Au terme de cette seconde visite mon gynéco repris une attitude plus professionnelle et beaucoup plus froide. Il retourna à son bureau et pris quelques notes. Il me fixa d’autorité un prochain rendez-vous pour le mois suivant, à la même heure et dans les mêmes conditions.
Les semaines passèrent et ma passion pour cet amour de jeunesse grandissait sans cesse. Je me fi belle pour ce rendez-vous et arriva très impatiente au rendez-vous fixé.
La secrétaire me fit patienter. Il y avait une jeune toute femme avant moi, très jolie. Je me découvrais jalouse. Mais je me rassurais : j’étais habillée sexy avec une petite robe d’été courte et légère qui mettait en valeur mes longues jambes (j’en suis très fière)… On verra !
La jeune femme est invitée à entrer. J’attends seule, impatiente. Je me refais le film de notre première aventure. Je repense à son sexe, je me souviens de sa chaleur, de son odeur, du parfum envoutant de sa liqueur coulant dans ma bouche.
Son assistante m’appelle enfin. J’ai tellement envie de lui que j’espère qu’il va me sauter dessus comme un adolescent… mais c’est le toubib qui me reçoit, assez froidement. Sa seule concession est un tutoiement poli :
Bonjour Alanys, tu te déshabille et tu t’installe s’il te plait, j’arrive.
Et pendant qu’il consulte son écran je me déshabille. Ma robe tombe. Je reste un instant en sous-vêtement afin qu’il puisse apprécier l’érotisme de la situation : « une leçon de séduction » avait dit la pub !
Il lève son regard sur moi, me sourit et lance un :
"Très joli mais u es encore plus belle sans !
Je les retire et m’installe sur le fauteuil. Il se lève, s’approche de moi et, à peine son regard posé sur la courte toison blonde de mon pubis se raidit, visiblement contrarié et se met en colère :
J’avais dit « mêmes conditions », tu aurais du t’épiler avant !
Je n’ai pas eu le temps de comprendre sa réaction qu’il me tendit ma robe et ajouta :
Tiens, rhabille-toi. Il y a un supermarché au bout de la rue, va acheter de quoi te raser et reviens de suite.
Obéissante, je me lève, prends ma robe et m’avance vers mes sous-vêtements
Non ! Ne perds pas de temps, enfile ta robe et va acheter le nécessaire.
A la fois surprise et fascinée, je ne me sens pas capable de réagir. Je fais comme il me demande.
Il y a une heure, je me trouvais sexy avec cette petite robe et ces dessous coquins. Là je me sens nue. Encore dans le couloir de l’immeuble il me semble sentir une brise ma caresser le sexe. S’il y a le moindre souffle de vent dehors je me fais embarquer par les flics !
Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais nue sur une plage naturiste je suis passée presque inaperçue).
Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais l’un d’eux se baisse franchement pour regarder sans honte aucune.
Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes me passe une main sous ma robe et attrape mes fesses et tente de glisser plus loin.
Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer et retourner au cabinet.
Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses et, à mon corps défendant, sur mon sexé en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.
Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Et je dois avouer qu’à présent, toute gênée que je suis, je suis terriblement excitée. J’étais revenue un peu inquiète ne sachant si nous allions répondre là où nous nous étions quittés, ou si la raison, ou la morale allait remettre les choses en ordre. Maintenant je suis sûre que dans un instant je me livrerais à lui et que nous allions encore faire l’amour.
Enfin c’est mon tour. Il me fait entrer et me dit de m’installer. Une fois nue sur la table de visite, il prend le gel de rasage et le rasoir et me demande si ça c’est bien passé. Je lui réponds que oui sans m’étendre d’avantage.
Il va chercher un linge, le trempe d’eau très chaude et le passe sur mon pubis.
C’est brulant mais supportable.
Il est assis devant moi, le visage entre mes cuisses écartées, les pieds dans les étriers. Je suis offerte et disponible.
Il coupe d’abord aux ciseaux la plus grande parie de ma toison puis étale le gel qui fait mousser en me massant longuement. Délicatement, il entreprend alors le rasage, allant beaucoup plus loin que je ne l’avais fait moi-même en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.
Une fois fait il me rinça puis sorti sa pommade et m’en passa partout insistant longuement pour que tout pénètre, jusqu’entre mes fesses, jusqu’à mon anus, prenant un certain plaisir à en déposer sut mon sphincter pour le faire pénétrer avec ses doigts.
Il sorti sa verge, enfila un préservatif et plongea dans mon sexe trempé.
Excitée comme je l’étais je fus clouée par un premier orgasme d’une rare violence après quelques mouvements à peine. Il s’en aperçu et me dit :
Tu démarre vite, on va voir comment tu va réagir à ça.
Et il posa son sexe sur mon anus
N on pas ça je n’aime pas !
Ça te fait mal ? me demande t-il
Un peu, et puis je ne trouve pas ça normal.
Ça on s’en fiche. Ce qui compte c’est ton plaisir… et le mien !
Et il fit pénétrer son gland entre mes fesses. Ainsi écartée et préparée il semblait bien que j’étais prête et il n’eu aucun mal à s’enfoncer en moi.
Il me demanda s’il me faisait mal et rassuré par ma réponse s’enfonça jusqu’à me caresser le sexe avec son pubis, tout entier en moi.
Il resta un court instant immobile puis, la légère douleur passée, commença à aller et venir au fond de moi de plus en plus vite.
Puis brutalement sorti, s’accroupi et me lécha le sexe et l’anus comme s’il n’avait rien mangé depuis une semaine…
Se releva et replongea sans précaution au fond de mes entrailles m’arrachant un cri de douleur vite remplacé par le plaisir de ses va et vient vigoureux…
Il s’amusa avec moi longtemps alternant cunni fougeux et sodomies violentes.
Je ne saurais vous dire combien d’orgasmes je lui dois…
Mon mari me trouva fatiguée mais je n’ai pas eu le cœur de me refuser à lui. Je l’aime toujours autant et je crois que ma fatigue risque de perdurer.
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