(A Jean, qui m’a guidée à cette époque très libertine et qui m’a aidée lorsque ça allait moins bien.)
Cette photo ne me représente pas mais vous donnera une idée de ce soir là :
Ce récit remonte à quelques années. Epoque où, en quelques mois j’ai gouté à peu prés à tout. Période assez courte mais d’une rare intensité !
Je ne sais si je vous l’ai déjà écrit mais pour mes nouveaux lecteurs je me présente : je suis née en 1967 (aux prémices de l’aire libertine !), je suis assez mince (je suis restée très longtemps à 50 kg pour 1 m69), je suis naturellement bonde, presque platine lorsque j’étais enfant plutôt châtain aujourd’hui hélas. Parfois je triche un peu et je change de couleur mais rarement, j’ai en effet la chance d’avoir des « mèches » très claires ici et là d’autres moins, bref un balayage très riche 100% naturel qui s’éclaircie en été. Je frise cheveux courts mais comme je les garde longs et qu’ils sont épais ils tombent en jolies ondulations qui plaisent beaucoup à mon mari (moi je rêve d’avoir de cheveux lisses et parfois je passe des heures à les lisser).
J’ai la chance aujourd’hui (c’était un calvaire quand j’étais ado) de ne pas faire mon âge. A 20 ans j’en paraissais 15, et aujourd’hui encore on ne me donne souvent guère plus que la trentaine. Il faut dire que j’ai la chance de n’avoir quasiment pas de rides, un visage de gamine et de petits seins qui restent haut perchés et souvent très durs (ce qui était un inconvénient jeune lorsque mes amies mettaient en avant des seins opulents et agressifs alors que je cachais ma poitrine menue, devient un avantage certain… bien que j’adorerais avoir des seins plus gros !). Enfin je dirais que mes jambes restent ma fierté : très longues et fines j’adore marcher en talons-aiguilles (j’ai eue travaillé dans une parfumerie sur des talons de 14 cm et je m’y sentais bien. J’allais même en boite pour danser sur mes hauts talons. Aujourd’hui un accident m’a laissée les ligaments en compote et je ne peux plus les mettre. Dommage !)
La soirée dont je vous parle ce soir a eu lieu en 2003.
J’étais je pense au top de ma féminité et surtout en pleine tourmente libertine.
Je m’étais laissée emmenée dans des pratiques dingues et mon mari m’avais initiée aux clubs libertins.
Nous n’y sommes pas allés très souvent mais je dois avouer que cela c’était plutôt bien passé, rien de glauque où il m’a emmenée. Très rapidement je me suis prise au jeu de l’amour en public mais je n’avais été prise qu’une seule fois par un inconnu. Vous voyez, on est loin de la grande dépravation !
Le club où nous allions, prés de Toulouse (le Lov’inn… Je n’y suis plus allée depuis 5 ou 6 ans je ne sais même plus s’il existe encore), organisait parfois des soirées à thème. Ce soir là c’était simplement soirée « Carnaval ».
Costumes de rigueur !
Mon mari me disait sans arrêt (et encore aujourd’hui) qu’il adorait quand j’étais féline comme une chatte bien qu’il me trouvait plus chienne que jamais.
- Tu me veux comment pour notre soirée, chatte ou chienne ?
- -Je te veux chienne comme jamais mais dans un corps de chatte !
C’est comme cela que l’on a eu l’idée de CatWoman.
Ma tenue:
Sur ma très longue chevelure blonde (pas coupée depuis plusieurs années) j'avais un masque en similicuir qui recouvrait mon crane et descendait jusque sur l'arête du nez, avec les deux petites oreilles pointues.
Sur le corps un collant en lycra noir intense et un top identique (manches longues et col montant). Le collant avait une fente discrète sur une petite dizaine de cm (j'avais défait la couture, et reprise un peu plus loin), une ceinture large pour faire la liaison et mes bottes en cuir fin et talon haut.
Bien sur ni culotte, ni soutien gorge (autant dire que je semblais nue tant cette tenue me collait, on avait prévue une petite jupe noire au cas où ma tenue serait trop indécente et un manteau-cape).
L’accessoire que Jean connaît bien, gênant dans la voiture, était dans un sac pour le voyage (il s’agissait d’un plug sur lequel mon mari avait fixé comme une queue de cheval).
L'heure arrivait et j'étais encore excitée par notre après-midi frustration et plutôt que "l'eau à la bouche", c'est le goût du sperme de mes deux retraités et de Max qui me maintenait en haleine. (Excusez-moi je vous en parlerai plus longuement peut-être une autre fois mais disons que j’avais eu l’occasion de satisfaire mon goût pour les autres dans l’après-midi sans avoir la chance d’être satisfaite.)
Mon mari, toujours aussi pervers avait planifié, sans me le dire, pas mal de choses, il m'avait dit :
- Ce soir tout le monde aura le droit de caresser les parties couvertes de ton corps, pour le reste tu feras ce que tu veux.
J'étais bien-sur dans cet état et cette tenue en voiture (sans cape) et au péage (no coment !).
Une fois à Toulouse, nous avons pris un bout de rocade pour sortir à L’union (banlieue de Toulouse), il s'est arrêté devant un café-tabac et m'a dit :
- Va m'acheter un paquet de cigarette s'il te plait... et laisse tomber la monnaie par terre, prends ton temps pour la ramasser!
Je saisi mon sac et ma cape
- Tu n'as pas besoin de ça pour si peu. me dit-il en retenant mon manteau.
Je sors dans la rue, un peu paniquée, des passants me croisent (et me toisent), je me précipite dans le café: pour un refuge c'est raté, en soirée il n'y a que des hommes, et pas les meilleurs je pense, ils me matent sans ménagement, je demande mes cigarettes en bégaillant, on me sert, mon cœur bat à 200, j'ai des picotements sous les bras et... je mouille comme une fontaine.
J'ai failli oublier de faire tomber la monnaie mais je tremble tellement (rien qu'à évoquer ce moment je tremble à nouveau et etc.) que je la fait tomber. Je repense alors à mon mari, je le regarde par la vitrine et me baisse lentement, dos aux buveurs (la fente s'ouvre forcément et ils ne peuvent pas ne pas voir), pour ramasser mes sous.
J’entends vaguement des choses dans mon dos.
Je me lève et sors très vite.
Mon mari a reculé la voiture. Je ne la vois pas et commence à paniquer. Il me fait un appel de phare. J’ai presque 100 metres à faire en pleine ville !
J’entre dans la voiture.
Mon mari m'embrasse et redémarre.
(En me remémorant tout cela, je fantasme en pensant à ces hommes attablés. J’aurais du leur demander ce qu’ils disaient dans mon dos et, imaginant un :
- Dommage qu’on ne peut pas toucher !
Je répondrais :
- Tant que c’est sur une partie couverte vous avez le droit !
Alors ils se seraient levés et m’auraient caressée. Le patron aurait fait le tour du comptoir et mis le panneau : « fermé » sur la porte en croisant le regard de mon mari.
Et puis j’aurais fait comme cet après-midi avec mes amants, leur offrant mes lèvres en échange de leurs liqueurs. Mais gardant ma frustration pour mieux bruler dans la soirée…).
Nous arrivons au club. A la porte nous sommes reçus poliment mais assez froidement :
- Désolé madame, les pantalons sont interdits pour les dames.
- Mais c’est son costume ! lui dit mon mari.
- Désolé monsieur c’est la règle.
Nous retournons à la voiture, mon mari sort la mini jupe censée compléter mon costume au cas où il aurait été trop impudique (je n’ai pas osé montrer mon sexe au portier qui n’a vu qu’une combinaison noire !
Je retire la ceinture et entre dans la voiture pour me changer.
- Non ! Reste dehors c’est plus drôle !
Je retire mon collant et le pose sur le siège. Je me baisse en avant et tends la main pour prendre ma jupe.
- Ma chérie tu as déjà des admirateurs !
Je me retourne machinalement. Un vigile et son rottweiler me regardaient. Les deux semblaient aussi intéressés l’un que l’autre.
Le vigile me fait un sourire et un clin d’œil discret. Mon mari n’en a rien vu. Nous nous connaissons déjà (tous les trois) mais cela est une autre histoire dont mon cher et tendre n’a pas connaissance. Mais vous l’avez compris, nous sommes déjà venu ici…
Je reprends où j’en étais, écartant légèrement un pied pour que, me baissant pour récupérer ma jupe, je puisse leur offrir un petit cadeau.
Je m’habille (si je puis dire). Mon mari récupère le collant pour le glisser dans mon sac. Et nous nous représentons à l’entrée. Sans problème ce coup-ci.
Je n’ai encore ni mon masque ni mon accessoire.
Nous allons d’abord au restaurant du club.
Repas sans histoire. Fin, assez « pimenté » mais comme nous sommes entre libertins, il n’y a pas d’exhibition ici. Donc repas presque bourgeois.
Vers 23 heures nous sommes dans la partie discothèque. L’ambiance est sympa comme à l’accoutumé. Le patron lui-même viens nous saluer et, avec des termes très courtois me complimente sur mes jambes « qui semblent indiquer un puits de perdition » (je cite) mais regrette que je n’ai pu trouver de costume pour faire la fête du carnaval. Nous lui racontons notre mésaventure.
- Quel idiot je vais le …
- Non, s’il vous plait ! nous ne venons pas ici pour entendre crier, ce n’est pas grave !
-Ok. Excusez-nous ! Habillez-vous comme vous le désirez madame, vous êtes ici chez vous.
Il nous salue et s’en retourne.
- Ma chérie, et si tu allais te faire chatte ? Encore plus que tu ne l’es.
Je prends mon sac et me lève pour aller vers les toilettes.
- N’oublie pas ton accessoire !
- Je n’oserai pas.
- Alors je te le mettrais moi ici quand tu reviens.
- Grrr !
Et je me sauve.
Arrivée aux toilettes, disponibles et propres, j’en profite pour me soulager un peu et remets mon collant et ma ceinture (la jupe le remplace dans mon sac). Je prends le plug et le présente mais ça ne passe pas (et j’ai oublié le gel).
Je salive alors mon index et viens mouiller mon petit trou (et dans l’état où je suis depuis cet aprèm l’effet est immédiat : c’est bon !). J’insiste un peu pour être sûre… glissant mon doigt assez loin (vraiment c’est bien meilleur qu’une grosse brute qui vous prend sans ménagement !) et faisant de lents mouvements pour m’assouplir (parce que c’est bon) avant de mettre la chose. Puis je me résous à réessayer. Je le léchouille un peu d’abord puis le prends dans ma bouche pour le tremper. (Il est propre mais le goût du plastique ne vaudra jamais celui d’un sexe mâle bien vivant !). Il entre dans moi plus facilement. J’aime quand la partie large passe et que mon petit trou se referme dessus.
Je retourne déguisée à ma table.
Mon mari m’embrasse.
Je m’assois mais ce n’est pas simple avec ça là ! Il me faut trouver une position confortable. Ce sera sur le coté, en chien de fusil ou presque.
Nous commençons la soirée. C’est sympa et il est vrai que ces déguisement donne une ambiance assez surréaliste à la soirée car personne n’a osé la faute de goût du masque grotesque acheté pour le carnaval des rues. Nous sommes entre gens assez fins manifestement même si nous restons dans la caricature : les hommes sont majoritairement restés de grands enfants (cowboys, indiens, pompiers, militaire…) et les femmes des fantasmes masculins (geishas, infirmières, hôtesses de l’air…) bien que certaines affichent un coté masculin (policières très sexy). Peu de super héros.
A l’entrée nous avions reçu un numéro en nous recommandant de ne pas le perdre (loterie ?). J’ai compris lorsque le DJ a annoncé que nous allions faire, pour celles qui voulaient, un jeu pour désigner la reine du carnaval.
A l’appel de notre numéro nous devrions aller danser dans l’une des deux cages d’exhibition pour des duels de sensualité. Au terme du jeu la reine aurait droit au champagne à volonté pour la soirée et un repas avec son amoureux quand elle le voudrait. Et les hommes ? Simple spectateurs ! Cela aurait pu m’amuser de voir mon homme en maillot de bain et tee-shirt rouge d’alerte à Malibu danser tout seul devant tout le monde. Peut-être ce sera pour plus tard.
- Les nmr 1 et nmr 2 sont invitée à venir sur scène sous vos applaudissements les amis.
Numéro 1 est une dame presque la cinquantaine habillée en marquise. Mais vraiment j’aimerais être comme elle à 50 ans. Droite, fière, fine et des seins explosant des son corsage.
Numéro 2 ne viens pas. Le DJ insiste gentiment mais l’excuse aussitôt. Tout doit être consenti, accepter, volontaire et seul le plaisir doit nous guider ici. Elle sera la bienvenue si elle veut rejoindre le jeu plus tard.
Numéro 3 est une jeune punk, en tous cas déguisée comme telle.
La danse commence. Le paradoxe est tellement grand entre la jeunette et la femme mûre, la provoc et la classe, le sexe et la sensualité… Et c’était un concours de sensualité. Madame gagne. Un animateur lui apporte une coupe de champagne au sortir de sa cage et le DJ la félicite. La jeune punk y a droit aussi avec un petit mot gentil.
Le spectacle de ces danses lascives de femmes costumées dans les cages est plus que troublant et bien que je n’ai aucune pulsion homosexuelle, je m’avoue plus que troublée. J’en avais oublié mon numéro.
- C’est au tour des 18 et 19 pour venir nous étourdir.
18 est une infirmière en jupe et haut de latex blanc. Une belle fille.
- 19 est une timide je crois ! Allo 19 !
- Chérie c’est à toi !
Et mon mari se lève et m’aide à me mette sur mes pieds. J’avance dans un nuage. J’ai peur ! Mes hauts talons et mes chevilles froides ne me donnent pas une belle démarche. Je me sens ridicule. J’ai honte. Une sensation se réveille dans mes fesses. Mon Dieu, je l’avais oublié celui-là. Ma honte et ma peur sont à son comble. J’avance aussi lentement que possible.
- La panthère noire dans la cage ! Crie quelqu’un.
Je suis seule au milieu de la piste pour rejoindre la cage libre. Je deviens folle. De nouveaux cris finissent de me faire perdre la tête
- La panthère, La panthère…
Je sens mes jambes défaillir et je tombe.
Mon mari et un autre homme se précipitent :
- Ça va ? tu veux qu’on rentre ?
- Non merci. Ça va aller.
Sans me relever, j’avance à quatre pattes. Lentement. Tout le monde doit voir ma queue de panthère qui caresse mes fesses noires.
J’arrive enfin devant ma cage. Je la regarde sans avancer, puis regarde l’assistance.
Un homme comprends, se précipite et l’ouvre. S’accompagnant d’un grand geste il crie
- Yaah !
J’entre dans la cage
La musique commence. Je m’autorise un tour complet à quatre pattes dans chaque sens avant de me lever, tel le fauve en cage! Et de danser. Libérée dans cette cage.
Moment inoubliable de stress et d’émotion. J’ai adoré (après).
L’infirmière bien plus belle que moi n’a eu aucune chance ! Le public m’étais acquis.
Plus tard dans la soirée il y a eu un deuxième tour. Toujours sans avoir le droit à l’effeuillage. Gagné également
Puis un avant dernier tour. Nous avions le droit à un effeuillage limité à deux articles (zéro au premier tour).
J’étais face à une rousse-auburn d’une petite trentaine d’année, jeune mariée. En dansant elle a retiré sa robe, ne gardant que son bibi dans les cheveux avec ce voile délicat devant les yeux, un corsage qui mettait en valeur sa taille et ses seins, un porte-jarretelles et des bas blancs, un string en dentelle et des escarpins plus haut que les miens.
Moi je n’avais rien à enlever qui aurait pu me rentre plus sexy alors je m’amusais à me jeter contre la cage bras et jambes écartés pour me dévoiler sans le dire.
Et puis elle a retiré son string. Cette jeune mariée toute de blanc vêtue face à une panthère noire qui ne créait plus la surprise. J’ai perdu.
Le patron lui-même est venu féliciter la première finaliste. Elle a scotcher tout le monde en annonçant.
- Je me sentais à l’aise car je n’étais pas vraiment déguisée. Nous nous sommes mariés au printemps dernier et on cherchait une occasion d’annoncer mes bonnes résolutions.
- Et ces bonnes résolutions sont … lança le patron du club,
- J’ai enlevé ma culotte pour la dernière fois.
- Pardon ?
- Mon chéri m’a demandé de ne plus en porter, c’était la dernière fois !
- Waouh ! On l’applaudi et on espère vous voir très souvent parmi nous.
Et il s’approche de moi :
- Notre panthère préférée s’est fait croquer par une jeune mariée. Pas trop déçue ?
- Non bien sûr on est là pour s’amuser et on s’amuse.
- Et on l’applaudi aussi ! Ah, au fait vous n’avez pas une annonce libertine à nous faire à la suite de notre petite effrontée ? Mais vous semblez déjà peu concernée par les culottes.
- Non pas vraiment !
Mon mari se précipite alors :
- Tu devrais leur dire les règles pour ce soir ma chérie, si personne ne sait…
Le patron reprend le micro très intéressé
- Les amis on a quelque chose de croustillant qui arrive… Chère amie dites-nous :
- Et bien ce soir toutes mes parties couvertes sont offertes sans restrictions aux caresses de qui veux, pour le reste je suis libre.
- Re-waouh !!! on peut vérifier ?
Bien sûr
Il approche sa main et la pose sur mon sein droit. Il le caresse
- Je crois que certains vont regretter notre panthère ! dit le patron sans cesser de me caresser. Puis il reprend :
- Mes amis en attendant la finale je propose à Catwoman de danser pour nous dans la cage afin que chacun puisse se faire une idée de vos parties couvertes. Vous êtes partants ma chère ?
Je me pince les lèvres, morte de trouille et murmure un petit
- Oui bien sûr
- DJ (je ne me souviens pas de son nom) met nous quelque chose de doux et sensuel s’il te plait, une série de bons vieux slows.
Et je me retrouve dans la cage à danser très lentement sur une musique douce. Des hommes s’avancent, quelques femmes aussi. Des mains s’avancent. Elles me font peur quelques secondes mais les sourires me rassurent. Elles me caressent.
Je me colle alors à la cage. Une bouche vient se poser sur l’un de mes seins, puis une autre. Mes tétons me font mal. Des mains caressent mes reins. Je sens mon plug bouger, quelqu’un doit tirer sur ma queue. Ha ! Il est sorti ; Hmm il revient et se loge dans mon ventre. Ça recommence. Encore. Un doigt vient caresser mon sexe. Il n’y a pas droit, si je refuse. Je le laisse faire. Il glisse maintenant 2 doigts dans mon sexe. Mon plug s’agite toujours, mes tétons me font presque mal. Je hurle ma jouissance et m’écroule.
La musique continue, douce.
Mes mains restent accrochées aux barreaux. Des mains me caressent encore. Gentiment. C’est agréable. Mes yeux voient mieux après cet orgasme libérateur. Je reprends un peu mes esprits en restant ailleurs. Je vois des sexes d’hommes à travers les barreaux. Celui-là est beau. Hmm et en plus il est bon. Je le mange toute à mon envie oubliant ces mains qui me caressent. Mais mon beau mâle ne tient pas longtemps et faute de champagne il m’offre une liqueur épaisse et enivrante. Bonne. Mes yeux se portent vers un monsieur qui semble âgé, j’ai envie de lui donner ce plaisir. Il résiste plus longtemps avant de se répandre. Je me rappelle en avoir satisfait un autre. Qu’il m’excuse s’il me lit aujourd’hui, je ne m’en souviens pas plus.
Après j’ai voulu sortir et boire un verre bien frais. Le patron a annoncé la fin de ma participation et m’a accompagnée au bar. Mon mari nous y a rejoints. Assise sur un haut tabouret je lui ai dis un peu lasse :
- Enlève moi ce machin j’ai envie de toi.
Le patron nous servait du champagne frais pendant que mon mari retirait le plug et le posait sur le comptoir.
- Viens ! lui dis-je
-Où ça ?
- Comme tu veux.
Il me prit par les hanche pour que mes fesses dépassent bien du tabouret et entra dans mon sexe sans difficulté tant il était trempé.
- Doucement ! lui dis-je, Tout doucement, je veux en profiter
Je pris ma coupe de champagne el la bu lentement pendant que mon mari me prenait tout aussi lentement. Pendant ce temps, le patron me faisait la conversation.
Mon mari se sentant arriver et sachant mon goût pour la chose me dit
- Tu veux que le patron me remplace pendant que j’arrive entre tes lèvres ?
- Oui
Le patron qui n’était pas sourd fit le tour du comptoir et sorti son sexe pendant que mon mari sortait de moi. Puis pendant qu’il me présentait son sexe trempé pour que je le prenne dans ma bouche, je senti le patron me perpétrer avec autant de douceur que d’assurance (et avec préservatif ce qui va de soi en club).
Sentant mon mari gonfler. Je fis une pause et souffla sur sa verge pour le calmer.
- Doucement mon chéri, doucement.
Et d’une main je saisi la base du sexe du patron pour le faire sortir aussi mais sans rien lui dire je le positionnais juste à coté et tirais un peu pour lui montrer la voie. Il s’enfonça dans mes fesses avec beaucoup de douceur encore. Un vrai gentleman. Mais planté au font de moi il m’arracha un petit cri.
- Monsieur a remplacé le plug ? me demanda mon mari
- Oui, j’en avais envie. Allez-y maintenant ne vous arrêtez plus j’ai envie de vous.
Mon mari ne pu se retenir que quelque secondes et m’offrit je crois la plus belle rasade qu’il m’ait jamais offerte. Quand à l’hôte de mon séant, il prit encore un moment, accélérant et renforçant ses coups de reins sans me causer de douleur, m’offrant un orgasme de rêve : un sexe aussi viril que délicat au fond de moi et le sexe de mon chéri entre mes lèvres, sa liqueur présente sur ma langue et sa virilité renaissante qui me disait « ma chérie tu en auras d’autres ».
Bisous mouillés à tous.
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