Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 09:45

Quelques temps après avoir découvert un bien agréable lieu de débauche en banlieue toulousaine, j’avais promis à mon mari que plus jamais je ne m’interdirai un plaisir qui me serait gentiment offert.

Mais je me demande, après tout, si ma timidité n’a pas érotisé encore plus ce premier rapport en public. Je ne sais pas si j’aurais pris autant de plaisir à dévorer mon petit mari, à essayer (en vain toujours) de le prendre tout entier dans ma bouche avec ce besoin de le prendre en moi toujours un peu plus. Je l’aime tant. J’aime tant sa peau fine sur ce pieu si dur, ce goût si doux qui s’épice au rythme des fines gouttelettes qui s’en échappent. J’aime ce sexe au goût si prononcé lors qu’il vient de me fouiller, qu’il est trempé de moi, je ne sais plus alors si je lèche mon amant ou si je me donne un plaisir solitaire, j’aime cette confusion.

Alors j’étais prête à retourner en club, prête à me laisser aller mais peut-être pas sans contrôle. On verra bien.

Je suis bien disposée et heureuse de retourner dans cet endroit.

Je me surprends à jouer les blasées, contente de retrouver cette ambiance, de reconnaître cette montée de la température.

J’ai bien appris la leçon : une jupe et un chemisier suffisent à être chic et disponible.

Ce soir, mon mari a insisté pour que je me fasse plaisir, et que je ne me refuse rien. Et alors que nous contemplions la piste de danse, debout, un bel homme m’a très galamment invité à l’accompagner sur la piste. J’ai interrogé mon mari du regard qui, dans un même regard a confirmé que j’étais libre.

Nous avons entrepris quelques pas de danse un peu empruntés avant qu’un air particulièrement enjoué, brésilien me semble t-il (vous vous souvenez, ce tube de l’été ou l’on voit deux enfants, un petit black et une blonde aux cheveux long danser d’une façon très chaude) ne viennent nous dérider. Mon cavalier a pris sur lui de me guider avec autant de fougue que de maitrise. C’était vraiment très sympa. Sa main posée, ferme et douce, sur mes reins. Son autre main dans la mienne, chaude, sensible. Et lorsqu’il me lançait comme sur un pas de rock et qu’il me faisait tourner au rythme de la musique, que les pans de ma jupe s’envolaient joyeusement, mon cavalier devait savourer le spectacle libertin que je lui offrais. Qu’il s’offrait lui-même serait plus juste.

Puis il me prit par la taille pour me relever (toujours dans le cadre de la danse bien sur), pendant un instant je me suis retrouvée à quelques pieds du sol et il me rattrapa en me posant sur sa poitrine. Il me fit glisser dans un ralenti interminable contre lui. Ma jupe relevée dans le mouvement était coincée entre nos ventres. Mon sexe sans aucune protection à frotté sur son pantalon. Ce n’était pas physiquement agréable mais j’ai eu une sensation de laisser aller total.

Nous n’avons pas été plus loin.

La soirée s’est ainsi déroulée entre quelques danses lascives, quelques caresses de mon mari ou de quelques cavaliers entreprenants qui après avoir glissé une main sur mes fesses ont compris que rien ne pouvait s’opposer à leur découverte.

J’ai appris à aimer ces caresses d’inconnus qui découvrent la douceur de mon pubis et la chaleur trempée de mon sexe. Mais cela ne va toujours pas plus loin.

Nous nous retrouvons alors dans le salon qui borde la piste. Celui-là même où je m’étais initiée au plaisir public. Nous y allons car nous avons vu qu’un couple s’y embrassait langoureusement : « on va avoir la même chance que l’autre jour » me dit mon mari. Et en effet, il ne faut pas longtemps pour que le couple en vienne aux choses sérieuses. Un athlète beau comme un dieu grec et une femme plus quelconque mais surement jolie. Elle lui a sorti son sexe et le branle avec une énergie incroyable (mon chéri n’aimerait pas ça, il aime quand je le branle avec douceur… même s’il « reprend la main » pour accélérer franchement lorsqu’il arrive entre mes lèvres). Lui se laisse faire tout en déshabillant la demoiselle qui se retrouve toute nue très vite.

Les voyeurs s’approchent comme l’autre jour. L’un d’eux pose une main sur les seins de la fille qui le rabroue sèchement. Du coup les voyeurs s’écartent.

Juste en face d’eux nous nous caressons doucement. Le geste de refus, bien que bref, nous a un peu refroidi et nous nous concentrons sur notre plaisir de couple.

Mon chemisier grand ouvert laisse passer sa main qui me malaxent plus qu’elle ne caresse mes seins si sensibles. Je le lui dit, il s’excuse et se penche pour les embrasser. J’écarte mon chemisier pour lui faciliter la tâche. Sa bouche vient prendre mes tétons l’un après l’autre, me couvre de baisers.

Par-dessus son épaule je vois nos voisins faire l’amour. C’est vrai que c’est excitant cette situation !

J’ai envie moi aussi.

Je repousse la tête de mon mari et me relève. Je l’enjambe et m’installe au dessus de lui. Je guide son sexe vers le mien. Je joue un court instant avec son bout pour que mes grandes lèvres le recouvrent. Je suis trempée. Je me laisse aller autour de lui, profondément.

Mais cela ne semble pas lui plaire (ou il arrive déjà) car il me bloque en posant ses deux mains sur mes hanches : « tu n’as pas envie de faire le show ? » me dit-il.

-  « Je ne comprends pas »

-  « alors je te guide. Lève toi et retourne toi »

Sitôt levée et dos à lui, il fait glisser ma jupe. Je suis nue devant tout le monde avec pour tout vêtement un chemisier grand ouvert qui ne fait que souligner l’indécence de la situation.

-  « Pose tes pieds sur le canapé comme la fille l’autre jour »

Je m’exécute dans un état second. Des litres d’adrénaline coulent dans mes veines comme une drogue brulante. Mon cœur va exploser. Je suis mal mais je le fais.

Ses mains sous mes fesses, il me guide jusqu’à lui et m’empale doucement. En deux mouvements et contre toute attente tant la gêne me semblait forte j’ai eu un premier orgasme.

Ce n’était pas le grand pied mais ce premier plaisir m’a décrispée. Je reprends le contrôlé et va et vient sur son sexe dur.

En face nos voisins font toujours l’amour, position des petites cuillères ou quelque chose comme ça (lui sur le coté couché sur le canapé, elle à peu prés pareil, dos à lui) et nous regardent. Soudain la fille se dégage de son dieu grec et s’approche de nous. Repousse la table basse et s’agenouille face à nous.

Elle me regarde, j’ai du esquisser un sourire entre deux grimaces de plaisir. Elle s’est penchée et a commencé à nous embrasser, à caresser mon clito…

D’instinct je bascule en arrière pour lui laisser plus d’espace. Je sens sa langue sur mon clito. J’aime ça.

Je sens sa main sous ma cuisse. Elle veut que je monte d’avantage. Le sexe de mon mari s’échappe. Elle l’attrape et l’avale immédiatement mais avant que je n’ais le temps de me plaindre l’a déjà remis dans son fourreau naturel.

Elle s’amuse à ce petit jeu un instant. Cela ne me déplait pas.

« Eh ! Tu te trompes »

Non elle ne se trompait pas. Elle avait sciemment posé le bout de la verge sur mon anus, et dans cette position il était trempé de ma sueur et de mes sécrétions. Il m’appartenait de descendre ou non.

J’adore quand son gland détend doucement mon petit trou et quand il le franchit à peine, alors je descends lentement pour profiter de cet instant si plaisant. J’e m’arrêté là. Pas plus loin. Je savoure l’instant, les yeux fermé. Une langue douce vient laper mon sexe grand ouvert et me ramène à la lumière. Je pose mes mains dans ses cheveux l’invitant à me manger autant qu’elle le peut. L’orgasme est fulgurant. Je ne l’ai pas senti venir. Et il semble se maintenir sur une corde tendue. Je lui plaque la tête avec force contre moi pour qu’elle arrête sinon je meure.

Je reste un instant ainsi. Je la relâche, elle me regarde et me souri.

Je me laisse alors aller sur mon mari. Le pal me transperce. La douleur est vive mais ne dure pas. Je m’habitue vite et recommence les va et vient. Ma voisine me caresse les seins. Un énième orgasme me submerge.


Et comme toujours après, il me faut un petit moment pour sortir de mon nuage. A mon réveil, toujours empalée sur mon mari, le visage d’une femme prés de mon sexe béant et devant moi son dieu grec qui se masturbe doucement face à mon visage.

Ma main vient remplacer la sienne et mes lèvres l’invitent à nous rejoindre. Avant que je n’ai pu lui montrer tour ce dont j’étais capable il m’a offert son plaisir. C’était bon et chaud, même doux. C’était mon dessert.

Et c’était ma première fois avec un couple.


Merci Jean Phil pour ce dessin de moi (tu étais dans la boite coquin !) 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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