Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 21:53

"Bisous mouillés, le secret"

 

Le vrai secret de mon attachement à mes « Bisous mouillés »

 

Comment tout a commencé ? Je ne sais plus

Avec ma charmante nièce (majeure) nous avions céder à une attirance mutuelle et depuis quelques années, lorsque nous nous retrouvons seules, il nous arrive de nous laisser aller à quelques plaisirs saphiques.

Malgré une expérience certes tardive mais certaine, je dois avouer que c’est elle qui m’a initiée à ces plaisirs que je ne connaissais pas et qui même me répugnaient a priori.

L’homosexualité n’a jamais été ma tasse de thé, homme ou femme pareillement. Je ne juge pas et suis heureuse que certaines et certains puissent s’épanouir ainsi, mais moi il me faut un homme, au moins, pour me combler tout à fait.

Mais l’amour que je portais à ma nièce, la tendresse naturelle qui nous liait ont effacé le dégout du sexe opposé. Ces baisers sur mes joues étaient si doux. Son parfum si troublant… Cela s’est fait très simplement.

Je ne suis toujours pas bisexuelle, je ne pratique qu’elle, même si parfois, c’est vrai, je me suis laisser aller à quelques excès en boite libertine. Mais ce n’est pas ma préférence. Mais ma petite Lolita qui a si joliment grandi ! J’adore ses caresses et ses baisers.

 

Ce soir là il y avait un Toulouse-Monaco (je m’en souviens parfaitement) et nos hommes avait préféré le foot à nous.

Tant pis (pour eux)

 

Nous avons papoté pendant une petite heure peut-être avant que la conversation ne vienne se poser sur « les choses de la vie ». Lolita m’avait connue très très libertine et en avait même profité un peu, et lorsqu’elle est de passage (rarement hélas, ils habitent loin, à Paris) elle me demande immanquablement si j’ai repris goût à ces plaisirs ou si j’ai définitivement tiré un trait sur cette vie. C’est vrai que lors da sa précédente visite je ressemblais plus à une bonne sœur qu’à ce qu’elle avait connu de sa tante (j’exagère à peine).

Et bien non ! Si mon chéri a voulu tirer un trait définitif, moi je me suis contentée d’une encre bien sympathique pour rayer cette période. J’aime trop les plaisirs du sexe, les petites exhib gentilles, les petits coups de canifs dans un contrat que j’aime bien juteux (oups ! je me laisse aller).

 

Je disais à ma nièce que son idiot de tonton avait toujours ce besoin un peu pervers de me voir comblée par tous les trous mais ne me prêtait plus comme avant à ses amis, préférant utiliser des godes ou ce qu’il pouvait trouver (j’ai testé pas mal d’objets rigolos ou de fruits et légumes mais rien ne vaudra jamais un sexe mâle, chaud, doux, puissant et généreux !).

 « tu me montres ? » me dit-elle, curieuse de voir ma collection.

 « viens » lui dis-je en allant vers ma chambre.

 

Derrière une pile de linge, une boite à chaussure…

 « Mmm ! j’en essaierais bien moi, faute de mieux. » me dit-elle, coquine.

 « Tu me donnes envie »

Je m’approche d’elle, lui caresse la joue doucement et dépose un baiser très tendre sur ses lèvres. Elle me le rend et me mord la lèvre inférieure

« ça fait longtemps que j’en avais envie »

« moi j’aurais envie de plus »

Et nous nous embrassâmes avec passion. Nos langues mêlées, l’une mordillant les lèvres de l’autre comme deux amoureuses enflammées. Nos mains se mirent à parcourir le corps de l’autre. Me suis-je déshabillée ou m’a t-elle arraché mes vêtement ? Et elle, comment me suis-je retrouvée lui embrassant ses seins si beaux (bien plus que les miens mais je n’arrive pas à être jalouse d’elle). Comment ses doigts ont-ils pu arriver si vite entre les lèvres intimes de mon sexe ?

Comment en sommes-nous arrivées à cet échange de baisers intimes l’une embrassant le clito de l’autre dans un accord si naturel.

Au début nous nous léchions ensemble, faisant monter le plaisir puis, à l’orée de ce plaisir, ne pouvant plus offrir et donner à la fois, nous alternions les baisers et les soupirs, les soupirs et les baisers, changeant d’instinct avant de craquer… pour ensuite se laisser aller. Il faut préciser que toutes deux parfaitement épilées (c’est moi qui l’ai initiée à cette pratique … qui attire la bouche et le sexe des hommes plus sûrement qu’un long discours), les cunni sont autant un plaisir des yeux que du reste.

C’est elle qui a pris le dessus. D’ailleurs c’est vrai, j’étais couchée, un oreiller sous la nuque à caresser ses jolies fesses de jeune femme en goûtant au plaisir qui s’annonçait. Et je fus prise d’un spasme et d’une jouissance merveilleuse.

Après un instant de répits, je repris mes baisers intimes lorsque je sentis le museau de Max qui s’avançait vers cette fontaine au suave parfum bourré de phéromones femelles je suppose.

Max est un expert en léchouille et je le laisse volontiers faire.

Lolita a déjà eu affaire à mon amant et accepte sa grande langue gourmande.

Mais Max est un amant très directif. La première fois qu’il ma prise, il s’était imposé presque méchamment et je n’avais pas osé bouger. Depuis, le connaissant bien, je sais qu’il est juste excité et entreprenant sans aucune méchanceté, même si parfois il laisse passer un grognement qui pourrait impressionner. Il m’est arrivé de le repousser et il n’a jamais eu de geste et ses rares grognements n’ont jamais duré (et jamais ses dents n’ont effleuré ma peau).

Max monte sur ma Lolita et commence son ballet un peu ridicule, son sexe tapant un peu n’importe où sans trouver la voie pourtant béante de son vagin.

Lolita fait l’autruche, plongeant sa tête entre mes cuisses, prenant mes grandes lèvres à pleine bouche avec un entrain qui pourrait laisser croire qu’elle ne sait pas ce qui se passe.

J’aime ce qu’elle me fait, même si c’est aussi violent et désordonné que ce que fait Max, mais j’aime tout ce qu’elle me fait ! J’attrape le sexe de mon cher beauceron pour le guider. Il entre et libère sa fougue.

Elle a cessé de me manger.

J’ai si souvent pris du plaisir avec lui mais voir ce gros sexe rouge plonger dans l’écrin délicat de ma nièce à quelques centimètres de mon visage ! Sentir leur excitation inonder mes narines ! Recueillir sur mes lèvres la rosée qui perle de cette fleur agressé par la bête en rut ! Entendre les râles de jouissance de mon amante adorée ! Sentir sa joue se frotter sur mon sexe grand ouvert !

Quel bonheur, quel plaisir, quel extraordinaire moment de complicité et de laisser-aller au plaisir absolu !

Et soudain ce n’est plus quelques gouttes de rosée qui mouille mon visage mais une chaude averse estivale. De grosses gouttes s’abattent sur mon visage. Mes lèvres s’ouvrent pour recueillir cet élixir que je connais si bien et qui m’enivre à chaque fois.

Puis Max stoppe presque et son sexe sort de son écrin laissant s’écouler son plaisir et celui de ma nièce en d’incroyables filets d’une liqueur parfois épaisse parfois si fluide, la délicatesse paradoxale du mâle animal mêlée aux denses sécrétions de ma belle amante. Ma bouche grande ouverte s’approche, ma langue effleure le sexe de Max qui s’éloigne déjà. Mes lèvres se plaquent contre celles, plus intimes, de ma coquine de nièce qui a planté sa langue au fond de moi.

Puis nous nous sommes relevées et nous nous sommes embrassées sur la bouche.

J’étais trempée de leur plaisir, elle était trempée du mien.

Elle m'a dit tout simplement : "j'adore tes baisers mouillés" et c'est resté

 

 

Bisous mouillés

 

Ps : merci Jean-Phil pour tes dessins qui nous représentent si bien

 

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : chaude&caline
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