Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 20:53

Chasseur

 

Nous étions, comme souvent en WE , parti marcher dans l'arrière pays toulonais (où nous habitions au moment des faits). Il y avait un site merveilleux autour d'une abbaye d'un ordre contemplatif je crois. Si l'on ne pouvais pas visiter, on avait du dessus une vue extraordinaire sur les bâtiments. Sur les hauteurs de cette abbaye, il y avait un paysage de roches tourmentées absolument féériques: Les aiguilles de Valbelle !

Nous y venions assez souvent car le site était magique, pas très loin de chez nous et la douceur du climat nous permettait de s'y promener à peu prés toute l'année.

Et comme nous y venions souvent, je me rappelle quelques douceurs particulièrement coquines.

 

Je vous passe les petites gâteries qui ponctuaient si souvent ces balades. Mon mari adorait et j'y trouvait un peu mon compte, n'ayant jamais bouder mon plaisir ni ma fierté de voir mon homme pendu à mes lèvres, dépendant de moi et fondant de bonheur sous mes baisers gourmands. Généralement il ne me fallait pas plus de quelques secondes pour que mes doigts sur mon bouton m'offre une délivrance toute aussi agréable...

 

j'allais passer sur la première fois que nous avons fait l'amour dans ce petit paradis. J'allais passer car bien que ce soit un excellent souvenir, a priori cela n'avait rien d'extraordinaire, mais si, en fait il y avait un peu matière à raconter. Je parlerai donc de chasseur plus tard.

Cette première fois donc auprès de l'abbaye.

C'était sinon l'été, une journée très chaude. Nous marchions donc sur ce sentier, justement au dessus de l'abbaye, là où le chemin est (enfin) plat. Nous allons à l'ombre des arbres, mains dans la main (en montant ce n'est pas toujours possible et j'aime moins) quand mon coquin de mari me prend par la taille et m'embrasse dans le coup.

« j'ai envie de toi »t

« Maintenant ? Mais on peu pas ! »

« mais si, viens »

Il me reprend la main et m'entraîne hors du sentier. Le sol est praticable, il y a peu de broussaille mais si l'on avance aisément, il n'y a pas vraiment de « masque » pour être tranquille.

Si l'idée me titillait, ma pudeur et mon éducation (encore très prégnante à l'époque) m'interdisait de faire cela ainsi.

« On va nous voir, ce n'est pas possible ! »

« Allons plus loin ! »

Et il nous emmena franchement assez loin du sentier, 200 mètres peut-être. D'un seul coup il s'arrêta, comme s'il avait vu quelque chose puis fit demi-tour et décida d'un coin d'herbe à quelques mètres de là.

L'histoire s'est déroulée il y a longtemps déjà et je vous mentirais en décrivant les détails de la scène. Mais il y a eu quand même des choses qui restent. Ce dont je me rappelle est que nous nous sommes embrassés longuement, et longuement caressés aussi. Je me souviens comment il a retiré mon short et ma culotte pour me manger avec une fougue que je ne lui connaissais pas. Mon débardeur ne résista guère plus longtemps. En fait comme il adore me caresser les seins pendant qu'il me mange (j'aime beaucoup) c'est moi qui l'ai relever pour ne pas l'esquinter. Quant, assez vite, j'ai eu un premier orgasme, il s'est relevé, m'a retiré mon débardeur (sans rien dessous ma poitrine ne justifiait pas un soutien permanent) et m'a présenté son sexe dur comme rarement. Je me souviens l'avoir mangé un petit moment. Bizarrement, au lieu d'être face à moi, il me maintenait assise en tailleur, un pied au creux de mon genoux et restait de coté, me forçant à tourner un peu la tête pour le prendre tout entier (enfin autant que possible je n'ai jamais réussi à prendre un sexe entier dans ma bouche comme dans les film... comment font-elles?). Puis il est venu sur moi et ma prise face à face, en missionnaire. Je me rappelle qu'il a mis mes jambes sur ses épaules. Il adore cette position, moi un peu moins car comme il est plutôt costaud de la chose, j'ai l'impression qu'il tape le fond de mon vagin et ce n'est pas ce que je préfère. Lui oui, et ce jour là il en avait vraiment envie. Il me retourna aussi et vint me prendre en levrette et là encore, bizarrement, il ne s'est pas contenter, comme souvent, de rester à genoux, il a commencé comme ça, m'écartant les genoux avec les siens pour ma forcer à ouvrir puis m'a demandée de rester comme cela et s'est levé. Les pieds à plats, il m'a prise de très haut, son sexe perpendiculaire au sol. Quand il fait cela je crains toujours qu'il passe par l'autre coté sans préparation... et ça je n'aime pas du tout. Là il va et vient un moment puis tout en me demandant de rester comme cela, il vient exploser entre mes lèvres.

Ce qui était également étrange c'était qu'il était resté habillé, il avait juste ouvert sa braguette, alors que moi j'étais totalement nue ! Ce n'était pas la première fois, il le faisait souvent en rentrant du boulot. Il me déshabillait complétement et restait habillé. Parfois, rarement, il nous est arrivé de faire l'inverse et c'est vrai qu'être habillée alors que lui était tout nu, cela fait une drôle d'impression.

Mais nous ne l'avions jamais fait dehors.

Et puis ce qui était beaucoup plus marquant – mais il ne me l'a avoué que bien plus tard – c'est que lorsqu'il s'était brutalement arrêté, c'est simplement que l'on était parvenu... au sentier, qui manifestement faisait une sorte de boucle, ou que nous ayons marché le long de ce dernier,  peu importe. Il savait que nous étions à une quinzaine de mètres d'un sentier très pratiqué et qu'il était quasi certain que quelqu'un passerait. Il m'a odieusement manipulée, au sens propre comme au figuré, pour m'exhiber aux randonneurs dans une totale indécence. J'étais furieuse lorsqu'il me l'a annoncé. Mais la boule de feu dans le ventre qui venait de s'allumer me susurrait intérieurement « je me demande si quelqu'un ma vue ! » , « j'aimerai être une petite souris et voir les randonneurs me regarder ! » , « et s'ils s'étaient avancer ? » , « et si... »

Mon mari a ressenti mon trouble et a plonger sa main sous ma jupe. Ma culotte était trempée. Il m'a traitée d'hypocrite et de cochonne tout en m'embrassant et me caressant mon bouton qui ne demandait que cela pour me faire partir. Je ne lui en ais pas voulu très longtemps.

 

Désolée pour cette digression, elle était peut-être nécessaire pour comprendre comment a pu arriver l'histoire suivante.

Quand était-ce ? Septembre, octobre ? Je ne sais plus mais ça nous ramène à une bonne dizaine d'années. Nous nous promenions dans le même secteur,  il y avait des falaises (ce devait être à une vingtaine de km des aiguilles de Valbelle), plus sec. Des pinèdes, les odeurs de thym et d'origan, le soleil.

Nous étions gentiment en train de pic-niquer, sans aucune arrière pensée (on a fait de nombreuses balades très sages, vraiment) lorsque, levant les yeux, je vois un mec dans un arbre à une petite centaine de mètres de nous. « Quel con ! » me suis-je dit. C'était manifestement un chasseur qui attendait. Quoi ? Je n'en sais rien. Je ne suis pas experte en gibier mais j'ai cru comprendre que l'on chassait plutôt à l'aube qu'à 13 ou 14h ! Surtout quand deux touristes déballent leur pic-nic et discutent sans retenue (on se parle tout le temps, surtout moi, désolée). Bref j'ai trouvé ce chasseur particulièrement stupide. J'allais le dire à mon mari quand une pensée m'a traversée. Je tenais ma revanche et j'allais me faire plaisir sans avouer mes petites perversions qu'une femme bien élevée ne saurait admettre.

« Il fait super chaud ! Tu crois que je peux me mettre à l'aise ? »

Genre de question dont on connait la réponse à coup sûr. Tellement prévisible un bonhomme !

« bien sûr ma chérie, mets-toi à l'aise. »

Je me mets en culotte et soutien-gorge (ce coup là j'en avais) et m'allonge sur la natte (en fait un matelas de mousse). Une fois allongée je regarde, discrètement, l'effet produit. Bingo! Le gars regarde. Je crois même qu'il a des jumelles.

Mon cœur s'emballe. Je ne sais plus que faire. J'ai un peu peur. Je pose la tête et ferme les yeux.

Je me repose. Je bronze. Doivent croire mes deux hommes. Non je gamberge.

Et puis zut, mon homme, le vrai, en est un justement et je ne crains rien prés de lui. Je me relève et tourne ma natte pour être dans l'axe. M'assied face à lui et dis à mon mari.

« je vais innover, après les marques de maillot je vais me faire des marques de culotte ! J'aurais du mettre un string mais c'est pas agréable pour marcher. »

« Enlève-donc ça tu es si jolie sans et là on est plus que tranquille » (tellement prévisible ! Merci d'être comme vous êtes)

« tu crois » (oui, il a raison, je suis hypocrite)

« mais bien sûr tu peux te lâcher on est loin des chemins ici » (c'était vrai, nous étions sur un espace plat et vert – rare - prés d'un rocher que l'on connaissait bien d'où on avait une belle vue en contrebas, sans vis à vis sinon la Corse, loin du chemin)

Je dégrafe mon soutien-gorge et le pose sur mes affaire puis retire ma culotte et la pose également.

Je m'allonge, écarte un peu les jambes. S'il a des jumelles comme il me semble il doit voir mon intimité toute nue. Déjà adepte de l'épilation totale je m'offrais à lui sans retenue.

Après quelque temps à profiter de ma nudité, je pose un main sur mon sexe et commence à me caresser doucement.

«  Hey ! ça je peux le faire moi  si tu veux ! » mon petit mari semble intéressé... mon chasseur devrait l'être aussi.

« Non. J'ai envie de me faire plaisir toute seule. »

Mon petit mari accepte docilement mon petit jeu mais très vite approche une main de mes seins.

« j'ai le droit de toucher là ? »

« Oui, pince-moi doucement les bouts »

Comme à mon habitude mon plaisir arrive très vite et je me laisse aller à un orgasme (un peu) bruyant.

« ça ne te mets pas en appétit tout ça ? Tu n'es pas tentée par un hot-dog bien chaud ? »

« Mmm ! Tu me tentes »

(il sort son machin)

«  Non, obsédé je veux une knackie, une vraie »

Il fait une petite moue déçue mais qui se transforme vite en un petit sourire pervers.

« je pourrais au moins allez chercher un peu de sauce dans le pot? »

« non, je veux me faire plaisir toute seule mais peut-être un petite gâterie, si tu saurais te contenter de ma bouche... pour le moment »

« Tu sais parler aux hommes toi! »

J'attrape la knackie pendant qu'il approche son sexe de ma bouche. Je lui donne un coup de langue et m'assied en tailleur. Je présente la knackie et caresse ma vulve, mon bouton, puis la fait entrer en moi. C'est mou, froid et pas bien épais. En fait la chose ne me donne aucun plaisir mais je regarde souvent vers le chasseur, de moins en moins discrète et savoir qu'il me regarde m'excite. Mon mari est toujours là, contre mes lèvres. Je l'avale le plus loin possible et lui fait un belle gâterie tout en faisant aller et venir la knackie en moi.

J'ai envie de plus.

Je le libère de mes lèvres et me lève

« allonge toi, je te veux dans moi »

« vos désirs sont des ordres »

il me remplace, dans le bon sens (j'étais prête à lui demander de prendre LA bonne position. Aujourd'hui c'est moi qui joue).

Je me mets sur lui, fesses vers le chasseur, le knackie toujours au fond de moi. Mon mari saisi mes fesses à pleine main tout en se présentant à l'entrée de mon intimité.

« je rentre avec ça ou je l'enlève »

L'alternative est tentante, il lui est déjà arrivé de me pénétrer avec un vibro déjà en place.

« non, enlève-le mais ce serait dommage de ne plus en profiter »

Mon mari est certes prévisible mais loin d'être bête, il comprend de suite. D'une main il retire la knackie alors qu'il trempe un doigt de salive. Très vite je sens son gros sexe au fond de moi et son doigt qui glisse dans le petit trou.

Puis il essai d'y glisser la knackie. Pas facile, c'est vraiment mou.

Il revient avec ses doigts, en glisse deux et joue, avec mon sphincter alors que j'essaie de me détendre au maximum. Enfin la knackie entre. C'est pas terrible. C'est savoir qu'un chasseur un peu stupide va avoir un malaise en me matant qui est terrible.

Je veux aller au bout du délire. Je me relève, enlève la knackie et la jette. Je tourne le dos à mon mari et m'accroupis sur lui. Mon chasseur doit se régaler.

Je pose mes fesses sur le sexe que mon mari maintient bien droit pour faciliter l'entrée. Je m'empale doucement, profondément. Ainsi ouverte, mon sexe est béant. Je vais et viens sur le sexe de mon mari. Je crains autant que j'adore la sodomie!

« je viens ! »

Brave petit mari. Lors de ma première gâterie il a dit ça pensant que j'allais arrêter et le ressortir; j'avais pas compris. Il est arrivé dans ma bouche; Un peu oie blanche je ne savais simplement pas qu'on pouvait recracher. Et j'ai bien aimé. Maintenant c'est quand il arrive hors de ma bouche qu'il me prévient, connaissant mon goût pour sa liqueur. Et très souvent je viens le finir entre mes lèvres. Aujourd'hui plus que jamais.

Je me relève encore et ouvre la bouche sans le prendre entre mes lèvres. Je veux que mon chasseur voit tout.

Bouche ouverte, langue taquinant le frein de son sexe, je le branle rapidement et il explose comme j'aime. Très vite je le prends dans ma bouche. Il aime quand juste après la délivrance je le garde en bouche.

Je pose mon visage sur son ventre, son sexe toujours entre mes lèvres, le regard dans le vague, vers les arbres, vers mon chasseur.

 

Épilogue

Ou plutôt devrais-je parler de suite fantasmée

 

Je rêve parfois en pensant à cet épisode de ce qui se serait passé s'il était descendu de son arbre.

Après tout il était armé et aurait pu être dangereux.

Et s'il était venu pendant que je lui tournais le dos ?

Et si, sous la menace de son arme il m'avait prise comme j'étais par derrière?

Des fois je fantasme sur lui pendant que mon mari me fait l'amour. Il me force à le prendre de toutes les façons, seul ou avec mon mari, contraint d'accepter sous la menace de son arme.

Et dans mes fantasmes les plus fous, ils sont plusieurs. Mon mari nous regarde pendant que les chasseurs me prennent à plusieurs. Quand je fantasme la-dessus mon orgasme arrive toujours très vite et très fort.

 

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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