Journal intime

Vendredi 5 juin 5 05 /06 /Juin 16:01

Mail du 19/12/2002

Bonsoir,

Je suis fourbue, cassée

Ce n’est plus du plaisir c’est l’expérience de la folie ! (mais du plaisir aussi)

Je me suis habillée comme vous le vouliez : jupe courte, string dentelle, bas noirs et porte-jarretelles, chemisier en soie et cardigan par dessus car il ne fait pas si chaud.


Tout a commencé hier soir, j’ai demandé à mon mari de me combler, et j’avais sorti la « boite à jouet », il m’a effectivement comblée. Ce matin avant de partir je lui fais une fellation puis lui ais demandé de (l’écrire me gêne) « m’enculer » oui, je le lui ais demandé ainsi (c’est la première fois) et il ne s’est pas gêné.

Je lui ais demandé s’il voulait que je pense à lui comme la dernière fois, bien sur qu’il a accepté et s’est fait une joie de me planter le plug entre les fesses, puis de placer les boules de Geisha.



Bref je suis partie vers 09h30,

Au péage j’étais comme prévu… mais c’était une dame qui n’a pas fait de commentaire

En revanche avant d’arriver au centre commercial, grand moment d’émotion, de stress et de gêne : contrôle d’alcoolémie par les gendarmes : vous imaginez le gendarme !

J’ai soufflé dans sa boite ça allait bien sur mais il a pris le temps de vérifier mes papier, m’a fait ouvrir le coffre, la totale… très excitant…après coup !

 

 

J’ai fait mes courses très vite pour être débarrassée mais dans le magasin j’ai réalisé que j’avais oublié de prendre le gode que vous m’aviez demandé, j’ai alors acheté un joli concombre (assez gros mais raisonnable pour entrer dans mon sac à main – qui est vaste !)

Un peu avant midi, j’ai failli vous envoyé un mail depuis un cyber café !


J’ai retrouvé Joseph et son ami dans un hôtel-restaurant proche de l’aéroport, nous nous sommes reconnu de suite et j’ai eu une (agréable) surprise : son ami est noir, âgé certes mais noir, et c’était un de mes fantasmes ! Si j’hésitais encore là je n’hésitais plus

Nous avons mangé, un peu, parlé de moi beaucoup, ils voulaient tout savoir de nos relation (pour Joseph, vous êtes mon amant) je n’ais même pas songé à me déboutonner ou à les taquiner du pied. En revanche, quand il a demandé l’addition, je me suis retirée au toilette et me suis masturbée comme une folle, me suis essuyée avec mon string et au retour l’est offert à Joseph.

Il était en boule dans ma main, je l’ai mis dans la sienne discrètement ; mais il l’a ouverte et s’est exclamée « est-ce une invitation ? »

« Pour vous deux si vous le désirez ! » lui ais-je répondu

Puis nous sommes allés vers les chambres.


Arrivés je leur ais dit : asseyez vous et regardez :

Je me suis déshabillée doucement : cardigan, chemisier, chaussure

Lorsque la jupe est tombée ils ont été surpris par ma peau lisse mais je les ais fait taire « chut ! Ne dites rien »

J’étais nue

J’ai posé un pied sur le lit et attrapé la ficelle des boules

« Tu es indisposée ? » dit Joseph

« Chut ! »

J’ai tiré doucement, une boule est apparue, puis est sortie d’un coup, trempée

« Ho ! » ont-ils fait

Puis j’ai continué avec l’autre

Quand ce fut fini, je me suis mise à genoux (écartés), dos à eux sur le lit et ais dit « François » (son ami) peux tu m’enlever ça, je l’ai depuis ce matin et je préférerais quelque chose de plus chaud »

Il s’est approché et a retiré le plug

« Prends sa place »

Il a vite enfilé un préservatif et s’est enfoncé en moi

« Joseph, viens dans ma bouche ! »

Il est venu et nous avons passé un moment génial


- - -

Suite… (Mail du 20/12/2002)

Au bout d’un moment je me suis avancée vers Joseph, laissant François sur sa faim. (je ne vous l’ai pas dis, il a un sexe comme on peut se l’imaginer, gros et long… mais pas très dur, très souple, ce qui est parfait pour moi, trop dur fait mal !)

J’ai rampée jusqu’à Joseph et me suis plantée sur son sexe, je lui ai mis mes seins sur le visage en lui disant « à toi de me manger » puis me retournant vers François « reviens, ne me laisse pas ainsi, reprends ta place ». Et nous avons fait l’amour ainsi un long moment (les vieux c’est un peu comme Max, il semble qu’il leur faut plus de temps pour arrivé ; mais tout le plaisir est pour moi !)

J’ai joui je ne sais combien de fois

L’un après l’autre ils sont arrivés en moi


C’est lorsque je les mangeais tranquillement que François dit « dommage que l’on ne soit plus en forme, je suis certain que tu en aurais aimé encore »

Je lâche le sexe de Joseph et lui dit « ouvre mon sac et prend de quoi me satisfaire » et je reprends ma gâterie

Il ouvre et s’exclame « ho ! Mais c’était prémédité ! »

Il s’approche de moi avec le concombre je lâche encore joseph « va le rincer s’il te plait »

Il s’exécute et revient avec

Il essaie de l’enfoncer, ça bloque « lèche moi, et met de la salive dessus »

Il le fait ça passe mieux et c’est bon


Joseph devient plus ferme je lui demande « encule-moi » (je pensais à vous en disant cela, je me suis forcé à le dire, 2 fois en 2 jours ! mais ça m’a plut et ça l’a manifestement excité) il s’est levé est passé derrière moi et s’est enfoncé entre mes fesses. François continuait à bouger le concombre mais me dit « c’est pas facile avec Joseph au milieu » « attends » dit Joseph, il sorti, me prit par les hanche et me dit, « viens » en me retournant sur le dos. Joseph allongé, moi dos à lui accroupi je commençais à m’empaler.

Trop difficile, je retire le concombre et m’empale puis me laisse aller en arrière offrant une vue très impudique à François « remets-le s’il te plait » et il s’exécute : c’est dur, gros presque douloureux mais tellement excitant

François me demande de prendre la place du concombre, « viens » lui dis-je, il le retire et s’enfonce en moi

Nous avons encore joui


La suite fut plus calme, gâteries et câlin

Douche et retour (avec mes accessoires en moi)

Et au retour un mari qui m’attendait excité et qui m’a terminée

Ouf !

Pas tous les jours quand même !

Je me demande si je ne suis pas arrivé au terme de ma débauche, je ne vois pas ce que je pourrais faire de pire

Bisous

PS : j’ai des problèmes de connexion… et je suis fatiguée, ne m’en voulez pas trop si je vous néglige 

>From: Jean@xxx.com

>To: yonigift@gmail.com

>Subject: 12h

>Date: Fri, 20 Dec 2002 06:11:02 EST

Bonjour Yoni

J’ai peu de temps pour vous écrire là mais je tenais vivement à vous remercier pour votre message d'hier.

Je suis si heureux que vous ayez fait cela et que vous y ayez trouvé du plaisir je vous en reparlerez plus longuement bientôt et j'espère que vous me ferez le récit de ce qui c'est passé ensuite dans cette chambre et de votre retour à votre domicile car je suppose que votre mari a du avoir envie de vous enlever vos jouets et de les remplacer par son sexe, peut-être même que max est venu l'aider à vous satisfaire pleinement

Hier soir j'étais tellement excité après la lecture de votre récit et en pensant à vous en imaginant François dan votre "cul" que j'ai fait l'amour à ma femme mais c'est à vous que je le faisais et quand je l'ai prise en levrette c'était vous à genoux sur ce lit dans cette chambre que j'honorais et c'est dans votre trésor que ma liqueur c'est vidée c'entait super ma belle et adorable Yoni, ce fut une jouissance merveilleuse grâce à vous

à bientôt j'attends avec impatience la suite de cette journée

 

>From Yoni

Bonsoir

Pour vous mettre dans l'ambiance une photo prise par mon mari (nous n'en avons évedemment pas prise avec mes amants)



Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 11:19
Ceci n'est pas une aventure, juste une confidence, une demande d'attention...

J'ai vécu 3 années de débauche avec mon mari qui nous ont poussés trés loin. Le divorce n'était pas loin, la dépression aussi. En effet je vous mentirais en disant que je n'ai pas eu de plaisir, j'en ai eu beaucoup mais l'amertume était si  forte, trop forte !
Nous avons connu les clubs échangistes, les partouzes à la maison, enfin plutot des gang-bang car j'étais donnée en pature plus qu'autre chose. Tout cela sans grande poésie.

Mais j'ai vécu aussi des moments extraordinaires où, jouet d'un destin pervers, souvent passive voire complice, j'ai eu de rares instants d'une émotion qu'aucun orgasme ne peut approcher.

Ce sont ces moments là que je vous raconte dans ce blog.

Aujourd'hui je continue à avoir une vie sexuelle  intense avec mon mari mais nous nous sommes "rangés" des excés.

Souvent  je regrette ces instants volés au destin, lorsque, soumise à son bon vouloir, je l'ai laissé abusé de moi.

Je crois être restée cette jeune bourgeoise un peu fleur bleue "bien élevée" par mes parents. Je n'apprécie pas la vulgarité et je culpabilise quand je me trouve confrontée à une image de dépravée voire de (excusez le gros mot)  de "salope". J'en ai horreur.
Mais si je suis "victime" du destin alors...

Alors si vous pouviez forcer un peu ce destin qui semble s'être un peu endormi ces temps-ci...
Si vous me proposiez des situations dans lesquelles je pourrais nonchalamment me laisser dépasser par les évènements...
J'en serais trés heureuse

et je vous raconterai

Bisous mouillés, Yoni
Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 20:15

J’aime bien, de temps à autre, exciter les hommes mais toujours en hypocrite ! L’air de ne pas y toucher.

J’aime les robes légères qui s’envolent et dévoilent sans que je fasse quoique ce soit de « pervers » mes jambes qui sont mon point fort coté charme (je ne suis pas très « pulpeuse », vous pouvez le constater si vous jetez un œil le reste de mon blog) et parfois dans les cabines d’essayage, lorsque le miroir est du coté ouverture du rideau, il m’arrive de laisser qq cm de libre pour qu’un œil averti puisse s’immiscer dans mon intimité… bien malgré moi.

Le WE dernier, c’est vraiment malgré moi que je suis donnée en spectacle à deux travailleurs honnêtes.

Avec mon mari, on s’était pris un WE de 3 jours au bord de mer dans un petit appart au bord de l’eau.

En garant la voiture on a bien vu un échafaudage sur l’arrière de l’immeuble mais personne n’y travaillait, on était vendredi et le WE était peut être commencé pour eux aussi. On s’installe puis allons nous promener le long des quais de la marina. Bien sur la promenade s’est faite en toute liberté pour ce concernait le choix des sous-vêtements. Il faisait chaud, orageux mais agréable. On grignote un morceau en terrasse puis nous nous précipitons « prendre notre dessert » chez nous.

Et cela pressait car outre la grosse envie qui commençait à monter, le ciel devenait noir de minutes et minute. On retourne donc chez nous et allons de suite dans la chambre. Une toute petite chambre dans laquelle le grand lit entre à peine et avec une fenêtre à la tête du lit qu’un léger rideau de tulle blanc habille chastement. Ce genre de rideau parfaitement opaque coté lumière et parfaitement transparent de l’autre coté ! Et bien sur le ciel s’assombrissant à se croire le soir, mon mari allume en entrant. Le rideau est blanc, opaque !

S’ensuit une bonne heure de relations amoureuses torrides, de gourmandises assouvies, de plaisirs pris de toutes façons… et comme j’aime être dessus afin de mieux contrôler mon partenaire et mon plaisir, c’est face au rideau que j’ai donné le meilleur de moi-même. Et certainement lorsque, dans cette position et pour faire plaisir à mon homme qui adore cette pratique (que la morale réprouve) car il aime « me » voir totalement offerte  et « me » caresser pendant qu’il est en moi, lorsque dans cette position je lui offre un accès forcément réservé !!! Imaginez la vue que pouvaient avoir d’éventuels curieux collés à la vitre lorsque dans mon plaisir et toujours empalée je me suis basculée en arrière complètement exhibée en toute honnêteté à mon petit mari.

 

Ou peut-être était-ce lorsque nous avons décidé d’en finir. Je lui offre généralement une gâterie assez discrète (gourmande, je ne laisse rien perdre) mais lorsqu’il vient d’où il était, je me contente de l’effleurer du bout de la langue. Forcément il craque et m’offre le meilleur de lui-même… mais je ne peux canaliser ses excès et si je me régale quand même de mon dessert préféré, ce goujat va m’obliger à me rincer le visage et me refaire un shampoing.

On est en sueur, l’orage n’a toujours pas éclaté (lui)  et il fait une chaleur à crever dans cette petite pièce. Je vais ouvrir la fenêtre…

Manifestement les ouvriers n’étaient pas en WE !

J’étais mortifiée. Libertine et un peu exib certainement mais là ! Je leur avais fait LE show.

Je vous laisse imaginer mon état et la réaction de mon mari…

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 20:21

Je vous raconte aujourd’hui cette petite aventure en réponse à l’auteur du « réveil érotique » dans lequel il nous confiait un petit jeu de dupe avec sa copine. Me concernant, il s’agit plutôt d’une bonne excuse pour assouvir des désirs que je n’assumerais pas « éveillée » et « responsable »…

Nous étions, mon mari et moi, en vacance au bord de la méditerranée, dans un appart’ hôtel très confortable et le ton a été vite donné : Sea, Sex and Sun ! Mais en amoureux fidèles et bien élevés bien sur.

Je suis de nature assez volcanique et j’arrive très vite. Parfois si l’ambiance est chaude j’ai un premier orgasme après une minute à peine, mais je ne suis pas contre en avoir plusieurs ! Et parfois je reste sur ma faim, comme beaucoup je suppose. Ce jour là nous avions fait l’amour divinement et je suis arrivée au moins trois fois mais dans l’action (en levrette sur le canapé en regardant la piscine – et les gens – dehors) mon mari s’est vidé entre mes fesses sans même me proposer ma petite gâterie (j’adore le finir dans ma bouche, c’est ma drogue ! j’exagère à peine). Mais c’était génial quand même.

Le matin nous avions remarqué que deux ampoules du salon étaient grillées et mon mari l’avait signalé à la réception. L’électricien passera dés que possible, avant ce soir. Sincèrement je l’avais oublié.

Chérie, on va à la piscine ?

Non merci, je suis fatiguée, je vais me reposer un peu. Mais vas-y si tu veux, je te rejoindrais plus tard.

Il passe se rincer dans la salle de bain, enfile un maillot et un bermuda et sort de l’appart. Vidé comme il est je pense qu’il va être sage !

Moi je rejoins la chambre et m’effondre sur le lit. Que c’est bon d’être nue à paresser en pleine journée dans cette agréable moiteur du mois d’aout !

A plat ventre sur le drap je sens les souvenirs de mon chéri qui débordent un peu. Il faut que j’aille me laver – non, plus tard – pas envie – je suis si bien !

Toc ! Toc !

Zut c’est quoi ça ? Je ne suis pas là, je dors.

Et je me mets en chien du fusil, la tête sur l’oreiller. Oubliez-moi !

Toc ! Toc !

Re zut, je dors, et en plus je ne suis pas en état d’ouvrir ! Qui que ce soit ils repasseront.

J’entends la clef dans la serrure, ce n’est quand même pas Jean, mon mari (prénom changé), qui tape avant d’entrer ! Mais qui d’autre a la clef ? Merde l’électricien ! Trop tard, je dois continuer à dormir, je ferme les yeux et reprends mon petit somme.

J’entends des pas, un peu de bruit, de nouveau des pas qui me semblent s’arrêter devant la chambre. La porte est largement entrouverte et, si je n’étais pas directement visible du salon, je le suis forcément depuis l’entrée de la chambre.

L’absence de bruit m’indique qu’il doit me regarder en silence. Je suis angoissée et excitée. Je ne suis pas une sainte nitouche et j’ai déjà eu des aventures mais là je ne sais même pas à quoi il ressemble : Beau ? Laid ? Jeune ? Vieux ? Je devrais ouvrir les yeux mais que dirais-je ensuite ? Que se passera t-il ?

L’envie prend le pas sur la peur, l’envie de jouer avec lui. Je ne veux pas qu’il parte et entame un petit ronronnement laissant paraître un sommeil profond. De ma position en chien de fusil, je garde ma jambe gauche pliée mais j’étends la droite en revenant à plat ventre. Là il voit mon intimité grande ouverte. Il devrait même apercevoir les écoulements de nos ébats récents !

Ses pas s’approchent, je le sens prés de moi. J’entends une fermeture éclair qui libère probablement un objet du désir qui me reste invisible. Je reste endormie mais j’ai envie de lui… Et je ne peux pas lui dire.

Je me retourne alors sur le dos, la main sur mon pubis. Il ne faut pas qu’il parte ! Je reprends mes petits ronronnements pour le rassurer. Puis ma main glisse un peu lui laissant voir mon pubis fraichement rasé de quelques heures et l’orchidée sauvage dont les pétales sont encore déployés autour de son cœur de nacre.

Il est maintenant tout prés, j’entends même sa main qui va et vient sur son sexe, sa respiration… Mon désir devient trop fort et je commence à me caresser. Mes doigts sur mon clito m’emportent de plus en plus loin. Mes ronronnements deviennent des soupirs. S’il croit que je dors toujours il est vraiment stupide… Mais rien ne se passe encore. Je bascule un peu mon visage vers lui, les yeux clos. Ma bouche s’ouvre pour laisser passer des soupirs explicites, ma bouche reste ouverte, l’appelle, ma langue passe sur mes lèvres… Je sens une odeur. Enfin le contact doux et chaud du fruit défendu. Mes lèvres se referment sur cette douce extrémité virile. Ma langue d’aveugle part à sa découverte. Je sens un léger va et vient qui ne peut aller très loin (dans nos positions). Je « dors » toujours, me caressant doucement et goutant cette prune rouge tellement gorgée de jus que sa peau semble prête à éclater.

Sa main reprend sa masturbation et vient parfois me taquiner le nez… mais je suis trop profondément endormie pour me réveiller.

Lentement mais venant du fond de mon ventre, un orgasme me traverse et ma bouche en oublie son hôte. Je suis à mon plaisir et ma main presse mon bouton pour « atterrir » dans un grand et long soupir… Posé sur mes lèvres ouvertes j’entends mon mystérieux visiteur accélérer son geste et je reçois le cadeau que m’avait refusé mon Jean : la merveilleuse confirmation, chaude et salée du plaisir que j’inspire. Plusieurs savoureux jaillissements qui ruissellent dans ma gorge comme autant de conquêtes. Mes lèvres se referment sur ma pomme d’amour recherchant désespérément la dernière goutte. Un ange passe !

Eve laisse s’échapper la pomme qui disparaît.

Une porte s’ouvre et se ferme.

Je ne saurais jamais à quoi ressemblait mon Adam !


PS: la séance photo a été faite plus tard avec mon mari.

PS2 : j'ai perdu de ma blondeur extrême (jusqu'à 25 ans environ) et sur ces photos j'avais un peu triché avec une coloration. Je suis désormais moins claire.

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 26 novembre 3 26 /11 /Nov 19:59

Comment ma vie sexuelle s'est construite


Mon profil

Je ne suis pas une vraiment beurette bien que j'en ai un peu le profil. Ma mère est étrangère (mélange d'anglo-saxons par ma grand-mère et de scandinave par mon grand-père) et mon père est français né de parents étrangers (suisses).

Cela donne une certaine blondeur (qui hélas fonce un peu avec l'âge), une peau claire et des yeux « blonds » dit mon mari. De taille moyenne je suis assez menue (je suis très longtemps restée à 50 kg, je suis maintenant plutôt entre 55 et 57 mais je crois que cela me va mieux). Poitrine moyenne également (85B jusqu'à ce que la maternité m'offre un 90 C que j'ai gardé !!! Merci les enfants).

Mes origines sociales et religieuses ont plutôt pesé sur mon éducation : la grande bourgeoisie protestante d'une mère fille d'ambassadeur (grand père) très très mondaine et d'un père « industriel de père en fils » très très « qu'en dire t-on ». Des abonnements à « connaissance des arts » et « la gazette Drouot » en guise de magasine pour décompresser le WE m'ont définitivement fâchée avec la culture de cocktail. De la musique classique ou pire (je l'ai pris en horreur) de l'Opéra à fond sur la chaîne du salon (dessins animés, je ne connais pas vraiment).

Mais je savais faire la révérence, si si la révérence, vraiment !


Mon initiation amoureuse

J'ai connu mon futur mari à 16 ans, il en avait 25, il était militaire et ami du copain de ma grande soeur. Ma soeur les avait invités à la maison (en l'absence de mes parents, bien sûr) et j'ai craqué sur lui. Beau brun ténébreux qui ne parlait quasiment pas mais dont le regard me pétrifiait.

A 17 ans on a commencé à flirter, à 18 nous nous sommes fiancés (je ne sais pas si cela se ferait encore aujourd'hui mais cela a été une journée merveilleuse !) et avons emménagé ensemble (au grand dam de mes parents, bien sûr).

Lors de notre « voyage de fiançailles », je suis passée de la jeune fille vierge qui ne s'était jamais masturbée (vraiment jamais, je vous le jure), à une amoureuse plutôt douée pour l'amour (c'est ce qu'il me dit et redit souvent). Pour notre premier rapport, comme j'étais mal à l'aise sous son poids, je lui ai demandé de se coucher sur le dos et je me suis accroupie sur lui. J'ai pris son sexe dans ma main et l'ai guidé en moi. J'ai pris du plaisir dés la première fois.


Pour ma première fellation, lorsqu'il a senti qu'il allait exploser, il m'a gentiment prévenu : « je vais arriver. attention. j'arrive » alors j'ai pensé sincèrement (naïvement je le reconnais aujourd'hui) qu'il fallait que je redouble d'attention pour qu'il prenne du plaisir. Bien sûr il a craqué et m'a offert son plaisir, un grand et abondant plaisir. J'étais submergée par ce liquide chaud et épais que je ne connaissais pas. Je ne savais même pas que l'on pouvait recracher alors je l'ai bu, amoureusement, jusqu'à ce qu'il perde un peu de vigueur et se dégage de mes lèvres.


Ma première sodomie a été assez douloureuse car lui-même n'avais aucune expérience de la chose. Là encore bien que totalement ignorante, je l'ai guidé doucement, lui demandant de me caresser, de bien mouiller avec sa salive, de ne pas rentrer trop loin, d'attendre. Et j'ai pris du plaisir là encore.

Jeune macho plein de vigueur, il se faisait un devoir d'arriver dans mes 3 orifices quasiment chaque jour. et nous avons vraiment eu une « lune de miel de fiançailles » particulièrement torride.


Mon initiation adultère

Dés le début de nos relations sexuelles, Marc, mon mari, a voulu me caresser, me masturber serait plus juste, avec tout un tas de choses.

Mon premier amant virtuel a été une bougie blanche standard. Un amant trop simple pour Marc qui m'en a fait connaître 3 le même jour. D'abord en s'occupant de mon vagin, introduisant une, puis deux et enfin trois bougies (il avait un paquet de 10, je crois qu'il aurait aimé en mettre plus mais ça commençait à tirer un peu, c'était presque douloureux avec 3.). Déçu il en a retiré une pour me la mettre derrière. Il y en avait toujours 3 !

Le lendemain nous sommes allés en ville et nous avons acheté 2 bougies fantaisie, une longue (presque 30 cm d'un bon diamètre, 5 cm environ) et une petite (moins de 20 cm très large, 8cm environ). Assez fragile des fesses je ne l'ai pas laissé faire mais par devant Ouaou ! Ça fait quand même quelque chose ! (mais je préfère toujours son sexe bien vivant) Une autre fois il a réussi à m'introduire une petite (quoique) bouteille de coca, toujours devant. Par derrière je n'acceptais que les petites choses, bougie blanche, mini maglight (sa lampe de terrain). Un jour il a acheté un petit vibromasseur spécial anal. J'aimais bien.

Et puis nous avons (il a) acheté des sex-toys : boules de geishas et vibromasseurs. Le premier était simple et doré, le second plus gros en matière douce et avec une surface comme recouverte d'anneaux, le dernier est en silicone, noir, un peu mou au bout mais je le préfère quand il veut m'en mettre un derrière. Car bien sur je me suis un peu habituée au format « normal » par derrière.


En fait lorsque je parle d'initiation adultère, c'est de ça dont il s'agit.

Chaque fois qu'il me pénétrait avec un objet, il ne me masturbait pas, il me disait que mon amant me pénétrait. Surtout lorsque je le chevauche. Dans cette position que j'adore il ne peut s'empêcher de me mettre un doigt dans l'anus (ou un gode quand il l'a prémédité) et de me demander d'imaginer qui était en train de me sodomiser pendant que lui-même me prenait.

Nous avons assez peu d'ami, hormis Patrick le copain de ma soeur qui me connaît depuis mes 16 ans. Mon mari est toujours très lié avec lui, il a même été le témoin de son mariage (pas avec ma soeur mais ils sont restés en bon terme... et on s'en fiche). Je ne crois pas avoir passé un seul été sans Patrick dans le coin, en vadrouille à moto, à la plage, en boite. aussi blond que mon mari est brun, les yeux bleus métal. Et tellement gentil !

Dans nos délires (ceux de Marc surtout) il a commencé à identifier mes amants. et il n'y avait que 2 noms possibles : Pierre-Yves, mon frère que j'adore et Patrick.

Je dois avouer que lorsqu'il mettait un nom sur mon « amant » j'avais (et j'ai toujours car on en joue encore) des orgasmes extraordinaires. Il n'était question que de fantasmes, pas de plans plus ou moins glauques, juste des fantasmes et j'en tirais de grand plaisirs.

Un jour nous sommes montés à Paris pour quelques jours, Patrick y travaillait en « célibataire géographique » comme ils disent. Nous avions loué un petit appart-hôtel et en déballant les affaires, j'ai trouvé des préservatifs dans la trousse de toilette alors que l'on n'en met jamais. J'ai commencé à imaginer le pire : Marc me trompe. Je pars dans une jolie colère et il aura beaucoup de mal à m'avouer que c'était « au cas où ». Je lui ai demandé de s'expliquer. Il m'a dit que, sans rien forcer, si d'aventure Patrick et nous buvions un dernier verre dans notre appart, que l'ambiance y étais. Bref il nous voyait bien terminer la soirée à 3. Je l'ai cru. et on a fait l'amour comme des fous. Faute de mieux, mon amant « de derrière » aura été un manche de brosse à cheveux ! Je n'ai strictement rien dit mais il a du comprendre que l'éventualité ne m'effrayait pas.

Il ne s'est rien passé avec Patrick pendant ce séjour.


La Plage 1

Nous venions d'emménager en Bretagne, sur la presqu'ile de Crozon et allions souvent surfer à la Palue, une plage magnifique. Une plage d'il y a 2000 ans, vide de traces humaines. sinon des vacanciers et des surfeurs. Patrick nous avait précédés d'une année et était un surfeur très correct.

C'est lui qui nous a initiés. J'avais 22 ans, c'était mon 5ème ou 6ème été avec lui et on se connaissait par coeur. Il m'avait découverte seins nus dés mes 18 ans (en fait dés que Marc m'a demandé avec autant d'insistance que de gentillesse de me mettre topless comme c'en était la mode). Il n'avait jamais fait de remarque mais cela ne le gênait pas lorsque nous chahutions dans l'eau, avec un ballon ou un frisbee.

Si je n'ai jamais remarqué de gestes déplacés, j'ai souvent senti son torse contre mes seins, ou son dos d'ailleurs quand c'est moi qui lui sautais dessus pour lui arracher le ballon.

Marc venait toujours avec moi faire les courses « sexy » (il évite la nourriture et le reste) et « m'aidait » à choisir mes maillots. Pourquoi choisissait-il les plus petits ? Pourquoi privilégiait-il le blanc ? Pourquoi n'avais-je pas le cour à le décevoir ?

Mais mon coquin de mari, touche par touche, me façonnait à son idée. En effet, moi si menue, 50 kg pour presque 1m70, avec un maillot blanc riquiqui et une « touffe » naturellement claire et peu fournie mais bien présente. ce n'est pas très joli, Il me fallait me faire le maillot avec soin.

Un jour il ma acheté un maillot une pièce. Blanc. Très beau mais très échancré. J'ai du me refaire le maillot très profondément pour que mes poils ne se voit pas. Et pour lui faire plaisir j'ai coupé un peu en longueur mais je n'ai pas osé enlever tout.

Ce jour là, nous faisions du surf tous les 3 et nous étions prés d'une petite pointe qui faisait « ascenseur » (courant de retour vers le large donc plus facile pour aller chercher les vagues). Les belles vagues du jour étaient plutôt à droite, du coté de l'autre plage (séparée par la pointe). Nous surfons une bonne demi-heure ces vagues-là sans que je me rende vraiment compte que de ce coté de la pointe, la plage était fréquentée par des amoureux de la nature, très nature, très naturistes ! C'est Marc qui (avait certainement remarqué) est resté le 1er à nous attendre Patrick et moi au bord de l'eau pour « faire une pause ».

Surfer c'est sympa mais fatigant, j'accepte volontiers et on s'allonge un moment. Nous avions des néoprènes à cause de la température de l'eau. On s'allonge à même le sable.


C'est Patrick qui brise la glace :

- Eh ! Vous avez vu où on est ? On va se faire lyncher si on reste là comme ça !

Je lève les yeux, nous étions en bout de plage et les naturistes étaient peu nombreux ici, ils se concentraient au centre, là où se trouve l'accès en fait ! Et comme la plage est vaste on ne se sentait pas comme à Cannes ou Nice. Mais quand même, on était chez les nudistes ! J'interviens

- Tu as raison on va retourner de l'autre coté.

- Pourquoi ? Me demande Marc, qui enchaîne

- De ce coté on a les plus belles vagues, et si on veut se reposer ici je ne vois pas ce qui pourrait nous en empêcher

- Sauf que l'on nous regarde comme des intrus et que je suis hyper mal à l'aise

Lui répondit Patrick, et je le soutiens :

- Patrick a raison on n'a rien à faire là dans cette tenue !

- Et bien on a qu'à faire comme eux ! dit Marc

- Tu veux qu'on se la fasse naturiste ? S'inquiète Patrick en faisant aller son regard interrogateur de Marc à moi

- Ecoute Patrick, tous les 2 ça fait plus de 8 ans qu'on se douche ensemble, ça fait 6 ans que tu connais Yoni et presque autant que tu la vois seins nus. et je crois qu'en bas il n'y a pas grand-chose à voir chez une fille et puis tu as une copieuse expérience en la matière

- Et moi, ça t'intéresserais de savoir ca que j'en pense ? lui dis-je en m'imposant un peu - Ce que tu en penses vraiment ? sincèrement ? j'adorerais te l'entendre dire car j'ai ma petite idée là-dessus mais ma chérie je voudrais juste que tu te laisse aller à un bain de soleil tout simple, dans le plus simple appareil il est vrai mais encore une fois je crois que l'on n'a pas grand-chose à découvrir non ? Il m'embrasse, je craque Il se lève et retire sa néoprène, Patrick aussi, je commence à en faire autant.

Rapidement leurs maillots tombent. Leurs sexes sortant de l'eau sont encore très « discrets » et me rassurent un peu mais pour le moment je reste empêtrée dans ma néoprène que j'ai du mal à retirer. Je suis debout ma tenue coincée aux chevilles.

- Mon chéri si tu veux que je participe à ton naturisme il faudrait que tu m'aides un peu !

- Mais avec plaisir mon ange ! Dit-il en se levant.

Il me pose un baiser sur les lèvres et, au lieu d'attraper ma néoprène il passe dans mon dos et défait mon haut de maillot libérant mes seins

- Eh ! c'est en bas que ça coince ! Patrick dis lui à ton pote, fait quelque chose !

Et mon Patrick se lève en me disant

- Tu as raison, il est trop bête, je m'en occupe

Il se met à genoux devant moi, le visage au niveau de mon pubis, pose ses main sur la néoprène esquisse un mouvement puis remonte et accroche mon maillot qu'il descend d'une vingtaine de cm. Assez pour dévoiler mon intimité. Je suis surprise et me cache le pubis spontanément

- N'ais donc pas honte tu es la plus belle de la plage

- C'est vrai Patrick, elle est tellement belle que le naturisme devrait être obligatoire quand on est aussi belle !

- Arrêtez les garçons je suis déjà assez gênée comme ça !

Du coup ils se sont arrêtés et m'ont regardé comme une statue grecque ! Quelle statue ! Une jeune femme nue avec les pieds empêtrés, j'étais si menue qu'on me donnait à peine 16 ou 17 ans. Deux hommes à mes pieds, leurs visages si prés d'une intimité que ma petite toison claire et très « soignée » ne voilait même pas. Et comme mon coquin de mari me connaît, que oui la situation m'excitait, mes lèvres étaient gonflées et l'ourlé avait tendance à s'ouvrir pour laisser apparaître la nacre de ce que seul mon mari connaissait.

Un ange est passé.

Plus proche d'Eros que de Cupidon si j'en juge les érections de mes gentils mâles. Il y a quelques minutes ils étaient presque ridicules subitement ils rivalisaient d'orgueil. Marc m'avait habituée à du sérieux et je n'avais jamais vu, en vrai, d'autres sexes d'hommes mais Patrick bien que plus modeste supportait bien la comparaison. Seule j'aurais adoré le prendre dans ma bouche de suite, là, sur la plage.


Après ce qui m'a paru une éternité, Patrick me retira ma néoprène et nous avons essayé de nous reposer sagement.

Je n'ai pas eu que des pensées sages




La plage 2

Quelques jours plus tard nous étions à nouveau retrouvé tous les 3 mais les bonnes vagues étant sagement coté textiles, nous sommes restés nous aussi sagement de ce coté. Après une bonne séance de surf, je sors la première et retire (toute seule, depuis j'y arrive mieux) ma néoprène puis m'allonge sur ma serviette.

Patrick et Marc me rejoignent un peu plus tard.

- Tu arrête déjà ? me dit Marc

- Oui, je suis fatiguée et j'ai envie de lézarder un peu

- T'as raison je me pose aussi ! dit Patrick

- Chéri tant que tu es là tu peux me mettre de la crème ?

Mais mon chéri avait déjà fait demi-tour et me dit en ricanant :

- Demande à Patrick, il a les mains les plus douces du régiment Et il file dans les vagues

- Patrick.

- J'ai compris madame, à votre service madame

Il prend le tube et, sans ménagement, m'envoie une longue giclée dans le dos me surprenant par son effet « froid ». Je sursaute et râle un peu mais rapidement ses mains (pas douces) commencent à étaler la crème sur tout mon dos, maladroitement presque brutalement.

- Doucement espèce de brute, je suis fragile - Pardon Il se fait plus doux, plus caressant, beaucoup plus agréable. - Attends, j'enlève la ficelle

Mon haut de maillot défait, il peut me masser longuement le dos. La crème est étalée depuis longtemps

- N'oublie pas les cotés

Il m'envoie une nouvelle giclée de crème sur un coté et commence à l'étaler. Quelques gouttes coulent sur mon sein gauche, je me cambre un peu pour détacher ma poitrine de la serviette. Les doigts de Patrick glissent jusqu'à la base de mon sein, n'osent pas aller plus loin. Je me tourne légèrement vers lui pour le regarder ce qui provoque un petit mouvement discret mais suffisant pour poser mon sein dans sa main. Il ne dit rien mais le caresse longuement, taquine même mon téton, le pince légèrement. et recommence de l'autre coté.

J'étais si prés de la jouissance ! Pourquoi n'a-t-il pas continué ?


- Tu veux de la crème sur les jambes aussi ?

- S'il te plait oui, ce serait sympa !

- Tout le plaisir est pour moi !

dit-il courtoisement, je crois que le plaisir était essentiellement pour moi. Il étale lentement et très sensuellement la crème sur mes jambes jusqu'à venir bord du maillot. Ses doigts caressent la naissance de mes fesses. J'aimerais tant qu'il me prenne tout de suite !

D'un geste sobre et rapide je remonte un peu les bords de mon maillot pour un bronzage plus large. Les doigts de Patrick ne sont peut-être qu'à 1 cm de mon intimité mais n'osent aller plus loin. Toujours couchée à plat ventre je relève un genou, libérant l'intérieur de mes cuisses. Patrick investi ce nouvel espace et prend de l'assurance. Un doigt s'essaye sous le maillot. Mon geste du bassin, un geste d'offrande accompagné d'un petit gémissement que je n'ai pas su contrôler, le réconforte. Il est maintenant sous mon maillot, il caresse mes lèvres, trouve mon bouton. Je gémis à nouveau. Il reste sur ce point et y applique la crème qu'il vient de recueillir entre mes lèvres. Ses caresses m'emmènent à une jouissance silencieuse mais très profonde. Il comprend que je suis arrivée et s'allonge à son tour, sur le ventre.


A suivre

Merci à ceux qui voudraient faire des commentaires ou avoir des détails sur ce qui ne peut faire l'objet d'une histoire de me laisser leurs messages : yonigift@gmail.com

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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