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Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 20:53

Chasseur

 

Nous étions, comme souvent en WE , parti marcher dans l'arrière pays toulonais (où nous habitions au moment des faits). Il y avait un site merveilleux autour d'une abbaye d'un ordre contemplatif je crois. Si l'on ne pouvais pas visiter, on avait du dessus une vue extraordinaire sur les bâtiments. Sur les hauteurs de cette abbaye, il y avait un paysage de roches tourmentées absolument féériques: Les aiguilles de Valbelle !

Nous y venions assez souvent car le site était magique, pas très loin de chez nous et la douceur du climat nous permettait de s'y promener à peu prés toute l'année.

Et comme nous y venions souvent, je me rappelle quelques douceurs particulièrement coquines.

 

Je vous passe les petites gâteries qui ponctuaient si souvent ces balades. Mon mari adorait et j'y trouvait un peu mon compte, n'ayant jamais bouder mon plaisir ni ma fierté de voir mon homme pendu à mes lèvres, dépendant de moi et fondant de bonheur sous mes baisers gourmands. Généralement il ne me fallait pas plus de quelques secondes pour que mes doigts sur mon bouton m'offre une délivrance toute aussi agréable...

 

j'allais passer sur la première fois que nous avons fait l'amour dans ce petit paradis. J'allais passer car bien que ce soit un excellent souvenir, a priori cela n'avait rien d'extraordinaire, mais si, en fait il y avait un peu matière à raconter. Je parlerai donc de chasseur plus tard.

Cette première fois donc auprès de l'abbaye.

C'était sinon l'été, une journée très chaude. Nous marchions donc sur ce sentier, justement au dessus de l'abbaye, là où le chemin est (enfin) plat. Nous allons à l'ombre des arbres, mains dans la main (en montant ce n'est pas toujours possible et j'aime moins) quand mon coquin de mari me prend par la taille et m'embrasse dans le coup.

« j'ai envie de toi »t

« Maintenant ? Mais on peu pas ! »

« mais si, viens »

Il me reprend la main et m'entraîne hors du sentier. Le sol est praticable, il y a peu de broussaille mais si l'on avance aisément, il n'y a pas vraiment de « masque » pour être tranquille.

Si l'idée me titillait, ma pudeur et mon éducation (encore très prégnante à l'époque) m'interdisait de faire cela ainsi.

« On va nous voir, ce n'est pas possible ! »

« Allons plus loin ! »

Et il nous emmena franchement assez loin du sentier, 200 mètres peut-être. D'un seul coup il s'arrêta, comme s'il avait vu quelque chose puis fit demi-tour et décida d'un coin d'herbe à quelques mètres de là.

L'histoire s'est déroulée il y a longtemps déjà et je vous mentirais en décrivant les détails de la scène. Mais il y a eu quand même des choses qui restent. Ce dont je me rappelle est que nous nous sommes embrassés longuement, et longuement caressés aussi. Je me souviens comment il a retiré mon short et ma culotte pour me manger avec une fougue que je ne lui connaissais pas. Mon débardeur ne résista guère plus longtemps. En fait comme il adore me caresser les seins pendant qu'il me mange (j'aime beaucoup) c'est moi qui l'ai relever pour ne pas l'esquinter. Quant, assez vite, j'ai eu un premier orgasme, il s'est relevé, m'a retiré mon débardeur (sans rien dessous ma poitrine ne justifiait pas un soutien permanent) et m'a présenté son sexe dur comme rarement. Je me souviens l'avoir mangé un petit moment. Bizarrement, au lieu d'être face à moi, il me maintenait assise en tailleur, un pied au creux de mon genoux et restait de coté, me forçant à tourner un peu la tête pour le prendre tout entier (enfin autant que possible je n'ai jamais réussi à prendre un sexe entier dans ma bouche comme dans les film... comment font-elles?). Puis il est venu sur moi et ma prise face à face, en missionnaire. Je me rappelle qu'il a mis mes jambes sur ses épaules. Il adore cette position, moi un peu moins car comme il est plutôt costaud de la chose, j'ai l'impression qu'il tape le fond de mon vagin et ce n'est pas ce que je préfère. Lui oui, et ce jour là il en avait vraiment envie. Il me retourna aussi et vint me prendre en levrette et là encore, bizarrement, il ne s'est pas contenter, comme souvent, de rester à genoux, il a commencé comme ça, m'écartant les genoux avec les siens pour ma forcer à ouvrir puis m'a demandée de rester comme cela et s'est levé. Les pieds à plats, il m'a prise de très haut, son sexe perpendiculaire au sol. Quand il fait cela je crains toujours qu'il passe par l'autre coté sans préparation... et ça je n'aime pas du tout. Là il va et vient un moment puis tout en me demandant de rester comme cela, il vient exploser entre mes lèvres.

Ce qui était également étrange c'était qu'il était resté habillé, il avait juste ouvert sa braguette, alors que moi j'étais totalement nue ! Ce n'était pas la première fois, il le faisait souvent en rentrant du boulot. Il me déshabillait complétement et restait habillé. Parfois, rarement, il nous est arrivé de faire l'inverse et c'est vrai qu'être habillée alors que lui était tout nu, cela fait une drôle d'impression.

Mais nous ne l'avions jamais fait dehors.

Et puis ce qui était beaucoup plus marquant – mais il ne me l'a avoué que bien plus tard – c'est que lorsqu'il s'était brutalement arrêté, c'est simplement que l'on était parvenu... au sentier, qui manifestement faisait une sorte de boucle, ou que nous ayons marché le long de ce dernier,  peu importe. Il savait que nous étions à une quinzaine de mètres d'un sentier très pratiqué et qu'il était quasi certain que quelqu'un passerait. Il m'a odieusement manipulée, au sens propre comme au figuré, pour m'exhiber aux randonneurs dans une totale indécence. J'étais furieuse lorsqu'il me l'a annoncé. Mais la boule de feu dans le ventre qui venait de s'allumer me susurrait intérieurement « je me demande si quelqu'un ma vue ! » , « j'aimerai être une petite souris et voir les randonneurs me regarder ! » , « et s'ils s'étaient avancer ? » , « et si... »

Mon mari a ressenti mon trouble et a plonger sa main sous ma jupe. Ma culotte était trempée. Il m'a traitée d'hypocrite et de cochonne tout en m'embrassant et me caressant mon bouton qui ne demandait que cela pour me faire partir. Je ne lui en ais pas voulu très longtemps.

 

Désolée pour cette digression, elle était peut-être nécessaire pour comprendre comment a pu arriver l'histoire suivante.

Quand était-ce ? Septembre, octobre ? Je ne sais plus mais ça nous ramène à une bonne dizaine d'années. Nous nous promenions dans le même secteur,  il y avait des falaises (ce devait être à une vingtaine de km des aiguilles de Valbelle), plus sec. Des pinèdes, les odeurs de thym et d'origan, le soleil.

Nous étions gentiment en train de pic-niquer, sans aucune arrière pensée (on a fait de nombreuses balades très sages, vraiment) lorsque, levant les yeux, je vois un mec dans un arbre à une petite centaine de mètres de nous. « Quel con ! » me suis-je dit. C'était manifestement un chasseur qui attendait. Quoi ? Je n'en sais rien. Je ne suis pas experte en gibier mais j'ai cru comprendre que l'on chassait plutôt à l'aube qu'à 13 ou 14h ! Surtout quand deux touristes déballent leur pic-nic et discutent sans retenue (on se parle tout le temps, surtout moi, désolée). Bref j'ai trouvé ce chasseur particulièrement stupide. J'allais le dire à mon mari quand une pensée m'a traversée. Je tenais ma revanche et j'allais me faire plaisir sans avouer mes petites perversions qu'une femme bien élevée ne saurait admettre.

« Il fait super chaud ! Tu crois que je peux me mettre à l'aise ? »

Genre de question dont on connait la réponse à coup sûr. Tellement prévisible un bonhomme !

« bien sûr ma chérie, mets-toi à l'aise. »

Je me mets en culotte et soutien-gorge (ce coup là j'en avais) et m'allonge sur la natte (en fait un matelas de mousse). Une fois allongée je regarde, discrètement, l'effet produit. Bingo! Le gars regarde. Je crois même qu'il a des jumelles.

Mon cœur s'emballe. Je ne sais plus que faire. J'ai un peu peur. Je pose la tête et ferme les yeux.

Je me repose. Je bronze. Doivent croire mes deux hommes. Non je gamberge.

Et puis zut, mon homme, le vrai, en est un justement et je ne crains rien prés de lui. Je me relève et tourne ma natte pour être dans l'axe. M'assied face à lui et dis à mon mari.

« je vais innover, après les marques de maillot je vais me faire des marques de culotte ! J'aurais du mettre un string mais c'est pas agréable pour marcher. »

« Enlève-donc ça tu es si jolie sans et là on est plus que tranquille » (tellement prévisible ! Merci d'être comme vous êtes)

« tu crois » (oui, il a raison, je suis hypocrite)

« mais bien sûr tu peux te lâcher on est loin des chemins ici » (c'était vrai, nous étions sur un espace plat et vert – rare - prés d'un rocher que l'on connaissait bien d'où on avait une belle vue en contrebas, sans vis à vis sinon la Corse, loin du chemin)

Je dégrafe mon soutien-gorge et le pose sur mes affaire puis retire ma culotte et la pose également.

Je m'allonge, écarte un peu les jambes. S'il a des jumelles comme il me semble il doit voir mon intimité toute nue. Déjà adepte de l'épilation totale je m'offrais à lui sans retenue.

Après quelque temps à profiter de ma nudité, je pose un main sur mon sexe et commence à me caresser doucement.

«  Hey ! ça je peux le faire moi  si tu veux ! » mon petit mari semble intéressé... mon chasseur devrait l'être aussi.

« Non. J'ai envie de me faire plaisir toute seule. »

Mon petit mari accepte docilement mon petit jeu mais très vite approche une main de mes seins.

« j'ai le droit de toucher là ? »

« Oui, pince-moi doucement les bouts »

Comme à mon habitude mon plaisir arrive très vite et je me laisse aller à un orgasme (un peu) bruyant.

« ça ne te mets pas en appétit tout ça ? Tu n'es pas tentée par un hot-dog bien chaud ? »

« Mmm ! Tu me tentes »

(il sort son machin)

«  Non, obsédé je veux une knackie, une vraie »

Il fait une petite moue déçue mais qui se transforme vite en un petit sourire pervers.

« je pourrais au moins allez chercher un peu de sauce dans le pot? »

« non, je veux me faire plaisir toute seule mais peut-être un petite gâterie, si tu saurais te contenter de ma bouche... pour le moment »

« Tu sais parler aux hommes toi! »

J'attrape la knackie pendant qu'il approche son sexe de ma bouche. Je lui donne un coup de langue et m'assied en tailleur. Je présente la knackie et caresse ma vulve, mon bouton, puis la fait entrer en moi. C'est mou, froid et pas bien épais. En fait la chose ne me donne aucun plaisir mais je regarde souvent vers le chasseur, de moins en moins discrète et savoir qu'il me regarde m'excite. Mon mari est toujours là, contre mes lèvres. Je l'avale le plus loin possible et lui fait un belle gâterie tout en faisant aller et venir la knackie en moi.

J'ai envie de plus.

Je le libère de mes lèvres et me lève

« allonge toi, je te veux dans moi »

« vos désirs sont des ordres »

il me remplace, dans le bon sens (j'étais prête à lui demander de prendre LA bonne position. Aujourd'hui c'est moi qui joue).

Je me mets sur lui, fesses vers le chasseur, le knackie toujours au fond de moi. Mon mari saisi mes fesses à pleine main tout en se présentant à l'entrée de mon intimité.

« je rentre avec ça ou je l'enlève »

L'alternative est tentante, il lui est déjà arrivé de me pénétrer avec un vibro déjà en place.

« non, enlève-le mais ce serait dommage de ne plus en profiter »

Mon mari est certes prévisible mais loin d'être bête, il comprend de suite. D'une main il retire la knackie alors qu'il trempe un doigt de salive. Très vite je sens son gros sexe au fond de moi et son doigt qui glisse dans le petit trou.

Puis il essai d'y glisser la knackie. Pas facile, c'est vraiment mou.

Il revient avec ses doigts, en glisse deux et joue, avec mon sphincter alors que j'essaie de me détendre au maximum. Enfin la knackie entre. C'est pas terrible. C'est savoir qu'un chasseur un peu stupide va avoir un malaise en me matant qui est terrible.

Je veux aller au bout du délire. Je me relève, enlève la knackie et la jette. Je tourne le dos à mon mari et m'accroupis sur lui. Mon chasseur doit se régaler.

Je pose mes fesses sur le sexe que mon mari maintient bien droit pour faciliter l'entrée. Je m'empale doucement, profondément. Ainsi ouverte, mon sexe est béant. Je vais et viens sur le sexe de mon mari. Je crains autant que j'adore la sodomie!

« je viens ! »

Brave petit mari. Lors de ma première gâterie il a dit ça pensant que j'allais arrêter et le ressortir; j'avais pas compris. Il est arrivé dans ma bouche; Un peu oie blanche je ne savais simplement pas qu'on pouvait recracher. Et j'ai bien aimé. Maintenant c'est quand il arrive hors de ma bouche qu'il me prévient, connaissant mon goût pour sa liqueur. Et très souvent je viens le finir entre mes lèvres. Aujourd'hui plus que jamais.

Je me relève encore et ouvre la bouche sans le prendre entre mes lèvres. Je veux que mon chasseur voit tout.

Bouche ouverte, langue taquinant le frein de son sexe, je le branle rapidement et il explose comme j'aime. Très vite je le prends dans ma bouche. Il aime quand juste après la délivrance je le garde en bouche.

Je pose mon visage sur son ventre, son sexe toujours entre mes lèvres, le regard dans le vague, vers les arbres, vers mon chasseur.

 

Épilogue

Ou plutôt devrais-je parler de suite fantasmée

 

Je rêve parfois en pensant à cet épisode de ce qui se serait passé s'il était descendu de son arbre.

Après tout il était armé et aurait pu être dangereux.

Et s'il était venu pendant que je lui tournais le dos ?

Et si, sous la menace de son arme il m'avait prise comme j'étais par derrière?

Des fois je fantasme sur lui pendant que mon mari me fait l'amour. Il me force à le prendre de toutes les façons, seul ou avec mon mari, contraint d'accepter sous la menace de son arme.

Et dans mes fantasmes les plus fous, ils sont plusieurs. Mon mari nous regarde pendant que les chasseurs me prennent à plusieurs. Quand je fantasme la-dessus mon orgasme arrive toujours très vite et très fort.

 

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Samedi 19 décembre 6 19 /12 /Déc 15:24
On m'a demandé plus de photo mais on en fait peu, désolée.

Je pense toujours à cette demande qui m'a été faite de plus de lingerie...

Voila de la lingerie (la photo n'est pas bonne mais ce qui m'a été offert ce jour là était délicieux)
Bisous mouillés petite-tenue-copie-1.jpg
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 12:16
Je suis lasse de frotter par terre !
parfois (l'été le plus souvent quand la chaleur ambiante réveille ma libido) je rêve qu'un beau garçon viendra m'aider...
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 18:39

L’année dernière j’avais vécu une après midi d’automne (mi octobre) très chaude sur une plage naturiste de Méditerranée. J’avais découvert le plaisir d’une plage naturiste désertée par cette charmante population et réinvestie pat les « textiles ».

Etre la seule nue alors que les promeneurs passent devant vous, habillés bien sur, cela m’avait troublée et bien préparée pour la suite.

Cette année encore, contre toute attente, le soleil m’a permis de m’offrir une petite exhib hypocrite comme je les aime.

Nous étions sur une plage de Soort-Hossegor, face à un spot de surf très connus (prés de Seignosse) et il faisait presque 30°. Nous étions venus surfer, comme la veille (en principe tous les jours c’était le but) mais Je ne pouvais pas manquer un bain de soleil dans ces conditions là.

Et, pour les connaisseurs, il y a une tolérance pour les nudistes sur une partie de cette plage. Enfin, en été, vu que là à par les surfeurs et les vacanciers il n’y avait pas de nudistes. Quelques seins nus mais aucun intégral.

J’ai commencé par m’installer sur ma serviette, en maillot deux pièces.

Mon mari a été surfer un moment et étais revenu s’asseoir prés de moi. Il regardait les surfeurs (et les nanas aussi car il y avait du monde et je ne suis pas dupe)

Assez rapidement j’ai tombé le haut du maillot et profité gentiment de la caresse du soleil. Et j’ai très vite pensé à cette plage de Mateille où les promeneurs-voyeurs venaient passer de plus en plus prés pour vérifier certainement si j’avais un string rose ou si j’étais adepte de l’épilation intégrale. Assise face à la mer, je ne cachais rien de cette fleur qui s’épanouissait sous ce miraculeux soleil d’automne.

En songeant à cela, j’ai senti un frisson me parcourir et j’ai eu une envie folle de me masturber.

Assez isolée en haut de la plage j’ai glissé ma main dans mon maillot et mon doigt s’est posé sur mon bouton. En peu de temps le plaisir m’a traversé, et trempé aussi.

Mon mari, plongé dans sa contemplation, ne m’a même pas vu et ce n’est que lorsque je suis arrivée qu’un petit cri retenu l’a alerté.

-  « Et bien ! tu pourrais m’attendre ! c’est Kelly Slater qui te met dans cet état ? »

-  « Pourquoi ? Il est là ? »

-  « Non ! mais tu te laisserais bien faire ! »

-  « Mmm ! j’adorerais ! »

-  « Tu ne te calmeras jamais toi ! »

-  « tu voudrais que je me calme ? »

-  « Non. Mais maintenant tu as un joli maillot trempée »

-  « C’est ballot ! Il va falloir que je me trempe complètement. Tu viens dans l’eau avec moi ? »

-  « Non merci, moi c’est fait, je te regarde. »

Je me lève et me dirige vers le bord.

Il y a du monde et je passe devant pas mal de personne, seins nus et le maillot trempé au niveau de mes lèvres intimes. Toute nue je ne serais probablement pas plus impudique. Tant mieux. J’aime que l’on me regarde, que l’on me désire.

Il y a plusieurs personnes dans l’eau, elle n’est pas glacée mais pas très chaude quand même (18°). Je reste le temps de jouer avec quelques vagues (j’aime vraiment les vagues) et de faire coucou à mon frileux de bonhomme qui ne se baigne pas sans sa néoprène.

J’ai l’impression que mes coucous n’intéressent pas que lui.

C’est bien.

Il a rapproché un peu les affaires. Plus près de l’eau.

Je sors assez vite et viens m’essuyer.

-  « Zut j’ai plein de sable dans le maillot ! »

-  « Joli coup ! »

-  « Quoi, joli-coup ? »

-  « Tu as envie de te faire une exib et tu te cherche un prétexte ! »

-  « Et toi tu es un idiot pervers ! »

Et sans plus attendre je retire mon maillot, qui est effectivement plein de sable, et lui mets sous le nez

-  « Tu es craquante comme ça debout toute nue en train de bouder ! Maintenant si tu veux enlever tout ce sable tu devrais aller te rincer comme cela ! »

-  « Et c’est moi qui suis exhibitionniste ! t’es pas gonflé toi. »

Mais j’adore quand il me tend des perches pareilles. Je me retourne et vais directement me faire une dernière vague en tenue d’Eve.

 

Le plus difficile est de profiter de mon petit effet sans jouer les provoc. Je suis seule au monde simple naturiste.

L’après midi n’a pas été plus torride. Je suis restée une bonne heure à me faire dorer et j’espère regardée sous toutes les coutures.

 

Nous avons fait l’amour avec passion dés notre retour à la résidence et pendant que je m’adonnais à lui donner du plaisir entre mes lèvres, j’imaginais les surfeurs, les vacanciers, tous ceux qui ont été excité par ma petite exhib. J’imaginais leur sexe dans ma bouche, j’entendais leurs soupirs d’aise et quand mon chéri m’a offert son plaisir, j’ai pensé à tous ces hommes qui auraient pu m’offrir un peu de leur bonheur.

J’espère que leurs compagnes en auront profité.

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 09:45

Quelques temps après avoir découvert un bien agréable lieu de débauche en banlieue toulousaine, j’avais promis à mon mari que plus jamais je ne m’interdirai un plaisir qui me serait gentiment offert.

Mais je me demande, après tout, si ma timidité n’a pas érotisé encore plus ce premier rapport en public. Je ne sais pas si j’aurais pris autant de plaisir à dévorer mon petit mari, à essayer (en vain toujours) de le prendre tout entier dans ma bouche avec ce besoin de le prendre en moi toujours un peu plus. Je l’aime tant. J’aime tant sa peau fine sur ce pieu si dur, ce goût si doux qui s’épice au rythme des fines gouttelettes qui s’en échappent. J’aime ce sexe au goût si prononcé lors qu’il vient de me fouiller, qu’il est trempé de moi, je ne sais plus alors si je lèche mon amant ou si je me donne un plaisir solitaire, j’aime cette confusion.

Alors j’étais prête à retourner en club, prête à me laisser aller mais peut-être pas sans contrôle. On verra bien.

Je suis bien disposée et heureuse de retourner dans cet endroit.

Je me surprends à jouer les blasées, contente de retrouver cette ambiance, de reconnaître cette montée de la température.

J’ai bien appris la leçon : une jupe et un chemisier suffisent à être chic et disponible.

Ce soir, mon mari a insisté pour que je me fasse plaisir, et que je ne me refuse rien. Et alors que nous contemplions la piste de danse, debout, un bel homme m’a très galamment invité à l’accompagner sur la piste. J’ai interrogé mon mari du regard qui, dans un même regard a confirmé que j’étais libre.

Nous avons entrepris quelques pas de danse un peu empruntés avant qu’un air particulièrement enjoué, brésilien me semble t-il (vous vous souvenez, ce tube de l’été ou l’on voit deux enfants, un petit black et une blonde aux cheveux long danser d’une façon très chaude) ne viennent nous dérider. Mon cavalier a pris sur lui de me guider avec autant de fougue que de maitrise. C’était vraiment très sympa. Sa main posée, ferme et douce, sur mes reins. Son autre main dans la mienne, chaude, sensible. Et lorsqu’il me lançait comme sur un pas de rock et qu’il me faisait tourner au rythme de la musique, que les pans de ma jupe s’envolaient joyeusement, mon cavalier devait savourer le spectacle libertin que je lui offrais. Qu’il s’offrait lui-même serait plus juste.

Puis il me prit par la taille pour me relever (toujours dans le cadre de la danse bien sur), pendant un instant je me suis retrouvée à quelques pieds du sol et il me rattrapa en me posant sur sa poitrine. Il me fit glisser dans un ralenti interminable contre lui. Ma jupe relevée dans le mouvement était coincée entre nos ventres. Mon sexe sans aucune protection à frotté sur son pantalon. Ce n’était pas physiquement agréable mais j’ai eu une sensation de laisser aller total.

Nous n’avons pas été plus loin.

La soirée s’est ainsi déroulée entre quelques danses lascives, quelques caresses de mon mari ou de quelques cavaliers entreprenants qui après avoir glissé une main sur mes fesses ont compris que rien ne pouvait s’opposer à leur découverte.

J’ai appris à aimer ces caresses d’inconnus qui découvrent la douceur de mon pubis et la chaleur trempée de mon sexe. Mais cela ne va toujours pas plus loin.

Nous nous retrouvons alors dans le salon qui borde la piste. Celui-là même où je m’étais initiée au plaisir public. Nous y allons car nous avons vu qu’un couple s’y embrassait langoureusement : « on va avoir la même chance que l’autre jour » me dit mon mari. Et en effet, il ne faut pas longtemps pour que le couple en vienne aux choses sérieuses. Un athlète beau comme un dieu grec et une femme plus quelconque mais surement jolie. Elle lui a sorti son sexe et le branle avec une énergie incroyable (mon chéri n’aimerait pas ça, il aime quand je le branle avec douceur… même s’il « reprend la main » pour accélérer franchement lorsqu’il arrive entre mes lèvres). Lui se laisse faire tout en déshabillant la demoiselle qui se retrouve toute nue très vite.

Les voyeurs s’approchent comme l’autre jour. L’un d’eux pose une main sur les seins de la fille qui le rabroue sèchement. Du coup les voyeurs s’écartent.

Juste en face d’eux nous nous caressons doucement. Le geste de refus, bien que bref, nous a un peu refroidi et nous nous concentrons sur notre plaisir de couple.

Mon chemisier grand ouvert laisse passer sa main qui me malaxent plus qu’elle ne caresse mes seins si sensibles. Je le lui dit, il s’excuse et se penche pour les embrasser. J’écarte mon chemisier pour lui faciliter la tâche. Sa bouche vient prendre mes tétons l’un après l’autre, me couvre de baisers.

Par-dessus son épaule je vois nos voisins faire l’amour. C’est vrai que c’est excitant cette situation !

J’ai envie moi aussi.

Je repousse la tête de mon mari et me relève. Je l’enjambe et m’installe au dessus de lui. Je guide son sexe vers le mien. Je joue un court instant avec son bout pour que mes grandes lèvres le recouvrent. Je suis trempée. Je me laisse aller autour de lui, profondément.

Mais cela ne semble pas lui plaire (ou il arrive déjà) car il me bloque en posant ses deux mains sur mes hanches : « tu n’as pas envie de faire le show ? » me dit-il.

-  « Je ne comprends pas »

-  « alors je te guide. Lève toi et retourne toi »

Sitôt levée et dos à lui, il fait glisser ma jupe. Je suis nue devant tout le monde avec pour tout vêtement un chemisier grand ouvert qui ne fait que souligner l’indécence de la situation.

-  « Pose tes pieds sur le canapé comme la fille l’autre jour »

Je m’exécute dans un état second. Des litres d’adrénaline coulent dans mes veines comme une drogue brulante. Mon cœur va exploser. Je suis mal mais je le fais.

Ses mains sous mes fesses, il me guide jusqu’à lui et m’empale doucement. En deux mouvements et contre toute attente tant la gêne me semblait forte j’ai eu un premier orgasme.

Ce n’était pas le grand pied mais ce premier plaisir m’a décrispée. Je reprends le contrôlé et va et vient sur son sexe dur.

En face nos voisins font toujours l’amour, position des petites cuillères ou quelque chose comme ça (lui sur le coté couché sur le canapé, elle à peu prés pareil, dos à lui) et nous regardent. Soudain la fille se dégage de son dieu grec et s’approche de nous. Repousse la table basse et s’agenouille face à nous.

Elle me regarde, j’ai du esquisser un sourire entre deux grimaces de plaisir. Elle s’est penchée et a commencé à nous embrasser, à caresser mon clito…

D’instinct je bascule en arrière pour lui laisser plus d’espace. Je sens sa langue sur mon clito. J’aime ça.

Je sens sa main sous ma cuisse. Elle veut que je monte d’avantage. Le sexe de mon mari s’échappe. Elle l’attrape et l’avale immédiatement mais avant que je n’ais le temps de me plaindre l’a déjà remis dans son fourreau naturel.

Elle s’amuse à ce petit jeu un instant. Cela ne me déplait pas.

« Eh ! Tu te trompes »

Non elle ne se trompait pas. Elle avait sciemment posé le bout de la verge sur mon anus, et dans cette position il était trempé de ma sueur et de mes sécrétions. Il m’appartenait de descendre ou non.

J’adore quand son gland détend doucement mon petit trou et quand il le franchit à peine, alors je descends lentement pour profiter de cet instant si plaisant. J’e m’arrêté là. Pas plus loin. Je savoure l’instant, les yeux fermé. Une langue douce vient laper mon sexe grand ouvert et me ramène à la lumière. Je pose mes mains dans ses cheveux l’invitant à me manger autant qu’elle le peut. L’orgasme est fulgurant. Je ne l’ai pas senti venir. Et il semble se maintenir sur une corde tendue. Je lui plaque la tête avec force contre moi pour qu’elle arrête sinon je meure.

Je reste un instant ainsi. Je la relâche, elle me regarde et me souri.

Je me laisse alors aller sur mon mari. Le pal me transperce. La douleur est vive mais ne dure pas. Je m’habitue vite et recommence les va et vient. Ma voisine me caresse les seins. Un énième orgasme me submerge.


Et comme toujours après, il me faut un petit moment pour sortir de mon nuage. A mon réveil, toujours empalée sur mon mari, le visage d’une femme prés de mon sexe béant et devant moi son dieu grec qui se masturbe doucement face à mon visage.

Ma main vient remplacer la sienne et mes lèvres l’invitent à nous rejoindre. Avant que je n’ai pu lui montrer tour ce dont j’étais capable il m’a offert son plaisir. C’était bon et chaud, même doux. C’était mon dessert.

Et c’était ma première fois avec un couple.


Merci Jean Phil pour ce dessin de moi (tu étais dans la boite coquin !) 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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