Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 11:18

Satanée chatte !

J’étais bien partie, le plaisir me submergeait… je naviguais sur une mer un peu houleuse d’un plaisir gentiment pervers et cette maudite chatte me ramène sèchement à la réalité, éclairant brutalement ma douce nuit. Non ce n’est pas elle, la lumière vient du couloir et l’entrebâillement de la porte lui permet de pénétrer la chambre, dans le sillage laissé par cette maudite chatte !

Mais qui a allumé ? Qui est là ? Bon sang, mon frère et ma belle-sœur !

Je panique et rejette le sexe de mon mari hors de ma bouche pour l’alerter :

Cédric (prénom changé) il y a quelqu’un, arrête !

Il me maintient dans la position extrêmement indécente et me répond très doucement :

Chhhut ! Si tu ne fais pas de bruit celui ou celle qui est monté faire pipi va repartir sans se douter de rien.

La lumière s’éteint. Nous restons immobiles. Rien ne se passe.

La chambre est baignée d’une très légère lumière diffusée par les radios-réveils. C’est très léger. Je me sens d’avantage dans l’obscurité que dans la lumière et cela me rassure un peu. Et puis devrais-je l’avouer j’aurais détesté être ainsi surprise par ma belle-sœur mais j’espérais –tout en le craignant – que mon frère puisse me voir ainsi.

Moi, après tout, je l’avais vu plusieurs fois sortir de sa douche et se changer devant moi. Au début ce fut accidentel, j »étais entrée dans son studio alors qu’il se douchait, je ne pensais pas mal car, me douchant dans la salle de bain commune, je sortais toujours avec une sortie de bain (comme les parents d’ailleurs), et lui ne savait pas que j’étais là et ne voyait pas le mal être nue « chez lui ». J’ai piqué un phare mémorable mais suis restée là, comme l’idiote que j’étais. Il s’est retourné mais j’ai eu le temps de le voir et cela m’a troublée.

Par la suite, fuyant l’ambiance empesée, pesante, oppressante de la bourgeoisie quasi vulgaire de mes vieux, je squattais chez mon frère certainement plus souvent qu’il l’aurait souhaité et que j’aurais dû. C’est ainsi qu’il commença à me raconter ses aventures sentimentales, puis sexuelles. C’est ainsi qu’il me laissa regarder sa collection de magasine très très hot !! C’est ainsi qu’il prit plus d’aisance avec moi, avec sa nudité… alors que moi je ne me suis jamais dévoilée devant lui. C’est ainsi que mon amour pour lui, fraternel et détaché de toute perversion a commencé à être parasité par des pensées que je réprouver autant qu’elles m’embarrassaient et provoquaient en moi de troublantes bouffées de chaleur ; je mis cela sur le compte de la puberté (qui chez moi fut tardive, comme plein de choses d’ailleurs) et ais refoulé tout cela au fond de moi. Juste derrière mes ovaires !

Je ferme les yeux et me laisse à rêver. Je reprends le sexe de mon mari entre mes lèvres en essayant d’imaginer à quoi pourrait ressembler celui de mon frère en érection.

Je déguste avec gourmandise ses perles de plaisir. Les prémisses de sa jouissance. Quel goût aurait mon frère, ainsi surpris à l’orée de son plaisir. Trahi par quelques gouttes innocentes et claires.

Je me fiche de ce qui est bien ou pas, j’ai le droit de rêver, de fantasmer sur qui je veux. Je suis bien la seule à le savoir.

Mon mari fait maintenant aller et venir le gode annelé dans mon intimité. Il l’enfonce à fond. Je sens le relief du fond, au niveau du bouchon des piles, qui effleure mes muqueuses. Il le maintien ainsi et viens me léchouiller le derrière. Il lèche et fait glisser sa langue… j’adore. Il fait des va et viens avec comme s’il s’agissait d’un petit sexe essayant de me pénétrer, et c’est vraiment délicieux surtout avec ce gode vibrant qui me remplit. Je suis trempée, il doit baver, je sens couler entre me fesses. Il glisse enfin doucement le gode silicone dans mes fesses. Doucement, alors j’aime bien.

Assez vite il libère mon petit trou et recommence à le lécher… c’est merveilleux.

J’adore quand, couchée sur le ventre, jambes écartées, il me léchouille longtemps cet endroit-là. Je joui très souvent juste comme ça. Et moi qui apprécie peu la sodomie, quand il me fait ça, cela m’arrive de la lui demander (rarement car j’ai toujours honte).

Ce soir-là, il innovait en me léchouillant après m »avoir déjà sodomisée, certes avec un accessoire, mais sans être vexante, il supportait la comparaison avec l’original. Et donc je devais lui offrir la vision d’une certaine béance ! Peu m’importe, sa langue allait dans des endroits magiques, d’une sensibilité inespérée.

Je rêve… et je joui dans ce rêve.

Et dérangée par mes petits cris la maudite chatte vient contre moi. Me sort de mon rêve.

Je relâche encore le sexe de mon homme pour râler sur cette maudite bestiole lorsqu’il me semble voir une ombre dans l’entrebâillement de la porte.

... à suivre

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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