Mercredi 13 octobre 3 13 /10 /Oct 22:10

 

[Désolée de vous avoir laissés en plan. La vie a ses hauts et ses bas, ses petits cahots comme celui qui m’a éloignée de vous quelques temps, n’ayant plus la tête aux confessions coquines. Mais l’orage est passé et me revoilà, avant la prochaine éclipse !]

 

[Heureusement les moments forts que j’avais commencé à vous raconter sont gravés dans ma mémoire et je devrais pouvoir reprendre sans trop d’oublis, je me rappelle des odeurs, des bruits, de mes impressions, de ma gêne, de mon excitation…]

 

Mon mari me tenait toujours les cuisses ouvertes, jambes passées derrière ses bras. J’ai horreur de cette position trop inconfortable. Je ne la supporte jamais longtemps et là cela fait maintenant une éternité qu’il me la fait subir. Ce serait très désagréable si ses caresses et les vibros ne procuraient pas tant de plaisir… et surtout s’il n’y avait cette ombre aperçue dans l’entrebâillement de la porte.

J’en oubliais ses doigts et ces vibros qui allaient en moi. Je pensais à mon ombre. J’hésitais entre mon frère et ma belle-sœur. J’avais envie que ce soit mon frère. Envie qu’il me voie enfin comme une femme, envie qu’il ait envie de moi, envie qu’il me mette au centre de ses fantasmes. Et mon esprit me ramène à mon adolescence, lorsqu’il me racontait ses sorties avec ses potes. Ce jour où il me raconta comment avec un copain il avait été voir une prostituée et l’avait partagée en découvrant au fur et à mesure les choses qu’ils n’avaient qu’imaginer. Sait-il combien de fois j’ai rêvé être cette femme ? Je crois qu’il ne l’a jamais refait mais il m’en a tellement parlé par la suite que je suis certaine qu’il aurait adoré recommencé. Je suis là ! Offerte à lui. Mais viens donc au lieu de rester caché.

Ou alors c’est ma chère belle-sœur. Si douce, si gentille, si gentillette ! Sait-elle les aspirations de mon frère? Lui a-t-elle offert ce dont il a besoin ? Regarde ! Regarde-moi donc ! Regarde ce que tu pourrais être ! Un jouet entre leurs mains. Oui, bien-sûr. Mais c’est moi qui jouit, qui perd le compte des vagues qui naissent sous leurs doigts, leurs langues, leurs sexes et tout ce qui les amusent, ces vagues qui d’un point se répandent jusqu’à mes orteils, jusqu’à mes cheveux. Oui, regarde quel jouet on peut être entre leurs mains, combien ils en sont fier et content, et comment le jouet profite !!!

Regarde ce que tu dois offrir à mon frère !

 

La porte s’ouvre, un grincement imperceptible résonne sur mes sens hypertendus.

Mon cœur va éclater.

Mon mari vient de m’enfoncer les deux vibros au plus profond de moi ;

Je suis exhibée comme il serait inimaginable de l’être. Devant qui ?

Il a mis dans mon sexe le gros vibro en silicone. Il est souple et agréable. Un vrai sexe, presque !

Il le fait aller et venir. Il le sort, le replonge.

Le retire.

Il prend mon clito entre ses lèvres. Me lèche longuement le sexe. Pas comme d’habitude.

Je ressens cette différence et aussitôt un profond orgasme me secoue.

Le vibro replonge en moi. Souple mais il semble plus dur que tout à l’heure.

C’est mon frère. J’en suis certaine.

Je ne suce plus le sexe de mon mari depuis longtemps maintenant ; je le serre dans ma main. Fort.

Parfois je luis donne un coup de langue ou le prends entre mes lèvres… qu’il force gentiment.

Il me retire le vibro qui comblait mon petit trou.

Je me sens béante !

Ce qui devrait être le vibro silicone sort de mon sexe pour venir glisser au fond de mes entrailles.

C’est lui, j’en suis sûre et j’adore lui offrir ce cadeau.

Je connais ses fantasmes et reprends mon mari dans ma bouche, essayant maladroitement une « gorge profonde » (sans y parvenir). Je veux qu’il me voie prête à tout.

Il est maintenant en moi et commence à remuer. Doucement d’abord. De lents mouvements terriblement jouissifs. Suis-je encore capable d’avoir un orgasme ?

Son accélération m’apporte une réponse. C’est horrible. Non c’est juste trop bon.

Il se calme. Je ne l’ai pas senti arrivé.

Un doigt vient fouiller mon sexe. C’est agréable.

Puis deux et trois.

Il essaye de mettre sa main.

Ses trois doigts me labourent le sexe. Il essaie le quatrième. Je les sens en moi.

Il doit s’amuser à se caresser en moi. Son sexe toujours entre mes fesses.

Je suis revenue de mes orgasmes. Un peu dégrisée mais d’avantage consciente. J’aime ça. Je n’éprouve plus de plaisir mais il me semble regarder la scène. Mon mari qui me retient écartée, offerte, le sexe au bord de mes lèvres, mon frère dans mes fesses qui essaie de mettre sa main dans mon vagin. Ce n’est même plus obscène, c’est juste touchant ! Je les aime tant tous les deux !

Mon frère essaie de joindre le pouce au reste de la main pour me fister… mais comprends bien vite que je ne peux accepter une main aussi grosse.

Sa petite main (quelques doigts) est désormais immobile mais son sexe a repris ses va et viens. Accélère et explose très vite. Je sens la chaleur de son plaisir se répandre en moi.

Toujours très consciente, je me plais à penser que mon mari va être obligé d’avouer que ce n’était pas le vibro en silicone qui a pu déverser tout cela ! Mais mon mari est malin et, après que l’ombre ait glissée hors de notre chambre et retrouvé la sécurité d’une porte entrebâillée, il me libère de mon inconfortable position, me retourne et me prend en levrette. Juste assez pour me remettre sur le chemin du plaisir et changer de voie et se répandre à son tour entre mes fesses.

« Le salaud » pensais-je. Il me vole mon secret !

Mais je ne suis pas sotte moi non plus, et connaissant mon goût irrépressible pour cette liqueur il ne saurait être surpris de me voir le gober aussitôt sorti de mon intimité. Non, je n’ai aucune attirance pour le scato et s’il était sale j’aurais été bien embêtée, mais j’ai toujours eu la chance d’avoir à gouter de beaux sexes mâles gorgés de cette si fabuleuse liqueur, ou trempés dans nos plaisirs communs, ou comme là, trempé dans son propre plaisir même s’il est vrai, une saveur plus épicée y est remarquable. Mais je connais par cœur les différents parfums de sa liqueur, qui changent souvent mais que je reconnaîtrais entre mille (mmm je rêve) et là, sa liqueur, même marqué de mes épices, avait une fragrance inconnue.

 

Comme j’aimerais pouvoir dire à mon frère comme j’aimerais connaître le parfum simple que je n’ai qu’entre-aperçu, caché dans un cocktail par ailleurs enivrant !

 

PS : bien évidement mon petit mari n’a pu tenir le secret – le voulait-il ? – et il m’a raconté les détails de cette soirée. Et m’a dit que la sodo était juste une « diversion » car s’il voulait bien me prêter, il n’avait pas envie d’élever les gosses des autres. Alors s’il a consenti à laisser mon frère découvrir la douceur de mon sexe, dépourvu de préservatif, il l’a rapidement réorienté vers la voie étroite. Et oui, on est parfois rattrapés par des considérations bien terre-à-terre !

 

Bisous mouillés


 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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