Zoo

Mardi 19 juin 2 19 /06 /Juin 23:45

Texte original :  Djibouti

Mon mari est un ancien militaire. Il y a des années il m'a demandé de le rejoindre quelques jours (3 semaines) à Djibouti et nous avons passé quelques jours dans le Nord (Tadjoura, Obock... sur les traces d'Henri de Monfreid et la forêt de Day).

Nous avons dormi dans un drôle de site, censé accueillir des touristes (nous étions les seuls) dans des huttes autochtones très très rustiques! Je vous passe la promenade (très étranges, avec ces grands singes cynocéphales qui nous suivent et sont un peu inquiétants) pour évoquer les moments coquins, à deux sous la douche dans un vrai bâtiment en (presque) dur ou dans la hutte.

Le point commun au petit bâtiment pour la douche et à la hutte ? Pas étanche !

J'ai eu un doute pendant que l'on faisait l'amour dans la douche mais les ouvertures étaient assez hautes. Je n'ai vu personne mais j'ai eu le sentiment d'être observée... puis dans la hutte. J'étais au-dessus de mon mari (j'adore cette position, je contrôle et règle la pénétration) quand je l'ai senti se contracter, alors j'ai changé rapidement pour recueillir "ma" liqueur préférée entre mes lèvres. Je plonge et me retrouve très près du sol, là où il y a une bande "vide".

Je vois le sol dehors, et des pieds, ceux du jeune danakil qui nous a reçus. En fait je vois ses orteils faces à nous... il ne fait pas que passer,  il est là. depuis combien de temps? Je ne sais pas, mais sa présence m'a galvanisée et je me suis montrée bien plus coquine que d'habitude. Alors que j'aime finir nos émois en le recevant dans ma bouche,  là je lui ais dit, j'espère assez clairement pour que notre invitée entende : "si aprés être arrivé comme ça tu es encore assez dur, j'ai envie que tu me prenne par derrière, là où tu aimes bien. Et si tu n'y arrives pas je te previens, il y a un beau jeune homme sur le camps qui prendrait bien la place"

Mon mai a assuré.

Il ne s'est rien passé de plus.

 

Uchronie / Variation 1, les cynocéphales

 

Je vois le sol dehors, et des pieds, des pieds étranges, ou plutôt des mains sombres, griffues... Je suis tellement stupéfaite que je pense à un monstre, un être malfaisant. L'éloignement de ma France natale, l'ambiance bizarre qui a régné tout au long de la journée se confirme par cette présence. Je reste sans voix. Je tape tout doucement de la main sur la cuisse de mon mari et lui fait signe, lui désignant l'endroit de ma vision horrible.

Je pensais que lorsque mon mari se lèverait, l'importun s'enfuirait. Mais il n'en est rien. N'écoutant que son courage, mon mari se dirige  sans bruit vers la porte. Je l'incite à la prudence. Il sort et il éclate de rire. C'est un babouin, assez familier, qui vit parmi ces huttes. Mon mari entre, vient chercher une banane dans la corbeille à fruit et revient quelques instants plus tard avec le singe. Il est immense, plus d'un mètre de hauteur.

Non! Je n'aime pas ces animaux! Ils me font peur!!!

Mais le  cynocéphale n'en a cure et s'empare de la banane que lui tend mon mari. Il a l'air très familier.

Mon mari rit à nouveau.

C'est Mooki ! C'est la mascotte du village... Il est inoffensif! Quasiment apprivoisé! On va un peu s'amuser avec lui...

Fais sortir cette bête!!

J'ai horreur de ses animaux. Ils ont des attitudes tellement humaines... je... ça me trouble, ils me fascinent.

Mooki a englouti la banane. Maintenant il inspecte la pièce, à la recherche de nourriture et n'a pas l'air décidé de partir. Puis il se fige, il lève le nez en l'air et renifle bruyamment. Il se tourne vers le lit, et fourre son nez dans les draps, à l'endroit même où quelques instants plus tôt nous nous ébattions. Il s'excite vraiment maintenant, et son attitude devient un peu agressive... Je suis terrorisée. Mon mari se marre toujours autant. Il n'est pas du tout impressionné par le singe et s'esclaffe :

Il a l'air d'apprécier ton odeur de femelle !! Regarde dans l'état où il est ?

Je suis son regard et reste interloquée. Il arbore un magnifique pénis, rose vif, qui contraste énormément au milieu de son pelage brun doré. Il est disproportionné et c'en est presque ridicule. On dirait une peluche avec un godemiché rose.

La tension est perceptible. L'animal flaire la piste de la femelle en chaleur.

Immanquablement il approche de moi en balançant des épaules. Un vrai mâle sûr de sa force. J'évite de le fixer, de le regarder dans les yeux. Mon mari m'a appris les rudiments de comportement avec ses singes.

- Tourne toi! Montre lui ton cul!

Je hais mon mari... Je le hais comme jamais.

Mais une barrière a craqué. Je pense fugacement à Max, mon chien... A certaines pensées "impures", certaines envies que je n'ose même pas m'avouer... Mon mari, mon mentor me pousse toujours plus loin sur les chemins de la luxure. De la dépravation?

Il me connaît mieux que moi-même et il sait m'amener où je ne saurais aller seule.

Je jette à nouveau un regard vers le babouin qui est maintenant tout près de moi. Son sexe balance lentement entre ses pattes arrière. Encore plus impressionnant de près.

Je frissonne et me soumets. Je me tourne, m'agenouille sur les nattes.

J'attends... Je coule littéralement.

Je sens un chatouillement sur mes fesses. Des poils, un souffle, le mufle du cyno s'insinue entre mes cuisses et renifle mes humeurs de femelle prête à la saillie. Ça semble lui convenir, je sens son museau ? Sa langue? Parcourir ma fente. Ce n'est pas très agréable, un peu rugueux, mais je suis dans un tel état que le moindre contact m'érotise.

Je ne suis plus tout à fait consciente de ce que je fais. Je laisse les événements m'emporter, violer mon âme et mon corps.

Des mains s'emparent fermement de mes hanches. Les mêmes sensations qu'un homme... plus velu certes, mais très similaires. J'essaie de croire que j'ai fantasmé et que c'est mon mari qui est derrière moi.

Mais l'odeur, les poils et la maladresse dont fait preuve l'animal me ramènent à la réalité. Le sexe de Mooki vient buter plusieurs fois dans mon entre-cuisses. J'ai peur qu'il prenne le chemin défendu... Je ne veux pas faire sauter toutes mes barrières en même temps. Et vu ses mouvements désordonnés, je crains qu'il ne me fasse mal...

Je passe une main entre mes cuisses et attrape son sexe brûlant. Immédiatement il entame un va-et-vient frénétique. Je le positionne entre mes lèvres poisseuses et il pénètre aussitôt en moi. Les sensations sont surréalistes. Il me semble que c'est un homme qui est en moi, la même poigne, un rythme un peu soutenu, mais très proche de celui de mes amants habituels.

Il semble maintenant prendre son temps. Ou peut-être est-ce juste ce que je ressens à ce moment-là.

Mon mari se plante devant moi. A la main il a un miroir qu'il a décroché du mur. Il le positionne devant moi et la vision pour moi est trop forte. Cette image à jamais gravée sur ma rétine déclenche un orgasme cataclysmique. La belle et la bête... Ma peau si douce, si blanche et cet animal velu, au faciès terrifiant, au regard brillant. L'ange et le démon... Mes épaules s'écroulent,  mon visage, mes seins s'écrasent sur la natte. Je hurle ma jouissance sans retenue.

Mooki a senti mon abandon. Je suis désormais à lui. Sa femelle soumise. Je fais partie de son harem.  Il redouble ses coups de rein. Il est le mâle alpha, le chef de meute.

Mon mari s'est glissé au sol, pour ne pas offusquer Mooki. Sa queue est à portée de mes lèvres, je ne me fais pas prier et je le prends en bouche. Il est si excité, il attrape ma tête à deux mains et viole ma bouche. Je l'avale complètement et l'aspire avec force. J'ai envie qu'il vienne en même temps que Mooki.

Il ne tarde pas à jouir abondamment déversant son trop plein d'excitation au fond de ma gorge.

Le babouin accélère encore son rythme et je sens son liquide chaud s'écouler au plus profond de moi.

Il se retire sans délicatesse et se couche sur le dos quelques instants.

Puis il se met sur ses pattes et s'en va...

Pas plus romantique qu'un homme !

 

Uchronie / Variation 2, les Danakils

 

Je vois le sol dehors, et des pieds, ceux du jeune Danakil qui nous a reçus.

Mon premier réflexe est de prévenir mon mari. Puis je me dis qu'il est peut-être là depuis un moment et qu'il reluque à travers un trou dans la hutte, et  puis pourquoi ne pas s'amuser un peu. Je me tourne et oriente mes fesses vers le voyeur. Je tortille du postérieur en une invite muette, mais néanmoins explicite.

Aura-t-il le courage d'entrer dans la hutte du "patron". Osera-t-il afficher qu'il a vu la femme blanche en train de batifoler avec son mari? Je doute...

J'entends du bruit à l'extérieur et je me dis qu'il pourrait au moins être discret. 

J'essaie de me concentrer sur la queue de mon mari et reprend mes succions mouillées que j'accentue afin que le jeune homme profite du son en plus de la vue. Mon mari soupire de plaisir. Il faut dire que je mets du cœur à l'ouvrage.

Je passe une main entre mes jambes. J'adore sucer mon mari. J'adore sucer. Je suis trempée et ma main caresse mon sexe depuis mon bouton érigé jusqu'à mon petit trou, entre mes fesses écartées. J'imagine le membre noir du jeune black, je l'imagine en train de se masturber. Je le vois grandir à chaque aller et venue. Le gland violacé, la goutte qui perle. Je commence à perdre la tête.

Mon mari, lui est allongé les yeux fermés, aux anges... Les bruits se sont accentués, mais il n'en a cure. Je tourne la tête pour faire comprendre au Danakil que s'il veut profiter du spectacle jusqu'au bout, il devra être plus discret.

Je ne peux laisser échapper un cri... Il est désormais dans l'embrasure de la porte. Et il n'est pas seul. Je vois plusieurs paires d'yeux rivés sur mon entre-jambe. Je vois aussi les armes qu'ils arborent fièrement.

Mon mari s'est relevé aussi, et s'exclame :

Et merde !

Qu'est-ce qui se passe ? Que voulez-vous?

Un grand black en uniforme assez indéterminé prend la parole :

Ne bougez pas! Vous êtes en état d'arrestation !

J'essaie de couvrir ma nudité avec le drap. Mon mari reprend son assurance :

Qu'est-ce que vous faites ici?  Allez-vous en ! Sortez d'ici!

Je représente l'autorité de l’État Affar Libre... L'état français occupe le territoire de Djibouti et donc le nôtre ! Nous n'acceptons plus d'occupation militaire sur nos terres. Désormais toute personne représentant une armée étrangère à notre nouvel état sera considérée comme belligérante et sera emprisonnée. Veuillez nous suivre...

J'enfile ma robe le plus rapidement possible. Mon mari hausse les épaules et se rhabille aussi. Nous sortons de la hutte, encadrés par une dizaine d'hommes, aux armes et aux uniformes disparates.

J'espère un instant que d'autres personnes vont nous voir, qu'il va y avoir une réaction dans le village, mais nous sommes en pleine nuit... Et puis mon inquiétude grandit quand je vois que mon mari ne fait pas partie du voyage. Ils me forcent à grimper dans un des deux pick-ups garés non loin de là. Alors que nous démarrons, deux soldats sortent de notre hutte en courant et montent dans le second véhicule. Mon mari est resté dans la hutte... Je crains qu'ils n'aient commis l'irréparable, que mon mari soit blessé ou pire...

 

Nous passons en trombe devant la hutte et je peux voir par la porte laissée ouverte mon pauvre mari ligoté de la tête aux pieds en train de gigoter pour essayer de se libérer de ses liens. Ce qui fait beaucoup rire mes kidnappeurs.

 

J'essaie de me lever mais je suis rapidement maîtrisée et je me retrouve les poignets et les chevilles entravées par une corde rugueuse. Puis on m'assoit sans ménagement au fond du pick-up. Les mouvements désordonnés ont eu raison de ma petite robe d'été et j'ai un sein qui essaie de s'en échapper. En bas ce n'est pas mieux. Les volants de ma robe sont remontés très haut sur mes cuisses et ma culotte doit être bien visible! Ma culotte !? Je n'ai pas eu le temps de la mettre dans la précipitation. Les regards convergents des jeunes soldats confirment mon désarroi. J'ai le sexe à l'air dans un véhicule remplis de jeunes garçons bourrés de testostérone, sûrs de leurs forces.

Je me dandine sur mon postérieur pour essayer de cacher ce qui peut l'être. Les gars se marrent. L'un d'eux de la pointe de son fusil soulève ma robe. J'essaie de resserrer mes cuisses. Il me lance un ordre accompagné d'un mouvement de son arme qui fait s'ouvrir mes cuisses. Ça fait plutôt mal, donc je ne résiste pas. L'inquiétude me gagne de plus en plus... Au départ, je pensais que j'étais aux mains d'un groupuscule politisé, organisé et que je n'aurai qu'à attendre le résultat de tractations officielles. Et que je serais libérée dans quelques heures, voire quelques jours.

Mais quand je vois la jeunesse, la violence à fleur de peau et la nonchalance de ces hommes, je commence à craindre une bande armée de petits voyous et imagine une suite moins reluisante.

Les remarques et les rires fusent. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais je devine très bien. Ils ne doivent pas souvent voir de femme blanche nue, encore moins des blondes, qui plus est le sexe rasé...

Je profite de leurs yeux braqués sur mon minou, pour faire un tour rapide de mes agresseurs. Ils sont jeunes, la vingtaine sauf le chef qui a pris la parole tout à l'heure dans la hutte. Il dénote des autres, beaucoup plus grand, plus costaud que les autres hommes qui semblent chétifs à côté de lui. Même si l'odeur de mâle est très présente, ils paraissent relativement propres. Leurs yeux avides semblent fiévreux, peut-être l'alcool, peut-être le khat... 

Le fusil maintenant fait descendre mes bretelles. Je suis inquiète car je ne suis pas sûre qu'ils prennent toutes les précautions avec leurs armes ? Un soubresaut du 4x4 sur ces routes défoncées, un doigt qui glisse sur la gâchette et c'est terminé! Je suis pétrifiée et les bretelles glissent le long de mes bras, entraînant ma robe, qui reste comme accrochée à la pointe de mes seins. Il fait très chaud mais la voiture roule à vive allure et l'air fait dresser mes tétons. L'air... et une vilaine idée qui commence à germer en moi et qui s'insinue peu à peu dans mes zones érogènes. Des images subliminales mais très crues, de corps noirs et blancs mêlés, une rangée de bites d’ébène, énormes et luisantes, tendues vers mon corps attaché, un peloton d'exécution dont j'absorberais toutes les salves...

Le fusil continue mon déshabillage et fait glisser ma robe sous mes seins. Je suis complètement nue, une bande de tissu autour du ventre.

Un des jeunes sort un grand couteau effilé et s'approche de moi, le sourire aux lèvres. Ça y est! C'est terminé pour moi! Je n'arrive pas à prononcer un mot, la gorge paralysée.

Le couteau tranche dans un éclair les liens de mes chevilles. Puis les deux hommes de part et d'autre de moi attrapent chacun une de mes jambes et me font ouvrir les cuisses au maximum, mon corps basculant sur le dos. Ils sont vraiment rustres et je vais sortir couvertes de bleus de cette aventure, si je m'en sors.

Je suis totalement offerte à leurs regards, qui se plantent en moi, qui entrent entre mes lèvres entrouvertes par l'écartement maximal de mes cuisses. Paradoxalement la situation, sexe-crainte, m'excite et ce que je craignais arrive.

Celui qui a tranché mes liens trempe (!) deux doigts dans mon entrecuisse, les doigts fins mais rugueux des hommes qui vivent dans la nature. Il les présente ensuite à ses camarades, luisant de ma liqueur, il les écarte et un filet baveux les réunit. Je suis plus qu'humide. Je ne me suis pas rendu compte de l'état d'excitation avancé dans lequel je suis. Des rires et des injonctions accompagnent la démonstration du jeune au couteau.

Il répond et les rires s'accroissent. Il présente alors ses deux doigts à l'entrée de mon cul, vulnérable aussi de par ma position, et les enfonce sans trop de délicatesse, jusqu'à la garde. Ouf! Le salaud! Du pouce de son autre main, il écrase mon clitoris puis commence des allées venues avec ses doigts. Finalement, cette rudesse, cette maladresse ajoute à mon envie et je commence à perdre pied. Des mains pincent mes tétons, mes jambes sont tirées en arrière, un troisième doigt explore mon anus. C'est la curée... Décomplexés, les jeunes blacks s'en donnent à cœur joie. Je suis fouillée de toute part, ma bouche, mon sexe, mon cul. J'ai envie maintenant d'être prise, violée par ces brutes... Cette dernière image submerge ma conscience... Soudain je tremble, je m'arque, je rugis, je jouis, violemment...  tendue vers un absolu de plaisir.

Lorsque je reviens à la réalité, le pick-up est arrêté. Les hommes sont en train de descendre, toujours plaisantant. Ils m'ont laissé sur le plancher du pick-up, quasi nue, les mains liées, comme une poupée démantibulée.

J'essaie de me rhabiller tant bien que mal. Nous sommes dans un village de huttes, encore plus rustique que le nôtre, au fin fond de la brousse. Je vois arriver le deuxième 4x4 et en descendre le reste de la troupe. Les deux groupes s'apostrophent en riant et je pense savoir ce qui est le sujet de discussion principal, vu les regards qui convergent vers moi. J'ai du mal à croire que cette bande de jeunes puissent représenter un quelconque pouvoir politique. J'ai plus l'impression d'être confrontée à un gang de banlieue qu'à des militaires en armes. Sauf que tout se passe dans une bonne humeur et une insouciance parfaitement africaine, à laquelle j'ai du mal à adhérer. Je me demande à quelle sauce je vais être mangée. J'espère que mon mari a pu se libérer et qu'il a donné l'alerte.

J'ai honte de ce qui s'est passé dans la voiture, honte de m'être laissée aller, mais ce genre de situations a toujours été à double tranchant pour moi. D'une part, la peur qui me paralyse, qui me bloque et m'empêche de réagir, d'autre part une excitation associée à une impuissance face à des éléments que je ne maîtrise pas, et qui me "forcent" à faire des choses que je ne souhaite pas consciemment. Mais mon corps me trahit dans ces situations, il me trahit et gangrène mon esprit, jusqu'à reddition complète. Je me rends alors, à tous les vices, déchire tous les tabous, et je dois avouer que j'y ai puisé mes orgasmes les plus violents.

Deux jeunes blacks m'ont sortie du pick-up et ont attaché mes poignets liés à une poutre.

J'ai juste assez de corde pour pouvoir m'asseoir au sol. J'essaie de couvrir ma vertu, du moins ce qu'il en reste, du mieux que je peux. Les hommes se sont regroupés, ils sont une douzaine, et palabrent. Le ton monte et l'agressivité se fait jour. Le présumé "chef" prend la parole et calme les esprits. Sur une dernière phrase, il semble conclure une négociation, car les hommes s'égayent dans le village. Un groupe s'est formé et se dirige vers moi. Je ne reconnais aucun de ceux qui étaient à l'arrière du 4x4 avec moi, sauf le chauffeur et son voisin. En fait, tous ceux qui n'avaient pas pu profiter de moi pendant le voyage. C'est donc ça que ces salauds ont négocié. Moi! Comme une marchandise, une denrée rare sous ses contrées. Je me sens rabaissée au rang d'objet, impuissante, sans défense... Mais ai-je vraiment envie de me défendre?

Ils sont huit maintenant autour de moi. Huit! Ils me détachent, libèrent mes poignets. Ils se mettent en cercle autour de moi, ne me laissant aucune issue.

Enlève ta robe!

Du français! Ils sont au moins deux à parler français... je vais peut-être pouvoir négocier ?

Enlève ta robe, vite!

L'ordre est ferme et la voix pleine de désir. Il fait une chaleur abominable et je vais griller nue au soleil. La voix a pénétré mon ventre et remue mes tripes. Je fais glisser les bretelles que j'ai mis tant de temps à remettre, et la robe choit, après s'être un peu accrochée à mes seins puis à la cambrure de mes reins. A peine le tissu touche le sol que le cercle se referme sur moi comme un banc de requins sur une sirène. Je suis rapidement submergée par les sensations multiples qui m'assaillent... l'angoisse d'être soumise à ces brutes pas très délicates, l'odeur forte de tous ses hommes en rut, la vision de ces corps musclés, sans graisse, pour la plupart torse nu maintenant, luisants de sueur, le champ d'ondes sexuelles qui me traverse, le soleil brûlant qui chauffe ma peau... Je ne suis plus qu'une boule de désir en suspens.

Les premiers contacts, des mains, des doigts qui me fouillent, me palpent, m'ouvrent, me pincent. Des corps qui se frottent contre moi, se collent à mon dos. Des sexes qui cherchent leur chemin, qui glissent, butent, se bousculent. C'est la cohue dans un brouhaha indescriptible.

Trop de monde, trop de membres, trop d'envies convergentes et l'inévitable se produit. Tous ces mâles gorgés de testostérone en viennent aux mains et en peu de temps c'est la bagarre généralisée. Je suis aussi surprise que frustrée. Je pense pouvoir tirer mon épingle du jeu. Je n'ai pas envie d'assister à une boucherie pour être sacrifiée ensuite à une bande de brutes en furie. Je hurle :

Arrêtez ! Arrêtez! Ça suffit, calmez-vous ! 

Ils sont si étonnés que la bataille stoppe dans l'instant. Tous les regards sont tournés vers moi, intrigués.

Allez chercher votre chef!

Celui qui parle français obéit et revient quelques instants plus tard avec le "gradé".

Je lui demande un entretien en tête à tête. Je lui propose quelque chose en échange de ma libération. Il négocie car il veut aussi sa part du gâteau. Finalement nous tombons d'accord. Il a obtenu en plus de ma proposition initiale que je me soumette à tous ses désirs pendant toute la fin de la soirée. Les limites fixées me conviennent. Ensuite je serai  libérée et ramenée à mon village...

Il propose alors aux hommes qui attendent, ce dont nous avons convenu. Certains protestent un peu, mais le boss élève la voie et au ton je comprends que pour eux ça sera ça ou rien...

Finalement, les hommes matés forment à nouveau le cercle autour de moi. Puis ils ôtent leurs pantalons ou le descendent simplement sur leurs cuisses. Je n'ai jamais vu autant de sexe en même temps. Les Danakils sont bien montés, d'une longueur peu commune mais pas forcément très épais. 

Certains présentent une érection déjà bien avancée. Je m'agenouille devant ceux-ci et sans plus de cérémonie prends le premier en bouche. J'en avais tellement envie, depuis que tous ces mâles tournaient autour de moi. J'en avais l'eau à la bouche!!!  Le premier est victime de ma furie gourmande. Je le pompe si goulûment qu'il se lâche au bout de quelques secondes!! Ah! La jeunesse ! Je suis surprise et manque de m'étouffer. J'avale consciencieusement le liquide brulant. Mes seins et mon sexe me font mal de désir.

Je n'ai pas le temps de m’appesantir et passe au suivant. Lui aussi me paraît passablement excité, il passe ses mains dans mes cheveux et s'enfonce lentement, le plus profond possible. Il est vraiment très long et je ne peux l'avaler en entier. Je me recule et essaie de lui apprendre la douceur. Je prends ses bourses à pleine main et les tire vers le bas, tendant son sexe au maximum. Je passe alors la pointe de ma langue sous son prépuce et le titille. Lui aussi apprécie mon traitement et ne tarde pas à apprécier ma douceur humide. Il se déverse mais je ne peux pas trop en apprécier le goût car il est trop profond, en aval de mes papilles. Il pousse un cri touchant et me relâche. Ses jambes flageolent.

Le troisième a un peu plus de mal. Il se masturbe pour présenter une érection digne de ce nom. Sa queue est plus grosse que celle de ces congénères et je suis émue par cette belle bite flaccide. J'ouvre mes lèvres et m'efforce d'avaler l'énorme appendice. Dès que je l'ai touché, le membre s'est mis à gonfler et à durcir. J'adore ce pouvoir que mon corps, que mes mains que ma bouche peut avoir sur le sexe masculin. Je sais que je ne suis pas la seule à le détenir mais je me sens si puissante à ce moment-là, lorsque le membre s'érige, lorsque le gland émerge de son prépuce, lorsque la queue devient si dure ! Je peux à peine prendre le gland violacé dans ma bouche... gigantesque. Je m'aide de mes deux mains pour essayer de cajoler au mieux le tuyau noir. Tout à coup, l'homme se retire et je peux voir à quelques centimètres de mon visage, l’œil unique de son gland s'ouvrir sur un geyser blanc, qui atterrit sur mon front, ma joue, mon cou, mes seins. Une douche rafraîchissante dans cette atmosphère torride. Je m'empresse de récolter et de goûter à la précieuse semence. Quel ineffable plaisir! J'adore ça! Et quand je vois ce qui m'attend...

Pour le moment je n'ai pas eu trop à m'employer, et mes maxillaires fonctionnent encore bien!! Seuls mes genoux commencent à me faire mal. Aussi je demande au quatrième de s'allonger sur le sol. Je profite de la position pour lui dévorer littéralement sa belle queue et ses testicules. Il adore ça et glapit doucement tout en tressautant. Je suis agenouillée sur le côté et fait bien attention de ne pas trop m'exposer pour ne pas déclencher une nouvelle bataille rangée. Une nouvelle fois je vaincs le mâle et je déglutis avec plaisir le sperme sous pression.

Les quatre autres sont restés debout. Je décide d'accélérer les choses. Je m'agenouille entre eux et les fait m'entourer. Leurs sexes sont tous à portée de ma bouche. Pendant que j'embouche le premier, je masturbe ces deux voisins. Finie la douceur, j'ai envie de sucer comme une salope, j'ai envie qu'ils me giclent dessus, j'ai envie d'avaler leur sperme, d'engloutir leurs grosses queues. Je suis dans un tel état d'excitation que j'ai envie de me soulager dans l'instant. Toujours agenouillée, je m'assois un peu sur mes talons, et commence à me frotter doucement contre eux. Je suis tellement mouillée que je n'aurais aucun mal à faire entrer mon talon entre mes lèvres. Je suis béante et gluante.

A l'étage au -dessus, ces messieurs commencent à s'échauffer. L'un d'eux m'attrape par les cheveux de part et d'autre de mon visage, et viole ma bouche. Il se sert de ma bouche comme d'un sexe et va et vient sans discontinuer. Je fais attention à ne pas m'étouffer et essaie de l'avaler au maximum. Finalement il me maintient la queue enfoncée au fond de la gorge et se déverse à gros bouillons dans un cri sauvage. Les autres sont à point. Moi aussi d'ailleurs, mes talons font merveille entre mes cuisses. J'ai juste le temps de prendre  le premier en bouche qu'il gicle sur ma langue. MMMmmm ! J'adore. Le second, lui n'a pas le temps et m'envoie sa liqueur sur le côté du visage, dans les cheveux, dans le cou.

Le dernier serre sa queue entre ses doigts retardant son éjaculation le plus possible, afin qu'il puisse jouir dans ma bouche. J'enfourne son membre qui gicle violemment. Le sperme déborde de mes lèvres et coule sur mon corps. Je suis Vénus, je suis la Femme, j'ai dompté le Mâle, je l'ai vidé. Je frotte mon sexe gonflée une dernière fois sur mes talons et je jouis de la tête au pied, je jouis par toutes les parcelles de mon corps.

Je suis vidée... Et quand je sais ce qui m'attend maintenant, je ne rêve que d'un bon bain frais pour me régénérer. 

Par Yoni - Publié dans : Zoo
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 11:47

Grâce à jean qui a gardé nos échanges par mail, je vous livre cette aventure vielle de déjà 7 ans !

Le temps passe si vite.

Bisous mouillés à tous


12 décembre 2002

Bonjour,
Tant de questions et si peu de temps pour vous répondre !

Max s’occupe de moi tous les 2/3 jours, j’évite soigneusement la sodomie, il est trop gros et trop brusque ; il fait trop mal ! en revanche j’aime à le goûter pour débuter nos rapport et pour terminer.

Généralement mon mari participe, pas toujours.

J’ai réussi, sans difficultés, à le convaincre d’inviter notre voisin (c’était son idée) mais ça a été plus dur pour la fessée. Je me suis traitée de sotte méritant des gifles et comme il ne réagissait pas je lui ai dit que si j’étais encore une gamine c’est une bonne fessée que j’aurais méritée !

Là il a réagi !

Il me l’aurait bien donné sans tarder mais je l’ai convaincu que ce serait mieux si c’était notre voisin !

Je l’ai vu hier, je lui ai demandé s’il voulait bien venir bricoler ma tondeuse en panne … et parler plus sereinement de ce qu’il avait pu voir.
Rendez-vous demain (aujourd’hui mercredi j’avais mon garçon à la maison !)

J’ai hâte maintenant

En fait ce sera, j’espère, la première fois que le fantasme de mon mari se réalisera : mes 3 accès honorés ! moi ce que j’espère, c’est d’avoir entre mes fesses un sexe souple qui me donnera du plaisir sans douleur (mon mari est comme Max : gros, dur et peu délicat)
Vous avez raison, Max n’entrera qu’après la fessée, sinon il va dévorer ce pauvre monsieur !

 

13 décembre 2002

 

M.Martin est venu vers 14h

Je l’ai accompagné jusque dans l’atelier de mon mari (où se trouve la tondeuse et d’où mon mari peut nous entendre).

Je lui ai immédiatement présenté mes excuses pour le spectacle involontaire.

Il m’a dit que ça l’avait effectivement choqué mais que tout le plaisir était pour lui, je l’ai gentiment corrigé précisant que c’était bien pour moi aussi.

Puis je lui ai demandé de ne pas me juger trop durement, tout cela s’étant passé sans ma volonté, suite d’événement…

Je lui ais expliqué la gâterie à 4 pattes et l’arrivée de Max, son coup de langue et ma réaction, il me coupe « mais vous étiez encore habillée ! »

« Oui mais avec une jupe si courte, et dans cette position ! »

« Mais vous aviez une culotte »

« non, jamais »

« Vraiment ? Même maintenant ? »

Sans rien dire j’ai soulevé le devant de ma robe : mon pubis fraîchement rasé lui démontrait la vérité.

« Effectivement c’est appétissant » me dit-il

« Imaginez dans la position » et je prends la pose devant lui, au sol

Max vient mettre son museau, je le repousse « vous voyez, si mon mari ne m’avait pas maintenu il ne se serait rien passé ! », Sur ce mon mari intervient avant que je ne me relève.

« Encore ! Mais tu es vraiment en chaleur ! Monte là haut, tu vas voir ! » Je file à l’étage

Je l’entends essayer de m’excuser et inviter M. M à monter également, ils montent.

Arrivé en haut mon mari me fait une scène et me menace d’une punition, le voisin prends ma défense, cela ne le calme pas, il m’attrape par la taille et dit qu’une bonne fessée devrait me calmer.

Il me pousse vers M et relève ma robe, commence à me gifler (faiblement à vrai dire)

Sincèrement j’ai peu honte, j’y avais tellement pensé, mais je suis déjà trempée !

Pour mieux gifler mes fesses il me penche vraiment et mon visage est sur le ventre de M.

Ma main se pose sur son sexe : il semble dur !

Mon mari le voit et s’énerve « mais c’est vraiment une chienne, rien ne la calme » il continue « tenez, continuez pour moi, autant en profiter ! »

Il me retourne, M n’hésite pas un instant et sa main continue la fessée.

Mon mari sort son sexe, m’attrape la nuque et me force à l’avaler.

Dés qu’il s’enfonce en moi, je sens les gifles s’abattre beaucoup plus fort sur mes fesses, ça chauffe vraiment !

Très vite, ils changent à nouveau, mon mari dit « mettez vous à l’aise, faites comme moi »

Le sexe de M est plus petit et moins dur que celui de mon mari mais très honorable.

Il sent bon, il me plaît.

Je l’avale.

Mon mari reprend ses claques au bout d’un instant il dit « on va la laisser se caresser seule, si ça suffit pas on appellera Max

 

C’est fou comme les choses du sexe se passe facilement avec les hommes, jamais je n’aurais pensé que cela sois si aisé de plonger ainsi dans la luxure !

…………

Mon mari s’est installé sur le canapé comme la 1ère fois avec Max et m’a appelé « viens, à 4 pattes, mange moi, montre à M. M comment tu es ! »

Je m’installe et commence à le manger.

il tire sur ma robe (qui avait repris sa place lorsque je me suis relevée) et dit à M

« Faites entrer Max il piaffe d’impatience derrière la porte »

Max entre et viens mettre son museau entre mes fesses (il connaît bien le chemin maintenant)

Mon mari me prend par les aisselles et m’amène contre lui, genoux sur le canapé, il me pénètre, Max me lèche.

M. M regarde le spectacle, je le regarde et lui souris, il s’approche, je le prends dans ma bouche.

Excité, Max me monte dessus ! je me relève pour l’empêcher de me sodomiser (il me fait trop mal) , mon mari râle « tu ne va pas laisser Max comme ça, c’est pas sympa, viens mon chien approche » il le fait monter sur le canapé (pattes avant) jusqu’à ce que son sexe puisse être prés de ma bouche, je l’attrape (j’avais lâché M quand Max m’est monté dessus) et commence à le sucer, le plus profondément possible, puis le léchant du bout de la langue.

Mon mari reprend « maintenant c’est notre voisin qui est frustré ».

Je dis « venez derrière, doucement, prenez soin de mon petit trou, il aime ça mais il est fragile ! »

Mon mari peine à extraire un préservatif de sa poche et lui donne, il le met.

Il se positionne, son sexe n’est pas trop dur, il entre doucement et entame un va et vient délicat. C’est vraiment délicieux !

Je taquine Max mais je goûte le plaisir de mon tendre voisin.

Mon mari n’est qu’un accessoire ! Un gros accessoire tout de même.

Au bout d’un moment, le voisin annonce qu’il va arriver.

Je lâche Max et dit « venez dans ma bouche ».

Il vient vers moi, je lui retire le préservatif et l’avale, il tarde un peu.

Pendant ce temps Max, têtu, est repassé derrière mais le terrain a été préparé et il me sodomise violemment mais sans douleur.

Mon voisin se répand alors, j’ouvre la bouche pour qu’il puisse profiter du spectacle de son sperme sur ma langue et mes lèvres. Son dernier jet arrive sur ma joue.

Je passe une langue gourmande sur mes lèvres pour avaler sa liqueur.

Max se fait plus pressant.

Je me retourne alors, à ma grande surprise, il me lèche le visage, récupérant le sperme de M. Martin qui restait encore sur mes joues.

Mon mari arrive en moi et du attendre un long moment que Max arrive à son tour.

Enfin libéré, il me tend son sexe ramolli et trempé que je lèche très vite avant de m’occuper d’avantage de celui de Max…

La suite fut plus calme.

Mais il y en aura sûrement d’autre…

 

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 17 novembre 2 17 /11 /Nov 11:23

(mail à Jean mon guide en libertinage)

 

Vous êtes un monstre !

Comment avez-vous pu me faire faire une chose pareille ?

Comment ais-je pu me laisser entraîner à faire une chose aussi dégradante, aussi humiliante

Je suis morte de honte

Je suis tellement…

Heureuse d’avoir osé le faire

Fière d’en avoir eu le courage

Et mortifiée

J’ai eu très mal (je vous expliquerais)

Et j’ai joui comme jamais

Mon mari et Max pour moi seule

Tout c’est passé comme vous l’avez probablement imaginé

Mon mari ET Max

Ça a été extraordinaire

Depuis le matin j’étais en jupe (mon mari m’a demandé de mettre LA plus courte ! même mon petit garçon était surpris de ma tenue – et cela m’a beaucoup gênée) avec plug et boules.

J’ais fait mon petit ménage comme cela, ainsi que quelques courses (le pain et du courrier à faire peser à la poste).

Bouger avec des boules de geishas est hallucinant !

Très désagréable si ce n’est pas inscrit dans un scénario coquin (ma première expérience fut très décevante) mais génial quand on « joue le jeu ». Et là je savais que cela allait monter crescendo car Jean, ma mauvaise conscience, m’avait poussée dans un défi qui m’excitait.

Et je suis restée ainsi pour amener mon fil au tennis, pour l’attendre… Plus d’une heure ainsi au bord du court dans un club très actif (toujours du monde !) et une bonne demi-heure au moins au club house à attendre qu’il se change et fasse avec ses copains un dernier baby foot.

Soit je tentais de m’asseoir discrètement, et le plug semblait s’enfoncer plus encore, bousculant au passage les boules capricieuses. Quant à ma jupe, elle semblait alors remonter au dessus du raisonnable. Un voyeur, assis face à moi dans l’axe, aurait pu penser que j’avais mes règles en voyant la ficelle de mes jouets qui dépassait. Soit je restais debout pour ne pas risquer de dévoiler ce que ma trop courte jupe peinait à cacher, mais les boules venaient alors s’entrechoquer doucement dans mon ventre distillant de petites ondes troublantes et risquait de tomber d’un moment à l’autre car ma gêne n’empêchait pas mon démon intérieur d’ouvrir les vannes d’un plaisir malsain qui humidifiait mon intimité. J’avais l’impression d’être observée par tout le monde, déshabillée du regard et certainement l’objet de réflexions fort désobligeantes…

Max est resté avec moi toute la journée. J’avais peur qu’il sente mon excitation et vienne coller son museau sous ma jupe lorsque j’étais en ville ou au club mais il est resté sage.

Toute la journée j’ai caressé Max gentiment et, lorsque nous avions un instant d’intimité, je trempais mes doigts en moi pour les lui donner à lécher : il aime.

Et puis après avoir déposé mon gamin chez ses amis en fin d’après midi et pour la soirée, fait quelques pas en centre ville (ce qui m’a mis dans un état d’excitation pas possible) ; nous sommes rentré et j’ai poussé mon mari sur le canapé du salon me suis mise à genoux et l’ais dégrafé pour le manger goulûment.

Max n’a pas traîné à venir

Il m’a reniflé et j’ais stoppé ma fellation pour « râler » un peu, mon mari m’a dit « laisse lui ce plaisir ta liqueur est si bonne.

Effectivement il a commencé à ma lécher.

Je lui ais dit alors

« Avec le plug il n’y a pas beaucoup de place »

« Lève-toi » me dit il, il me fait retourner, m’enlève le plug et dit « reviens me manger »

Je reprends la position, genoux plus écartés encore, Max se mit à me lécher partout, j’ai joui très vite.

Mais lui aussi très excité est monté sur mon dos, j’ai protesté (j’avais peur) mon mari m’a pris les épaule pour me dire «laisse toi faire »

Et Max est entré dans moi et ce fut douloureux car il est entré la où c’était possible…

Il est entré comme une brute dans mon fondement

J’ai eu très mal mais heureusement que le plug m’avait préparée ; la douleur s’est vite atténuée et mes premières larmes ont vite laissé la place à un grand plaisir.

Mon mari était comme fou, … mais je ne le suçais plus, j’avais trop à faire à subir Max, déchaîné, alors il a glissé du canapé, sous moi, et m’a entraînée sur le tapis (Max ne me lâchait pas bien sur, les pattes serrées autour de ma taille)  alors il a enlevé les boules de Geisha et m’a pénétré à son tour.

C’était indescriptible mais extraordinaire

Encore merci Jean de m’avoir permis cela

Je vous adore

 

(nota : mon mari croit encore que c’est lui qui m’a initiée, ce jour là à la zoophilie, alors que c’est mon « amant », ma « mauvaise conscience » qui m’y a poussé)

 

Bisous mouillés

(bisous plus enveloppant encore et qui va finir trés mouillé à JeanPhil pour le remercier du dessin)

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 21:53

"Bisous mouillés, le secret"

 

Le vrai secret de mon attachement à mes « Bisous mouillés »

 

Comment tout a commencé ? Je ne sais plus

Avec ma charmante nièce (majeure) nous avions céder à une attirance mutuelle et depuis quelques années, lorsque nous nous retrouvons seules, il nous arrive de nous laisser aller à quelques plaisirs saphiques.

Malgré une expérience certes tardive mais certaine, je dois avouer que c’est elle qui m’a initiée à ces plaisirs que je ne connaissais pas et qui même me répugnaient a priori.

L’homosexualité n’a jamais été ma tasse de thé, homme ou femme pareillement. Je ne juge pas et suis heureuse que certaines et certains puissent s’épanouir ainsi, mais moi il me faut un homme, au moins, pour me combler tout à fait.

Mais l’amour que je portais à ma nièce, la tendresse naturelle qui nous liait ont effacé le dégout du sexe opposé. Ces baisers sur mes joues étaient si doux. Son parfum si troublant… Cela s’est fait très simplement.

Je ne suis toujours pas bisexuelle, je ne pratique qu’elle, même si parfois, c’est vrai, je me suis laisser aller à quelques excès en boite libertine. Mais ce n’est pas ma préférence. Mais ma petite Lolita qui a si joliment grandi ! J’adore ses caresses et ses baisers.

 

Ce soir là il y avait un Toulouse-Monaco (je m’en souviens parfaitement) et nos hommes avait préféré le foot à nous.

Tant pis (pour eux)

 

Nous avons papoté pendant une petite heure peut-être avant que la conversation ne vienne se poser sur « les choses de la vie ». Lolita m’avait connue très très libertine et en avait même profité un peu, et lorsqu’elle est de passage (rarement hélas, ils habitent loin, à Paris) elle me demande immanquablement si j’ai repris goût à ces plaisirs ou si j’ai définitivement tiré un trait sur cette vie. C’est vrai que lors da sa précédente visite je ressemblais plus à une bonne sœur qu’à ce qu’elle avait connu de sa tante (j’exagère à peine).

Et bien non ! Si mon chéri a voulu tirer un trait définitif, moi je me suis contentée d’une encre bien sympathique pour rayer cette période. J’aime trop les plaisirs du sexe, les petites exhib gentilles, les petits coups de canifs dans un contrat que j’aime bien juteux (oups ! je me laisse aller).

 

Je disais à ma nièce que son idiot de tonton avait toujours ce besoin un peu pervers de me voir comblée par tous les trous mais ne me prêtait plus comme avant à ses amis, préférant utiliser des godes ou ce qu’il pouvait trouver (j’ai testé pas mal d’objets rigolos ou de fruits et légumes mais rien ne vaudra jamais un sexe mâle, chaud, doux, puissant et généreux !).

 « tu me montres ? » me dit-elle, curieuse de voir ma collection.

 « viens » lui dis-je en allant vers ma chambre.

 

Derrière une pile de linge, une boite à chaussure…

 « Mmm ! j’en essaierais bien moi, faute de mieux. » me dit-elle, coquine.

 « Tu me donnes envie »

Je m’approche d’elle, lui caresse la joue doucement et dépose un baiser très tendre sur ses lèvres. Elle me le rend et me mord la lèvre inférieure

« ça fait longtemps que j’en avais envie »

« moi j’aurais envie de plus »

Et nous nous embrassâmes avec passion. Nos langues mêlées, l’une mordillant les lèvres de l’autre comme deux amoureuses enflammées. Nos mains se mirent à parcourir le corps de l’autre. Me suis-je déshabillée ou m’a t-elle arraché mes vêtement ? Et elle, comment me suis-je retrouvée lui embrassant ses seins si beaux (bien plus que les miens mais je n’arrive pas à être jalouse d’elle). Comment ses doigts ont-ils pu arriver si vite entre les lèvres intimes de mon sexe ?

Comment en sommes-nous arrivées à cet échange de baisers intimes l’une embrassant le clito de l’autre dans un accord si naturel.

Au début nous nous léchions ensemble, faisant monter le plaisir puis, à l’orée de ce plaisir, ne pouvant plus offrir et donner à la fois, nous alternions les baisers et les soupirs, les soupirs et les baisers, changeant d’instinct avant de craquer… pour ensuite se laisser aller. Il faut préciser que toutes deux parfaitement épilées (c’est moi qui l’ai initiée à cette pratique … qui attire la bouche et le sexe des hommes plus sûrement qu’un long discours), les cunni sont autant un plaisir des yeux que du reste.

C’est elle qui a pris le dessus. D’ailleurs c’est vrai, j’étais couchée, un oreiller sous la nuque à caresser ses jolies fesses de jeune femme en goûtant au plaisir qui s’annonçait. Et je fus prise d’un spasme et d’une jouissance merveilleuse.

Après un instant de répits, je repris mes baisers intimes lorsque je sentis le museau de Max qui s’avançait vers cette fontaine au suave parfum bourré de phéromones femelles je suppose.

Max est un expert en léchouille et je le laisse volontiers faire.

Lolita a déjà eu affaire à mon amant et accepte sa grande langue gourmande.

Mais Max est un amant très directif. La première fois qu’il ma prise, il s’était imposé presque méchamment et je n’avais pas osé bouger. Depuis, le connaissant bien, je sais qu’il est juste excité et entreprenant sans aucune méchanceté, même si parfois il laisse passer un grognement qui pourrait impressionner. Il m’est arrivé de le repousser et il n’a jamais eu de geste et ses rares grognements n’ont jamais duré (et jamais ses dents n’ont effleuré ma peau).

Max monte sur ma Lolita et commence son ballet un peu ridicule, son sexe tapant un peu n’importe où sans trouver la voie pourtant béante de son vagin.

Lolita fait l’autruche, plongeant sa tête entre mes cuisses, prenant mes grandes lèvres à pleine bouche avec un entrain qui pourrait laisser croire qu’elle ne sait pas ce qui se passe.

J’aime ce qu’elle me fait, même si c’est aussi violent et désordonné que ce que fait Max, mais j’aime tout ce qu’elle me fait ! J’attrape le sexe de mon cher beauceron pour le guider. Il entre et libère sa fougue.

Elle a cessé de me manger.

J’ai si souvent pris du plaisir avec lui mais voir ce gros sexe rouge plonger dans l’écrin délicat de ma nièce à quelques centimètres de mon visage ! Sentir leur excitation inonder mes narines ! Recueillir sur mes lèvres la rosée qui perle de cette fleur agressé par la bête en rut ! Entendre les râles de jouissance de mon amante adorée ! Sentir sa joue se frotter sur mon sexe grand ouvert !

Quel bonheur, quel plaisir, quel extraordinaire moment de complicité et de laisser-aller au plaisir absolu !

Et soudain ce n’est plus quelques gouttes de rosée qui mouille mon visage mais une chaude averse estivale. De grosses gouttes s’abattent sur mon visage. Mes lèvres s’ouvrent pour recueillir cet élixir que je connais si bien et qui m’enivre à chaque fois.

Puis Max stoppe presque et son sexe sort de son écrin laissant s’écouler son plaisir et celui de ma nièce en d’incroyables filets d’une liqueur parfois épaisse parfois si fluide, la délicatesse paradoxale du mâle animal mêlée aux denses sécrétions de ma belle amante. Ma bouche grande ouverte s’approche, ma langue effleure le sexe de Max qui s’éloigne déjà. Mes lèvres se plaquent contre celles, plus intimes, de ma coquine de nièce qui a planté sa langue au fond de moi.

Puis nous nous sommes relevées et nous nous sommes embrassées sur la bouche.

J’étais trempée de leur plaisir, elle était trempée du mien.

Elle m'a dit tout simplement : "j'adore tes baisers mouillés" et c'est resté

 

 

Bisous mouillés

 

Ps : merci Jean-Phil pour tes dessins qui nous représentent si bien

 

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : chaude&caline
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 09:05

Résumé : Julie, une chateuse avec laquelle nous nous amusions à nous lancer des défis d’exhib me pousse à lui avouer un fantasme qui est en fait plutôt une « obsession » : je suis fascinée par le sexe de mon chien.

 

Je prends mille précautions pour le lui avouer, lui demandant par avance de ne pas me juger et de garder notre amitié même si mon « annonce » devait la choquer.

Elle me rassure, je me lance et lui avoue ma fascination pour ce large sexe rouge et lisse qui m’obsède. Contre toute attente elle n’est pas choquée et m’avoue s’être déjà laissée lécher le minou par un chien et avait trouvé cela génial.

Elle me demande s’il est là.

Oui

Elle me demande si j’ai de la confiture. C’est ainsi qu’elle a fait avec son chien, une bonne gourmandise offerte.

J’ai du miel.

Elle me demande d’aller le chercher…

Et ma connexion me lâche ! Je suis déçue car son entrain m’aidait. Je n’osais pas franchir le pas.

Mais j’avais ce pot de miel la main, Max dans les pattes et le feu au ventre.

J’ m’installe au salon, sur mon canapé en skaï et trempe 2 doigts dans le pot de miel.

Je les tends à Max qui me lèche immédiatement, longuement. Ce ne sont que des doigts et il me semble que mon plaisir monte déjà.

Je plonge dans le miel et ose me caresser le sexe ainsi puis offre mes doigts à Max qui se régale à nouveau.

Je me laisse aller en arriéré, écarte les jambes, Max me suit, me léchant toujours la main.

Ma main s’approche de mon sexe

Je n’ose pas et reste un instant à quelques centimètres à peine. Sa langue m’effleure presque.

Je craque, j’ai besoin d’arriver. Je ne pense plus forcément à Max, juste à mon plaisir. Je pose mes doigts sur mon clitoris et commence à me masturber toute seule… Mais Max me suit et trouve tout ce bon miel étalé sur mon minou tout lisse et si sucré. Il me lèche avec avidité. Je me caresse comme une folle. J’ai un premier orgasme quasiment de suite.

Je retire alors ma main et me laisse aller à moitie saoule.

Je le regarde me lécher, c’est si bon !

Je m’imagine déjà à quatre pattes, la chienne de mon chien…

Je m’imagine le prendre dans ma bouche… mes amants aiment tant cela et j’aime tant quand ce sexe qui explose par ma seule volonté…ce gout si agréable…

Je reprends mes caresses et arrive encore une fois.

Mais Max n’a pas d’érection, le goujat. Trop gourmand !

Je me lève et vais chercher ma boite à malice… Je pose un peu de miel sur un gros gode et lui donne à lécher… ce qu’il s’empresse de faire. Dés qu’il est bien mouillé je  le mets entre mes lèvres intimes et mets en route les vibrations… Max reprends ses léchouillés.

J’aurais aimé tellement plus

Mais je me paye un troisième orgasme de folie…

Merci Julie de m’avoir aidée à franchir ce pas.

(à suivre)

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : chaude&caline
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