Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 21:57

 

Voici une petite pause coquine au cours d’un été plutôt sage. Et cette aventure même est assez sage… mais il n’a jamais été question pour moi d’autre ambition que de me livrer à vous avec parfois mes excès ou mes banalités.

 

Nous avons passé un été assez sympa avec mon mari, partis tous les deux en amoureux trois fois une semaine au bord de la mer. C’était romantique et comme toujours très sexuel. Mais presque routinier : grasses-mat crapuleuses, siestes crapuleuses, soirées coquines ! On ne peut dire qu’il y ait eu abstinence … mais rien d’exceptionnel !

Bien sûr mon oubli systématique, et délibéré, de petite culotte nous aura permis de nous préchauffer avant de se faire plaisir à la maison. Quelques petites exhib plus ou moins discrètes auront été les seuls « extras » de nos vacances.

Nous avions décidé de se faire un petit numéro d’exhib hard dans un grand sex-shop… on ne l’a pas fait ! Sages je vous dis !

Et entre chaque semaine de vacance mon mari partait quelques jours pour son boulot, me laissant seule avec mes sextoys, Max et mes souvenirs des jours passés au bord de l’eau. Et sincèrement j’étais bien assez satisfaite pour aller déranger ce bon vieux Max ou me contenter d’objets sans vie !

 

Je me prélassais au bord de la piscine, toute nue dans la mesure où les haies presque aussi large que haute me cachent du voisinage. Surtout que je n’ai que 3 voisins : les 2 premiers sont très loin et mes arbres et massifs complètent encore les haies (j’ai une belle maison avec pas mal de terrain) et le seul dont seul la haie nous sépare de quelques mètres est un adorable retraité qui me « connaît » très bien. Il ne serait donc pas choqué en me voyant ainsi.

J’étais plongée dans un thriller passionnant à moitié allongée sur un transat lorsque le bruit d’un taille-haie m’a ramenée à la réalité. « Zut ! » Je l’aime bien mais là il m’enquiquine ! Mais bon, on était quand même en plein après midi début septembre, il avait le droit.

Il était encore loin, caché par la cabane de la piscine et un gros figuier très dense, seul le bruit me gênait. J’essaie de replonger dans mon bouquin. Les minutes passent. La coupe avance et, levant la tête de mon bouquin, je m’aperçois que ce n’est pas mon voisin (j’aurais dû m’en douter d’habitude il fait ça en fin de matinée). L’homme est plutôt jeune (ça ne me dérange pas), la trentaine à peine, brun, un ibère probablement ! Il m’a sûrement vu mais nos regards n’ont pas eu le temps de se croiser. D’ailleurs j’ai immédiatement remonté mon livre devant les yeux.

Je ne suis ni un modèle de vertu ni une jeune première mais je suis toujours très sensible à l’imprévu, aux aventures que le destin m’envoie sans prévenir. Exactement le genre de situation qui me fait chavirer. Mon ventre est serré, j’ai une boule dans la gorge et je reste ainsi. Je l’entends avancer. Je n’ai pas bougé. J’aurais pu prendre mon paréo, ma serviette… Cela ne m’a même pas effleuré l’esprit. Je suis juste restée là, comme pétrifiée ! Je sais qu’il m’a vue, il ne saurait faire autrement. Il sait que je le sais, il fait suffisamment de bruit ! J’adore ce jeu ! Je reste à lire mais, toujours adossée, je ramène une jambe pliée sous mon autre cuisse. Mes lèvres s’ouvrent naturellement et il me semble sentir des gouttes couler. Transpiration ou imminence du plaisir ? Les voit-il ? Quel effet cela lui fait-il ? J’aimerais parfois être un homme pour ressentir cet émoi devant une femme ainsi offerte !

Le moteur se tait ! Je pose mon bouquin et me lève sans un regard pour mon bel ibère. Une marche après l’autre, je descends lentement vers le petit bassin. Je fais une pause sur la dernière marche avant de me laisser aller. Debout face à lui, les jambes à peine écartées, l’eau arrive à la limite de mon pubis, comme si mon sexe rose et lisse, gorgé d’envie était posé sur un plat, un présentoir d’eau cristalline. Je mouille mes cheveux, mon visage. Puis mes bras et enfin mes seins.

Comment pourrait-il croire que je les mouilles encore ? Mes caresses sons sans équivoque !

Le moteur n’a toujours pas repris ; Je lève enfin les yeux sur lui. Nos regards se croisent. Il me sourit franchement et me fait un coucou maladroit avec sa main. Touchant ! J’esquisse un tout petit sourire, me retourne et commence à nager.

J’aime faire des longueurs ça me détend.

Je nage en imaginant ce jeune jardinier me rejoindre dans la piscine. Je m’imagine déjà en madame Solis (Eva Longoria, la plus mimi des « desesperate housewife »)… mmmm je la vois avec son jardinier, un beau brun aussi !

Enfin, entre panique et soulagement, j’aperçois mon empêcheur de rêvasser debout sur les margelles de la piscine. Je m’arête prés de lui.

En gentleman c’est lui qui brise la glace :

Excusez mon impolitesse mais il fait si chaud et vous voir dans cette piscine m’a donné envie !

Je comprends. Venez vous rafraîchir ça vous fera du bien.

Mais je n’ais pas de maillot !

Moi non plus. On est tranquille ici !

J’avais remarqué oui.

Sans plus de discours il se déshabille. Manifestement il a eu chaud et ne peut cacher une belle érection qui semble le gêner.

Ne soyez pas gêné, j’ai déjà vu des choses comme çà !

Oui mais on ne se connaît même pas.

Venez donc.

Il s’approche

Moi c’est Yoni et toi

Lucas

Et bien bienvenu Lucas !

Et je me rapproche pour l’embrasser sur les joues.

Pendant que l’on se bise chastement, il pose une main sur ma taille et, j’en suis persuadée sans le faire exprès, son sexe m’a effleurée. J’ai sursauté.

Oh ! pardon, je ne voulais pas…

Ce n’est rien ! lui dis-je en attrapant l’objet du délit dans ma main

..

Tu veux nager un peu ?

Oui.

Et nous voila barbotant ensemble comme deux vieux copains.

Il plonge et s’amuse à nager au fond. J’en profite pour m’asseoir sur les margelles, les pieds dans l’eau.

Il revient vers moi.

Spontanément il vient se placer entre mes jambes écartées, ses avant-bras se posant sur mes genoux, sa tête si proche de mon sexe !

Je n’avais jamais vu, en vrai, de sexe rasé intégral comme le tien (il me tutoie… ça peut se comprendre, il y a déjà une certaine intimité entre nous et je l’avais fait la première !)

..

Pourquoi tu fais ça ? Tu n’aimes pas au naturel ?

Il y a des plaisirs beaucoup plus grands comme ça ! Imagine ta langue passant sur une toison fournie ou glissant sur moi !

Je préférerai essayer qu’imaginer !

J’écarte plus encore mes genoux répondant ainsi à ses attentes.

Il plonge sa langue entre mes lèvres et se lance dans un cunnilingus passionné, désordonné, gourmand, sensuel… adorable ! Lorsque j’ai senti le plaisir venir j’ai planté mes doigts dans ses cheveux et lorsqu’un orgasme violent m’a traversée, j’ai plaqué sa bouche contre mon sexe pour qu’il ne bouge plus mais maintienne cette pression étrange qui retient l’acmé de mon orgasme

Lorsque je l’ai relâché, il a fait quelque mouvement de dos, exhibant un sexe fièrement dressé malgré la fraîcheur de l’eau.

Après un salutaire (et obligatoire) petit moment pour me remettre, je glisse dans l’eau. Il s’approche de moi, m’embrasse sur la bouche. Ses mains caressent mes fesses. Son sexe dur plaqué contre moi. Il a autant envie de moi que moi de lui… mais je ne pratique plus le sexe sans précaution depuis bien longtemps et ni lui ni moi n’avions programmé cet intermède.

Reviens demain si tu veux on aura de quoi se faire plaisir en sécurité mais pour le moment ça me semble pas prudent !

Tu es dure ! je vais exploser moi !

J’y compte bien ! A ton tour de t’asseoir.

Il a parfaitement compris et après m’avoir caressée les seins et embrassée une dernière fois, s’est installé les pieds dans l’eau.

Je lui ai fait une longue fellation, me suis appliquée pour lui donner autant de plaisir qu’il m’en avait donné.

Manifestement pas habitué à pratiquer avec des partenaires aussi gourmandes que moi, il a pris soin de me prévenir avant d’exploser :

Attention j’arrive ! … J’arrive !

Et moi j’adore ! J’adore quand il se raidit, se raidissement qui se propage à tout le corps. Le sexe qui enfle un court instant avant la première éjaculation, cette chaude liqueur qui se répand dans ma bouche et coule dans ma gorge comme si, mante religieuse, je venais de dévorer mon amant.

J’adore !

 

Nous nous sommes revus et avons fait l’amour, plusieurs fois, lui offrant ce que ses (je crois) rares partenaires ne lui avaient pas permis de découvrir.

Cela aura été mon seul amant de l’été. Il a été charmant.

Yoni

Bien sur je n’ai pas de photo de cette aventure alors celle de ma nuisette blanche pourra peut-être vous satisfaire.

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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