soumise

Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 07:00

Uchronie : Maîtresse Kara

[Suite d’une précédente aventure]

 

- "Allô, Bonjour c'est Kara"

- "Kara ? ..."

- "Kara des studios Vent d’Éros"

- "Ah oui! Bonjour, vous allez bien ?"

- "On ne se tutoie plus? Ton DVD est enfin prêt. Tu peux passer prendre une copie quand tu veux..."

- "Eh bien c'est à dire que mon mari est parti en déplacement pour plusieurs jours avec la voiture. Et pour venir à vos studios, ce n'est pas facile."

- "Je peux peut-être te l'amener si ça te dit ?"

 

Un ange passe…

Enfin ce fameux DVD ! J'ai aussi peur de le voir que j'en ai furieusement envie.

En fait, et tout aussi paradoxalement, j'aimerai à la fois qu'il n'existe pas, et aussi le découvrir sur le net. Être sûre que l'on ne me reconnaisse pas et en montrer assez pour laisser planer le doute. Alors oui j'ai hâte de voir le DVD. (Peut-être le laisserais-je traîner avec d'autres vidéos pour que mon mari la voie, pire qu'il la prête à ses amis).

- "Excusez-moi Kara, excuse-moi, pardon. Oui ce serait gentil de passer me l'emmener. Merci. Je suis à la maison demain après-midi, vers 15 h ça vous va?

- "tu as du mal avec le tutoiement dis-donc ! OK pour demain ma jolie dame. Tu vas voir tu es magnifique dans ce film. A croquer ! A demain"

Pourquoi suis-je troublée ? Le DVD ou les derniers mots de Kara ? 

Le lendemain

Driiiiiiing !!!!!!!

La sonnerie de la porte d'entrée me sort opportunément de ma rêverie. < Kara glisse ses mains sur toutes les parties de mon corps. Elle enduit de lubrifiant mes orifices….  Je suis à l’abri des regards derrière le masque de Catwoman, je suis étrangement bien…> Je me remémorais la préparation pour le tournage, et l'aide que m'avait apportée Kara.

Je n'ai jamais été attirée par les femmes mais cette fille me trouble indubitablement. Bien en chair, caricature de la bimbo, très à l'aise avec son corps, un peu trop maquillée, des tenues un peu trop étroites, un peu trop courtes, un fantasme vivant pour tous les hommes. Une Betty Boop blonde.

J’ouvre et ses seins me sautent au visage. Elle les écrase contre les miens et m'embrasse sur les deux joues. 

- "Coucou! Comment tu vas ? "  Elle me connaît depuis toujours! Quelle spontanéité! 

- "Entre! Ne reste pas là" 

Je n'ai pas envie que mes voisins me voient empocher un DVD porno!

 

- "Ouah ! C’est super chez toi! Moi je vis dans un petit studio en périphérie!"

- "Tu veux boire quelque chose?"

- "Je veux bien, mais pas d'alcool je dois faire attention à ma ligne!! " dit-elle en soulevant sa robe et en me montrant un bout de fesse dodue.

 

Quel culot! D'accord, elle m'a vue nue, et dans une position des plus intimes. Et elle a aussi visionné le DVD...

Mais qu'elle se montre comme ça, dans une rencontre "classique"... Je ne suis pas choquée mais quand même ! Presque du sans-gêne !

Elle s'assoit dans le canapé et sa jupe remonte, remonte!! J’ai une vue imprenable sur sa culotte, transparente, et ses seins, plus appétissants que les miens je dois avouer, balancent devant mon nez pendant que je lui sers une tasse de thé.

- "Tiens ! Avant que j'oublie" 

Elle me donne le DVD. Je reconnais la jaquette des studios Vent d’Éros. Le titre tout dans la finesse "La chatte sodomisée". Puis la photo, Je suis assise sur le black, et deux autres m'entourent. Je suis de face et on voit mon visage. Malgré le masque, je suis reconnaissable !  Peut-on vraiment me reconnaître ? Un frisson me parcourt.

- "T’as vu, ils ont fait du beau travail!!"

- "Euh oui... ça fait bizarre de se voir comme ça..."

- "Je sais! J’ai commencé comme ça, mais maintenant je ne tourne plus. Il faut du neuf, du renouvellement sans arrêt!"

- "Ah oui! Tu faisais quels genres de films ?"

- "Tu as vu les affichettes Maîtresse Kara dans le bureau de Phil ? C'était moi bien sûr! Du SM lesbien" 

- "Maîtresse Kara ? Je suis impressionnée mais je dois t'avouer que je suis très ignorante de tout cela, C'est quoi au juste?"

- "Tu veux vraiment savoir?"

- "Oui, Racontes- moi !"

- "Racontez-moi, s'il vous plaît, Maîtresse"

- "Pardon?"

- "Si tu veux savoir, tu arrêtes de me tutoyer, tu termines tes phrases par "Maîtresse" et tu obéis quand je te parle et peu à peu tu comprendras, y es-tu prête?"

- "Pourquoi pas !"

- "Pourquoi-pas Maîtresse"

- "Pourquoi-pas Maîtresse, pardon Maîtresse !"

- "Bien ! Tu as compris les règles du jeu tu vas apprendre vite"

Le regard de Kara a changé. Il s'est durci en même temps que le ton qu'elle employait. Je sens bien, au fond de moi que Maîtresse Kara n'est pas simplement un rôle de composition.

Je comprends mieux maintenant ses tenues "cuir", ses talons hauts, les lanières et lacets qui agrémentent ses tenues.

Je suis face à l'inconnu, et je me sens toute timide face à cette femme qui me semblait insignifiante quelques jours plus tôt. Je remarque que sous ses formes généreuses se cachent une charpente et une musculature puissantes. Ceci conjugué à une autorité naturelle en fait une femme dominatrice, insoupçonnable dans son job d'hôtesse d'accueil nunuche.

- "Apprendre?  Apprendre quoi, Maîtresse ?"

- "Je te propose une petite séance de dressage comme dans mes films. Je donne des ordres, tu obéis. Tu peux arrêter quand tu veux c'est toi qui décide. Tu as un "safe word" "

- "Un safe word?" 

- "Oui le mot RED. Lorsque tu le prononces j'arrête immédiatement mais aussi définitivement la séance. 

« Répète le mot "

- "RED"

- "En dehors de ce mot, tu ne m'adresses la parole que lorsque je te pose une question et tu n'oublies pas le "Maîtresse. Tout d'abord, je vais te poser une série de questions sur tes habitudes, puis on attaquera la séance. 

- « On y va ?"

- "Oui Maîtresse" 

- « Quel âge as-tu ? »

- « 45 ans »

- « Raconte-moi ta première aventure sexuelle rapidement »

Difficile de faire rapidement 

Ma première fois réelle a été avec mon futur mari mais il y a eu une « aventure sexuelle » bien avant, ce sera donc celle-là :

- « Rapidement donc. J’avais environ 13 ans, mon frère environ 17. Il avait des revues pornos dans son studio (attenant à notre maison). Comme j’étais très souvent avec lui, dans son studio, je les avais repérées depuis longtemps mais bof. Une fois je l’ai surpris en train de les lire, il a essayé de les cacher mais je lui ai dit que je savais depuis longtemps, du coup il a repris sa lecture avec moi à côté. Si j’avais vu ses bouquins, je n’avais en fait jamais osé les feuilleter, Là j’ai regardé avec lui et ça faisait bizarre. Enfin (rapidement avez-vous exigé) une fois, je suis rentrée chez lui alors que j’étais censée être chez une copine (les parents bossaient, ce devait être un samedi aprem, et ma copine a dû avoir un empêchement, me souvient plus). Bref, j’entre alors qu’il se masturbait en lisant ses revues. Surpris, il a caché son sexe avec le bouquin et m’a engueulée. J’ai répondu quelque chose dans le genre « ne râle pas je t’ai déjà vu avec tes revues et je t’ai déjà vu tout nu ». Je ne savais absolument pas ce que signifiait « se masturber » et encore moins ce que ça pouvait faire. Mon frère devait se rendre compte de ma naïveté et a repris son activité onaniste en alternant lecture de sa revue et coup d’œil vers moi. Il me dit quelque chose comme (c’est loin) « tu sais, je suis en train d’imaginer certaines choses que font les grands, et ma main c’est un peu comme si c’était le corps d’une femme ». Moi : « et c’est bien ? » Lui : « C’est drôle comme sensation, peut-être que si c’était une fille ça marcherait mieux ! Viens me remplacer, je vais te dire si c’est mieux ». Et moi sans malice je l’ai fait. Je l’ai masturbé un moment. Jusqu’à ce qu’il éjacule. J’ai été très surprise mais c’était assez « bon enfant » ! Avec le recul, c’était ignoble mais nous n’étions que des gosses. »

- « As-tu déjà fait l'amour avec une femme ? »

- « OUI »

- « Quand ? »

- - « Il y a 7/8 ans »

- Avec qui?

- « En club avec une inconnue qui m’a fait un cunni,

…et avec ma nièce, majeure »

- « Tes impressions? »

- « En club : agréable mais bof !

 Avec ma nièce : Extraordinaire, mais je crois que notre relation était très sentimentale, cela joue »

- « As-tu déjà pratiqué le SM?

- « Non, mais j’aime la limite de la douleur, quand mon amant me pince les seins »

- « Le bondage? »

- « Non »

- « Les sex toys? »

- « Oui »

- « Jusqu'où es-tu allée? »

- « Trop loin »

- « Tu souhaites aller plus loin? »

- « Non, mais pourquoi pas ailleurs »

- « Qu'est-ce que tu ne souhaites pas faire? »

- « Scato, Uro, SM qui fait mal »

- « Pratiques-tu la sodomie? »

- « Oui »

- « Aimes-tu ? »

- « Oui »

- « Le sexe en groupe? »

- « Je l’ai fait, ou plutôt on me l’a fait faire »

- « Aimes-tu? » 

- « Non mais j’y ai trouvé du plaisir »

- « Tu as des questions à poser sur la suite ? »

- « Plein mais je ne les poserai pas, j’aimerais découvrir… »

- "tu vas les découvrir "

- "Oui Maîtresse"

 

Kara sourit victorieusement. Elle sent qu'elle a pris le dessus sur moi, je le ressens moi-même Elle sait que si elle mène bien son affaire, elle fera de moi son objet de plaisir, son esclave.

- "Debout! Les mains derrière le dos"

Sa voix a claqué dans l'air comme un coup de fouet. Comme un coup de fouet que j’aurais reçu par surprise, je m’empresse d'obéir.

- "Écarte les jambes! Plus que ça!  Tourne sur toi même. Les mains sur la tête! "

Kara s'approche, tel un félin cruel devant sa proie. Ses mains s'emparent de mes seins bien mal protégés par mon fin tee-shirt. Elles cherchent les pointes saillantes et les malmènent. Puis elles les étirent, méchamment jusqu’à ce que j’en aie le souffle coupé. Elle s'arrête juste à temps, juste avant que je ne stoppe tout. Puis elle attrape mes cheveux, les torsadent d'un geste vif et m'embrasse à pleine bouche. Un baiser possessif, intrusif. Elle viole ma bouche de sa langue immense, chaude. Puis elle tire mes cheveux en arrière. Je reste pâmée, bouche ouverte, les seins tendus, soumise.

- "Vire moi ça!" Enlève ton tee-shirt.

"Les mains sur la tête! Tourne! Enlève ton jeans! Bouge!"

J’obéis.

- "Redresse-toi ! Écarte les jambes! Tu n'as rien de plus sexy comme culotte? C'est bon ! Tais-toi! Mais dis-moi, c'est quoi cette tâche ? Tu es mouillée?" 

- "Oui Maîtresse, je suis mouillée"

- "Tu n'es qu'une petite salope! Tu dois te contrôler! Tu m'appartiens, ton corps m'appartient! Donc tu mouilles quand je te le dis, tu jouis quand je te le dis!!"

- "Oui Maîtresse"

- "Enlève ta culotte et donne-la moi! Dépêche-toi, je vais me fâcher!"

Toute nue, je lui tends le bout de tissus. Elle le met en boule et le fourre dans ma bouche.

- "Je ne veux pas t'entendre pendant ta punition" 

Kara s'assoit sur une chaise. 

- "Approche! à plat ventre sur mes genoux! "

Je me retrouve dans la position de la future fessée...Elle me fait avancer le buste dans une position inconfortable, jusqu'à ce que mes jambes n'aient plus de contact avec le sol. Mes mains sont posées au sol pour conserver un peu d’équilibre. Mes fesses sont tournées vers ma "tourmenteuse". 

- "Combien de fessée mérites-tu ?"

- "...?"

Clac! La main s'est abattue avec force. Bien plus fort que ce que je ne l’imaginais.  Je ne peux réprimer un couinement.

- "Combien ?"

Je réalise que je dois évaluer ma punition! Je n'ai aucune idée du barème ! 

- "Euh 5... Maîtresse" J’essaie de m'exprimer à travers le bâillon.

- " Ce n'est pas assez ! Ça valait 10. Et comme tu as sous-évalué ça sera doublé!"

- "Oui Maîtresse!"

Crânement je joue le jeu, mais je me demande dans quelle galère je me suis fourrée. Kara, elle, semble dans son élément et vit cela intensément. Mes réflexions durent peu car les premières claques s'abattent comme un déluge sur mes fesses. Moi qui t'attendais à une fessée comptée, maîtrisée, voire gentille... J’en ai le souffle coupé. Puis la douleur monte sous la forme d'une chaleur intérieure qui parcourt tout mon corps, éveille mes zones érogènes. De mes fesses qui s'enflamment, de l'afflux de sang qui s'empare de mon cul, de mon petit trou, qui envahit mon sexe, qui gonfle mon clitoris et les pointes de mes seins… part un frisson qui parcourt mon dos et ressort par la bouche en un râle que je ne peux maîtriser. Je n'ai jamais rien ressenti de pareil. Douleur ? Plaisir ? Ma conscience hésite, mon subconscient a choisi.

Chaque nouvelle claque me fait mal puis me fait du bien et lorsque j’entends le "... et 20!" Je regrette presque que ça soit terminé. Presque car maintenant que l'orage est passé, je sens le feu qui consume mes fesses. 

- "Voilà, un cul comme je les aime! Ah la bonne couleur!" Kara passe doucement une main sur mes chairs brûlantes, puis ouvre mes fesses à deux mains. 

- "Voyons les trésors qui se cachent par-là!! Mmm quel beau cul! Je comprends que les hommes veuillent t'enculer!" elle essaie d'y glisser un doigt mais je suis «  sèche » à cet endroit-là et elle n’insiste pas. Son doigt glisse sur mon sexe.

- "Ça t'a excitée petite salope, hein? Tu es trempée... tu as mouillé toute ma jambe. "

- "Oui Maîtresse"

- "Ouvre tes fesses que je puisse vérifier tout ça"

Je tends les bras en arrière, en équilibre précaire, ce qui me rend encore plus vulnérable. Je tire sur mes fesses et dévoile mes orifices. Cette fois Kara glisse deux doigts dans mon minou trempé. Elle me branle avec vigueur et m'amène à la lisière de la félicité. Je m'apprête à jouir, quand les mots de Kara résonnent dans ma tête : "Ton corps m'appartient... tu jouis quand je te le dis"

Je ferme les yeux, essaie de penser à autre chose.

- "Tu as envie de jouir?"

- "Oooouiiii Maîtresse s'il vous plaît, Ouiiii"

- "Pas question" 

Et elle retire ses doigts pour les fourrer sans ménagement dans mon fondement qu'elle fouille un peu plus délicatement.

- "Retiens-toi! Je veux que tu jouisse par le cul, comme une petite pute"

Les doigts coulissent un peu plus facilement et mon pubis frotte contre le genou de Kara.

- "Oui Maîtresse faites-moi jouir! Je suis votre petite pute! Faites-moi jouir"

- "Vas-y ! Jouis!!!"

Et je jouis comme une folle !

Si seulement elle savait, si elle savait que malgré la répugnance que m'inspire la sodomie je jouis bien plus fort par-là que par devant ! Ce n’est pas bien, je le sais bien mais j'ai découvert ce plaisir honteux et j'adore ça. Mais tant qu'elle ne me le demande pas ce sera mon secret... qu'elle croit me dominer et qu'elle continue à me donner du plaisir ainsi !

J'ai découvert par le passé des plaisirs inavouables mais bien réels et quel confort d'y être soumise sans se sentir "salope" comme elle dit. Non je n'en suis pas, je suis faible peut-être, soumise un peu mais c'est elle qui est perverse, moi non. Je suis une victime... mais assez lucide pour en tirer un certain "profit".

J'ai adoré cette fessée, aimé l'intermède dans mon vagin et adoré ses doigts dans mon cul ! Pardon je n’aime pas ces mots mais vraiment j'ai aimé ses doigts dans mon cul !

Faut-il que j'attende la suite ou que je provoque une punition ? Je ne sais rien de ces pratiques. 

J'espère qu'elle va me faire découvrir des sensations nouvelles (mais sans avoir trop mal quand même).

- "Et bien ma petite salope! On peut dire que tu aimes ça! C’est ce qu'il m'avait semblé sur le DVD mais j'ignorais si c'était du cinéma..."

Elle retire mon bâillon.

- "Merci Maîtresse"

- "Bon finis les galipettes. On va passer aux choses sérieuses..."

Les choses sérieuses!? Moi qui me demandais si je devais la provoquer... J’ai ma réponse mais je crains tout de même un peu que ça n'aille trop loin. Je sais aussi que je n'ai qu'un mot à dire pour tout arrêter. TOUT arrêter!!! Surtout pas! Pas maintenant, aux portes de ces nouvelles expériences. Pas maintenant que j’ai pu juger du savoir-faire SM, de la dextérité de Kara avec les femmes.

- "Allez debout! Vas chercher ton tee-shirt. "

Je pense naïvement à un peu de mansuétude. Il ne fait pas si chaud même si mes fesses sont en feu. 

- "Donne ça" 

Elle me prend le tee-shirt des mains et m’en fait un bandeau autour des yeux. 

- "Tu restes debout, les jambes écartées, les mains derrière le dos"

Je me surprends à prendre la position sans hésiter.

- "Cambre ton cul! Tends tes seins! Voilà c'est ta position de soumise, c'est la position que je veux que tu prennes quand je te dirai 'en position'"

- "Bien Maîtresse"

- "Tu ne bouges plus jusqu'à ce que je revienne"

J’entends Kara s'éloigner, je l'entends fouiller dans la cuisine, sur le balcon, dans le garage...

Et si elle avait de mauvaises intentions, et si elle me volait pendant que j’attends sagement au milieu du séjour.

Elle revient, dépose des objets et repart. Je l'entends monter les escaliers, ouvrir des portes et un bon moment après, redescendre.

A nouveau des bruits d'objets. J’aimerais voir, savoir ce qu'elle trame. J’essaie de reconnaître les bruits sourds, les cliquetis, les claquements...

Mystérieusement le plaisir monte à nouveau en moi. J’en ai honte, j’ai peur, je suis inquiète et je sens mon sexe qui chauffe !

"Clic" Je  reconnais le bruit caractéristique du déclencheur d'un appareil photo. 

- "Nooooon! " 

Je n'ai vraiment pas envie de sortir d'un chantage pour entrer dans un autre. [Épisodes précédents]

- "tu seras punie pour ça! Je veux juste une photo en souvenir de ma petite salope"

- "Oui Maîtresse" J’essaie de rattraper mon écart mais je reste inquiète.

Je sens que Kara s'est rapprochée et qu'elle tourne autour de moi. Elle me frôle, m'effleure puis m'ordonne :

- "Recule... recule ... recule encore! Ok! Lève les bras" 

J’entends qu'on déplace une chaise. Kara attrape ma main et l'attache à un tissu, une matière en éponge. Puis elle tend le lien vers le haut. Elle fait de même avec mon bras gauche. Je crois reconnaître les ceintures des peignoirs de bain... mais qui seraient attachées où???  J’essaie de me situer... Mais oui, bien sûr la rampe de la mezzanine. 

Elle a serré les liens et il faut que je me tienne bien droite, presque sur la pointe des pieds. Je me sens complètement vulnérable. Je panique, un peu. 

La main que passe Kara sur mon corps ainsi livré sans défense me rassure.

- "Je n'ai pas trouvé l'endroit où tu cachais tes sex toys? Tu en as n'est-ce-pas ?"

- "Oui Maîtresse ou plutôt mon mari en a, mais je ne sais pas où il les range. Parfois c’est dans sa table de nuit."

- "Non, ils n’y sont pas, mais ce n'est pas grave ! J’ai trouvé des objets de substitutions"  

Kara me caresse, explore la surface de mon corps, doucement. Le fait de ne pas voir d'où arrivent ses caresses m'excite et mes tétons sont tous durs. Elles les pincent pour qu'ils soient bien saillants.

« Aie ! » Je sens comme une morsure sur mon aréole. Et une deuxième sur l'autre. Ce ne sont pas des morsures.

- "En bonne petite ménagère, tu ranges bien tes pinces à linge! Et moi j'adore jouer avec ça !" 

Et tout en disant cela, elle donne de petites pichenettes sur les pinces, ce qui irradie une douleur aiguë d’une pointe de mes seins à l’autre.

- "Alors tu aimes ça ?"

- "Non Maîtresse"

- "C’est ta punition pour ta rebuffade de tout à l'heure. Le plus jouissif ce n'est pas maintenant!!" 

J'ai spontanément répondu "non !" C'est vrai je n'aime pas qu'on me fasse mal, mais en fait j'adore cette sensation, j'aime tant quand je m'empale sur le sexe de mon mari (et parfois d'un amant mais rarement dans cette position que je réserve généralement à mon chéri), qu'il me force à me baisser pour me mordiller les seins ou qu'il les malaxe violemment et surtout quand il en pince les tétons pendant qu'il s'enfonce en moi. Il ne me les avait jamais pincés ainsi, avec des pinces à linge. Ce premier contact est surprenant et un peu douloureux, enfin disons pas agréable, mais il provoque des sensations, de vraies sensations.

Je reste en attente, c'est la deuxième fois que je suis soumise, attachée, les yeux bandés. La deuxième fois en peu de temps.

Déjà mon affreux mari avait joué à me faire découvrir ce qu'il s'amusait à me glisser en moi. Je n'aime pas trop les sex-toys et autres objets, c'est froid et morbide, mais comment nier que cela ne procure de folles sensations ?

J'attends, debout, soumise. Kara, "Maîtresse Kara" comme je me surprends à penser à elle, va-t-elle jouer comme mon mari et son pote ? Je n'espère pas, j'espère autre chose, mieux, pire, peu importe.

J'attends.

- "Écarte les cuisses"

Ce n'est pas facile car je suis sur la pointe des pieds pour obéir. 

Kara glisse une main entre mes cuisses puis remonte. Ses doigts furètent un peu dans ma chatte puis écarte mes lèvres. Elle pose la première pince à linge. Bizarrement c'est moins douloureux que sur les seins. Les autres suivent, méthodiquement, sur une lèvre puis l’autre. Elle monte vers mon petit bouton et je commence à angoisser. Combien de pinces sur mon sexe? La douleur irradie petit à petit, elle se cumule d'une pince à l'autre. Puis je sens deux doigts qui dégagent mon clitoris et malgré mon mouvement de recul une pince vient mordre l’épicentre de ce qui devrait être mon plaisir. 

- "Aie !"

Cette fois je le sens vraiment passer. La douleur zèbre mon ventre et rejoins mes seins puis remonte dans ma gorge et je ne peux réprimer un cri. 

En même temps je sens un liquide poisseux sourdre de mon sexe. Je fonds ! Je me liquéfie, je franchis des paliers. Douleur, plaisir mêlés. Kara est une experte et m'amène où elle veut. 

Oui, Maîtresse Kara me trouble, m'hypnotise.

J'ai mal. C’est maintenant que je dois dire le mot magique pour tout arrêter mais je n'ose même pas le formuler en pensée, trop peur de le prononcer. 

Maîtresse Kara est une magicienne ! Une sorcière aussi, certainement, elle m'a envoûtée. Je dois lui dire d'arrêter, je le sais, mais j'en suis incapable. La douleur qu'elle m'inflige glisse toujours dans des limites supportables tout en flirtant vers des zones inconnues qui, sans en être, ressemble au plaisir.

Je suis sa chose, j'ai envie de lui dire : "même si je te demande d'arrêter, ne t'arrête surtout pas !"

Elle plonge ses yeux dans les miens, tel Kaa avant de dévorer Mowgli… Je bois ses paroles. 

- "Que tu es belle comme ça ma petite salope... Tu prends ton pied, hein?"

- "Oui Maîtresse. Maîtresse Kara."

- "Maîtresse Kara ? Tu as ça dans le sang, ma petite soumise... Je sens que je vais pouvoir aller plus loin que prévu avec toi. Tu es prête? Respire un grand coup..."

- "Aie !"

Je ne comprends pas ce qui se passe. Puis une pointe fulgurante semble s'enfoncer dans mon sexe. À nouveau je reste coite de surprise. 

- "Et oui petit trésor. Les pinces c'est quand on les retire que ça fait le plus mal. Quand le sang réintègre les parties pincées. "

Je m’entends gémir à chaque pince ôtée. Je sais que le plus dur reste à venir... Les pinces sur les seins et sur le clitoris. Elle enlève les trois presque simultanément. Les signaux se brouillent dans ma tête. La douleur s'estompe et la main de Kara tripote mon bouton endolori. 

Une nouvelle fulgurance me secoue tout le corps. Dans un dernier soupçon de lucidité je demande :

- "Maîtresse Kara ! Maîtresse Kara ! Je peux venir? Je peux jouir ?"

- "Oui vas-y ma petite pute! Vas-y lâche toi! Tu l'as bien mérité." 

Et elle pince violemment mon clitoris. 

El la foudre traverse mon corps !

Désolée, je n'ai pas de mots, je ressens des choses que je n'ai jamais ressenties et je ne peux les nommer.

Oui, c'est une fulgurance, c'est horriblement merveilleux.

Pas de mots,

Plus de mots.

Emmène-moi…

Mes jambes se dérobent sous le nouvel orgasme qui me traverse.

Il ne me semble tenir droite que par les liens qui me relient à la mezzanine, comme une marionnette désarticulée. Un pantin. Je me transforme en pantin entre les mains de la terrible Kara.

- "Merci Maîtresse Kara"

Je retrouve mes esprits pendant que Kara détache mes mains. Sans repère, les yeux toujours bandés je m'écroule sur moi-même.

- "Et alors ma petite salope? Je pensais que tu serais plus résistante... On n'a pas terminé toutes les deux"

« Ma petite salope »  c'est le nom qu'elle me donne depuis le début et ça ne me choque plus, je commence à aimer ça, je sais que lorsqu'elle m'appelle comme ça, c'est que je l'ai satisfaite, un qualificatif 'affectueux... 

- "Viens assied-toi sur le canapé, reprends des forces tu vas en avoir besoin. Pendant ce temps je prépare la suite"

J’ai toujours les yeux bandés et je me fie à mon ouïe pour essayer de deviner les agissements de Kara. Pour le moment, je me félicite des choix que j’ai faits. Je ne pouvais pas tomber en de meilleures mains. Kara fait preuve d'une maîtrise et d'une psychologie qui me permettent de transgresser mes tabous, de faire voler en éclat les barrières de ma morale et de mes préjugés.

Je l'entends monter à l'étage. Visiblement dans ma chambre. Des meubles sont déplacés. Puis elle vient me chercher.

- "Tu as été une bonne petite soumise... Pour te récompenser je te laisse le choix pour la suite : yeux bandés ou pas ?"

- "Les yeux bandés Maîtresse Kara" 

- "J'en étais sûre... "

Elle me tient par le bras et me dirige vers les escaliers. Direction ma chambre. Elle me couche sur le lit, sur le dos.

- "Écarte les bras" 

Elle me les attaches à nouveau, je suppose aux montants du lit. Puis elle soulève ma jambe droite, l'étire en arrière et l'attache près de ma main droite. Elle fait de même avec ma jambe gauche. Cette fois elle utilise des cordelettes... Elle a dû trouver ça dans le garage. La sensation est plus dure que tout à l'heure. Les cordes mordent la chair. Mon bassin bascule et mes genoux viennent côtoyer mes oreilles. La position fait se soulever mes fesses et ouvre outrageusement mes cuisses. Mon sexe et mon anus sont exposés et je regrette presque d'avoir les yeux bandés. Kara glisse des coussins sous mon dos, afin de soulager la tension de mes membres. Puis elle resserre tous les liens, afin de m'immobiliser complètement.

"Clic" à nouveau le déclencheur "un autre souvenir..." 

Je retiens une protestation. Je ne souhaite pas une autre punition... quoique...

Quoique, oui, bien sûr.

J'ai un peu peur mais bizarrement j'ai confiance en elle.

J'ai envie d'aller au bout de ses envies, des siennes car moi je n'en ai pas, je découvre un monde qui m'est totalement inconnu. Je ne sais pas où on va alors je me laisse guider.

Emmène-moi Maîtresse, emmène-moi loin, prends soin de moi mais ne t'interdis rien. Je ne sais pas, plus rien n'a de sens. Je n'ai aucune référence alors je suis bien les yeux bandés en toute confiance, folle d'envie de découvrir, de goûter, de ressentir...

- "Non Maîtresse! Plus de photos!" 

- "Quoi? Tout à l'heure j'ai été clémente lors de ta première incartade. Mais là...  tu le fais exprès? Je te demande si tu ne le fais pas exprès pour être punie? Tu ne vas pas être déçue!! Crois-en Kara! Je prends des photos si je veux! Je voulais juste t'initier à une nouvelle pratique, et bien tu auras droit au baptême et à la confirmation!!"

Je suis inquiète car je sens de la rage dans la voix de Kara. Je l’ai vraiment énervée!! 

J’écoute et tente de deviner ce qu'elle me prépare. Une odeur flotte depuis peu dans la pièce, mais j’ai du mal à déterminer. Puis le bruit d'un briquet qu'on actionne... Une odeur de brûlé... non pas vraiment, une odeur...

- "Aaaah" 

Je n'ai pas pu retenir mon cri.

Une pointe brûlante vient de transpercer mon ventre. La douleur s'en va aussitôt. Puis une autre pointe, et une autre et encore une. Un liquide brûlant se répand sur ma peau. 

L'odeur de la cire... J’avais croisé cette pratique au détour de films plus ou moins érotique, mais j’étais à mille lieues d'imaginer que ça allait être mon tour.

Des douleurs très localisées qui durent une fraction de seconde. Je sens la fine pluie se diriger vers ma poitrine. Je retiens mon souffle. La peau est plus fine et la douleur un peu plus aiguë.

Je voudrais que mes mamelons rétrécissent. Qu'ils se cachent. Mais c'est sans espoir. Les larmes de cire se rapprochent et la douleur s’accroît. Je couine doucement. Heureusement ma position ne permet pas un accès facile à mes seins. Mais je réalise alors qu'une autre partie de mon corps est parfaitement accessible. Ça s'arrête. Ouf!

Nouveau bruit de briquet... nouvelle attente.

- "tu as eu droit au baptême. Ce type de bougie fond rapidement. La température de la cire n'est pas très élevée. Par contre celles que j'ai trouvées dans ton séjour à combustion lente... "

Une vraie sadique. Elle me fait attendre des secondes qui durent des heures. Elle me laisse imaginer une douleur probable... 

Les premières gouttes atterrissent sur mon dos maintenu en extension. Elles glissent un peu avant de se figer, et la douleur est différente. Ce ne sont plus des pointes mais comme des coupures rouges qu'on infligerait à mon dos. Il me semble que la cire est plus liquide et que de fines gouttelettes de souffrance éclaboussent les points d'impact. Mes sursauts sont bloqués par mes liens. Ma seule liberté c'est ma bouche et je pousse de petits cris à chaque larme de cire. Kara remonte vers mes fesses. Là aussi la peau est sensible et mes rotondités se crispent de façon spasmodique. 

Kara enduit de cire mes fesses et maintenant mon pubis. 

- "tu as bien fait de te raser!!!"

Inéluctablement la cire approche de mes orifices. Toute cette souffrance cumulée commence à peser. J’essaie d'imaginer la scène, mais j’ai du mal car chaque goutte me ramène à la réalité.

- "Tu es courageuse. Normalement j'aurais dû arrêter là. Mais comme tu t'es rebellée tout à l'heure, tu dois être punie. Mais je suis bonne avec toi. Aussi je vais à nouveau te laisser le choix :

Ton sexe ou ton cul ? "

- "Je ne sais pas Maîtresse, je ne sais rien de tout cela, mais s'il vous plaît ne m'obligez par à tout arrêter ! Allez où vous voulez mais pas trop loin dans la douleur..."

- "Ma petite salope chérie. Tu me fais du chantage!! C’est toi qui m'as poussée à te punir. Maintenant tu assumes... Et comme tu n'as pas choisi ça sera ta chatte et ton cul"

- "Oooh ! noooon"

La brûlure est terrible!! Je me cambre dans mes liens et je crie ma douleur. Ma douleur ? Mais je n’ai pas mal. Bizarrement je ressens du froid plutôt que des brûlures. 

Un froid intense mais rien à voir avec la cire... Des glaçons!!! J’en rirais presque, mais pas tant que Kara...

- "Ah ah ah ! Je t'ai bien eue ! Je suis sûre que tu as pensé avoir eu aussi mal que si je t'avais inondé le clito de cire !!!! Tu n'as pas encore l’âge pour ça !!"

Ce n'est tout de même pas une partie de plaisir, mais je sens que mes chairs qui s'étaient complètement épanouies sous l'effet de la chaleur, se resserrent maintenant sous celui de la glace.

- "Merci Maîtresse Kara, merci pour votre bonté. "

- "Ce n'est pas fini ! Il va falloir enlever toute cette cire désormais!"

J’attends une lotion ou un autre produit qui va dissoudre tout ça. Mais Kara a d'autres solutions.

Elle claque mes fesses avec vigueur. Je sens la cire craqueler et s’effriter. Les claques suivantes continuent le nettoyage mais les miettes de cire sèche s'incrustent dans ma peau tellement elle y met du cœur. Elle donne quelques chiquenaudes sur mon pubis mais n'insiste pas trop. En tout cas toute la zone est rouge de chaleur, de froid, de coups. 

- "Voilà toute propre ma petite salope! Toute propre pour la suite"

Je me demande quand cela cessera. Mais je n’ai pas envie que ça s'arrête. En tout cas pas comme ça, je n’ai pas eu mon compte de jouissance.

Je sens deux mains fraîches se poser sur mes fesses, un souffle chaud, puis une langue qui vient soigner tous les petits bobos accumulés.

Je ne suis pas lesbienne. J’ai même cela en horreur. Mais jamais personne ne m'a léchée de la sorte. La langue glisse, s'insinue, pénètre, lèche exactement là où il faut.

Les doigts se joignent à la fête. Ils ouvrent, écartent fouinent, s'unissent pour me fouiller. Il me semble que plusieurs personnes s'occupent de toi en même temps. En moins de deux minutes je suis au bord de l'explosion.

- "OOOOhh Maîtresse Kara !!! Maîtresse puis-je jouir????"

- "Hon Hon!" la bouche fichée entre mes lèvres émet des sons indistincts.

- "Je vous en supplie Maîtresse....Ahhh"

- "Quand je te le dirais!!!"

Et elle replonge dans mon entrejambe offert. 

- "Maintenant" crie-t-elle au moment où elle me pénètre devant et derrière tout en aspirant fortement mon clito.

Je ne crie pas. Ma bouche est restée entrouverte sur un cri muet. Je suis tétanisée de bonheur. Comme une immense crampe qui ne s'arrête plus.

Puis tout mon corps se relâche dans un soupir de contentement.

J'ai joui comme une folle, sans voix, sans mots pour l'exprimer. J'avais peur qu'elle n'aille trop loin, elle a été parfaite.

Ma jouissance m'a entraînée très loin, c'était extraordinaire. En fait je suis toujours attachée, aveuglée, soumise et bien que mon orgasme soit passé, je reste dans une sensation extraordinaire. Je ne suis pas rassasiée malgré la puissance de cet orgasme. Elle m'a ensorcelée.

- "Maîtresse Kara, puis-je parler ?"

- "Petite salope mal polie, tu sais que je devrais te punir pour avoir parlé sans ma permission. Et tu seras punie, mais parle maintenant!"

- "S'il vous plaît Maîtresse Kara, faites-moi jouir encore"

- "Tu n'es vraiment qu'une vicieuse. J'ai un remède pour les petites gourmandes comme toi. A ce que je vois tu as de grandes capacités de soumission. Tu endures la douleur. Je pense qu'après ça tu auras ton compte."

Elle me détache et enlève mon bandeau improvisé. Tout mon corps est endolori par la position que j’ai due tenir pendant de longues minutes, par les petites brûlures qui parsèment mon corps. Mes poignets et mes chevilles portent les stigmates des cordes qui ont mordu mes chairs.

Mais je suis euphorique, sexuellement euphorique. Comme si toutes ces épreuves m'avaient droguée. Je ne crains plus Kara.  Je suis en train de tomber amoureuse de mon bourreau. Elle a su créer une dépendance et maintenant j’en redemande. Je m’imagine en petite chienne qui remue sa queue (?), la langue sortie, attendant que sa maîtresse lui donne un sussucre.

- "Debout ! En position!"

Le ton est dur à nouveau. J’essaie de ne rien oublier. Les mains dans le dos. Les jambes écartées. Cambrée.

- "Bien petite salope! Tu apprends vite!"

Je profite du répit pour constater les aménagements que Kara a fait dans ma chambre. Des miroirs savamment disposés. Et ma machine de "torture" (c'est comme ça que nous avions baptisée la "PowerPlate" avec mon mari) se trouve au milieu de la pièce, posée sur le coffre dans lequel je range mes draps… !? 

- "Approche! Allonge-toi sur le plateau! Dans l'autre sens, le mat sur ta droite! Recule! Pose tes pieds au sol. "

Je me retrouve à plat ventre sur le plateau de la machine. Je vois Kara dans un miroir attacher mes chevilles aux pieds du coffre. 

- "Tes mains!" 

Elle les lie devant le coffre. Pour être sûre que je ne m’en éloignerai pas, Kara attache ensuite deux ceintures en cuir ensemble. Elle les passe dans le creux de mes reins et boucle le tout autour du plateau. Elle serre et mon ventre et mes seins sont plaqués contre le plateau. Je ne fais plus qu'un avec la machine. 

Elle positionne un miroir devant mes yeux. Puis un autre derrière moi. Par le jeu de réflexion, j’ai une vue imprenable sur mon postérieur. Les fesses entrouvertes par la position cambrée, mon sexe accessible.

Je vois, j’entends puis je sens la claque qui vient de s'abattre sur mes fesses. Désormais Kara ne prend plus de gants... Elle tape franchement et je vois mes fesses rosir à vitesse grand V. 

- "On commence par la punition. Combien ?"

Je mets du temps à enregistrer la question. Trop au goût de Kara qui claque à nouveau mes fesses sans douceur. Je n'en sais rien! 5 c'était insuffisant pour une petite erreur. Donc 10. Mais la faute est plus importante! 

- "V..."    

Clac une autre fessée.

- "Alors! Tu veux que je donne le nombre moi?"

- "Non maîtresse!  vingt?"

- "Va pour 20! "

Kara est généreuse. Aussi elle ne décompte pas les premières claques reçues. Elle prend son temps. Elle admire les traces que laissent les doigts sur mes fesses blanches. Elle apprécie le changement de couleur. Elle cherche les zones qui ne sont pas encore atteintes. Bientôt mon fessier est d'un beau rouge flamboyant. Enflammé. Je suis fière car je n’ai pas crié, à peine quelques gémissements étouffés. La chaleur qui irradie mon postérieur gagne mon sexe. L'humidité que je ressens me fait honte. Je suis devenue une chienne docile, qui jouit des coups que lui porte sa Maîtresse.

La dernière claque vient d’atterrir sur mon minou, tout du long. L'effet des miroirs est terrible car je réalise que je vais avoir mal avant que je ne le ressente. C'est rien, une fraction de seconde, mais c'est déjà beaucoup. 

- "Et vingt!"

- "Merci Maîtresse Kara " 

Je n'en reviens pas de m'entendre prononcer ces mots. Mon cul est en feu, ma chatte fourmille. Je suis passée de l'autre côté de la barrière et peu importe pour combien de temps, j’y suis et j’aime ça. 

Toute à mes pensées je n’ai pas vu Kara se déplacer et je suis toute surprise de sentir un liquide frais se répandre sur mes fesses. Un liquide ou plutôt de l'huile de massage, je reconnais l'odeur de l'argan. Le feu de mes fesses est apaisé. L'huile s'écoule entre mes fesses et se répand entre mes lèvres. Le brillant ajouté au rouge donne à mon cul l'aspect d'un fruit mur, prêt à cueillir. 

Puis les mains de Kara apparaissent dans mon champ de vision. Elle a revêtu des gants de latex. Décidément, elle a fouillé dans toutes les pièces... 

Elle masse mes fesses et ça me fait le plus grand bien. Les gants et l'huile donnent à ses caresses une douceur irréelle, impalpable. Je sens à peine ses doigts glisser dans mon sexe, ressortir, revenir, agacer mon petit bouton, remonter sur mes fesses, pénétrer mon petit trou et recommencer. Après cinq minutes de ce manège je suis dans un état indescriptible. Elle sait tout de toi, de mon corps, de mes envies. C'est une Femme. Je m'ouvre comme une fleur. Je m'ouvre et elle me remplit de ses doigts dont je suis le ballet dans le miroir. Quatre doigts me fouillent désormais. Le pouce se joint aux autres et essaie de trouver sa place. Kara fait tourner sa main, cherche l'angle possible. Toutes les phalanges sont en toi. Elle est vraiment douée. La petite douleur ressentie est noyée dans le plaisir qu'elle me donne. Je vois la main passer le cap le plus large et s'enfoncer en moi, lentement mais inexorablement. 

Mmm enfin je la sens en moi, j'aime être prise par un sexe viril, j'aime la main de ma Maîtresse.

Mon mari et certains de mes amants ont essayé cette pratique sur moi, ils n'ont jamais pu entrer. Et j'ai eu mal. Une fois, ma seule expérience saphique réussie, mon amante m'a fait jouir avec sa main, c'était extraordinaire... mais là, là, juste après le feu de la fessée... c'est magique

Kara va et vient lentement en moi. Je me sens pleine. Il n y a pas d'autres mots. Quelle douceur et quelle force! De sa main libre Kara actionne quelque chose au-dessus de moi. La plate-forme sur laquelle je suis couchée se met à vibrer à une fréquence ultra-rapide. Je suis si surprise que je n’ai pas le temps de sentir monter mon orgasme. Mon petit bouton au contact de la machine m'envoie des décharges tellement violentes que j’explose littéralement. À chaque fois que je me détends après un spasme, j’appuie sur le plateau, et repart au septième ciel. Je ne sais plus depuis combien de temps cela dure. Je n'en peux plus. Je demande grâce. 

- "Stop! Stoooop! Arrêtez! "

- "Maîtresse Kara s'il vous plaît"

La machine infernale s'arrête enfin. J’ose à peine poser mon sexe sur le plateau. Je maintiens toujours le poignet de Kara à l'intérieur de toi. Je rouvre les yeux, et je vois la main de Kara réapparaître. 

Je gémis : 

- "Oh non ne partez pas maîtresse Kara, restez, restez encore un peu"

Tout en sortant de moi, Kara me rassure :

- "N'aie pas peur! Petite pute, je n'en ai pas encore fini avec toi. Après ça, si tu n'as pas ton compte, je te mets entre les mains d'un ami. Il a l'habitude de dresser des pouliches dans ton genre. Tu es prête petite salope?"

- "Oui Maîtresse, s'il vous plaît promettez-moi que personne ne dira jamais rien, que mes enfants n'auront jamais à avoir honte de leur mère... et faites de moi ce que bon vous semblera!"

- "Je suppose que c'est ta manière d'accepter... Tu m'as dit que tu aimais la sodomie?

- "Oui maîtresse Kara. "

- "Alors dis le ma petite salope"

- "J’aime la sodomie maîtresse Kara"

- "ok! Alors demande-moi... Et prononce les mots que je souhaite entendre!!!" 

Je suis un peu surprise puis je comprends où Kara veut en venir. Mais ces mots-là n'ont jamais franchi mes lèvres. Et souvent je préfère les actes aux mots.

- "Maîtresse Kara j'ai envie d’être sodomisée. "

Je pensais pouvoir éviter les mots que j’exècre dire et adore faire. Mais je sens la prochaine punition toute proche. 

- "Maîtresse Kara, j'ai envie d'être enculée"

- "Et bien tu vois quand tu veux, ma petite pute! Parce qu'il n'y a que les petites putes pour réclamer de telles choses. Une nouvelle fois tu ne vas pas être déçue."

Comment cette femme peut-elle me mettre à nue aussi facilement ? Comment peut-elle se douter à quel point la vulgarité me gêne, me met horriblement mal à l'aise ? Et que c'est pour moi une souffrance plus forte encore qu'une fessée que de prononcer ces mot empreints de vulgarité. Mais comme ce qu'elle vient de me faire subir, les mots qu'elle me force à prononcer me gênent et me libèrent à la fois. C'est une souffrance et un soulagement.

Je me prends à penser que j'ai envie d'en dire plus mais je n'ai pas le droit de parler sans autorisation.

Parler ainsi me répugne et c'est vrai me procure une sensation étrange. Et puis tout ce qu'elle m'a fait ne remplace pas une franche pénétration et j'avoue, à mon corps défendant, qu'une pénétration anale aussi répugnante soit-elle me fait jouir bien plus qu'un rapport courtois. Alors oui, j'ai envie de lui crier mon envie d'être sodomisée, d'être ... oui, d'être enculée. Avec juste assez d'égards (pommade) pour ne pas me blesser ni me faire souffrir, mais avec force, avec violence, j'ai envie d'un mâle que si déchaînerait dans ... dans mon cul!

Et je voudrais le lui dire mais elle ne m'a pas donné l'autorisation de parler. Alors j'attends, le cœur battant la chamade.

- "Voyons ce petit cul" et elle enfonce son doigt toujours recouvert de latex jusqu'à la garde! 

- "Ma petite enculée! Le passage est fait et bien rodé apparemment   Tu as du déjà en prendre de la queue par là. Je suis sûre que tu me caches encore des choses, que tu ne m'as pas tout dit tout à l'heure. Son majeur coulisse avec facilité. Elle prend un malin plaisir à le faire entrer et sortir entièrement. Je sais que tu vas tout me dire ma chérie. "

Disant cela, elle branche à nouveau la machine vibrante et elle entreprend de me branler le cul à une vitesse folle. 

En moins d'une minute, je jouis. 

Mais elle n'arrête pas la machine et les vibrations sur mon clitoris me maintiennent dans un état d'euphorie maximal. 

- "Jouis ma petite pute, jouis... Quand tu en auras assez, tu me diras tout ce que tu gardes en toi. "

Et elle repart de plus belle, me trouant le cul de son majeur bandé. Et le deuxième orgasme en moins de trois minutes me submerge. Je me dis qu'à cette allure je ne vais pas tenir bien longtemps. 

Elle a raison, je jouis vraiment comme rarement. J'adore et oui j'ai des choses à lui dire, je crois en avoir le droit.

- "Oui maîtresse Kara, j'aime me faire enculer, j'aime ça, comme une folle, mais pardonnez-moi maîtresse, j'aime encore plus un vrai sexe mâle au fond de moi, j'aime être fouillée par un vrai sexe"

- "Petite salope ! Mon doigt ne te suffit donc pas "

- "Non maîtresse"

- "Tu es vraiment une petite salope, tu oses prendre ton pied comme une chienne et tu rechignes, tu n'apprécies pas ce que je te fais ?" [Cf. le contenu du DVD dont parle Kara au début de l’histoire et qui fait référence à l’épisode précédent]

- "Non maîtresse, j'adore ce que vous me faites... Mais j'aime trop le sexe, le vrai, chaud, vivant et explosant pour moi."

- "Salope !"

- "Pardonnez-moi maîtresse, vous avez dit que vous me confierez à un ami à vous, j'en suis prête"

En guise de réponse une gifle claque avec force sur ma joue!

Il semble que Kara soit prise au dépourvu. Elle s'attendait à des jérémiades, voire une capitulation, et voilà qu'elle se trouve en face d'un phénomène insatiable. La gifle qu'elle vient de m’asséner n'est pas dans ses habitudes. Une sorte d'aveu d'impuissance face à cette faim inextinguible de sexe. 

- "Ok tu viens de gagner ton billet avec l'ami dont je te parlais tout à l'heure. Helmut, Maître Helmut... Mais pas aujourd'hui, il n'est pas dispo le mercredi. Tu me signeras un papier tout à l'heure. Avec lui, c'est l'usage, il faut dire qu'il va beaucoup plus loin que moi, et qu'il souhaite limiter ses responsabilités.  De plus son donjon est très bien équipé."

En attendant, je vais terminer ce que j'ai commencé. 

Et elle enfonce un second doigt dans mon cul. Le premier avait bien préparé le terrain et ça se passe sans trop de mal. Puis un troisième et un quatrième doigt viennent ouvrir un peu plus ma rosette. Elle huile abondamment mon entre-fesse, ce qui permet à Kara de se mouvoir assez facilement. Je vois dans le miroir, ces doigts couverts de latex violer mes reins. La main écrasée entre maintenant profondément en moi. Seul le pouce reste à l'extérieur. Je commence à feuler. C'est le moment que choisit Kara pour redémarrer la machine 'infernale'.

Mon clitoris plaqué au plateau par la pénétration subit directement les vibrations qui me transportent vers les cieux. 

La main coulisse lentement, semblant creuser entre mes fesses. Elle coulisse et tourne. Je ne me suis jamais sentie aussi ouverte de « là » comme j’aurais dit avant de rencontrer Kara. Jamais aussi ouverte du cul, comme je n’oserais le dire à ma Maîtresse. C'est réellement une experte. Une magicienne du fist-fucking. Une pratique que je viens à peine de découvrir par « devant » et que je suis déjà en train d'expérimenter par derrière. Je n'aurais jamais cru mon cul assez souple, assez ouvert pour ça. Et pourtant, je vois de mes yeux le pouce adjoints aux autres doigts, forcer sur ma bague de chair huilée à outrance. Je le vois gagner à chaque assaut quelques millimètres, jusqu'à disparaître. Là je sais que c'est le plus difficile, car le plus large de la main. Mais ma vue se trouble. Les vibrations sont encore plus fortes que tout à l'heure, et j’essaie de soulever mes reins pour décoller mon clitoris du plateau diabolique. Ce faisant mon cul est allé à la rencontre de la main qui me fouillait et a accepté l'énorme intromission. Le cul avale le reste de la main avec lenteur. 

La douleur est réelle mais le sentiment de plénitude l'emporte. Ainsi que les vibrations.  

La jouissance est là toute proche.

- "Tu voulais du réel dans ton cul, et bien tu en as petite salope. Ce n’est pas une bite, mais tu en jouis tout de même. "

Et Kara commence à aller et venir entre mes fesses. 

…Et mon Dieu que c'est bon ! 

Que c'est bon, ce membre qui force mes reins. Une jouissance plus psychique que physique. Le plaisir de la sodomie avec son lot de souffrance et de bonheur mêlés. Les jouissances succèdent aux jouissances. Mon clitoris terriblement stimulé par le plateau vibrant m'empêche de réagir et je subis les orgasmes jusqu'à mourir de plaisir. 

Je sens que Kara m'abandonne. Qu'elle se retire. Je me sens vide de sa présence, pleine de son absence. Une dernière claque sur mes fesses. Je me rends compte que la machine infernale est arrêtée. Je suis détachée, mais je n’ai pas bougé. En ai-je seulement la force? Seulement l'envie? Je préfère prolonger ce moment à jamais. Kara est partie depuis longtemps.  Et maintenant? Que va-t-il se passer? Que vais-je devenir? Vais-je oublier? Ou serais-je pour toujours l'esclave de Kara? Et si c'est le cas jusqu'où irai-je? Ai-je envie de rencontrer le maître dont elle m’a parlé? Ou cette expérience sera-t-elle uniquement un épisode éphémère dans ma vie sexuelle? 

Mon Dieu quelle aventure ! Quelle histoire !

Je suis anéantie, épuisée. Perdue! Désorientée.

Ai-je aimé ou détesté ? Aucune idée. Y ai-je pris du plaisir ? Bien sûr. Évidemment. Ai-je envie d'aller plus loin avec maîtresse Kara ? Je ne sais pas. Elle m'a fait découvrir un univers insensé et fabuleux, des sensations incroyables... mais n'a pas réussi à me rallier aux plaisirs saphiques. Je reste inexorablement attirée par les hommes.

Aurai-je le courage de lui demander de me confier à ce mystérieux maître dont l'évocation du donjon me terrifie autant qu'elle me fascine ?

J'aimerais goûter à ces plaisirs vénéneux avec un homme, mais je ne veux pas souffrir. Juste rester à la limite des sens.

Par Yoni - Publié dans : soumise
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Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 16:47

Uchronie : subterfuges - épisode 2 - Jean

 

Jean le 4/1/2012

- "Salut Jean !"

- "Salut! Ça va? Je promenais le chien dans le quartier et je me suis dit que j'allais faire un petit coucou à mon pote de toujours". Dis-je avec un grand clin d'œil et un hochement de menton interrogatif.

- "T'as bien fait." me répond-il dans un grand sourire. Puis il me chuchote :

- "Ça a marché comme sur des roulettes... elle t'attend là-haut prête comme tu me l'as demandée. "

- "Bon ben je te laisse, le chien est trop impatient" dis-je bien fort pour que tu m'entendes.

Pierre referme la porte fermement en la faisant claquer, puis remonte l'escalier en me faisant signe de le suivre.

Nous avions mis au point ce scénario depuis longtemps et je bandais par avance en t'imaginant tel que je l'avais imaginé, et tel que je l'avais exigé de ton mari.

En effet celui-ci s'était mis sous ma coupe au tout début de votre relation car il souhaitait que tu t'émancipes et ne savait pas trop comment s'y prendre. Il avait commencé à m'en parler un soir de beuverie après le boulot, et depuis j'écoutais ses confidences et le conseillait. Mais il avait du mal à mettre en pratique. La semaine dernière, il m'a presque supplié de lui venir en aide. Je lui ai dit que je lui préparais quelque chose, mais qu'il devrait suivre mes instructions à la lettre, et qu'ainsi il parviendrait à ses fins. Il était prêt à tout et a accepté.

Et c'est ainsi que je suis arrivé sur le palier de ta chambre, dans les pas de ton homme, nue, les yeux bandés, les mains attachées.

C'est la première fois que je te voyais nue, "en vrai", car bien sûr ton mari m'avait montré des photos de toi.

 

Jean le 4/1/2012

 

Tout est prêt comme je l'avais demandé. Le bloc note et le stylo pour que je puisse communiquer avec ton mari sans parler.

Les différents objets tels que la bougie, les foulards qui te bâillonnent, les gants en latex, l'appareil photo, le tube de vaseline, les cordelettes et bien sûr les sex-toys que ton mari devait se procurer. Différentes formes, différentes tailles, de quoi t'initier à d'"autres" pratiques. Des onguents aussi, des pommades stimulantes...

Ton mari a si bien rempli son contrat que je suis étonné de ne pas voir la banane, parmi les divers fruits et légumes exposés.

Ce que je m'empresse d'écrire à ton mari.

Il t'attrape alors par un bras et te fait retourner. L'incroyable spectacle s'offre à moi. Tes fesses si rondes qui semblent tenir une banane enfoncée entre elles. Je me dis que ton mari semble enfin avoir trouvé la voie... Je lève un pouce en direction de ton mari pour le féliciter.

Je mets les gants en latex et écris à l'intention de ton mari :

- "On va un peu jouer au docteur maintenant..." Il énonce et s'écarte, me laissant le champ libre.

Je vois ta peau frissonner au premier contact un peu froid du latex. Je passe une main dans ton dos, je suis ta colonne vertébrale descend jusqu'à tes fesses, puis remonte, lentement.

J'attrape tes cheveux, les enroule dans ma main afin de bien dégager ta nuque et au moment où je mords à la lisière de tes petits cheveux tout fin dans ton cou, j'empoigne la banane et la pousse fermement dans ton cul. Tu ne peux réprimer un cri de surprise, de plaisir, de douleur ?

 

Alanys le 5/1/2012

 

- « C’était le facteur? »

- « Dis-donc attends que je sois parti avant de trépigner en attendant le facteur! »

- « Mais non idiot, j’attends un paquet c’est tout. C’était quoi alors? »

- « C’était Jean qui passer dire bonjour en promenant son monstre »

- « C’était rapide. Ils sont repartis? »

- « Pourquoi tu aurais aimé que je les invite? »

- « Tu parles! Ils sont aussi envahissant l’un que l’autre! »

- «Tu n’es pas sympa avec mon pote. »

- « Tu sais bien qu’il me met mal à l’aise, c’est comme ça. Et puis son énorme clébard qui met des poils partout… Tu vois c’est bien ton pote, il ne pouvait pas avoir un caniche ou un épagneul non il lui faut frimer avec ce monstre »

- « Oublie ça! Et revenons à nous s’il te plaît. »

- « Et comment comptes-tu t’y prendre? Je ne suis pas une machine »

- « Non mais tu es une gourmande »

Je sens alors son sexe sur mes lèvres. Je les ouvre et l’y fais entrer.

Bizarrement, malgré cet intermède qui m’avait refroidie, lui est dur comme si rien ne s’était passé. Même plus que tout à l’heure encore. Je me recule et le dégage de ma bouche.

- « Dis donc tu m’a l’air bien excité toi! »

- « Je t’imaginais comme ça avec le facteur qui pose le colis et te vois ainsi, ou mon pote…»

- « Et ça t’excite? »

- « Oui. Pas toi?

- « Oui »

- « Et là je me revois t’accompagnant chez le gynéco. Je l’ai vu t’ausculter, j’étais fou d’excitation!»

- « Tu es un cochon, tu vois le mal partout »

- « N’empêche que tu as changé souvent de gynéco et tu n’as jamais été chez une femme »

- « Je ne sais pas… »

- « Bouge pas »

Je l’entends se déplacer, ouvrir un tiroir puis revenir. De nouveau je sens son sexe sur mes lèvres. Je le reprends.

- « j’ai envie d’être ton nouveau gynéco, je vais t’ausculter »

- «Sans les étriers tu auras du mal! »

- « Je me débrouillerai… et puis dans un fauteuil de salon avec les jambes sur les accoudoirs ça pourrait le faire non? »

- « Et tu crois que je vais faire quoi? Tu crois que je fais quoi chez le gynéco? »

- «Laisse-moi imaginer»

 

Puis ses mains descendent dans mon dos. Ses mains gantées de caoutchouc. Quelle sensation étrange, dérangeante !

Il arrive à mes fesses, les écarte puis brusquement, enfonce la banane qui était restée enfichée dans mon petit trou.

- "Aïe ! Tu es dingue ou quoi, ça fait mal.

- "Chuttt!"

Il entreprend alors un mouvement de va et vient avec la banane. La douleur s'estompe un peu.

 

Jean le 5/1/2012

 

Cambrée et crispée dans un premier temps, tu t'es peu à peu détendue et tu as accepté la banane dans sa totalité. Et pas une petite banane des caraïbes, non une belle et grande banane africaine.

Tu as beaucoup de prédispositions, un diamant brut, qui pourrait devenir un bijou extraordinaire, pour peu que le tailleur sache faire briller chaque facette de ta sexualité. Je vais essayer d'être cet artisan, pour que ton mari soit fier de son bijou.

Je fais quelques allées et venues dans tes reins jusqu'à ce que tes soupirs ne laissent plus de doute sur leurs origines. Puis je retire le fruit d'entre les tiens.

Je m'éloigne de toi et reprends le carnet et le stylo.

Ton mari exécute mes demandes. Il détache tes mains, et te conduis jusqu'à la commode. Il t'appuie entre les omoplates et t'allonge à plat ventre sur celle-ci. Il glisse un coussin sous ton pubis, ce qui a pour effet de surélever ton postérieur.

- « Ecarte tes fesses »

Tu gigotes un petit peu sans grand résultat.

- « Ecarte tes fesses avec tes mains. Je veux voir ton cul, voir s'il la banane t'as bien ouverte! »

Tu es un peu surprise de la demande et du ton qu'emploie ton mari. Ça ne lui ressemble pas vraiment.

Néanmoins tu lui obéis et ouvre tes fesses à deux mains.

- « Tu as aimé ça ? La banane ? »

 

Tu réponds d'une voix hésitante...

- « J'ai eu un peu mal au début. Après c'était bon... et maintenant je me sens toute vide... »

Ton anus se contracte encore du traitement qu'il vient de subir.

 

Je griffonne et tend la feuille à ton mari.

- « Allez ! on va vérifier tout ça, chère patiente. Suivez-moi, nous allons passer à côté »

 

Il te guide à nouveau, cette fois vers le fauteuil qui va servir de table d'auscultation. Il te cale bien confortablement au fond, et passe tes jambes de part et d'autre des accoudoirs. Tu te retrouves dans des conditions assez similaires à ce que tu connais chez ton gynéco.

 

Ton mari est désormais à fond dans son jeu de rôle.

- « Je vais devoir faire une exploration, et il ne faudra pas que vous bougiez. Aussi je vais maintenir vos jambes de manière à ce que vous ne puissiez pas vous mouvoir. »

Il prend les cordelettes, replie et attache tes jambes sur tes cuisses, comme une grenouille sur le dos.

Puis il positionne un coussin sous tes reins.

Tu ne peux pas voir le spectacle que tu nous offre, ayant toujours les yeux bandés, mais c'est d'une indécence totale. Tes orifices sont exposés et ouverts à toutes nos envies, à tous nos vices.

 

Je prends un onguent aphrodisiaque et t'enduit les lèvres. Puis je glisse jusqu'à ton bouton, que je titille un peu.  Je reprends un peu de pommade et te pince la pointe des seins.

 

Dans quelques instants, tu vas commencer à ressentir les premiers effets.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- « Mais qu'est-ce qui te prends? Je ne t'ai jamais vu excité à ce point. »

- « Venez madame je vais vous ausculter »

Il me détache les mains puis les rattache devant, il m’emmène au salon. Nous descendons les escaliers. À travers mon foulard je ressens la lumière plus crue. J’espère que les rideaux sont tirés.

Il m'installe sur le fauteuil, m'écarte les cuisses, m'attache les jambes.

- « Tu sais mon chéri que mon gynéco est beaucoup plus sympa avec moi »

- « je ne suis pas votre chéri mais votre gynéco, s'il vous plait madame laissez-vous faire sans faire d'histoire. »

Je ressens quelque chose de froid. Une pommade ? Quelque chose comme ça.

Il m'en caresse le sexe, c'est agréable.

 

Jean le 6/1/2011

 

La pommade ne va pas tarder à agir. Tu gigotes de plus en plus sur ton fauteuil. Tu as même un mouvement de tes mains pour se rapprocher de ton sexe, mais la façon dont tes membres sont liés t'en empêche.

« Ttt Tttt ! Arrêtez de bouger! Je risque de vous faire mal! »

Tu commences à protester alors que ton sexe rosit et que les pointes de tes seins durcissent et se tendent.

Ton clitoris sort tout doucement entre les lèvres. Ton sexe ouvert s'humidifie de plus en plus.

Tu sembles enfin comprendre que ce n'est pas un simple lubrifiant que je t'ai appliqué, mais un stimulant qui aiguillonne tes terminaisons nerveuses perfidement.

« Ne me laisse pas comme ça!!! Fais quelque chose... viens, prends moi! »

« Madame vous n'y pensez pas! Je risque une radiation de l'ordre des médecins »

« Arrête! Je t'en supplie!! Ça chauffe, ça démange trop... »

« Je ne vous ai pas autorisé le tutoiement, et je viens de me rendre compte que j'ai oublié une zone érogène importante chez vous »

J'applique alors l'onguent froid sur ta rosette. La fraîcheur te fait du bien dans un premier temps, mais tu sais que très vite tu vas subir mille "tortures". L'humidité suint de ton sexe et quelques larmes s'écoulent doucement entre tes fesses.

« Nous allons tester l'élasticité de votre périnée. » 

Ton mari joue son rôle à merveille. Je prends un plug, parmi tous les objets qu'avait préparés ton mari.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- "S'il te plait ne me laisse pas comme ça !"

- "Aïe" Je viens de recevoir une gifle sur le sexe.

- "Je vous ai demandé d'arrêter ce tutoiement!"

- "S'il vous plait ne me laissez pas comme ça... s'il vous plait"

- "Ne vous inquiétez pas, il n'a jamais été question de vous laisser comme ça"

 

Jean le 6/1/2011

 

Je souris devant cette scène digne d'un vaudeville. Un vaudeville tout de même un peu osé!!!

Ce n'est pas le plus gros des plugs, mais il est tout de même assez large, bien plus que la banane qui l'a précédé. Il est en verre, ce qui donne une touche plus médicale à l'histoire. Je l'applique contre ton anus tout contracté.

Ton mari continue son rôle :

"laissez-vous aller. Décontractez- vous"

Je pousse lentement mais fermement. Les premiers centimètres pénètrent sans difficulté. Puis la progression ralentit, jusqu'à stopper. Je retire alors doucement l'objet, presque entièrement, puis je le réintroduis avec un peu plus de vigueur. En même temps je te caresse le clitoris de ma main libre. Tu halètes fortement, entre douleur et jouissance. À chaque va et vient je vais plus loin et bientôt comme par magie tu avales le gros renflement dans un cri de surprise (?)

 

Alanys le 7/1/2011

 

- "MMMM!" "Ahhh!"

Quelle merveilleuse sensation ! J’adore quand il me caresse ou mieux quand il me lèche mon petit trou. C’est si sensible!

J'adore quand il me pénètre d'un centimètre à peine, j'ai le plaisir sans la douleur. Mais j'avoue que je ne jouis jamais aussi fort que par là. J'en ai terriblement honte et je lui refuse souvent ce plaisir honteux et pervers... mais que c'est bon !

Mais cet objet froid, s'il me procure une sensation folle, elle ne me plait guère. J'aimerai son sexe en moi, un vrai sexe chaud.

 

Jean le 7/1/2011

 

J'adore cette image. Ton anus qui a avalé le plug et qui dans cette position fais ressortir ta chatte, l'expose comme un fruit mur gorgé de jus sucrés. Je ne peux résister et plonge mon visage entre tes cuisses. Je glisse ma langue depuis ton périnée tendu vers ta fente juteuse, je remonte doucement tes petites lèvres et avale à pleine bouche ton bourgeon arrogant. Je l'étire, l'aspire, le titille du bout de la langue, le mordille.

Tu t'agites et ne peux réprimer un :

"oh chéri..."

qui me rassure dans le fait que tu n'as pas encore éventé la supercherie.

Je bouge tout doucement le plug au fond de toi, de petits mouvements concentriques tout en continuant de te lécher goulument. Tu es à ma merci, ligotée, les yeux bandés et j'en profite abondamment. De ma main libre je fais rouler entre mes doigts les pointes de tes seins. 

 

Alanys le 7/1/2011

 

Je suis dans un rêve-cauchemar.

Mon corps ne m’appartient plus. Mes seins brulent, mon sexe brule, mes fesses brulent… mais sans réelle douleur. Étrange sensation ! Sensation folle de sentir ce chose entre mes fesses qui me remplit et excite mes muqueuses. Sensation folle de sentir cette bouche sur mon sexe qui m’arrache jouissance après jouissance. Je ne jouis plus, je suis la jouissance. J’ai l’impression de surfer sur un vague gigantesque de jouissance.

Mon chéri est déchainé, il me mange, il me dévore comme jamais il ne l’a fait. Il joue avec mes fesses tout en plongeant sa langue dans mon sexe. Il vrille le plug (je l’ai aisément reconnu), il le visse et le dévisse, le ressort presque pour mieux le remettre. Il pince mon bouton avec ses lèvres. J’ai presque mal. Presque. Il est vraiment déchainé. Je ne le reconnais plus. Mmmmm ! Je jouis encore !

Ma tension tombe. A peine quelque secondes. Je sens le plaisir qui remonte. Je suis sur un nuage. J’essaie d’ouvrir les yeux mais le bandeau m’en empêche. Quel spectacle dois-je lui offrir ! Est-ce cela qui l’excite ainsi ? Brutalement je me sens dans la peau d’une actrice porno. Je réalise la sensation qu’elles peuvent ressentir à exciter tant d’hommes qu’elles ne voient pas… Je suis une star du porno.

 

Jean le 10/1/2011

 

Tu surfes d'un orgasme à l'autre. Il semble que tu n'arrêtes jamais de jouir. Tu es complètement abandonnée, complètement ouverte, soumise. Le moindre attouchement te fais réagir, gémir.

"Tu veux que j'arrête ?" ton mari te demande hypocritement.

"Oui, non arrête je n'en peux plus... viens prends moi" tu parles d'une voix mourante à peine audible.

Après une dernière plongée entre tes cuisses, et un nième orgasme de ta part, je me recule. Je retire doucement le plug, ton étoile s'étire, s'estompe, puis se referme un instant boudeuse, avant de se rouvrir, avide. J'admire le tableau, ta reddition, ma victoire. Tu es devenue "ma chose", exsangue, le plaisir qui a coulé de ton sexe et qui trempe les draps. Tes lèvres intimes qui ne sont plus un rempart à ta pudeur, mais un écrin prêt à accueillir tous les membres. Ton cul entrouvert agité de petits spasmes. Je peux à cet instant te demander ce que je veux, ce que tu as toujours refusé à ton mari, ce que tu n'as jamais osé faire, demander. Tu n'es plus qu'un sexe en fusion.

Vas-tu reprendre l'initiative?

 

Alanys le 10/1/2011

 

- "Prends-moi s'il te plait, prends moi partout, prends-moi fort, ne t'arrête jamais …

 

Jean le 10/1/2011

 

Je bande comme jamais. Mes instincts dominateurs sont mis à rude épreuve. J'ai envie...

J'ai envie de te faire exploser de plaisir, de te faire mal, de te faire du bien, de te remplir, de te fesser, de te pincer de te mordre... de te manger.

 

Je pose mon gland violacée sur ta rosette. Je suis moins bien loti que ton mari, mais mon gland est épais et rond. Il s'écrase entre tes fesses qui résistent à peine puis s'infiltre entre elles, lentement mais sûrement.

Putain que c'est bon. Chaud, serré... Je vais jouir immédiatement. Je pense à autre chose... le travail, les soucis... ton cul. Un flash... ça vient. Je me retiens, c'est douloureux au niveau du scrotum. J'ai envie de te dévaster...

Je me calme. Je ne bouge plus et j'apprécie tes petites contractions qui me massent à l'intérieur.

Le plaisir reflue lentement. L'orage est passé. Je ne sais pas, je n'ai pas vu tes réactions. Ton visage est figé sur une grimace : douleur plaisir? Tu halètes et reprends ton souffle.

Sais-tu qui est en toi? As-tu remarqué que ce n'était pas le sexe de ton mari qui te sodomisait?

 

Je glisse un doigt dans ton sexe détrempé. Le majeur à la recherche de ton point G. Il s'arrête sur une surface un peu plus granuleuse, presque sous ton clitoris. Il masse doucement. Tu t'agites.

Un deuxième et un troisième doigt t'investisse. Ton mari me donne un gode noir en silicone assez souple. Je retire mes doigts et les remplace par le gode. Il est assez large et cela me comprime dans ton autre gaine.

Il glisse en toi, tel un gros serpent qui rentre dans un terrier.

J'ai envie de te voir remplie de partout...

Mais je ne veux pas que tu découvres ma présence pour le moment.

J'imagine, j'essaie d'imaginer, de me mettre à ta place...Je ne bouge toujours pas entre tes fesses, comme si c'était un autre gode, ou un concombre?

Je fais signe à ton mari qui s'approche de ta bouche. Dès que tu sens le gland sur tes lèvres tu avales ton mari. Le goujat en profite et s'enfonce au fond de ta gorge. Il va et vient comme s'il te baisait. Ta salive s'écoule sur ton menton, sur ton cou, sur tes seins.

Je n'ose pas bouger. Je ne veux pas casser la magie de l'instant. Tu es telle que dans mes fantasmes. Pleine. Tous tes orifices comblés.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je suis au paradis, en enfer... peu importe

Il me sodomise avec tant de douceur j'adore...

Je suis toute à mon plaisir, pas envie de décrire.

 

Il me sodomise gentiment et me caresse, me fouille avec son doigt, m'excite comme jamais il ne l'a fait.

Mmm! et ses doigts en moi... j'adore. J'en suis à rêver de sa main entière, de son poing. On a si souvent essayé en vain, j'aimerais aujourd'hui qu'il réussisse.

 

Non je reconnais le gode silicone. MMM et ces vibrations MMmm je ne peux rien dire, je jouis et jouis encore.

Viens dans ma bouche"

 

Je sens son sexe contre mes lèvres

 

 - "Hey ! Mais qu'est-ce que tu m'as mis derrière ?"

 

Sans ménagement, il profite de ma bouche ouverte pour s'y glisser et s'enfoncer sans douceur.

 

 - "Le jeu continue ma chérie, je t'ai mis quelque chose de nouveau, devine quoi"

 

Je ne le suce plus, je pense trop à ce qu'il m'a mis dans les fesses. Mais il va et vient dans ma bouche, je le laisse faire, je l'accueille entre mes lèvres sans trop y penser, je pense à cette chose. J’étais persuadée que c'était son sexe, cette sensation si agréable que ne me procure aucun de ses jouets.
Il s'enfonce un peu trop, j'ai un haut le cœur, il ressort. J'ai l'impression de me baver dessus !

 

"Ne vas pas trop loin, je ne peux pas plus.... dis-moi c'est quoi dans moi ?"

"devine » "

"je ne sais pas mais c'est le premier sex-toy qui me procure un tel plaisir, fais-le bouger en même temps que l'autre, je veux m'imaginer prise par une bande de brutes"

 

Jean le 10/1/2011

 

"C’est un sex-toy des plus réalistes, ma chérie..."

 

Il me fait un clin d'œil et je retiens un éclat de rire.

Je commence à reculer doucement, retirant simultanément le gode de ton sexe, comme si nous étions solidaires. J'essaie d'effectuer un déplacement le plus régulier possible, jusqu'à ce que mon gland soit presque sorti de ton petit trou. Puis j'avance à nouveau, lentement, inexorablement, te remplissant complètement. Tu es tellement excitée que les deux membres n'ont aucun mal à coulisser dans tes deux orifices. Ils sont là pour ça, ils sont conçus pour ça.

 

"C’est la première fois que je te vois prendre autant ton pied avec ..."

Il laisse sa phrase en suspens.

 

Je suis devenu une "fucking-machine", comme sur ce site où j'avais rencontré le sexe dernière génération, des femmes aux prises avec des robots mécaniques, qui les faisaient jouir sans discontinuer, par devant, par derrière.

 

Maintenant que la place est faite dans ton corps, j'augmente le rythme en évitant de trop m'enfoncer pour ne pas que mes hanches viennent claquer contre tes fesses. C'est la première fois que je réalise une double-pénétration tout seul !

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Je suis tellement serré dans ton petit cul, et cette scène me rend complètement surexcité.

Je regarde ton mari, d'un œil interrogateur... Nous avions convenu qu'il déciderait au moment venu d'éventer ou pas la supercherie.

J'attends son assentiment.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je le sens ressortir

- "Non, ne t’arrêtes, pas continue, emporte-moi plus loin !"

 

Jean le 10/1/2011

 

Je suis dans l'expectative. Mais je ne suis pas un surhomme. Et toi qui m'implore de continuer... Ton mari semble vouloir s'épancher dans ta bouche. Malgré le peu de liberté que te laisse tes liens, tu t'appliques à avaler copieusement le sexe de ton mari, tu le branles littéralement avec ta bouche. Des spasmes le secouent et il laisse échapper un râle. J'imagine qu'il se déverse au fond de ta gorge. Je te laisse déguster quelques instants, car ton mari m'a dit que tu aimais ça. Il s'écarte un peu de toi après que tu l'aies bien nettoyé. Puis je décide de donner plus d'ampleur à mes mouvements. Je viens butter contre tes fesses. Tu n'as pas réalisé, je pense, emportée au septième ciel. Ma queue a complètement disparu dans ton cul. J'attrape alors tes cuisses à pleine main et commence à te pilonner violemment. Le gode est complètement enfoncé dans ton sexe. Mes hanches claques contre tes fesses, tes cuisses. Je ne me suis jamais senti aussi gros. Je vais jouir. Je sens le plaisir bouillonner dans mes testicules et se ruer dans ma hampe. Je me retire et me présente devant ton visage. Une première giclée s'envole...

 

Alanys le 11/1/2011

 

J'ouvre grand ma bouche si heureuse de profiter encore de sa liqueur

Il met son sexe dans entre mes lèvres, je le reprends. Il se déverse en moi, je m’enivre de lui, encore.
Encore.
Encore !

Encore ?

Son sperme est plus salé que tout à l'heure, son sexe a un goût bien plus fort comme quand il m'a...

Mon Dieu mais j'aurais dû le sentir, il est plus large... Je le recrache et me débat

 

"C'est quoi ces conneries ? Détache-moi. "

"Calme-toi. Tu m'as dit que tu voulais que je t’emmène loin, tu m'as supplié de ne pas m'arrêter"

"Avec toi, pas un autre"

"Ne sois pas hypocrite les yeux bandés ça ne t'a pas posé de problème... Alors on continue"

"Non !"

"Ma chérie, ce n'étais pas une question. détends-toi, repose-toi le temps que l'on voit ce qu'on va faire de toi, avec toi..."

 

Jean le 11/1/2011

 

"MMMmmm ça a été un vrai régal Alanys"

 

Tu reconnais ma voix, tu t'en doutais depuis un moment, mais là c'est confirmé"

 

"Jean!! Sors d'ici tout de suite ! Chéri, je ne veux pas, fais le partir !"

 

"On ne traite pas ainsi les invités, ma chéri!! À moins que tu ne me fasses changer d'avis! Qu’est-ce que tu me proposes?" Il me fait un clin d'œil.

 

"Ben je ne sais pas... tu veux que je te reprenne dans ma bouche?"

 

"Déjà fait, autre chose!" répond-il tout en détachant tes jambes qui sont complètement ankylosées.

 

"Tu veux me prendre par devant ?"

 

"Hein? Je ne comprends pas! Exprime-toi plus clairement"

 

Je vois où il veut te mener. Il souhaite que tu emploies des mots qui ont du mal à sortir de tes lèvres en général, que tu te soumettes à sa volonté.

Tu trouves que depuis ce matin, son attitude a changé, il est plus dur avec toi. Certainement l'influence de Jean.

 

"Tu veux me ... baiser?"

"Non... ou juste pour commencer..."

 

Il te répond tout en te redressant doucement pour que tu retrouves tes sensations. Puis il te fait faire le tour du fauteuil et te pousse contre le dossier. Tu bascules en avant, laissant ton postérieur en grand danger.

 

"Tu veux mes fesses ?"

Tu n'as pas le temps de finir ta phrase qu'une claque formidable s'abat sur tes fesses exposées.

"Aïe..."

"Je n'ai pas compris ce que tu me proposes!" et une deuxième claque rougit un peu plus tes fesses.

 

 

Alanys le 11/1/2011

 

Je suis tellement "groggy" que je râle pour le principe. Je suis morte de honte mais heureuse d’avoir fait ça. Je n'ai rien fait de mal que m'amuser avec mon mari alors si à mon insu... J'aime trop le plaisir de la chair et les sensations d'excitation mêlée de honte et d'envie pour me plaindre vraiment. Je suis prête à tous pour faire durer ce moment.

"Fais ce que tu veux, faites-moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez !"

"Tout ?"

C'est Jean qui a parlé

"Oui, faites-moi ce que vous voulez, je suis à vous"

 

Jean le 11/1/2011

 

"Très bien, je note et j'ai un témoin. N'est-ce pas Jean? Tu vas faire exactement ce que nous te demanderons. Tu peux toujours arrêter, à tout moment. Il suffira que tu dises que tu ne veux plus, que tu ne veux pas aller plus loin. J'arrêterai immédiatement. Et définitivement. Nous reprendrons notre train-train et nous n'évoquerons plus cette journée, et l’évolution de nos relations.

Je ne veux pas être celui qui fera que notre relation se ternira. Donc tant que tu ne décideras pas d'arrêter explicitement ces nouveaux agissements, je considérerai agir avec ton consentement, et n'aurai pas de limites. Toujours Ok ? "

 

Un tout petit "oui" sort de tes lèvres.

 

"Comment ? Je n'ai rien entendu?"

 

"Oui, je suis à toi. Je suis à vous. Faites-moi tout ce que vous voulez!"

 

"Parfait! tout d'abord tu vas réveiller nos sens : nous avons besoin de retrouver un peu de rigidité pour la suite."

 

Pierre t'enlève le bandeau des yeux. Tu mets quelque temps à t'adapter à la lumière du jour.

Tu rougis. Devant toi, deux mâles nus, le sexe au repos.

Tu approches, visiblement pour nous caresser. Cette fois c'est moi qui t'arrête.

 

"Stop ! tu dois nous exciter sans nous toucher. Tu peux utiliser tous les objets à ta disposition. Tu ne t'arrêteras que lorsque nous serons tous les deux en érection"

 

Après un moment d’hésitation, tu comprends le challenge. Tu es encore jeune mais néanmoins tu sais comment t y prendre pour faire monter la pression chez un homme.

Tu te bloques un instant lorsque tu vois Pierre prendre la caméra numérique que vous veniez d'acquérir. Mais tu te lances.

Tu commences à bouger lentement, sensuellement. Tu secoues tes seins et tes fesses devant nos yeux. Je dois dire que j'essaie de penser à autre chose, pour ne pas succomber dès tes premiers agissements.

 

"Oui, c'est bien ma chérie! bouge, montre-toi! ouvre-toi!"

 

Tu passes les mains sur ton corps, tu pinces les pointes de tes seins qui réagissent immédiatement, tu glisses une main entre tes cuisses puis un doigt entre tes lèvres. Il ressort tout luisant, ce qui en dit long sur ton état. Tu le porte à ta bouche et tu nous regardes en baissant la tête et en levant les yeux, comme une vraie fausse timide.

Tu reprends tes caresses. Tu t'accoudes sur la table, tout en remuant tes fesses tournées vers nous. Tu passes une main entre tes jambes. Tu caresses ton petit bouton, tout en ouvrant rythmiquement tes fesses. Tu tournes ton visage vers nous, tout en écartant tes fesses à deux mains. Ton petit trou s'est bien refermé depuis mes derniers outrages. Je sens ma gorge s'assécher, mon sexe se lever lentement.

 

Clac! Un bruit sec!

Tu viens de te fesser sèchement! D'ailleurs la marque de tes doigts rougit ta peau blanche. Je ne résiste pas à ça! D'autant plus que tu récidives et que tu n'y va pas de main morte...

En quelques secondes ton cul est tout rouge. Nous sommes hypnotisés. J'ai capitulé et présente une érection honorable.

 

Pierre lui, semble résister encore un peu. Il est peut-être habitué à tes turpitudes ?

Tu t'empares d'un tube de crème hydratante. Tu t'en enduis les mains, puis tu te masses les fesses énergiquement. Tu glisses une main entre elles et tu glisses deux doigts dans ton cul.

Je vois le sexe de Pierre se lever lourdement, par à-coups. Tes fesses luisent et le rouge a faibli pour un rose des plus allechant.

 

Nous sommes tous les deux au garde-à-vous, prêt à honorer notre "victime"...

 

 

Alanys le 12/1/2011

 

Quelles sensations incroyables! Je découvre ce mélange de gêne, de honte même, voire d’humiliation mais compensé par un réel plaisir, un sentiment d’être le centre du monde, sentiment de puissance et même une grande fierté quand je vois ces deux hommes encore tout riquiqui et sans force il y a un instant recouvrer leur honneur, leur vitalité, leur envie de moi…

 

Ça y est, j’ai réussi, ils bandent tous les deux juste à me regarder, je suis très heureuse, très fière.

Je m’approche d’eux à en marchant à quatre pattes, féline. Je m’approche de leur sexe qu’ils me tendent tous les deux, les tenant à l’horizontale comme pour viser ma bouche.

 

Je m’approche et m’agenouille devant Jean, j’ai envie de profiter de ce sexe que je connais si peu. Il est plus petit que Pierre mais il semble concentrer sa puissance sur le bout, bien plus large, plus gros. Je le regarde et l’attrape d’une main. Jean retire la sienne. Je viens enserrer la base de son sexe du pouce et de l’index.

 

J’ai envie de serrer. Pourquoi? Je ne sais pas j’ai envie. Presque à lui faire mal. Pierre est là, à côté, je le regarde. Mon regard lui demande «qu’est-ce que je fais?», «est-ce que je peux?» ou simplement «au secours!». Le sien est presque vide, ailleurs. Il se masturbe devant mon visage. Je sens son odeur, sa chaleur… mais rien d’autre.

 

Jean s’impatiente. Son gland est gonflé de sang, encore plus gros. Ma langue ne l’effleure qu’à peine. J’attends un mot de Pierre qui ne vient pas. Jusqu’à maintenant j’ai subi sans savoir, là c’est moi qui fait, je ne peux pas, il doit me le demander, me le permettre. Pierre s’il te plait…

 

Jean s’impatiente!

 

 

Par Yoni - Publié dans : soumise - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 00:46

 

Au terme de cette seconde visite mon gynéco repris une attitude plus professionnelle et beaucoup plus froide. Il retourna à son bureau et pris quelques notes. Il me fixa d’autorité un prochain rendez-vous pour le mois suivant, à la même heure et dans les mêmes conditions.

 

Les semaines passèrent et ma passion pour cet amour de jeunesse grandissait sans cesse. Je me fi belle pour ce rendez-vous et arriva très impatiente au rendez-vous fixé.

La secrétaire me fit patienter. Il y avait une jeune toute femme avant moi, très jolie. Je me découvrais jalouse. Mais je me rassurais : j’étais habillée sexy avec une petite robe d’été courte et légère qui mettait en valeur mes longues jambes (j’en suis très fière)… On verra !

 

La jeune femme est invitée à entrer. J’attends seule, impatiente. Je me refais le film de notre première aventure. Je repense à son sexe, je me souviens de sa chaleur, de son odeur, du parfum envoutant de sa liqueur coulant dans ma bouche.

Son assistante m’appelle enfin. J’ai tellement envie de lui que j’espère qu’il va me sauter dessus comme un adolescent… mais c’est le toubib qui me reçoit, assez froidement. Sa seule concession est un tutoiement poli :

 

        Bonjour Alanys, tu te déshabille et tu t’installe s’il te plait, j’arrive.

Et pendant qu’il  consulte son écran je me déshabille. Ma robe tombe. Je reste un instant en sous-vêtement afin qu’il puisse apprécier l’érotisme de la situation : « une leçon de séduction » avait dit la pub !

         Il lève son regard sur moi, me sourit et lance un :

         "Très joli mais u es encore plus belle sans !

Je les retire et m’installe sur le fauteuil. Il se lève, s’approche de moi et, à peine son regard posé sur la courte toison blonde de mon pubis se raidit, visiblement contrarié et se met en colère :

        J’avais dit « mêmes conditions », tu aurais du t’épiler avant !

Je n’ai pas eu le temps de comprendre sa réaction qu’il me tendit ma robe et ajouta :

         Tiens, rhabille-toi. Il y a un supermarché au bout de la rue, va acheter de quoi te raser et reviens de suite.

Obéissante, je me lève, prends ma robe et m’avance vers mes sous-vêtements

        Non ! Ne perds pas de temps, enfile ta robe et va acheter le nécessaire.

A la fois surprise et fascinée, je ne me sens pas capable de réagir. Je fais comme il me demande.

 

Il y a une heure, je me trouvais sexy avec cette petite robe et ces dessous coquins. Là je me sens nue. Encore dans le couloir de l’immeuble il me semble sentir une brise ma caresser le sexe. S’il y a le moindre souffle de vent dehors je me fais embarquer par les flics !

Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais nue sur une plage naturiste je suis passée presque inaperçue).

Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais l’un d’eux se baisse franchement pour regarder sans honte aucune.

Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes me passe une main sous ma robe et attrape mes fesses et tente de glisser plus loin.

Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer et retourner au cabinet.

Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses et, à mon corps défendant, sur mon sexé en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.

Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Et je dois avouer qu’à présent, toute gênée que je suis, je suis terriblement excitée. J’étais revenue un peu inquiète ne sachant si nous allions répondre là où nous nous étions quittés, ou si la raison, ou la morale allait remettre les choses en ordre.  Maintenant je suis sûre que dans un instant je me livrerais à lui et que nous allions encore faire l’amour.

 

Enfin c’est mon tour. Il me fait entrer et me dit de m’installer. Une fois nue sur la table de visite, il prend le gel de rasage et le rasoir et me demande si ça c’est bien passé. Je lui réponds que oui sans m’étendre d’avantage.

Il va chercher un linge, le trempe d’eau très chaude  et le passe sur mon pubis.

C’est brulant mais supportable.

Il est assis devant moi, le visage entre mes cuisses écartées, les pieds dans les étriers. Je suis offerte et disponible.

Il coupe d’abord aux ciseaux la plus grande parie de ma toison puis étale le gel qui fait mousser en me massant longuement. Délicatement, il entreprend alors le rasage, allant beaucoup plus loin que je ne l’avais fait moi-même en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.

Une fois fait il me rinça puis sorti sa pommade et m’en passa partout insistant longuement pour que tout pénètre, jusqu’entre mes fesses, jusqu’à mon anus, prenant un certain plaisir à en déposer sut mon sphincter pour le faire pénétrer avec ses doigts.

Il sorti sa verge, enfila un préservatif et plongea dans mon sexe trempé.

Excitée comme je l’étais je fus clouée par un premier orgasme d’une rare violence après quelques mouvements à peine. Il s’en aperçu et me dit : 

        Tu démarre vite, on va voir comment tu va réagir à ça.

Et il posa son sexe sur mon anus

        N on pas ça je n’aime pas !

        Ça te fait mal ? me demande t-il

         Un peu, et puis je ne trouve pas ça normal.

         Ça on s’en fiche. Ce qui compte c’est ton plaisir… et le mien !

Et il fit pénétrer son gland entre mes fesses. Ainsi écartée et préparée il semblait bien que j’étais prête et il n’eu aucun mal à s’enfoncer en moi.

Il me demanda s’il me faisait mal et rassuré par ma réponse s’enfonça jusqu’à me caresser le sexe  avec son pubis, tout entier en moi.

Il resta un court instant immobile puis, la légère douleur passée, commença à aller et venir au fond de moi de plus en plus vite.

Puis brutalement sorti, s’accroupi et me lécha le sexe et l’anus comme s’il n’avait rien mangé depuis une semaine…

Se releva et replongea sans précaution au fond de mes entrailles m’arrachant un cri de douleur vite remplacé par le plaisir de ses va et vient vigoureux…

Il s’amusa avec moi longtemps alternant cunni fougeux et sodomies violentes.

Je ne saurais vous dire combien d’orgasmes je lui dois…

 

Mon mari me trouva fatiguée mais je n’ai pas eu le cœur de me refuser à lui. Je l’aime toujours autant et je crois que ma fatigue risque de perdurer.

Par Yoni - Publié dans : soumise - Communauté : chaude&caline
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