Dimanche 1 août 7 01 /08 /Août 10:41

Mon grand frère.

 

Cela fait un petit moment que je pense à vous raconter cette histoire, assez récente (l’été dernier) mais cela m’étais difficile. Il aurait fallu demander à mon mari de le faire, mais il ne sait pas que je me confie à vous.

Je vais essayer.

D’abord un petit retour très loin en arrière. Cela à son intérêt je pense.

Comme vous avez dû le comprendre je suis issue de certaine bourgeoisie (et même d’une très haute aristocratie mais le prestige de mes ancêtres n’est plus connu que des historiens et généalogistes. Ma « branche » n’a pas de titre ronflant à faire valoir… dommage pour mon paternel qui ne vit que pour le paraître et les mondanités. Bref je m’égare encore) et mon éducation franchement pas drôle ne m’a pas aider à vraiment m’épanouir. Enfin, entre la musique classique et l’opéra, les expositions et tout le tralala (tout le tralala dont j’étais d’ailleurs exclue, devant attendre leur retour seule dans la maison) vous imaginez la joie.

Heureusement j’avais un grand frère de quatre ans mon ainé qui avait, plus ou moins, réussi à s’émanciper. C’était Deep Purple et Queen, moto et copains «d’un autre monde ». Et on s’adorait ! Et j’adorais quand il invitait ses potes dans sa garçonnière. Il avait réussi à pouvoir emménager ce qui au départ devait être un simple abri de jardin mais qui après travaux était un véritable studio avec tout le confort. Et assez loin du salon de la villa il y avait moins d’interférence entre Rachmaninov et Freddy Mercury !

Quand ses copains venaient, j’aimais bien trainer dans le coin, prétextant leur amener du Coca ou autre chose ; Ils étaient sympa avec moi. J’avais 15 / 16 ans mon frère 19 / 20 et ses potes souvent plus. Avec eux il a découvert la vie et se confiait à moi. Il me disait tout, même lorsqu’il a été voir des prostitués avec un des copains (son dépucelage vers 19 ans), ce qu’ils ont fait. Et cela a continué.

Il avait chez lui des magazines pornos qu’il me laissait feuilleter. Cela m’apparaissait comme le comble du vulgaire et de l’odieux. Mais je les ai tous parcourus. C’était hypnotique.

Et lui ne se gênait pas pour aller et venir, sortant nu de sa douche devant moi.

Je me demande aujourd’hui a qu’el point il était naïf ou pervers. Je ne saurais trancher. Mais dans mon esprit, les comptes rendus de ses sorties, les magazines porno, sa nudité affichée sans complexe (c’était un athlète de près de 2 m, costaud de partout… et à la fin du compte je commençai à gamberger. J’évacuais toute idée incestueuse dès qu’elle se présentait, certes, mais j’évacuais de plus en plus souvent et quand il a quitté la maison pour se mettre en ménage avec sa copine (il avait alors 21 ans et cela faisais 3 ans que nous étions très, très intimes), je dois avouer que cela a été autant un déchirement qu’une certaine libération.

25 ans plus tard (environ), quel plaisir de le recevoir avec sa (deuxième) femme pour quelques jours à la maison. Quelques années auparavant ils étaient passés avec leurs enfants et nous avions le nôtre avec nous. Les 3 / 4 jours passés ensembles, souvent autour de la piscine (BBQ et apéros) pendant que les jeunes pataugeaient et jouaient. C’était très sympa. Cette année, nous sommes entre vieux ! Mes neveux et nièces ont quittés la maison, ce sont de jeunes adultes. Mon fils, grand ado, devrait être chez un copain pour la semaine (il y est, forcément sinon je l’étrangle), mais l’absence totale de nouvelles me laisse à penser qu’il n’a pas besoin de nous. Le dernier SMS (réponse au mien) faisait état d’un programme dans lequel nous n’apparaissions pas (un oubli sûrement). Je le préviens que son oncle et sa tante sont là, il passera demain en fin d’aprem. Bel effort

Nous sommes tous les quatre au bord de la piscine. Fin de journée chaude. Mon mari prépare l’apéro et nous l’apporte dans la piscine (on peut s’y asseoir, c’est agréable). Moi j’aime bien un petit Muscat.

On bavarde, on rigole (surtout après 2 ou 3 Muscat ! d’habitude je n’en prends qu’un, et assez rarement). On refait le monde et on commence à ressortir les vieilleries, l’adolescence pas très sympa en ce qui nous concerne, les premières motos (pour les garçons), les premiers flirts… Bref de l’apéro dans la piscine à la fin de la soirée vers 01 heure du mat, on a fait revivre une époque des plus troublantes. Bien sûr Jean (mon frère – prénom modifié par souci discrétion) n’a pas évoqué mon initiation, très théorique, à la pornographie ni ses humeurs naturistes en ma présence… mais moi je ne pouvais pas ne pas y penser et, de l’avoir vu nager avec toujours autant de puissance, le voir à l’approche de la cinquantaine encore aussi athlétique me taquinait les ovaires ! Par ailleurs, mon petit bikini blanc qui, une fois mouillé se colle avec une certaine impudeur sur mon pubis bien évidemment toujours lisse (3 jours sans m’en occuper et j’aurais une petite réflexion : « tu n’aimes plus quand je te fais des bisous là ! », ou quelque chose d’équivalent. Jamais méchamment… et puis je dois avouer y avoir pris goût. Ce n’est pas désagréable de s’occuper de soi ! Bref assise sur les margelles, mouillée en sortant de l’eau et les genoux un tant soit peu écartés, mon frère et ma belle-sœur pouvaient se faire une idée assez précise de mon anatomie. En ai-je eu conscience ? Oui, à un moment, et cela m’a gêné. J’ai resserré mes jambes, un moment, et puis je me suis laissée aller au petit jeu que j’affectionne tant « mais non je ne m’exhibe pas, mais si vous regardez vous ne serez pas déçus ! ».

01h du mat. On est fatigués, surtout jean qui a 600 km dans les pattes. On s’embrasse, on va se coucher.

Jean et sa femme dorment en bas. Il y a une chambre et une salle de bain (pas de WC, travaux à venir).

Nous rejoignons notre chambre à l’étage. Il fait très chaud, début aout près de Toulouse pour ceux qui< connaissent… nous nous allongeons sur le lit, tous nus. Mon mari m’embrasse pour me souhaiter bonne nuit tout en posant machinalement sa main sur mes seins. Il me caresse. Je soupire. Je l’embrasse et murmure :

« Bonne nuit ça veut pas forcément dire dodo ? »

« Tu n’es pas fatiguée ? »

« Oui, très, et alors, j’ai pas l’intention de faire le boulot. Je comptais un peu sur toi »

« Et si moi je suis fatigué, tu t’en fiche ?

« Oui. »

« Bon je vais faire une effort ! »

« Mmm j’aimerai bien que tu ressortes les trucs bizarres » (ce sont mes sex-toys qu’honnêtement j’utilise très peu ayant toujours préféré le vivant, palpitant et si déroutant appendice du mêle dominant.)

Il se lève et récupère la boite à malice cachée sous une pile de drap. Je le regarde faire, allongée sur le dos, les mains derrière la nuque, jambe écartées. Une petite brise presque fraiche entre par la fenêtre grande ouverte (qui bien heureusement ne donne pas sur la même façade que la chambre de mon frère. Si on fait un peu de bruit ce n’est pas grave.).

Il prépare lentement les « accessoires », met des piles dans les vibros, les essayent… il joue manifestement avec moi. Et j’aime ça. Je le regarde toujours. Je me régale déjà.

Il a posé différents sex-toys sur sa table de nuit. Fait le tour du lit et se plante face à moi. Il s’agenouille et s’avance vers moi. J’écarte encore les jambes pour lui faire de la place. Son visage est devant mon sexe. Il m’embrasse au creux de l’aine. A gauche, à droite. Caresse l’intérieur de mes cuisses. Il pose sa langue sur mon nombril, il joue avec. Puis sa langue descend. J’attrape ses cheveux, le force à ma bouffer toute crue. Mais il est bien plus fort que moi et ma pression ne change rien. Il léchouille tout ce qu’il peut, va jusqu’à remonter le sillon extérieur de mes grandes lèvres sans jamais embrasser vraiment ma vulve.

Il s’arrête. Je sens le souffle de sa respiration sur mon sexe mais, malgré ma pression sur ses cheveux il refuse toujours de céder. Il me regarde et revient vers mon sexe. Il souffle dessus ; C’est horrible. J’en veux plus.

« Viens»

Il me regarde à nouveau et, toujours aussi insolent, il vient vers moi. Sa langue remonte, glisse sur mon ventre, le long du sillon de mes seins, le long de mon coup. Il glisser derrière mon oreille, sur ma joue jusqu’au coin de mes lèvres. Il m’embrasse avec passion. Je lui rends largement son baiser, d’autant plus qu’en remontant, il a passé une jambe entre les miennes et sa cuisse exerce une pression – très volontaire, je le connais – contre mon clito qui réagit aussitôt. Je suis au bord du gouffre.

Il redescend, attrape un de mes seins dans sa bouche pendant qu’il maltraite l’autre avec sa main.

Il descend encore en attrape mon clito à pleine bouche. L’aspire, le titille de sa langue, le relâche pour en lécher la base et le corps (j’adore ça, le bout est trop sensible et c’est rapidement plus agaçant que plaisant). N’allez pas croire que j’ai un gros truc, non j’ai un clito tout petit et normal, je pense, mais c’est quand il lèche son « corps » que je me régale.

Enfin, il se relève et m’attrape par les hanches pour me mettre en travers du lit. Il s’installe à genoux, sur le coté, son sexe devant ma bouche et (d’où la position) sa main droite disponible pour prendre sur la table de nuit les sex-toys qu’il a préparé.

Pendant que je le suce, je sens pénétrer le vibro annelé dans moi… et mon dieu que c’est bon !

Nous nous amusons ainsi depuis quelques minutes quand la porte, en face de mon intimité, s’ouvre (mal fermée). C’est le chat qui vient profiter du lit… La porte reste légèrement entrebâillée, nous sommes trop bien partis pour s’en soucier. Et puis nous sommes sels à l’étage…

A suivre...

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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