Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 19:59

Comment ma vie sexuelle s'est construite


Mon profil

Je ne suis pas une vraiment beurette bien que j'en ai un peu le profil. Ma mère est étrangère (mélange d'anglo-saxons par ma grand-mère et de scandinave par mon grand-père) et mon père est français né de parents étrangers (suisses).

Cela donne une certaine blondeur (qui hélas fonce un peu avec l'âge), une peau claire et des yeux « blonds » dit mon mari. De taille moyenne je suis assez menue (je suis très longtemps restée à 50 kg, je suis maintenant plutôt entre 55 et 57 mais je crois que cela me va mieux). Poitrine moyenne également (85B jusqu'à ce que la maternité m'offre un 90 C que j'ai gardé !!! Merci les enfants).

Mes origines sociales et religieuses ont plutôt pesé sur mon éducation : la grande bourgeoisie protestante d'une mère fille d'ambassadeur (grand père) très très mondaine et d'un père « industriel de père en fils » très très « qu'en dire t-on ». Des abonnements à « connaissance des arts » et « la gazette Drouot » en guise de magasine pour décompresser le WE m'ont définitivement fâchée avec la culture de cocktail. De la musique classique ou pire (je l'ai pris en horreur) de l'Opéra à fond sur la chaîne du salon (dessins animés, je ne connais pas vraiment).

Mais je savais faire la révérence, si si la révérence, vraiment !


Mon initiation amoureuse

J'ai connu mon futur mari à 16 ans, il en avait 25, il était militaire et ami du copain de ma grande soeur. Ma soeur les avait invités à la maison (en l'absence de mes parents, bien sûr) et j'ai craqué sur lui. Beau brun ténébreux qui ne parlait quasiment pas mais dont le regard me pétrifiait.

A 17 ans on a commencé à flirter, à 18 nous nous sommes fiancés (je ne sais pas si cela se ferait encore aujourd'hui mais cela a été une journée merveilleuse !) et avons emménagé ensemble (au grand dam de mes parents, bien sûr).

Lors de notre « voyage de fiançailles », je suis passée de la jeune fille vierge qui ne s'était jamais masturbée (vraiment jamais, je vous le jure), à une amoureuse plutôt douée pour l'amour (c'est ce qu'il me dit et redit souvent). Pour notre premier rapport, comme j'étais mal à l'aise sous son poids, je lui ai demandé de se coucher sur le dos et je me suis accroupie sur lui. J'ai pris son sexe dans ma main et l'ai guidé en moi. J'ai pris du plaisir dés la première fois.


Pour ma première fellation, lorsqu'il a senti qu'il allait exploser, il m'a gentiment prévenu : « je vais arriver. attention. j'arrive » alors j'ai pensé sincèrement (naïvement je le reconnais aujourd'hui) qu'il fallait que je redouble d'attention pour qu'il prenne du plaisir. Bien sûr il a craqué et m'a offert son plaisir, un grand et abondant plaisir. J'étais submergée par ce liquide chaud et épais que je ne connaissais pas. Je ne savais même pas que l'on pouvait recracher alors je l'ai bu, amoureusement, jusqu'à ce qu'il perde un peu de vigueur et se dégage de mes lèvres.


Ma première sodomie a été assez douloureuse car lui-même n'avais aucune expérience de la chose. Là encore bien que totalement ignorante, je l'ai guidé doucement, lui demandant de me caresser, de bien mouiller avec sa salive, de ne pas rentrer trop loin, d'attendre. Et j'ai pris du plaisir là encore.

Jeune macho plein de vigueur, il se faisait un devoir d'arriver dans mes 3 orifices quasiment chaque jour. et nous avons vraiment eu une « lune de miel de fiançailles » particulièrement torride.


Mon initiation adultère

Dés le début de nos relations sexuelles, Marc, mon mari, a voulu me caresser, me masturber serait plus juste, avec tout un tas de choses.

Mon premier amant virtuel a été une bougie blanche standard. Un amant trop simple pour Marc qui m'en a fait connaître 3 le même jour. D'abord en s'occupant de mon vagin, introduisant une, puis deux et enfin trois bougies (il avait un paquet de 10, je crois qu'il aurait aimé en mettre plus mais ça commençait à tirer un peu, c'était presque douloureux avec 3.). Déçu il en a retiré une pour me la mettre derrière. Il y en avait toujours 3 !

Le lendemain nous sommes allés en ville et nous avons acheté 2 bougies fantaisie, une longue (presque 30 cm d'un bon diamètre, 5 cm environ) et une petite (moins de 20 cm très large, 8cm environ). Assez fragile des fesses je ne l'ai pas laissé faire mais par devant Ouaou ! Ça fait quand même quelque chose ! (mais je préfère toujours son sexe bien vivant) Une autre fois il a réussi à m'introduire une petite (quoique) bouteille de coca, toujours devant. Par derrière je n'acceptais que les petites choses, bougie blanche, mini maglight (sa lampe de terrain). Un jour il a acheté un petit vibromasseur spécial anal. J'aimais bien.

Et puis nous avons (il a) acheté des sex-toys : boules de geishas et vibromasseurs. Le premier était simple et doré, le second plus gros en matière douce et avec une surface comme recouverte d'anneaux, le dernier est en silicone, noir, un peu mou au bout mais je le préfère quand il veut m'en mettre un derrière. Car bien sur je me suis un peu habituée au format « normal » par derrière.


En fait lorsque je parle d'initiation adultère, c'est de ça dont il s'agit.

Chaque fois qu'il me pénétrait avec un objet, il ne me masturbait pas, il me disait que mon amant me pénétrait. Surtout lorsque je le chevauche. Dans cette position que j'adore il ne peut s'empêcher de me mettre un doigt dans l'anus (ou un gode quand il l'a prémédité) et de me demander d'imaginer qui était en train de me sodomiser pendant que lui-même me prenait.

Nous avons assez peu d'ami, hormis Patrick le copain de ma soeur qui me connaît depuis mes 16 ans. Mon mari est toujours très lié avec lui, il a même été le témoin de son mariage (pas avec ma soeur mais ils sont restés en bon terme... et on s'en fiche). Je ne crois pas avoir passé un seul été sans Patrick dans le coin, en vadrouille à moto, à la plage, en boite. aussi blond que mon mari est brun, les yeux bleus métal. Et tellement gentil !

Dans nos délires (ceux de Marc surtout) il a commencé à identifier mes amants. et il n'y avait que 2 noms possibles : Pierre-Yves, mon frère que j'adore et Patrick.

Je dois avouer que lorsqu'il mettait un nom sur mon « amant » j'avais (et j'ai toujours car on en joue encore) des orgasmes extraordinaires. Il n'était question que de fantasmes, pas de plans plus ou moins glauques, juste des fantasmes et j'en tirais de grand plaisirs.

Un jour nous sommes montés à Paris pour quelques jours, Patrick y travaillait en « célibataire géographique » comme ils disent. Nous avions loué un petit appart-hôtel et en déballant les affaires, j'ai trouvé des préservatifs dans la trousse de toilette alors que l'on n'en met jamais. J'ai commencé à imaginer le pire : Marc me trompe. Je pars dans une jolie colère et il aura beaucoup de mal à m'avouer que c'était « au cas où ». Je lui ai demandé de s'expliquer. Il m'a dit que, sans rien forcer, si d'aventure Patrick et nous buvions un dernier verre dans notre appart, que l'ambiance y étais. Bref il nous voyait bien terminer la soirée à 3. Je l'ai cru. et on a fait l'amour comme des fous. Faute de mieux, mon amant « de derrière » aura été un manche de brosse à cheveux ! Je n'ai strictement rien dit mais il a du comprendre que l'éventualité ne m'effrayait pas.

Il ne s'est rien passé avec Patrick pendant ce séjour.


La Plage 1

Nous venions d'emménager en Bretagne, sur la presqu'ile de Crozon et allions souvent surfer à la Palue, une plage magnifique. Une plage d'il y a 2000 ans, vide de traces humaines. sinon des vacanciers et des surfeurs. Patrick nous avait précédés d'une année et était un surfeur très correct.

C'est lui qui nous a initiés. J'avais 22 ans, c'était mon 5ème ou 6ème été avec lui et on se connaissait par coeur. Il m'avait découverte seins nus dés mes 18 ans (en fait dés que Marc m'a demandé avec autant d'insistance que de gentillesse de me mettre topless comme c'en était la mode). Il n'avait jamais fait de remarque mais cela ne le gênait pas lorsque nous chahutions dans l'eau, avec un ballon ou un frisbee.

Si je n'ai jamais remarqué de gestes déplacés, j'ai souvent senti son torse contre mes seins, ou son dos d'ailleurs quand c'est moi qui lui sautais dessus pour lui arracher le ballon.

Marc venait toujours avec moi faire les courses « sexy » (il évite la nourriture et le reste) et « m'aidait » à choisir mes maillots. Pourquoi choisissait-il les plus petits ? Pourquoi privilégiait-il le blanc ? Pourquoi n'avais-je pas le cour à le décevoir ?

Mais mon coquin de mari, touche par touche, me façonnait à son idée. En effet, moi si menue, 50 kg pour presque 1m70, avec un maillot blanc riquiqui et une « touffe » naturellement claire et peu fournie mais bien présente. ce n'est pas très joli, Il me fallait me faire le maillot avec soin.

Un jour il ma acheté un maillot une pièce. Blanc. Très beau mais très échancré. J'ai du me refaire le maillot très profondément pour que mes poils ne se voit pas. Et pour lui faire plaisir j'ai coupé un peu en longueur mais je n'ai pas osé enlever tout.

Ce jour là, nous faisions du surf tous les 3 et nous étions prés d'une petite pointe qui faisait « ascenseur » (courant de retour vers le large donc plus facile pour aller chercher les vagues). Les belles vagues du jour étaient plutôt à droite, du coté de l'autre plage (séparée par la pointe). Nous surfons une bonne demi-heure ces vagues-là sans que je me rende vraiment compte que de ce coté de la pointe, la plage était fréquentée par des amoureux de la nature, très nature, très naturistes ! C'est Marc qui (avait certainement remarqué) est resté le 1er à nous attendre Patrick et moi au bord de l'eau pour « faire une pause ».

Surfer c'est sympa mais fatigant, j'accepte volontiers et on s'allonge un moment. Nous avions des néoprènes à cause de la température de l'eau. On s'allonge à même le sable.


C'est Patrick qui brise la glace :

- Eh ! Vous avez vu où on est ? On va se faire lyncher si on reste là comme ça !

Je lève les yeux, nous étions en bout de plage et les naturistes étaient peu nombreux ici, ils se concentraient au centre, là où se trouve l'accès en fait ! Et comme la plage est vaste on ne se sentait pas comme à Cannes ou Nice. Mais quand même, on était chez les nudistes ! J'interviens

- Tu as raison on va retourner de l'autre coté.

- Pourquoi ? Me demande Marc, qui enchaîne

- De ce coté on a les plus belles vagues, et si on veut se reposer ici je ne vois pas ce qui pourrait nous en empêcher

- Sauf que l'on nous regarde comme des intrus et que je suis hyper mal à l'aise

Lui répondit Patrick, et je le soutiens :

- Patrick a raison on n'a rien à faire là dans cette tenue !

- Et bien on a qu'à faire comme eux ! dit Marc

- Tu veux qu'on se la fasse naturiste ? S'inquiète Patrick en faisant aller son regard interrogateur de Marc à moi

- Ecoute Patrick, tous les 2 ça fait plus de 8 ans qu'on se douche ensemble, ça fait 6 ans que tu connais Yoni et presque autant que tu la vois seins nus. et je crois qu'en bas il n'y a pas grand-chose à voir chez une fille et puis tu as une copieuse expérience en la matière

- Et moi, ça t'intéresserais de savoir ca que j'en pense ? lui dis-je en m'imposant un peu - Ce que tu en penses vraiment ? sincèrement ? j'adorerais te l'entendre dire car j'ai ma petite idée là-dessus mais ma chérie je voudrais juste que tu te laisse aller à un bain de soleil tout simple, dans le plus simple appareil il est vrai mais encore une fois je crois que l'on n'a pas grand-chose à découvrir non ? Il m'embrasse, je craque Il se lève et retire sa néoprène, Patrick aussi, je commence à en faire autant.

Rapidement leurs maillots tombent. Leurs sexes sortant de l'eau sont encore très « discrets » et me rassurent un peu mais pour le moment je reste empêtrée dans ma néoprène que j'ai du mal à retirer. Je suis debout ma tenue coincée aux chevilles.

- Mon chéri si tu veux que je participe à ton naturisme il faudrait que tu m'aides un peu !

- Mais avec plaisir mon ange ! Dit-il en se levant.

Il me pose un baiser sur les lèvres et, au lieu d'attraper ma néoprène il passe dans mon dos et défait mon haut de maillot libérant mes seins

- Eh ! c'est en bas que ça coince ! Patrick dis lui à ton pote, fait quelque chose !

Et mon Patrick se lève en me disant

- Tu as raison, il est trop bête, je m'en occupe

Il se met à genoux devant moi, le visage au niveau de mon pubis, pose ses main sur la néoprène esquisse un mouvement puis remonte et accroche mon maillot qu'il descend d'une vingtaine de cm. Assez pour dévoiler mon intimité. Je suis surprise et me cache le pubis spontanément

- N'ais donc pas honte tu es la plus belle de la plage

- C'est vrai Patrick, elle est tellement belle que le naturisme devrait être obligatoire quand on est aussi belle !

- Arrêtez les garçons je suis déjà assez gênée comme ça !

Du coup ils se sont arrêtés et m'ont regardé comme une statue grecque ! Quelle statue ! Une jeune femme nue avec les pieds empêtrés, j'étais si menue qu'on me donnait à peine 16 ou 17 ans. Deux hommes à mes pieds, leurs visages si prés d'une intimité que ma petite toison claire et très « soignée » ne voilait même pas. Et comme mon coquin de mari me connaît, que oui la situation m'excitait, mes lèvres étaient gonflées et l'ourlé avait tendance à s'ouvrir pour laisser apparaître la nacre de ce que seul mon mari connaissait.

Un ange est passé.

Plus proche d'Eros que de Cupidon si j'en juge les érections de mes gentils mâles. Il y a quelques minutes ils étaient presque ridicules subitement ils rivalisaient d'orgueil. Marc m'avait habituée à du sérieux et je n'avais jamais vu, en vrai, d'autres sexes d'hommes mais Patrick bien que plus modeste supportait bien la comparaison. Seule j'aurais adoré le prendre dans ma bouche de suite, là, sur la plage.


Après ce qui m'a paru une éternité, Patrick me retira ma néoprène et nous avons essayé de nous reposer sagement.

Je n'ai pas eu que des pensées sages




La plage 2

Quelques jours plus tard nous étions à nouveau retrouvé tous les 3 mais les bonnes vagues étant sagement coté textiles, nous sommes restés nous aussi sagement de ce coté. Après une bonne séance de surf, je sors la première et retire (toute seule, depuis j'y arrive mieux) ma néoprène puis m'allonge sur ma serviette.

Patrick et Marc me rejoignent un peu plus tard.

- Tu arrête déjà ? me dit Marc

- Oui, je suis fatiguée et j'ai envie de lézarder un peu

- T'as raison je me pose aussi ! dit Patrick

- Chéri tant que tu es là tu peux me mettre de la crème ?

Mais mon chéri avait déjà fait demi-tour et me dit en ricanant :

- Demande à Patrick, il a les mains les plus douces du régiment Et il file dans les vagues

- Patrick.

- J'ai compris madame, à votre service madame

Il prend le tube et, sans ménagement, m'envoie une longue giclée dans le dos me surprenant par son effet « froid ». Je sursaute et râle un peu mais rapidement ses mains (pas douces) commencent à étaler la crème sur tout mon dos, maladroitement presque brutalement.

- Doucement espèce de brute, je suis fragile - Pardon Il se fait plus doux, plus caressant, beaucoup plus agréable. - Attends, j'enlève la ficelle

Mon haut de maillot défait, il peut me masser longuement le dos. La crème est étalée depuis longtemps

- N'oublie pas les cotés

Il m'envoie une nouvelle giclée de crème sur un coté et commence à l'étaler. Quelques gouttes coulent sur mon sein gauche, je me cambre un peu pour détacher ma poitrine de la serviette. Les doigts de Patrick glissent jusqu'à la base de mon sein, n'osent pas aller plus loin. Je me tourne légèrement vers lui pour le regarder ce qui provoque un petit mouvement discret mais suffisant pour poser mon sein dans sa main. Il ne dit rien mais le caresse longuement, taquine même mon téton, le pince légèrement. et recommence de l'autre coté.

J'étais si prés de la jouissance ! Pourquoi n'a-t-il pas continué ?


- Tu veux de la crème sur les jambes aussi ?

- S'il te plait oui, ce serait sympa !

- Tout le plaisir est pour moi !

dit-il courtoisement, je crois que le plaisir était essentiellement pour moi. Il étale lentement et très sensuellement la crème sur mes jambes jusqu'à venir bord du maillot. Ses doigts caressent la naissance de mes fesses. J'aimerais tant qu'il me prenne tout de suite !

D'un geste sobre et rapide je remonte un peu les bords de mon maillot pour un bronzage plus large. Les doigts de Patrick ne sont peut-être qu'à 1 cm de mon intimité mais n'osent aller plus loin. Toujours couchée à plat ventre je relève un genou, libérant l'intérieur de mes cuisses. Patrick investi ce nouvel espace et prend de l'assurance. Un doigt s'essaye sous le maillot. Mon geste du bassin, un geste d'offrande accompagné d'un petit gémissement que je n'ai pas su contrôler, le réconforte. Il est maintenant sous mon maillot, il caresse mes lèvres, trouve mon bouton. Je gémis à nouveau. Il reste sur ce point et y applique la crème qu'il vient de recueillir entre mes lèvres. Ses caresses m'emmènent à une jouissance silencieuse mais très profonde. Il comprend que je suis arrivée et s'allonge à son tour, sur le ventre.


A suivre

Merci à ceux qui voudraient faire des commentaires ou avoir des détails sur ce qui ne peut faire l'objet d'une histoire de me laisser leurs messages : yonigift@gmail.com

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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