yonidouce

Je vous donne un rendez vous dans une brasserie, vous me donner quelques signes distinctifs afin de vous reconnaître.

Karen, mon amie viendrait vous trouver, elle vous demandera si vous êtes bien "Jean", vous lui répondrez en confirmant "Wvxyz».

Elle dira simplement " Elle vous attend" et vous la suivrez.

Elle vous amènera dans un hôtel que j'aurais choisi et vous accompagnera jusqu'à la chambre. Elle vous demandera de vous déshabiller, devant elle bien sûr (Karen est une vraiment très jolie fille, cheveux très court, yeux bleus très clairs, 1m78 et une silhouette magnifique… toutes les américaines ne sont pas obèses!! Elle est beaucoup plus belle que moi.) Et vous devrez le faire.

Elle vous demandera de mettre une cagoule - je ne veux pas savoir qui vous êtes; et un masque sur les yeux - je ne veux pas que vous mettiez un visage sur moi.

Puis vous vous laisserez attacher au lit, aux chevilles et aux coudes. Elle vous laissera libres les avants bras, je veux vos mains libres.

Lorsque tout sera prêt elle vous laissera ainsi sur ce lit d'hôtel pour aller me chercher.

Je reviendrais seule, je ne veux pas que vous touchiez à Karen, je vous veux pour moi seule.

J'entre et vous dit simplement "bonjour Jean! Vous allez bien?" puis je découvrirais votre corps du bout de mes doigts, les passerais sur vos lèvres pour que vous les embrassiez.

Je vous laisserez découvrir mon corps de vos mains peu mobiles, vous verrez que je ne vous ais pas menti.

Puis je me caresserais, peut être me demanderiez vous ce que je fais, je vous le dirais.

Peut être me demanderiez vous si "c'est bon", et je vous ferais goûter.

D'abord avec mes doigts, plongés au fond de moi.

Et puis je me mettrais à cheval sur votre visage, seule la bouche (et le nez) n'est pas recouverte par la cagoule.

Je pose mes lèvres intimes sur vos lèvres (gourmandes?).

Vous m'embrassez, me léchez.

Votre langue découvre la douceur de mon pubis tout fraîchement rasé.

La fragrance de la crème (l'air du temps) se mêle aux effluves de mon désir.

Des filets de liqueur font un pont entre votre bouche et mon intimité.

Je reste ainsi sur vous jusqu'à ce je puisse en jouir.

Alors, un peu calmée je peux m'occuper de vous.

Depuis le début je n'ais pas effleuré votre sexe.

Je m'en approche.

Souffle dessus.

Esquisse quelques coups de langues furtifs.

Puis le prends d'une main ferme et le place bien droit face au ciel.

Un léger baiser dessus.

Puis délicatement, comme certains jeux d'enfant, j'ouvre grand et m'approche de lui. Sans le toucher.

J'essai d'aller le plus loin possible, sans le toucher.

Puis il m'effleure.

Alors mes lèvres se referment comme un piège et plus une once de votre sexe ne m'échappe.

Je vous laisse imaginer.

Cela dure un peu.

Je fais un pari, s'il me désire vraiment, il ne se contentera pas d'une seule fois !

Alors je caresse vos bourses pendant que mes mouvements s'amplifient. Vous vous cambrez, râlez et m'offrez de longue coulées de liqueur brûlante.

Attachée à vous je continue, longtemps.
Pour ne rien perdre.

Pour que vous reveniez.

Votre sexe est maintenant tout petit entre mes lèvres, et il a perdu de sa prestance.

Mais il est touchant.

Et je continue à le câliner, à l'embrasser, et peu à peu je crois gagner mon pari, il relève la tête et exhibe enfin sa fierté retrouvée.

Je viens déposer un baiser sur vos lèvres en disant "merci" puis viens me mettre sur vous.

Ma main le guide.

Je m'amuse à me caresser le clitoris avec le bout de votre sexe.

Vous craquez "s'il vous plait, laissez-moi entrer"

Alors je m'installe au dessus de lui et doucement me laisse aller à sa rencontre.

De vos mains libres vous essayer de marquer le rythme en prenant mes hanches.

Et très vite j’atteins la jouissance.

Gentiment vous me demandez "c'était bien Alanys?" je vous réponds que oui et m'enquiers de vous "vous pourrez arriver encore?".

Très fier vous me répondez "oh oui bien sûr".

Et j'oserais un "comment aimeriez-vous"
Vous emploierez alors cette jolie expression qui vous est chère "dans votre trésor",

"Lequel? " oserais-je encore, "l'autre" direz-vous simplement.

Alors je me dégagerais de vous, lentement.

Accroupie au dessus de vous, les pieds à plats, je serais juste au dessus.

D'une main je vous guiderais.

Je me caresserais ce point si intime avec le bout de votre sexe, recueillant sur mes lèvres intimes ce qui faut de lubrifiant pour que vous puissiez entrer sans me faire mal.

Et je vous poserais contre.

Et je descendrais doucement.

Stop !

Le bout est passé, j'aime ce moment.

Je le ressort, et recommence.

J'adore cette mini sodomie, ce n'est que plaisir.

Mais cela ne vous suffit pas, je sens vos mains crispées sur moi.

Vous avez envie de me forcer mais vous n'osez pas.

Vous me suppliez presque "Alanys, laissez-moi aller au bout".

Alors je descends d'avantage, jusqu'à ce que mes fesses se posent sur vous.

Vos mains tentent de reprendre le contrôle, votre bassin aussi.

Je vous laisse faire.

Vous perdez la tête vous devenez violent.

Vos coups de reins sont terribles.

Et je jouis encore, comme une folle.

Vous arrivez aussi.

Vous criez.

Je ressens un jet chaud en moi.

Je me dégage très vite et recueille la fin de votre plaisir entre mes lèvres.

Allant jusqu'à presser votre sexe, et même le bout, pour en tirer la dernière goutte.

Je pose ma tête sur votre ventre et laisse le temps passer…

Puis je me lève, vous embrasse et vous dit "adieu".

Je pars.

Vous restez seul.
…
Quelques temps plus tard, karen reviens et vous libère une main, elle vous dit "vous y arriverez tout seul maintenant" vous répondez par l'affirmative.

Elle s'en va.