Les aventures commencent souvent dans les tracas quotidiens…
Nous avions emménagé dans une coquète maison en bordure d’un petit bourg. Grande piscine, immense terrain à deux pas des commodités mais loin des voisins. Cela augurait de bon moments à venir.
Et c’est vrai que le premier été fut très « chaud ». La haie qui borde le terrain me permet de bronzer nue au bord de la piscine ou de nager sans contrainte ce qui est un régal.
Aux premières chaleurs je lisais dans l’un des hamacs lorsque mon mari est venu me taquiner. C’était encore le temps des cerises et mon hamac était fixé d’un coté à un cerisier. Il m’a caressée, embrassée et très vite enflammée. Nous avons mangé des dizaines de grosses cerises noires et sucrées préalablement trempées dans un pot de crème brulante que mon mari a trouvé juste sous mon pubis ! Parfois il en perdait une et cherchait au fond du flacon de ses doigts gourmands le fruit égaré. Et lorsque le fruit trop mur ne résistait pas, lorsque la pulpe rouge des cerises venaient sur le rose pâle de mon pubis dégagé de toute pilosité, alors il plongeait pour recueillir sur sa langue les délices partagés de la flore généreuse et de la faune brulante.
Ce jour là il m’a prise sur le hamac, l’ayant enjambé, il était stable et moi offerte à mon homme, les mollets tenus par ses mains viriles. Je suis arrivée très vite (comme souvent quand la situation est un peu piquante) mais pas lui qui était un peu gêné par le tissus alors il s’est retiré et est venu m’offrir son sexe gorgé de plaisir et ruisselant du mien. J’adore la manger, le boire, le sentir exploser, fondre entre mes lèvres.
Durant cet été nous avons dû tester toutes les possibilités de l’amour dans une piscine. Je me souviens même d’un après midi, mes parents
étaient venus nous voir et faisaient la sieste. Mon mari a voulu absolument me faire l’amour dans l’eau. J’en mourrais d’envie mais n’étais pas « libre » car mes vieux pouvaient venir à
tout moment. Mais la piscine est en partie cachée de la maison par les massifs de fleurs.
Je guettais la maison, dos à mon mari qui n’a pas hésité à entrer (j’étais inquiète mais trempée, et ce n’est surement pas l’eau de la piscine qui permet de glisser comme cela).Après quelques va
et vient il est venu se placer franchement sur mon petit trou et m’a sodomisée dans la piscine ! Nous bougions à peine, recherchant la discrétion. Mon obsédé de mari est arrivé entre mes
fesses, pas moi mais j’en ais retiré un plaisir certain.
2
Bref ce fut un bel été.
Fin septembre la saison de l’insouciance a brutalement pris fin lorsque dans la nuit une pierre est venue éclater la vitre de la porte-fenêtre du salon. Rapidement suivie par un ou plusieurs cambrioleurs.
Par miracle je n’étais pas seule ce soir là et mon mari a immédiatement réagit. Il m’a fait m’enfermer dans ma chambre et est allé « gérer le problème ». Je vous passe les détails sur mon mari mais sa formation et son métier lui ont permis de gérer ce genre de problème sans trop de difficultés (moi je suis morte d’inquiétude quand même). En effet les cambrioleurs n’ont pas insisté et ont déguerpi rapidement.
Le lendemain aura été marqué par la venue de la police, l’appel à un artisan pour réparer et la recherche d’un chenil sérieux. En effet mon mari, subitement conscient que nous étions à l’écart et qu’il me laissait très souvent seule, s’est décidé à m’offrir un chien. Dés le départ il avait fait son choix : ce sera un beauceron. Gentil, fidèle, courageux, intelligent et facile à dresser.
Et ce devait être MON chien. Il m’a également inscrite (moi et Max mon toutou) dans un club de dressage. Et c’est vraiment un chien tout comme il pensait ! Adorable ! (et en plus il s’entend bien avec ma chatte, Zoée, une croisée gouttière-siamois.
3
Un après midi que je lisais sur le canapé du salon, Zoée en boule sur mes cuisses et Max à coté de moi (oui je sais question dressage c’est pas top, mais cela faisait 2 ans que nous l’avions et les cours de dressage étaient un peu loin), je le caressais machinalement, j’étais bien, sereine. Mais son souffle un peu forcé m’a sortie de ma rêverie. Je le regarde, il avait l’air bien pourtant. Mais j’ai vite réalisé qu’il devait faire un sacré rêve cochon ! Il avait en effet une érection extraordinaire. Un sexe rouge, lisse, gros, très gros, bien plus que mon mari qui dispose d’un bel organe que mes 2 mains ne recouvrent pas. Mais là ! Quelle machine de guerre !
Depuis ce jour je ne vois plus mon chien comme avant et j’avoue fantasmer comme une folle sur ce sexe si troublant.
Combien de fois ais-je pensé à Max quand je suçais mon mari avec plus de ferveur que jamais et qu’il arrivait dans ma bouche ? Combien de fois prise en levrette j’imaginais mon chien me prendre par l’un ou l’autre des mes orifices intimes ?
J’en rêvais la nuit.
4
Un soir que j’attendais mon mari avant de sortir (resto et boite), je m’étais faites belle, épilée de prés, crème parfumée sur mon pubis, parfum assorti (Dior), bas - porte jarretelle et pas de culotte (ça le fait craquer littéralement), soutien gorge en dentelle assorti et très court (presque un balconnet qui s’arrête aux tétons dont le haut de l’aréole apparaît aux regards curieux recouvert d’un chemisier blanc peu opaque ! Très sensible à la transpiration… et j’adore danser ! En fin de soirée s’il ne craque pas je change de bonhomme !
Je suis impatiente.
J’ai envie de lui.
J’ai encore une heure au moins à attendre. Je m’installe au salon dans un fauteuil. Je pense à mon mari et à notre soirée.
Max est venu se coucher à mes pieds.
Machinalement je le caresse du pied. Il apprécie… En quelques minutes il offre à mon regard qui n’en avait pas besoin le spectacle toujours fascinant de son érection. J’adorerais qu’il me prenne
maintenant, à 4 pattes sur le tapis du salon.
Mon pied continue sa caresse, ma main se pose sur ma jupe. La remonte.
Je me caresse à mon tour.
Mon pied vient caresser ses bourses. Je suis folle. Je les caresse et me caresse en même temps.
J’hésite. Pas longtemps. Mon pied vient au contact de ce sexe conquérant. Si lisse. Si troublant ! Mon pied si sensible c’est presque ma main qui courre le long de ce sexe magnifique. Qui cherche à le découvrir, qui cherche à le comprendre.
Je taquine son bout du bout de mes orteils, mon autre pied vient prendre le relais sur ses bourses.
Je le branle franchement à présent. Je sens un peu de liquide sur mes pieds… comme un homme il m’offre ces petites gouttes qui appellent au plaisir. Je ramène mon pied, mon doigt recueille cette goutte… j’ose la porter à ma bouche. C’est bon.
Mais à la fois c’est trop ! Et le temps passe.
Mon pied continue ses caresses sans plus de honte et je me masturbe comme une folle. J’explose en quelques seconde !
Cassée ! Epuisée !
Il doit me rester un peu de temps pour repasser dans ma salle de bain.
5
Début septembre 2008, je découvre « Auféminin.com » et sympathise avec une coquine bi (Julie) qui me verrait bien gouter au plaisirs saphiques.
J’ai toujours eu une certaine répulsion pour l’homosexualité, homme ou femme, (bien que je sois très tolérante, ils ou elles font comme ils veulent… mais sans moi) mais ma petite Julie a su m’émoustiller en quelques chat coquins.
Nous en étions à nous lancer des défis pour le lendemain, tournant autour de l’exhibition, lorsqu’en panne d’imagination nous nous sommes demandé si nous avions des fantasmes.
Je lui ai alors parlé de Max. J’avais ouvert la boite de Pandore !
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