Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 16:47

Uchronie : subterfuges - épisode 2 - Jean

 

Jean le 4/1/2012

- "Salut Jean !"

- "Salut! Ça va? Je promenais le chien dans le quartier et je me suis dit que j'allais faire un petit coucou à mon pote de toujours". Dis-je avec un grand clin d'œil et un hochement de menton interrogatif.

- "T'as bien fait." me répond-il dans un grand sourire. Puis il me chuchote :

- "Ça a marché comme sur des roulettes... elle t'attend là-haut prête comme tu me l'as demandée. "

- "Bon ben je te laisse, le chien est trop impatient" dis-je bien fort pour que tu m'entendes.

Pierre referme la porte fermement en la faisant claquer, puis remonte l'escalier en me faisant signe de le suivre.

Nous avions mis au point ce scénario depuis longtemps et je bandais par avance en t'imaginant tel que je l'avais imaginé, et tel que je l'avais exigé de ton mari.

En effet celui-ci s'était mis sous ma coupe au tout début de votre relation car il souhaitait que tu t'émancipes et ne savait pas trop comment s'y prendre. Il avait commencé à m'en parler un soir de beuverie après le boulot, et depuis j'écoutais ses confidences et le conseillait. Mais il avait du mal à mettre en pratique. La semaine dernière, il m'a presque supplié de lui venir en aide. Je lui ai dit que je lui préparais quelque chose, mais qu'il devrait suivre mes instructions à la lettre, et qu'ainsi il parviendrait à ses fins. Il était prêt à tout et a accepté.

Et c'est ainsi que je suis arrivé sur le palier de ta chambre, dans les pas de ton homme, nue, les yeux bandés, les mains attachées.

C'est la première fois que je te voyais nue, "en vrai", car bien sûr ton mari m'avait montré des photos de toi.

 

Jean le 4/1/2012

 

Tout est prêt comme je l'avais demandé. Le bloc note et le stylo pour que je puisse communiquer avec ton mari sans parler.

Les différents objets tels que la bougie, les foulards qui te bâillonnent, les gants en latex, l'appareil photo, le tube de vaseline, les cordelettes et bien sûr les sex-toys que ton mari devait se procurer. Différentes formes, différentes tailles, de quoi t'initier à d'"autres" pratiques. Des onguents aussi, des pommades stimulantes...

Ton mari a si bien rempli son contrat que je suis étonné de ne pas voir la banane, parmi les divers fruits et légumes exposés.

Ce que je m'empresse d'écrire à ton mari.

Il t'attrape alors par un bras et te fait retourner. L'incroyable spectacle s'offre à moi. Tes fesses si rondes qui semblent tenir une banane enfoncée entre elles. Je me dis que ton mari semble enfin avoir trouvé la voie... Je lève un pouce en direction de ton mari pour le féliciter.

Je mets les gants en latex et écris à l'intention de ton mari :

- "On va un peu jouer au docteur maintenant..." Il énonce et s'écarte, me laissant le champ libre.

Je vois ta peau frissonner au premier contact un peu froid du latex. Je passe une main dans ton dos, je suis ta colonne vertébrale descend jusqu'à tes fesses, puis remonte, lentement.

J'attrape tes cheveux, les enroule dans ma main afin de bien dégager ta nuque et au moment où je mords à la lisière de tes petits cheveux tout fin dans ton cou, j'empoigne la banane et la pousse fermement dans ton cul. Tu ne peux réprimer un cri de surprise, de plaisir, de douleur ?

 

Alanys le 5/1/2012

 

- « C’était le facteur? »

- « Dis-donc attends que je sois parti avant de trépigner en attendant le facteur! »

- « Mais non idiot, j’attends un paquet c’est tout. C’était quoi alors? »

- « C’était Jean qui passer dire bonjour en promenant son monstre »

- « C’était rapide. Ils sont repartis? »

- « Pourquoi tu aurais aimé que je les invite? »

- « Tu parles! Ils sont aussi envahissant l’un que l’autre! »

- «Tu n’es pas sympa avec mon pote. »

- « Tu sais bien qu’il me met mal à l’aise, c’est comme ça. Et puis son énorme clébard qui met des poils partout… Tu vois c’est bien ton pote, il ne pouvait pas avoir un caniche ou un épagneul non il lui faut frimer avec ce monstre »

- « Oublie ça! Et revenons à nous s’il te plaît. »

- « Et comment comptes-tu t’y prendre? Je ne suis pas une machine »

- « Non mais tu es une gourmande »

Je sens alors son sexe sur mes lèvres. Je les ouvre et l’y fais entrer.

Bizarrement, malgré cet intermède qui m’avait refroidie, lui est dur comme si rien ne s’était passé. Même plus que tout à l’heure encore. Je me recule et le dégage de ma bouche.

- « Dis donc tu m’a l’air bien excité toi! »

- « Je t’imaginais comme ça avec le facteur qui pose le colis et te vois ainsi, ou mon pote…»

- « Et ça t’excite? »

- « Oui. Pas toi?

- « Oui »

- « Et là je me revois t’accompagnant chez le gynéco. Je l’ai vu t’ausculter, j’étais fou d’excitation!»

- « Tu es un cochon, tu vois le mal partout »

- « N’empêche que tu as changé souvent de gynéco et tu n’as jamais été chez une femme »

- « Je ne sais pas… »

- « Bouge pas »

Je l’entends se déplacer, ouvrir un tiroir puis revenir. De nouveau je sens son sexe sur mes lèvres. Je le reprends.

- « j’ai envie d’être ton nouveau gynéco, je vais t’ausculter »

- «Sans les étriers tu auras du mal! »

- « Je me débrouillerai… et puis dans un fauteuil de salon avec les jambes sur les accoudoirs ça pourrait le faire non? »

- « Et tu crois que je vais faire quoi? Tu crois que je fais quoi chez le gynéco? »

- «Laisse-moi imaginer»

 

Puis ses mains descendent dans mon dos. Ses mains gantées de caoutchouc. Quelle sensation étrange, dérangeante !

Il arrive à mes fesses, les écarte puis brusquement, enfonce la banane qui était restée enfichée dans mon petit trou.

- "Aïe ! Tu es dingue ou quoi, ça fait mal.

- "Chuttt!"

Il entreprend alors un mouvement de va et vient avec la banane. La douleur s'estompe un peu.

 

Jean le 5/1/2012

 

Cambrée et crispée dans un premier temps, tu t'es peu à peu détendue et tu as accepté la banane dans sa totalité. Et pas une petite banane des caraïbes, non une belle et grande banane africaine.

Tu as beaucoup de prédispositions, un diamant brut, qui pourrait devenir un bijou extraordinaire, pour peu que le tailleur sache faire briller chaque facette de ta sexualité. Je vais essayer d'être cet artisan, pour que ton mari soit fier de son bijou.

Je fais quelques allées et venues dans tes reins jusqu'à ce que tes soupirs ne laissent plus de doute sur leurs origines. Puis je retire le fruit d'entre les tiens.

Je m'éloigne de toi et reprends le carnet et le stylo.

Ton mari exécute mes demandes. Il détache tes mains, et te conduis jusqu'à la commode. Il t'appuie entre les omoplates et t'allonge à plat ventre sur celle-ci. Il glisse un coussin sous ton pubis, ce qui a pour effet de surélever ton postérieur.

- « Ecarte tes fesses »

Tu gigotes un petit peu sans grand résultat.

- « Ecarte tes fesses avec tes mains. Je veux voir ton cul, voir s'il la banane t'as bien ouverte! »

Tu es un peu surprise de la demande et du ton qu'emploie ton mari. Ça ne lui ressemble pas vraiment.

Néanmoins tu lui obéis et ouvre tes fesses à deux mains.

- « Tu as aimé ça ? La banane ? »

 

Tu réponds d'une voix hésitante...

- « J'ai eu un peu mal au début. Après c'était bon... et maintenant je me sens toute vide... »

Ton anus se contracte encore du traitement qu'il vient de subir.

 

Je griffonne et tend la feuille à ton mari.

- « Allez ! on va vérifier tout ça, chère patiente. Suivez-moi, nous allons passer à côté »

 

Il te guide à nouveau, cette fois vers le fauteuil qui va servir de table d'auscultation. Il te cale bien confortablement au fond, et passe tes jambes de part et d'autre des accoudoirs. Tu te retrouves dans des conditions assez similaires à ce que tu connais chez ton gynéco.

 

Ton mari est désormais à fond dans son jeu de rôle.

- « Je vais devoir faire une exploration, et il ne faudra pas que vous bougiez. Aussi je vais maintenir vos jambes de manière à ce que vous ne puissiez pas vous mouvoir. »

Il prend les cordelettes, replie et attache tes jambes sur tes cuisses, comme une grenouille sur le dos.

Puis il positionne un coussin sous tes reins.

Tu ne peux pas voir le spectacle que tu nous offre, ayant toujours les yeux bandés, mais c'est d'une indécence totale. Tes orifices sont exposés et ouverts à toutes nos envies, à tous nos vices.

 

Je prends un onguent aphrodisiaque et t'enduit les lèvres. Puis je glisse jusqu'à ton bouton, que je titille un peu.  Je reprends un peu de pommade et te pince la pointe des seins.

 

Dans quelques instants, tu vas commencer à ressentir les premiers effets.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- « Mais qu'est-ce qui te prends? Je ne t'ai jamais vu excité à ce point. »

- « Venez madame je vais vous ausculter »

Il me détache les mains puis les rattache devant, il m’emmène au salon. Nous descendons les escaliers. À travers mon foulard je ressens la lumière plus crue. J’espère que les rideaux sont tirés.

Il m'installe sur le fauteuil, m'écarte les cuisses, m'attache les jambes.

- « Tu sais mon chéri que mon gynéco est beaucoup plus sympa avec moi »

- « je ne suis pas votre chéri mais votre gynéco, s'il vous plait madame laissez-vous faire sans faire d'histoire. »

Je ressens quelque chose de froid. Une pommade ? Quelque chose comme ça.

Il m'en caresse le sexe, c'est agréable.

 

Jean le 6/1/2011

 

La pommade ne va pas tarder à agir. Tu gigotes de plus en plus sur ton fauteuil. Tu as même un mouvement de tes mains pour se rapprocher de ton sexe, mais la façon dont tes membres sont liés t'en empêche.

« Ttt Tttt ! Arrêtez de bouger! Je risque de vous faire mal! »

Tu commences à protester alors que ton sexe rosit et que les pointes de tes seins durcissent et se tendent.

Ton clitoris sort tout doucement entre les lèvres. Ton sexe ouvert s'humidifie de plus en plus.

Tu sembles enfin comprendre que ce n'est pas un simple lubrifiant que je t'ai appliqué, mais un stimulant qui aiguillonne tes terminaisons nerveuses perfidement.

« Ne me laisse pas comme ça!!! Fais quelque chose... viens, prends moi! »

« Madame vous n'y pensez pas! Je risque une radiation de l'ordre des médecins »

« Arrête! Je t'en supplie!! Ça chauffe, ça démange trop... »

« Je ne vous ai pas autorisé le tutoiement, et je viens de me rendre compte que j'ai oublié une zone érogène importante chez vous »

J'applique alors l'onguent froid sur ta rosette. La fraîcheur te fait du bien dans un premier temps, mais tu sais que très vite tu vas subir mille "tortures". L'humidité suint de ton sexe et quelques larmes s'écoulent doucement entre tes fesses.

« Nous allons tester l'élasticité de votre périnée. » 

Ton mari joue son rôle à merveille. Je prends un plug, parmi tous les objets qu'avait préparés ton mari.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- "S'il te plait ne me laisse pas comme ça !"

- "Aïe" Je viens de recevoir une gifle sur le sexe.

- "Je vous ai demandé d'arrêter ce tutoiement!"

- "S'il vous plait ne me laissez pas comme ça... s'il vous plait"

- "Ne vous inquiétez pas, il n'a jamais été question de vous laisser comme ça"

 

Jean le 6/1/2011

 

Je souris devant cette scène digne d'un vaudeville. Un vaudeville tout de même un peu osé!!!

Ce n'est pas le plus gros des plugs, mais il est tout de même assez large, bien plus que la banane qui l'a précédé. Il est en verre, ce qui donne une touche plus médicale à l'histoire. Je l'applique contre ton anus tout contracté.

Ton mari continue son rôle :

"laissez-vous aller. Décontractez- vous"

Je pousse lentement mais fermement. Les premiers centimètres pénètrent sans difficulté. Puis la progression ralentit, jusqu'à stopper. Je retire alors doucement l'objet, presque entièrement, puis je le réintroduis avec un peu plus de vigueur. En même temps je te caresse le clitoris de ma main libre. Tu halètes fortement, entre douleur et jouissance. À chaque va et vient je vais plus loin et bientôt comme par magie tu avales le gros renflement dans un cri de surprise (?)

 

Alanys le 7/1/2011

 

- "MMMM!" "Ahhh!"

Quelle merveilleuse sensation ! J’adore quand il me caresse ou mieux quand il me lèche mon petit trou. C’est si sensible!

J'adore quand il me pénètre d'un centimètre à peine, j'ai le plaisir sans la douleur. Mais j'avoue que je ne jouis jamais aussi fort que par là. J'en ai terriblement honte et je lui refuse souvent ce plaisir honteux et pervers... mais que c'est bon !

Mais cet objet froid, s'il me procure une sensation folle, elle ne me plait guère. J'aimerai son sexe en moi, un vrai sexe chaud.

 

Jean le 7/1/2011

 

J'adore cette image. Ton anus qui a avalé le plug et qui dans cette position fais ressortir ta chatte, l'expose comme un fruit mur gorgé de jus sucrés. Je ne peux résister et plonge mon visage entre tes cuisses. Je glisse ma langue depuis ton périnée tendu vers ta fente juteuse, je remonte doucement tes petites lèvres et avale à pleine bouche ton bourgeon arrogant. Je l'étire, l'aspire, le titille du bout de la langue, le mordille.

Tu t'agites et ne peux réprimer un :

"oh chéri..."

qui me rassure dans le fait que tu n'as pas encore éventé la supercherie.

Je bouge tout doucement le plug au fond de toi, de petits mouvements concentriques tout en continuant de te lécher goulument. Tu es à ma merci, ligotée, les yeux bandés et j'en profite abondamment. De ma main libre je fais rouler entre mes doigts les pointes de tes seins. 

 

Alanys le 7/1/2011

 

Je suis dans un rêve-cauchemar.

Mon corps ne m’appartient plus. Mes seins brulent, mon sexe brule, mes fesses brulent… mais sans réelle douleur. Étrange sensation ! Sensation folle de sentir ce chose entre mes fesses qui me remplit et excite mes muqueuses. Sensation folle de sentir cette bouche sur mon sexe qui m’arrache jouissance après jouissance. Je ne jouis plus, je suis la jouissance. J’ai l’impression de surfer sur un vague gigantesque de jouissance.

Mon chéri est déchainé, il me mange, il me dévore comme jamais il ne l’a fait. Il joue avec mes fesses tout en plongeant sa langue dans mon sexe. Il vrille le plug (je l’ai aisément reconnu), il le visse et le dévisse, le ressort presque pour mieux le remettre. Il pince mon bouton avec ses lèvres. J’ai presque mal. Presque. Il est vraiment déchainé. Je ne le reconnais plus. Mmmmm ! Je jouis encore !

Ma tension tombe. A peine quelque secondes. Je sens le plaisir qui remonte. Je suis sur un nuage. J’essaie d’ouvrir les yeux mais le bandeau m’en empêche. Quel spectacle dois-je lui offrir ! Est-ce cela qui l’excite ainsi ? Brutalement je me sens dans la peau d’une actrice porno. Je réalise la sensation qu’elles peuvent ressentir à exciter tant d’hommes qu’elles ne voient pas… Je suis une star du porno.

 

Jean le 10/1/2011

 

Tu surfes d'un orgasme à l'autre. Il semble que tu n'arrêtes jamais de jouir. Tu es complètement abandonnée, complètement ouverte, soumise. Le moindre attouchement te fais réagir, gémir.

"Tu veux que j'arrête ?" ton mari te demande hypocritement.

"Oui, non arrête je n'en peux plus... viens prends moi" tu parles d'une voix mourante à peine audible.

Après une dernière plongée entre tes cuisses, et un nième orgasme de ta part, je me recule. Je retire doucement le plug, ton étoile s'étire, s'estompe, puis se referme un instant boudeuse, avant de se rouvrir, avide. J'admire le tableau, ta reddition, ma victoire. Tu es devenue "ma chose", exsangue, le plaisir qui a coulé de ton sexe et qui trempe les draps. Tes lèvres intimes qui ne sont plus un rempart à ta pudeur, mais un écrin prêt à accueillir tous les membres. Ton cul entrouvert agité de petits spasmes. Je peux à cet instant te demander ce que je veux, ce que tu as toujours refusé à ton mari, ce que tu n'as jamais osé faire, demander. Tu n'es plus qu'un sexe en fusion.

Vas-tu reprendre l'initiative?

 

Alanys le 10/1/2011

 

- "Prends-moi s'il te plait, prends moi partout, prends-moi fort, ne t'arrête jamais …

 

Jean le 10/1/2011

 

Je bande comme jamais. Mes instincts dominateurs sont mis à rude épreuve. J'ai envie...

J'ai envie de te faire exploser de plaisir, de te faire mal, de te faire du bien, de te remplir, de te fesser, de te pincer de te mordre... de te manger.

 

Je pose mon gland violacée sur ta rosette. Je suis moins bien loti que ton mari, mais mon gland est épais et rond. Il s'écrase entre tes fesses qui résistent à peine puis s'infiltre entre elles, lentement mais sûrement.

Putain que c'est bon. Chaud, serré... Je vais jouir immédiatement. Je pense à autre chose... le travail, les soucis... ton cul. Un flash... ça vient. Je me retiens, c'est douloureux au niveau du scrotum. J'ai envie de te dévaster...

Je me calme. Je ne bouge plus et j'apprécie tes petites contractions qui me massent à l'intérieur.

Le plaisir reflue lentement. L'orage est passé. Je ne sais pas, je n'ai pas vu tes réactions. Ton visage est figé sur une grimace : douleur plaisir? Tu halètes et reprends ton souffle.

Sais-tu qui est en toi? As-tu remarqué que ce n'était pas le sexe de ton mari qui te sodomisait?

 

Je glisse un doigt dans ton sexe détrempé. Le majeur à la recherche de ton point G. Il s'arrête sur une surface un peu plus granuleuse, presque sous ton clitoris. Il masse doucement. Tu t'agites.

Un deuxième et un troisième doigt t'investisse. Ton mari me donne un gode noir en silicone assez souple. Je retire mes doigts et les remplace par le gode. Il est assez large et cela me comprime dans ton autre gaine.

Il glisse en toi, tel un gros serpent qui rentre dans un terrier.

J'ai envie de te voir remplie de partout...

Mais je ne veux pas que tu découvres ma présence pour le moment.

J'imagine, j'essaie d'imaginer, de me mettre à ta place...Je ne bouge toujours pas entre tes fesses, comme si c'était un autre gode, ou un concombre?

Je fais signe à ton mari qui s'approche de ta bouche. Dès que tu sens le gland sur tes lèvres tu avales ton mari. Le goujat en profite et s'enfonce au fond de ta gorge. Il va et vient comme s'il te baisait. Ta salive s'écoule sur ton menton, sur ton cou, sur tes seins.

Je n'ose pas bouger. Je ne veux pas casser la magie de l'instant. Tu es telle que dans mes fantasmes. Pleine. Tous tes orifices comblés.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je suis au paradis, en enfer... peu importe

Il me sodomise avec tant de douceur j'adore...

Je suis toute à mon plaisir, pas envie de décrire.

 

Il me sodomise gentiment et me caresse, me fouille avec son doigt, m'excite comme jamais il ne l'a fait.

Mmm! et ses doigts en moi... j'adore. J'en suis à rêver de sa main entière, de son poing. On a si souvent essayé en vain, j'aimerais aujourd'hui qu'il réussisse.

 

Non je reconnais le gode silicone. MMM et ces vibrations MMmm je ne peux rien dire, je jouis et jouis encore.

Viens dans ma bouche"

 

Je sens son sexe contre mes lèvres

 

 - "Hey ! Mais qu'est-ce que tu m'as mis derrière ?"

 

Sans ménagement, il profite de ma bouche ouverte pour s'y glisser et s'enfoncer sans douceur.

 

 - "Le jeu continue ma chérie, je t'ai mis quelque chose de nouveau, devine quoi"

 

Je ne le suce plus, je pense trop à ce qu'il m'a mis dans les fesses. Mais il va et vient dans ma bouche, je le laisse faire, je l'accueille entre mes lèvres sans trop y penser, je pense à cette chose. J’étais persuadée que c'était son sexe, cette sensation si agréable que ne me procure aucun de ses jouets.
Il s'enfonce un peu trop, j'ai un haut le cœur, il ressort. J'ai l'impression de me baver dessus !

 

"Ne vas pas trop loin, je ne peux pas plus.... dis-moi c'est quoi dans moi ?"

"devine » "

"je ne sais pas mais c'est le premier sex-toy qui me procure un tel plaisir, fais-le bouger en même temps que l'autre, je veux m'imaginer prise par une bande de brutes"

 

Jean le 10/1/2011

 

"C’est un sex-toy des plus réalistes, ma chérie..."

 

Il me fait un clin d'œil et je retiens un éclat de rire.

Je commence à reculer doucement, retirant simultanément le gode de ton sexe, comme si nous étions solidaires. J'essaie d'effectuer un déplacement le plus régulier possible, jusqu'à ce que mon gland soit presque sorti de ton petit trou. Puis j'avance à nouveau, lentement, inexorablement, te remplissant complètement. Tu es tellement excitée que les deux membres n'ont aucun mal à coulisser dans tes deux orifices. Ils sont là pour ça, ils sont conçus pour ça.

 

"C’est la première fois que je te vois prendre autant ton pied avec ..."

Il laisse sa phrase en suspens.

 

Je suis devenu une "fucking-machine", comme sur ce site où j'avais rencontré le sexe dernière génération, des femmes aux prises avec des robots mécaniques, qui les faisaient jouir sans discontinuer, par devant, par derrière.

 

Maintenant que la place est faite dans ton corps, j'augmente le rythme en évitant de trop m'enfoncer pour ne pas que mes hanches viennent claquer contre tes fesses. C'est la première fois que je réalise une double-pénétration tout seul !

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Je suis tellement serré dans ton petit cul, et cette scène me rend complètement surexcité.

Je regarde ton mari, d'un œil interrogateur... Nous avions convenu qu'il déciderait au moment venu d'éventer ou pas la supercherie.

J'attends son assentiment.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je le sens ressortir

- "Non, ne t’arrêtes, pas continue, emporte-moi plus loin !"

 

Jean le 10/1/2011

 

Je suis dans l'expectative. Mais je ne suis pas un surhomme. Et toi qui m'implore de continuer... Ton mari semble vouloir s'épancher dans ta bouche. Malgré le peu de liberté que te laisse tes liens, tu t'appliques à avaler copieusement le sexe de ton mari, tu le branles littéralement avec ta bouche. Des spasmes le secouent et il laisse échapper un râle. J'imagine qu'il se déverse au fond de ta gorge. Je te laisse déguster quelques instants, car ton mari m'a dit que tu aimais ça. Il s'écarte un peu de toi après que tu l'aies bien nettoyé. Puis je décide de donner plus d'ampleur à mes mouvements. Je viens butter contre tes fesses. Tu n'as pas réalisé, je pense, emportée au septième ciel. Ma queue a complètement disparu dans ton cul. J'attrape alors tes cuisses à pleine main et commence à te pilonner violemment. Le gode est complètement enfoncé dans ton sexe. Mes hanches claques contre tes fesses, tes cuisses. Je ne me suis jamais senti aussi gros. Je vais jouir. Je sens le plaisir bouillonner dans mes testicules et se ruer dans ma hampe. Je me retire et me présente devant ton visage. Une première giclée s'envole...

 

Alanys le 11/1/2011

 

J'ouvre grand ma bouche si heureuse de profiter encore de sa liqueur

Il met son sexe dans entre mes lèvres, je le reprends. Il se déverse en moi, je m’enivre de lui, encore.
Encore.
Encore !

Encore ?

Son sperme est plus salé que tout à l'heure, son sexe a un goût bien plus fort comme quand il m'a...

Mon Dieu mais j'aurais dû le sentir, il est plus large... Je le recrache et me débat

 

"C'est quoi ces conneries ? Détache-moi. "

"Calme-toi. Tu m'as dit que tu voulais que je t’emmène loin, tu m'as supplié de ne pas m'arrêter"

"Avec toi, pas un autre"

"Ne sois pas hypocrite les yeux bandés ça ne t'a pas posé de problème... Alors on continue"

"Non !"

"Ma chérie, ce n'étais pas une question. détends-toi, repose-toi le temps que l'on voit ce qu'on va faire de toi, avec toi..."

 

Jean le 11/1/2011

 

"MMMmmm ça a été un vrai régal Alanys"

 

Tu reconnais ma voix, tu t'en doutais depuis un moment, mais là c'est confirmé"

 

"Jean!! Sors d'ici tout de suite ! Chéri, je ne veux pas, fais le partir !"

 

"On ne traite pas ainsi les invités, ma chéri!! À moins que tu ne me fasses changer d'avis! Qu’est-ce que tu me proposes?" Il me fait un clin d'œil.

 

"Ben je ne sais pas... tu veux que je te reprenne dans ma bouche?"

 

"Déjà fait, autre chose!" répond-il tout en détachant tes jambes qui sont complètement ankylosées.

 

"Tu veux me prendre par devant ?"

 

"Hein? Je ne comprends pas! Exprime-toi plus clairement"

 

Je vois où il veut te mener. Il souhaite que tu emploies des mots qui ont du mal à sortir de tes lèvres en général, que tu te soumettes à sa volonté.

Tu trouves que depuis ce matin, son attitude a changé, il est plus dur avec toi. Certainement l'influence de Jean.

 

"Tu veux me ... baiser?"

"Non... ou juste pour commencer..."

 

Il te répond tout en te redressant doucement pour que tu retrouves tes sensations. Puis il te fait faire le tour du fauteuil et te pousse contre le dossier. Tu bascules en avant, laissant ton postérieur en grand danger.

 

"Tu veux mes fesses ?"

Tu n'as pas le temps de finir ta phrase qu'une claque formidable s'abat sur tes fesses exposées.

"Aïe..."

"Je n'ai pas compris ce que tu me proposes!" et une deuxième claque rougit un peu plus tes fesses.

 

 

Alanys le 11/1/2011

 

Je suis tellement "groggy" que je râle pour le principe. Je suis morte de honte mais heureuse d’avoir fait ça. Je n'ai rien fait de mal que m'amuser avec mon mari alors si à mon insu... J'aime trop le plaisir de la chair et les sensations d'excitation mêlée de honte et d'envie pour me plaindre vraiment. Je suis prête à tous pour faire durer ce moment.

"Fais ce que tu veux, faites-moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez !"

"Tout ?"

C'est Jean qui a parlé

"Oui, faites-moi ce que vous voulez, je suis à vous"

 

Jean le 11/1/2011

 

"Très bien, je note et j'ai un témoin. N'est-ce pas Jean? Tu vas faire exactement ce que nous te demanderons. Tu peux toujours arrêter, à tout moment. Il suffira que tu dises que tu ne veux plus, que tu ne veux pas aller plus loin. J'arrêterai immédiatement. Et définitivement. Nous reprendrons notre train-train et nous n'évoquerons plus cette journée, et l’évolution de nos relations.

Je ne veux pas être celui qui fera que notre relation se ternira. Donc tant que tu ne décideras pas d'arrêter explicitement ces nouveaux agissements, je considérerai agir avec ton consentement, et n'aurai pas de limites. Toujours Ok ? "

 

Un tout petit "oui" sort de tes lèvres.

 

"Comment ? Je n'ai rien entendu?"

 

"Oui, je suis à toi. Je suis à vous. Faites-moi tout ce que vous voulez!"

 

"Parfait! tout d'abord tu vas réveiller nos sens : nous avons besoin de retrouver un peu de rigidité pour la suite."

 

Pierre t'enlève le bandeau des yeux. Tu mets quelque temps à t'adapter à la lumière du jour.

Tu rougis. Devant toi, deux mâles nus, le sexe au repos.

Tu approches, visiblement pour nous caresser. Cette fois c'est moi qui t'arrête.

 

"Stop ! tu dois nous exciter sans nous toucher. Tu peux utiliser tous les objets à ta disposition. Tu ne t'arrêteras que lorsque nous serons tous les deux en érection"

 

Après un moment d’hésitation, tu comprends le challenge. Tu es encore jeune mais néanmoins tu sais comment t y prendre pour faire monter la pression chez un homme.

Tu te bloques un instant lorsque tu vois Pierre prendre la caméra numérique que vous veniez d'acquérir. Mais tu te lances.

Tu commences à bouger lentement, sensuellement. Tu secoues tes seins et tes fesses devant nos yeux. Je dois dire que j'essaie de penser à autre chose, pour ne pas succomber dès tes premiers agissements.

 

"Oui, c'est bien ma chérie! bouge, montre-toi! ouvre-toi!"

 

Tu passes les mains sur ton corps, tu pinces les pointes de tes seins qui réagissent immédiatement, tu glisses une main entre tes cuisses puis un doigt entre tes lèvres. Il ressort tout luisant, ce qui en dit long sur ton état. Tu le porte à ta bouche et tu nous regardes en baissant la tête et en levant les yeux, comme une vraie fausse timide.

Tu reprends tes caresses. Tu t'accoudes sur la table, tout en remuant tes fesses tournées vers nous. Tu passes une main entre tes jambes. Tu caresses ton petit bouton, tout en ouvrant rythmiquement tes fesses. Tu tournes ton visage vers nous, tout en écartant tes fesses à deux mains. Ton petit trou s'est bien refermé depuis mes derniers outrages. Je sens ma gorge s'assécher, mon sexe se lever lentement.

 

Clac! Un bruit sec!

Tu viens de te fesser sèchement! D'ailleurs la marque de tes doigts rougit ta peau blanche. Je ne résiste pas à ça! D'autant plus que tu récidives et que tu n'y va pas de main morte...

En quelques secondes ton cul est tout rouge. Nous sommes hypnotisés. J'ai capitulé et présente une érection honorable.

 

Pierre lui, semble résister encore un peu. Il est peut-être habitué à tes turpitudes ?

Tu t'empares d'un tube de crème hydratante. Tu t'en enduis les mains, puis tu te masses les fesses énergiquement. Tu glisses une main entre elles et tu glisses deux doigts dans ton cul.

Je vois le sexe de Pierre se lever lourdement, par à-coups. Tes fesses luisent et le rouge a faibli pour un rose des plus allechant.

 

Nous sommes tous les deux au garde-à-vous, prêt à honorer notre "victime"...

 

 

Alanys le 12/1/2011

 

Quelles sensations incroyables! Je découvre ce mélange de gêne, de honte même, voire d’humiliation mais compensé par un réel plaisir, un sentiment d’être le centre du monde, sentiment de puissance et même une grande fierté quand je vois ces deux hommes encore tout riquiqui et sans force il y a un instant recouvrer leur honneur, leur vitalité, leur envie de moi…

 

Ça y est, j’ai réussi, ils bandent tous les deux juste à me regarder, je suis très heureuse, très fière.

Je m’approche d’eux à en marchant à quatre pattes, féline. Je m’approche de leur sexe qu’ils me tendent tous les deux, les tenant à l’horizontale comme pour viser ma bouche.

 

Je m’approche et m’agenouille devant Jean, j’ai envie de profiter de ce sexe que je connais si peu. Il est plus petit que Pierre mais il semble concentrer sa puissance sur le bout, bien plus large, plus gros. Je le regarde et l’attrape d’une main. Jean retire la sienne. Je viens enserrer la base de son sexe du pouce et de l’index.

 

J’ai envie de serrer. Pourquoi? Je ne sais pas j’ai envie. Presque à lui faire mal. Pierre est là, à côté, je le regarde. Mon regard lui demande «qu’est-ce que je fais?», «est-ce que je peux?» ou simplement «au secours!». Le sien est presque vide, ailleurs. Il se masturbe devant mon visage. Je sens son odeur, sa chaleur… mais rien d’autre.

 

Jean s’impatiente. Son gland est gonflé de sang, encore plus gros. Ma langue ne l’effleure qu’à peine. J’attends un mot de Pierre qui ne vient pas. Jusqu’à maintenant j’ai subi sans savoir, là c’est moi qui fait, je ne peux pas, il doit me le demander, me le permettre. Pierre s’il te plait…

 

Jean s’impatiente!

 

 

Par Yoni - Publié dans : soumise - Communauté : libertinage et amateurisme
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