Lundi 17 janvier 1 17 /01 /Jan 07:51

Journal de Yoni

Samedi 15 janvier 2011


Mon mari m’a proposé une journée au bord de mer et resto les pieds dans l’eau. Cela fait des mois que je ne suis pas allée à la mer et ça me manquait. J’accepte, évidemment.


Il fait très beau et ce grand soleil prévu pour toute le journée me rend guillerette. Nous allons faire un promenade en amoureux le long du port de Mateille, j’aime bien ce petit coin, nous y avons habité avant de déménager sur Toulouse et je regrette bien ces promenades quotidiennes.


Cela m’émeut aussi car nous habitions cette station (aux Rocailles, face aux bateaux » à une époques où nous n’hésitions pas à faire tout ce que l’on voulait. C’était très coquin.


Très souvent nous nous promenions en amoureux, main dans la main, mais j’étais toujours nue sous mes jupes ou mes robes d’été. Et pour qui connait le coin, le vent était un complice particulièrement pervers ! Lorsqu’Eol faiblissait et que j’étais d’humeur libertine, ou que mon mari me le demandait, je forçais un peu le destin. J’aimais bien l’Argonaute, ses fauteuils très bas en arrière, à l’angle du bassin (place des menhirs). Je pense que plus d’un promeneur a dû apprécier le soin que j’apportais à mon épilation intime (rasage en fait).

Bref, nous revenions sur les lieux non du crime mais du libertinage, et cela m’émoustillait.

Je me suis habillée assez chic pour le restaurant : jupe noire mi-cuisses sur leggins noir en lycra, bottes assez haute, chemisier blanc et une petite veste. Sobre mais chic.


Arrivés à Gruissan, nous nous sommes garés devant le chantier naval et avons commencé la promenade  le long des quais. Le temps était incroyable. Pas un nuage, ciel bleu parfait, soleil vigoureux qui nous chauffait le dos et la nuque. Et pas un brin de vent. Incroyable ici !

U niveau du petit pont qui donne sur l’étang, alors que l’on passait « rive gauche », on avait déjà tombé la veste et je pestais d’avoir des leggins si chaud.

On passe devant les rares restos ouverts (les palmiers et la médina), on pousse jusqu’à la place du cadran solaire pour voir s’il y avait d’autres restos ouverts mais non et nous sommes retournés manger aux « palmiers ».

On a pu avoir un table en terrasse, en bordure, à 2 mètres de l’eau !

15 janvier en terrasse ! et sans veste. Désolée chers parisiens et autres nordistes, le sud est moins beau que la Bretagne mais il y a des petits avantages.

Nous commandons un apéro (un petit muscat pour moi) et du poisson (évidemment). Avant de manger j’aime bien me laver les mains et me rends aux toilettes. En marchant vers le petit coin une petite gêne m’incite à m’occuper également de ma vessie.  J’entre dans les toilettes, referme derrière moi, relève ma jupe et baisse mes leggins. Assise sur le pot, laissant s’écouler doucement mon petit pipi, j’étais songeuse et me replongeai dans mes rêveries coquines.

Et zut, après tout il vaut mieux être à l’aise et coquine que d’avoir chaud et être inconfortable tout l’après-midi. Je retire donc tout ce qui se trouvait sous ma jupe. Petit problème, mon sac est resté à la table. Bon je vais le rouler serré on le verra pas… et puis tant bien même !   
Je me lave les mains comme prévu et m’en retourne à table.

Je marche lentement, goutant ma liberté recouvrée. Il me semble être caressée par les regards des clients, surtout ceux qui m’ont vue passée et regardant mes cuisses gainées de noir et qui me retrouvent au naturel. Et ceux qui se demandent ce que je tiens dans ma main.

Mon mari me sourit de loin. Je n’aurais pas besoin de le convaincre du bien-fondé de mon initiative. Ma première promenade sans culotte c’était ici et à sa demande.

Je suis assise en extrême bordure de terrasse, face aux autres tables. Je n’en rajoute pas mais ne fait pas non plus très attention à ma position.

Pour moi, le repas fut délicieux …

La dégustation du café aura je pense été intéressante pour mes voisins. J’aime me laisser aller au fond de mon siège pour apprécier ce petit plaisir.

Ensuite, promenade digestive autant que romantique jusqu’au bout de la station. Arrêts-causerie ici et là sur les nombreux bancs. Petits souvenirs émus en passant devant les toilettes publiques de la plage (j’y ai fait autrefois quelques « bêtises »).

En fin de balade nous longions les quais, le beau temps avait poussé les heureux propriétaires à venir s’occuper de leurs bateaux. Je m’imaginais en Atlantique, une marée basse complice offrant au plaisancier un angle de vue sur mes « trésors » cachés comme dit un de mes amis. Mais la Méditerranée reste bêtement haute et je suis restée très pudique.

Il était environ 17h00 quand nous sommes revenus à la voiture.

-          - "Si nous allions faire quelques soldes avant de rentrer ?"


Mon adorable mari, comme d’habitude, a spontanément accepté. Faut dire qu’il y a un centre commercial juste à l’entrée de l’autoroute. Même pas de détour à faire. Et nous voilà partis !

Arrivés sur place j’ai insisté pour qu’il s’achète quelques fringues sympas (il ne vient jamais en course). On a fait quelques boutiques (Jules…) noires de monde. J’adore être nue sous une jupe courte dans ce genre d’endroit. Beaucoup de mâles élégants, donc potentiellement attentifs, moyenne 25-45 ans… J’en avais l’eau à la bouche. D’ailleurs mes lèvres étaient plus qu’humides.

J’avais une envie folle d’entrer avec lui dans une cabine pour… Mais je n’ai pas osé.

Je me suis acheté une paire de chaussure et un sac à main. Le magasin est à un angle de la galerie, très vitré, et j’espère que mes essayage ont, discrètement, donné un peu de plaisir aux messieurs qui se sont fait trainer ici pour les soldes ! Avez-vous déjà enlevé des bottes avec une jupe assez courte ?

J’étais très excitée par notre petite escapade et j’avais vraiment envie de faire l’amour. J’espérais que dans la voiture… Mais non, vraiment trop de monde.

On s’en va.


A peine partis, je commence à me caresser. J’ai trop envie.

-          Attend un peu et je m’occupe de toi. Me dit mon petit mari

Et sa main vient repousser la mienne. Le méchant. Il est juste là, posé, caressant la peau de mon pubis, descendant jusqu’à la naissance de mon clito sans aller au-delà.

Ma jupe est largement relevée sur mes cuisses et jusqu’au péage je suis vulnérable aux regards extérieurs (c’est court mais il y a beaucoup de monde).

On est sur l’autoroute, sa caresse est douce mais reste « pudique ».

Embranchement pour Toulouse. Dès la sortie de l’échangeur ses caresses sont plus précises. Il est sur mon clito. Je m’ouvre d’avantage. Je suis trempée. Ses doigts glissent entre mes lèvres et en ressortent couverts de moi. Je fonds ! Il me les donne à lécher. Je sais que c’est sale et tout ça mais j’aime bien ça. Je le lèche, lui attrape les poignets pour le maintenir et lui fait une petite fellation du doigt. D’autorité je le replonge en moi et lui tends ses doigts à lécher. Je veux qu’il me mange, faute de mieux.

Les bizarres statues (guerriers cathares stylisés – bof) annoncent la prochaine aire de repos. Je croise les doigts. Il entend ma prière. Il met le cligno et serre à droite. On sort. Il se gare.

-          - "Viens !"

C’est bref et concis et je pense avoir compris ce qu’il voulait ? Enfin dans ses grandes lignes.

Il me prend la main et m’entraine dans les toilettes pour hommes (ce n’est pas notre première fois aux toilettes mais on ne l’a jamais fait chez les dames.  Il ne doit pas savoir que ça existe). On croise un gars. On s’en fout. Il ouvre une cabine, me fait entrer et ferme derrière lui.

Il me colle contre la cloison, m’embrasse comme un mort de faim (j’adore) tout en ouvrant sa braguette et chercher à entrer direct. Trempée comme je suis il n’a aucun mal. J’ai juste à poser un pied sur la cuvette pour faciliter le chemin…..

J’adore quand il me fait l’amour debout. Entre deux portes. Je joui quasi à la seconde. Dès qu’il entre. Et là plus que jamais. Et lui ne traine pas non plus. Je sens le flot brulant de son plaisir, les jets puissants au fond de moi. On n’a pas cessé de s’embrasser pendant cette étreinte express mais tellement agréable. Je me laisse allée, accroupie devant mon homme, pour recueillir nos plaisirs mêlés dans ma bouche. Je me régale de cette crème-liqueur d’amour. Mmm !

« L’avion se pose ! », nous sortons de notre trip. Mon mari se rembraille, je m’essuie avec un klenex (je dégouline) et nous sortons.

On croise encore un monsieur, je lui souris apaisée.


Retour à la voiture pour une heure et demie de route. Je vais être bien.

 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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