres. Je sais que je ne retenais plus mes soupirs et que ma bouche entrouverte devait émouvoir mes voyeurs car j’ai vu plusieurs jets de sperme partir en phase avec ma propre jouissance.

Quelques gouttes ont même atterri sur ma joue. Je n’ai pas osé les recueillir et les goûter comme je le ferais aujourd’hui.

La fille en face a joui également.

Elle s’est levée, s’est mise à genoux sur la table… pour venir m’embrasser sur la bouche. Et s’en est retournée prés de son amant en m’offrant un dernier sourire.

C’était ma première en boite libertine. J’avais prévenu mon mari : « on regarde, on ne fait rien ».

Raté.

 

Le lendemain, dégrisée mais toujours l’esprit libertin, nous avons reparlé de cette soirée et mon mari qui sait que je prends autant de plaisir que lui à le faire jouir dans ma bouche m’a demandé si je n’avais pas eu envie de prendre ces hommes entre mes lèvres.

« Oh bien sur que j’en mourrais d’envie mais je n’ai pas osé »

Il m’a expliqué que dans ce genre d’endroit personne n’aurait trouvé à redire, que bien au contraire j’aurais fait quelques heureux de plus.

Je lui ais promis de ne plus jamais niaiser. Je ferais des heureux

 

Bisous mouillés

 

PS : Ce récit ne répond pas à la question posée au début… mais il y a une suite

PS : La photo n'a pas été prise pendant la soirée bien sur, mais la tenue était la même à la veste prés

 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Jeudi 15 octobre 4 15 /10 /Oct 11:37

Je suis d’humeur libertine ces jours-ci et, outre le plaisir de me confier à vous dans ce blog, j’aime également me confier aux facéties du destin.

Bien sûr le destin est triste ! Si l’on veut profiter un peu de la vie il faut parfois l’aider un peu.

Lorsque je suis ainsi d’humeur coquine, ma méthode est simple : après que mon mari ait quitté la maison et mon fils ait rejoint son école, je me douche, affine mon rasage intime, me soigne avec quelques produits très simples (la gamme Nivéa est très bien et pas chère) puis un brin de maquillage presque invisible avec quand même un petit contour des yeux, quelques gouttes de parfum et je m’habille d’une nuisette.

C’est tellement agréable de faire son ménage ainsi. On se sent si femme, si libre. Et surtout si prête !

Combien d’aventures restées sans suite lorsqu’un recommandé amène le facteur à sonner et échanger avec moi un instant que nous aurions aimé prolonger mais que son timing rends quasi impossible (et puis crac-crac, ça ne marche pas comme ça !), lorsqu’un artisan vient proposer ses devis de ravalement de façades, de coupes de haies…

Mais à chaque fois quel trouble et quel plaisir d’être ainsi sous le regard de ces hommes, le plus souvent tellement gênés qu’ils ne tentent ni ne disent rien mais dont les yeux disent tous les regrets de ne pas oser.

Combien de fois me suis-je donné un plaisir solitaire après leur passage.

 

Et parfois ils osent

Et parfois je cède

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 22:52
J'avais fait un promesse...

Bisous mouillés
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 26 juillet 7 26 /07 /Juil 10:07
Peut-être vous raconterais-je mes petites aventures ferroviaires...
si vos encouragements m'y incitent.

Bisous mouillés
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 17:09

Premier épisode : « la jeune femme naïve »

Tout commence il y a longtemps, j’avais 25 ans à peine, mariée depuis 5 ans.

Nous venions d’emménager dans un quartier résidentiel après 6 ans en appartement. Petit jardin privatif coté garrigue et garage coté rue. Nous étions la dernière rangée de maison et à part les quelques voisin le coin était très calme.

Nos voisins directs étaient transparents, ce qui nous allait bien, et les autres très discrets.

Beaucoup de garages étaient insuffisants (une seule place ou utilisés comme « cave ») et quelques voitures ou camionnette (un voisin artisan) étaient gérées le long du trottoir, sans gêner.

 

Mon mari allait travailler assez tôt, il partait un peu avant 7 heures, avant que le quartier ne s’éveille.

Jamais (encore aujourd’hui) je ne le laisse partir sans mon bisou.

Ce matin là, je ne me souviens plus très bien… réveil en panne ou souci… Il se dépêche et je l’aide en ouvrant la porte du garage et le portail. Il démarre et se retrouve dehors prêt à partir.

Fenêtre baissée il me lance un bisou… j’en veux un vrai et me précipite pour l’embrasser avant qu’il ne parte.

Rien d’anormal ni d’excitant, c’est vrai. Juste que moi je suis encore en nuisette. Une petite nuisette en soie noire et dentelles qui ne cache pas grand-chose (et je ne dors pas avec culotte et soutien-gorge).

Rien d’anormal ni d’excitant si ce n’est que, pendant que je suis penchée en avant pour embrasser mon chéri dans la voiture, mon artisan est sorti pour rejoindre sa camionnette. Il est vrai que je ne pouvais pas le voir, il était juste derrière moi.

Rien d’anormal ni d’excitant jusqu’à ce que mon mari me susurre à l’oreille, tout en me tenant aussi doucement que fermement dans ma position (il avait passé son bras par la fenêtre de sa voiture et posé sa main sur mes reins ce qui avait pour effet de relever encore ma nuisette qui, sans cela, ne cachait déjà rien de mon intimité à mon beau voisin.) :

Reste un peu comme cela ma chérie, je vais être excité toute la journée et ce soir je m’occupe de toi encore plus que d’habitude.

Pourquoi ? lui ais-je demandé sans malice.

Parce que j’ai une belle femme et que j’aime quand les voisins bavent toi.

Je me retourne brusquement et machinalement. Mon artisan me salue discrètement d’un geste de la tête. Je passe du rose pâle ou rouge vif en moins d’une seconde !

Tu sauras lui résister ou je reste à la maison ? Me demande mon goujat de mari

Vas t-en espèce de malotru… et reviens vite.

Je l’embrasse et file me réfugier dans la maison.

 

Enfin seule, je ne peux m’empêcher de penser à ce voisin plutôt séduisant. Certes il n’a pas trop le profil des hommes que j’ai fréquenté jusqu’alors, plutôt rustique. Façon joueur de rugby : grand, carré, puissant… excitant !

J’avoue m’être donnée du plaisir toute seule en pensant à ses grosses mains sur moi, et au reste de son corps…

Lorsque mon mari est rentré, il n’en a pas parlé jusqu’à ce que nous nous retrouvions pour notre câlin du soir.

Alors que je suis en train de lui faire une petite gâterie et qu’il me pénètre d’une bougie (on a acheté nos premiers sex-toys à cette époque), il me dit :

Ferme les yeux.

Mange-moi comme tu aimes le faire.

Dis-moi que tu aimes.

Mmm ! J’adore te manger, j’aimerai me nourrir que de ça !

Puis, alors qu’il fait aller et venir la grosse bougie dans mon sexe il reprend

Et celle-là tu n’aimerais pas la manger aussi ?

De la bougie ? Beurk ! Je préfère la vraie

Mais non pas la bougie… Garde les yeux fermés et imagine          
« nous sommes encore dans la rue ce matin, tu es penchée par la fenêtre t tu me fais une gâterie dans la voiture… Et notre voisin est tellement excité que sa bite est plus dure que jamais, et il est en toi, tu la sens ? » (il s’enfonce plus brutalement)

Aie !

Oui il te fait un peu mal mais tu es si excitante qu’il ne peut pas se retenir le bougre !

Il agite la bougie dans mon ventre et semble vouloir que je l’avale d’avantage. Je ne mense plus à cette bougie. J’ai le sexe du voisin dans mon vagin, violent, puissant, fabuleux. Je joui avec une intensité rare.

Mon mari aussi et se répands dans ma bouche. Je le garde ainsi un moment.

Je suis apaisée, j’aime le gout de son plaisir, je fais durer le mien. Plaisir de gourmande amoureuse et sereine.

Lorsqu’il reprend vigueur, nous enchaînons sur des « positions » plus classiques…

 

On n’a jamais réitéré cette exhibition involontaire et je n’ai jamais adressé la parole à ce voisin voyeur malgré lui.

 

Intermède 1

Depuis 15 ans, nous avons eu, mon mari et moi, l’occasion de gouter à des situations bien plus perverses, mais nous parlons de temps en temps de ce moment lourd d’émotion et, lorsque nous étions (2002-2003) à l’acmé de notre parcours libertin, mon mari m’a souvent dit :

Dommage qu’on ait loupé cette occasion. C’aurait pu être assez génial.

De me faire prendre dans la rue ? T’es dingue !

Non, peut-être pas, mais avoue que la situation était « caliente ».

Depuis nous avons déménagé plusieurs fois et actuellement nous habitons en banlieue toulousaine dans un quartier résidentiel, au fond d’une voie privée sans issue, avec très peu de passages et des voisins très discrets… l’histoire se répète ! Sauf que, faute d’un voisin rugbyman, il n’y a que des (très) retraités.

Je ne vais pas me plaindre quand même. L’un de mes deux voisins (plus de 70 ans aujourd’hui) a eu assez souvent l’occasion de passer à la maison et pas forcément pour boire une verveine (mais cela fera l’objet d’autres épisodes).

Disons que depuis 15 ans la jeune femme naïve et bien élevée est devenue plus libre. J’assume mon plaisir et me fiche de ce que l’on peut penser de moi. Tant que j’ai la chance de vivre et de disposer d’un corps sensible et encore assez attirant je ne vais pas me gêner.

 

Intermède 2 : Jean

En 2002 j’ai connu un homme sur un forum. Je lui ais confié mes premiers états d’âme et mes craintes aussi. Je croyais être une « soumis » car j’adorais être le jouet un peu « irresponsable » d’une situation, alors je lui ais demandé d’être mon maître (j’ai demandé à un ou deux autres). Cela n’a pas marché ! Je suis une insoumise, je n’en fais qu’à ma tête, je suis juste une libertine hypocrite qui recherche l’irresponsabilité afin de ne pas culpabiliser (bon, maintenant je ne me pose plus ces questions). Jean a su me garder. Etre gentil.

Peut-être devrais-je lui en vouloir car au lieu de me ramener vers une vie plus normale, lui qui pourrait être mon père (65 ans) m’a au contraire incitée à aller de l’avant. Même lorsque je lui parlais de mes amours avec Max (mon chien) il me poussait à aller plus loin. Lorsque je lui disais fantasmer sur l’âne du voisin (3 maisons plus loin), il a essayé de me faire passer à l’acte (pas fait trop peur !). Malgré cette mauvaise conscience, mon Gepetto lubrique, il a toujours été là lorsque je passais de mauvais moment (la débauche n’est pas un long fleuve tranquille). Et je crois que je l’aime d’un amour platonique autant qu’incestueux.

Si je lui ais envoyé des photos de moi régulièrement (visage non flouté), je n’ai jamais voulu avoir des photos de lui.

Il y a peu j’en ais eu envie. J’ai aimé ce visage de papy dégarni.

J’ai aimé, sur cet autre cliché, cette barre de chair que l’on a envie de faire fondre sur la langue.

Il voudrait, depuis longtemps, que je lui raconte mes aventures amoureuses avec des mots crus. Je ne l’ais jamais fait. Je n’aime pas cela. Mais je luis avais promis que ma prochaine bêtise fera l’objet d’un texte plus cru.

C’était hier.

 

Deuxième épisode : « une épouse libertine »

Hier. 21 juillet 2009.

Mon mari doit partir de bonne heure. Il est 06h45 et je vais ouvrir le portail (j’en profite pour prendre le journal, le livreur vient de passer je l’ai entendu).

La voiture avance, mon mari a ouvert la fenêtre pour m’embrasser.

Je me penche pour mon bisou, sa main m’enlace et relève le tissu léger de ma nuisette (aussi légère qu’il y a 15 ans). J’aime cette caresse.

J’entends des pas à coté. Mon voisin vient lui aussi prendre son journal (il a entendu aussi le livreur).

Il est à quelques mètres de moi. J’embrasse encore mon chéri en écartant légèrement les jambes pour plus de stabilité (oui, je suis une hypocrite). Je sens une petite Tramontane fraiche remonter le long de mes jambes et caresser mon sexe déjà humide. J’ai un frisson.

Pourquoi ce frisson ? tu as froid ? Ou tu veux que je reste ?

Non merci, ça ira ! Et puis sinon je demanderais de l’aide à monsieur Martin.

Dis donc toi, tu crois que je peux te laisser dans cet état ?

Non, mais tu dois partir. Gros bisous !

Il râlouille en plaisantant et surtout en me demandant de lui en garder pour ce soir. Sous entendu, je peux en donner un peu.

Et il démarre.

Je reste debout sur le chemin, je lui fais un coucou machinal de la main (ma nuisette ne supporte pas cela) et, mon voisin se trouvant à présent entre mon mari et moi, je ne peux l’ignorer et le salue également.

Encore parti ? Me demande monsieur Martin, connaissant un peu le boulot de mon mari.

Oui, mais il rentre en fin de semaine.

N’hésitez-pas si vous avez besoin de quoi que ce soit !

Merci monsieur Martin… et n’hésitez pas à passer me voir si vous voulez.

C’est sorti comme ça, vraiment, sans malice.

Je m’en retourne chez moi, M. Marin aussi.

5 minutes à peine sont écoulée que quelqu’un frappe à la porte. Je vais ouvrir.

Re-bonjour, mon épouse dort encore, elle ne se lève pas avant 9 heures et je me suis dis que l’on pourrait boire le café ensemble et papoter un peu. Et puis je vous ais amener quelques produits du jardin (quelques salades, et un solide concombre dont je doute sincèrement de la provenance – je remercie sans relever)

Entrez, il est prêt, j’en fais toujours une cafetière pleine.

Je nous sers dans des mugs en grès que l’on peu garder en main, c’est un contact chaud et doux que j’aime autant que le café qu’il contient. Nous nous installons au salon, par habitude (chez eux il m’est arrivé d’en prendre avec madame, mais ça se passe à la cuisine, chez  moi c’est rare).

Bien installés, nous commençons à boire en engageant la conversation.

M. Martin s’arrête au milieu d’une phrase, le regard perdu dans le triangle de mes jambes dont rien ne cache le « trésor » comme Jean l’appelle. Le moindre de mes mouvements laisse apparaître la peau rose de mon pubis toujours rasé et M. Martin doit entrevoir les lèvres de temps à autre.

Votre mari a vraiment de la chance d’avoir une femme comme vous !
Si belle, si libre !

Et si gourmande ! me suis-je surprise à ajouter.

Je pose ma tasse et m’approche de lui. Je m’agenouille et en parlant pose mes mains sur sa ceinture pour commencer à le déshabiller :

Vous savez, j’ai un ami, ou plutôt un confident à qui je me confie mais auquel je ne veux jamais céder pour préserver la magie de nos rapports. Il est un peu plus jeune que vous et rêve de moi en train de lui faire l’amour en parlant avec des mots crus. Vous pouvez m’aider ?

Bien sur ma chère voisine mais alors, au moins pour ce matin tu oublie les « vous » et les « monsieur » et tu te lâche.

Bien maître !

Déshabille-moi vite.

Oui, je veux te bite dans ma bouche, ça fait longtemps que je ne l’ais pas eu.

Je libère son sexe et l’avale d’un trait

Mmm ! c’est bon !

Pour moi aussi me dit « Jean » (je l’appelle comme cela, ce n’est pas son vrai prénom mais ainsi je pense d’avantage au vrai « Jean » mon vieux confident, mon Gepetto pervers), Passe bien ta langue dessous, Oui comme ça.

Son vieux sexe mou a du mal a durcir mais je le connais je sais qu’il va gonfler. Je m’applique.

A cet instant je pense à mon confident, le vrai Jean avec qui je baise si souvent par procuration. J’essai d’imaginer le goût de son sexe.

Il attrape le bas de ma nuisette et la remonte, je suis obligée de le lâcher un instant pour qu’il la retire totalement. Je suis nue.

Où est Max ? Va le chercher.

Il doit être dehors !

Va le chercher.

Je me lève, attrape ma nuisette

Laisse tu n’en as plus besoin aujourd’hui.

Je me lève et descends, nue, dans le jardin. Certes il est clôturé et de belles haies me protège des vue mais la descente des escaliers (maison à un étage), coté rue, me laisse à la merci de quiconque passerait par là ou de mon voisin d’en face.

Sitôt en bas, Max vient me faire des fêtes. Je le caresse et le fait entrer.

La montée des marches ne vaut probablement pas Cannes mais c’est impressionnant tout de même. Malgré mes extravagances et perversions, je ne me suis jamais habituée à l’exhibition et cela m’émeut toujours autant (sans quoi j’arrêterais d’ailleurs).

« Jean » se branle doucement en m’attendant.

Max t’as baisé ces jours-ci ?

Non, cela fait longtemps d’ailleurs.

Lèche le, bouffe-le comme tu viens de me bouffer.

Je me glisse au sol et caresse mon chien qui se laisse faire volontiers. C’est vrai que cela fait des mois qu’il n’y a plus droit. Mon mari ne veut plus et, honnêtement, je suis assez comblée avec lui sans avoir à me faire mon chien. Son sexe est doux. Je le caresse mais il ne semble pas avoir envie.

Lèche-le.

Je m’exécute, titillant du bout de la langue l’extrémité de son sexe mais rien ne se passe.

Branle-le.

Je le caresse, tire un peu son prépuce pour faire sortir son vrai sexe… malgré mes bisous et mes léchouille il ne veut pas de moi. Je suis un peu vexée, il n m’avait pas habituée à ça.

Il ne veut pas je crois ! Dis-je à mon vieil amant.

Continue. Dit-il en se levant

J’entends de l’eau couler, Jean revient avec son concombre à la main.

Je me suis dit que si je ne pouvais assurer il pourrait m’aider. Couche-toi sur le dos.

Il s’installe sur moi en 69 et me donne son sexe un peu mou à manger puis viens me bouffer la moule. Très vite je sens le bout dur et froid du concombre (sincèrement messieurs, une belle bite vaut bien mieux que tous les trucs que vous me fourrez dans le vagin ou le cul).

Alors c’est pas une belle bite ça ?

Pour toute réponse j’essai de l’avaler entièrement en aspirant et léchouillant  tout ce que je peux. D’un doigt je lui caresse l’anus, ça provoque en lui un mouvement vers l’avant. Son sexe grandissant cogne ma glotte et me fait réagir. Mais je le bouffe encore. Il est presque bien.

Enfin dur, ou presque il se relève.

Reprend ta pipe à Max, à genoux.

Je me lève et reprends ma gâterie. Max aime bien mais reste calme.

Jean continue à me pénétrer de son concombre.

Il le retire.

Je sens sa langue puis ses doigts qui s’occupent de mon cul. Va-t-il oser m’enculer avec ce truc ?

Non, le concombre plonge à nouveau entre les lèvres de mon vagin. Il va et vient. Et si je préfère un vrai sexe, je dois avouer que le plaisir arrive. Encore quelques aller-retour en moi et je jouis. Un orgasme lent qui vient doucement.

Je suis toujours là, le concombre immobile au fond de mon vagin, ma bouche sur le sexe peu motivé de mon chien. Je reprends doucement contact avec la réalité lorsque je sens le sexe de Jean se présenter sur mon œillet.

Non pas par là !

J’ai trop envie de t’enculer ma belle, bouge pas.

Il écarte mes fesses et pousse son sexe mi-dur au fond de moi. C’est agréable.

Branle-toi avec le concombre.

Je me retrouve sur un avant bras, encore plus cambrée. Je prends le concombre et le fait bouger. Je ressens parfaitement le frottement sur mes chairs intimes là où il entre en contact avec le sexe de Jean. Agréable impression. Je soupire d’aise.

Tu aimes ça ma salope ! tu va en avoir.

Et il commence à me pilonner de plus en plus fermement. Me sentir ainsi enculée par cet homme si âgé, si charmant et si vulgaire à cet instant est tellement exceptionnel.

Je pense à Jean, j’aimerais lui faire ce cadeau un jour.

Non, lui il doit rester le confident.

Max veut se lever. Je le maintien. Si lui ne veut pas moi j’ai envi de sentir un sexe dans ma bouche.

« Jean » me sodomise longuement (c’est pour cela que j’ai des rapports avec lui, son sexe jamais très dur ne fait pas mal et il n’éjacule pas vite), j’ai le temps d’arriver encore avant qu’il ne me prévienne

J’arrive !

Je fais un petit bond en avant pour l’extraire de mon cul, évacue le concombre et me retourne avant qu’il ne se soit rendu compte de ce qui lui arrivait.

Ma main remplace mon sphincter et je le branle sur mes lèvres.

Il n’est pas surpris, nous finissons à peu prés toujours comme cela. J’aime son sperme, cette mâle liqueur que m’offrent mes amants. Je le tête jusqu’à ce qu’il s’écarte de moi et s’assoie sur le canapé.

Il reste du café ?

J’ai un peu de mal à atterrir

Oui, surement. Dis-je en me levant

On a pris notre café comme çà, moi nue, lui habillé mais le sexe à l’air, dépité, endormi.

Le soir j’ai tout raconté à mon mari. Je craignais sa réaction car il est aussi pervers que possessif mais il m’avait donné la permission je crois.

Nous avons fait l’amour comme des bêtes.

Merci mon Jean de m’accompagner ainsi.

 

 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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