Journal intime

Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 18:55

Ceci est une suite fantasmée de ma petite aventure, réelle, au lycée.

Elle a été écrite par un ami à qui je me suis confiée.

J'ai hésité à la publiée à cause de l'age que j'avais au moment des faits mais je viens d'apprendre qu'à 16 ans j'avais atteint ma "majorité sexuelle" donc autant partager avec vous cette petite suite un peu perverse.

Bisous mouillés.

 

Uchronie n° 1 : au lycée

 

« Arrêtez ça suffit comme ça » tente l’un des garçons, courageusement. Il est vite submergé par ses camarades qui le conspuent et le prient de sortir si ça le gêne.

Je suis soulagée d'entendre quelqu'un prendre ma défense, et tout aussi désappointée devant son peu de motivation face à ses camarades.

Sylvie s'est à peu près rhabillée. Ne trouvant pas d'issue devant cette douzaine, quinzaine, vingtaine de garçons enjoués je cherche une place sur un banc, m'assois et tente tant bien que mal de dissimuler mes petits trésors. Mes joues sont en feu, mes oreilles bourdonnent et je sens bizarrement de petits picotements pas désagréables du tout dans mes seins et dans mon ventre.  

" Nous te rendrons tes affaires si tu es gentille..."

Je suis très en colère mais je n'ai pas beaucoup d'alternatives. "Laissez-moi, qu'est-ce que vous voulez?"

Et Sylvie de prendre ma défense  "laissez la tranquille".

"Tu veux récupérer tes affaires? Oui, alors à chaque fois que tu nous satisferas, nous donnerons un de tes vêtements à Sylvie. Si tu rechignes, nous reprendrons un vêtement... Lorsque tous tes vêtements seront restitués à Sylvie, tu pourras te rhabiller. "

"Vous n'avez pas le droit!" Je cherche Sylvie des yeux, espérant trouver un appui. Bizarrement elle sourit et son regard s'est troublé. Elle semble se prendre au jeu! La garce! J'espère qu'elle ne va pas essayer par cette situation, de me faire payer les refus polis que j'ai toujours opposés à ses avances. Bien sûr nous sommes intimes, nous plaisantons souvent sur les garçons, nous connaissons nos anatomies, nos petits défauts. Un soir de grande complicité, nous nous étions embrassées et un désir incandescent s'était emparé de moi. Je ne sais plus comment j'avais pu la repousser, à ce moment-là, comment j'avais pu résister. Le regard de Sylvie ce soir-là était le même qu'aujourd'hui. Je me demande même si elle n'avait pas prémédité tout cela. A deux, trois reprises, je lui ai dit tout à l'heure "on y va? On va se doucher? " et à chaque fois elle a relancé la conversation sur autre chose... Et sous la douche elle a usé de mille prétextes pour faire durer... "Prête-moi ton savon...", "tu as vu mes seins sont déjà presque tout bronzés... non je ne fais pas de topless, mes parents seraient choqués,  mais je m'arrange pour mettre le plus de surface possible au soleil discrètement"... Ce qui fait qu'on a vraiment traîné, et qu'on s'est faite surprendre. Tout ceci défile dans ma tête et je pense en avoir la confirmation quand j'entends Sylvie dire 

"Allez Alanys, on ne va pas s'en sortir! Fais-ce qu'ils te disent et qu'on en finisse!"

Devant une telle trahison, mes dernières défenses s'envolent. D'autant plus que l'évocation de notre baiser passé a ravivé en moi, une chaleur sournoise entre mes cuisses.

"Je.. je suis d'accord" je m'entends prononcer, comme si j'étais dédoublée.

Les garçons quittent le banc sur lequel je suis assise et s'assoient sur celui d'en face. Sylvie est invitée à prendre place auprès d'eux.

"Lève-toi Alanys"

"Mets les mains le long de ton corps"

"Fais voir tes nichons"

Les demandes fusent de toute part. D'un côté je suis prête à tout pour arrêter ce cauchemar, d'un autre coté le désir d'aller plus loin, de vivre un fantasme s'est insinué en moi. Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai découvert le pouvoir que je pouvais exercer sur les "hommes". Ils avaient l'air fascinés comme des petits lapins face à un cobra.

Dans un tourbillon de pensées, une confusion de sentiments, j'ai continué alors à me montrer, à prendre des poses de plus en plus osées, d'aucun aurait dit obscènes.

Debout cambrée, j'offre mes petits seins aux framboises dressées, durcies qui trahissent mon désir.

 

Assise sur le banc, je pose les pieds à hauteur de mes fesses, ouvrant mon abricot si peu protégé.

Je sens les regards y pénétrer, le fouiller, se repaître de l'humidité visible qui s'écoule entre mes fesses.

Sylvie est restée coite, mais je lis son excitation dans ses yeux. Je la fixe alors et passe une main sur mes seins, la bouche entrouverte. Ce que je ressens est dix mille fois plus fort que ce que j'ai jamais vécu. Bien sûr, je me suis déjà caressé. Jusqu'au bout. C'était bon... mais là, je suis transcendée.

Les encouragements, les exclamations me parviennent vaguement : "la salope" "houa  Alanys" "je le savais qu'elle était bonne"

Les ordres aussi "tourne-toi" "montre-nous ton cul"

Je me lève, me tourne et offre mes fesses à leurs yeux concupiscents. Mon cul bouge tout seul lascivement. Suivant les ondulations, mes fesses s'ouvrent et offrent le plus intime de ma personne.

"Écarte tes fesses! Caresse-toi"

Un fond de pudeur essaie de résister à ces dernières demandes. Une image passe devant mes yeux. Moi, nue entrain de m'exhiber face à cette bande garçons... Une nouvelle vague de chaleur emporte mes réticences.

Je prends mes fesses à deux mains. Je les écarte. 

Je pose mes mains sur le banc et tend mon cul vers l'assistance. Je me cambre, j'écarte les jambes, je m'ouvre pour offrir toute mon intimité. Le sang afflue dans mes petits citrons et dans mon abricot... Une vraie salade de fruit juteuse. Il me semble que mon désir s'écoule. Je passe une main entre mes jambes pour vérifier.

Dès que mes doigts effleurent mon petit bouton, le plaisir me prend brutalement. J'essaie de maîtriser, je ne veux pas offrir ça. Mon corps se met à trembler de la tête au pied. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler.

Puis c'est le black-out. Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé pendant les minutes qui ont suivi...

 

J'émerge doucement d'une torpeur languide. Des sons assez vagues, des voix, une sensation de nudité... Je suis nue, allongée sur une surface synthétique, assez souple... Un tapis de sol ?  Une odeur, une odeur de vestiaire. Un tapis de sol ! Ça y est! Je reconnecte. Les voix des garçons. Une voix de fille, celle de Sylvie: "ce n'est rien, elle a juste eu trop d'émotions!" Tout me revient en mémoire, la terrible réalité. Je viens de m'exhiber devant une classe entière de garçons. Certes, j'y ai été "forcée" mais j'imagine déjà les conséquences, la fin d'année scolaire... Je n'ose toujours pas ouvrir les yeux. Je simule la perte de connaissance. Le plaisir que j'ai pris rôde toujours en moi. Si puissant, si soudain... Je n'avais jamais imaginé une telle chose. Sa seule évocation diffuse dans mon corps de nouvelles ondes, comme les répliques d'un séisme. Je n'ose pas ouvrir les yeux, ou plutôt je n'en ai pas envie. J'ai tellement aimé cette expérience que je souhaite la prolonger. Je n'aurai pas de sitôt une occasion pareille.

 

Les voix se sont rapprochées.

"Regardez comme elle est belle! Elle est dans les vapes. Vous devriez en profiter, ce n'est pas tous les jours que vous aurez l'occasion de voir cette petite bourgeoise nue."  C'est Sylvie, la traîtresse, qui en rajoute.

Traîtresse ou complice? Elle me connaît si bien, elle a vu dans mes yeux le plaisir grimper tout à l'heure et elle a lu mon excitation. "Je suis sûre qu'elle aimerait qu'on la caresse"  La garce! Elle sait que je suis consciente et elle joue avec moi.

"Alors! Pas de volontaires... " Et elle passe une main sur mes petits œufs au plat. Je me concentre pour que mes tétons ne durcissent pas, mais je n'y parviens pas, d'autant que cette sorcière en pince légèrement le bout.

"Regardez comme elle réagit! Même en dormant, elle prend du plaisir cette vicieuse". Je n'entends plus les garçons, si ce n'est quelques déplacements, des raclements de gorges, des chuchotements, des rires forcés.

Je sens une main se poser sur ma cuisse et remonter lentement vers mon fruit gonflé de désir. Je frissonne. J'espère que c'est l'autre main de Sylvie. Non! Celle-ci vient d'empoigner mes deux seins. Une autre main caresse mon pied... Je perds complètement le contrôle! Des mains sur mes épaules, mon ventre...   Les doigts qui se déplacent et convergent vers mes points sensibles. Je suis ensevelie sous les caresses. Je ne distingue plus les paumes, les phalanges, les ongles... Je ne suis plus qu'un maelström de sensations. Je fais mine de me réveiller, je bouge légèrement en soupirant. Comme par enchantement, toutes les mains se sont immobilisées en même temps. J'en ai profité pour écarter "naturellement" et très légèrement les cuisses. Aussitôt une main remonte entre elle et atteint mes lèvres intimes trempées. Une autre main descend sur mon ventre, écarte le haut de mes lèvres et trouve habilement mon petit bourgeon. Mes seins sont malaxés par des mains douces, fermes, nerveuses...

Le doigt entre mes cuisses est arrivé à destination. Il pénètre lentement en moi. Je vais jouir. Il se retire et glisse à nouveau un peu plus loin.

"Doucement...Attends un peu!" C'est Sylvie qui intervient. Je sens le doigt se retirer.

 

A nouveau, je soupire et comme si j'étais partie pour une longue nuit de sommeil, je me tourne sur le côté, la jambe du dessous tendue, et celle du dessus repliée. Toutes les mains se sont envolées comme une nuée de papillons...

et comme telle, elles se reposent délicatement sur mon corps, après un temps plus au moins long.

Mon répit a été de courte durée. Si mes seins et mon sexe sont un peu plus difficiles d'accès, mes fesses sont désormais exposées... et explorées.

 

Des mains caressent mes petites fesses rondes. On tire doucement sur mes jambes, pour ouvrir un peu plus l'accès à mes trésors. Des doigts fureteurs retrouvent mon abricot entrouvert. Ils glissent entre mes lèvres et me procurent un bien fou. J'ai envie de crier! Des doigts puissants empoignent mes fesses et les écartent largement. Je me sens ouverte comme jamais, vulnérable. Un doigt vient rejoindre ceux qui sont déjà en moi. Il ressort et remonte vers mon petit trou. Je suis au bord de l'explosion. Je sens sur ma corolle l'humidité que dépose le doigt taquin. Il joue avec ma rosette vierge. Il glisse tout doucement à l'intérieur. C'est divin! Il ressort! J'essaie de le retenir! Je pousse un soupir de dépit! Puis il recommence son manège. Il va chercher de mon jus de plus en plus abondant, en tartine mon petit anneau, puis pénètre de plus en plus loin. Devant tant de savoir-faire, je me rends bientôt. Toutes ces mains sur mon corps, sur ma poitrine, dans ma petite chatte et ce doigt dans mon cul, c'en est trop. Un feu d'artifice éclate dans ma tête! Je me cambre violemment, m'empalant complètement, et crie ma jouissance... sans plus de retenue.

 

Cette fois, j'ai vraiment perdu pied...

Je suis réveillée par une grosse voix... Je suis à peu près rhabillée, par Sylvie je suppose...

 "Qu’est-ce qui se passe ici?"

Là ça se corse. C’est le gardien, un vieux, moche et grincheux (on ne l’aimait pas car il râlait tout le temps pour un oui ou un non). Heureusement que nous sommes habillées, et les garçons aussi.

Sylvie lui raconte je ne sais quoi à brûle-pourpoint. Inventant une explication censée être plausible.

"Ne restez pas là! Suivez-moi!"

Son arrivée aura au moins eu le mérite de me faire partir de cet endroit rapidement, sans avoir à subir les regards de mes petits camarades.

Et nous voilà suivant ce vieux râleur. Je n’avais qu’une angoisse: qu’il cafte au lycée et que l’on soit puni (et la double peine quand mes parents apprendraient). Je ne pensais qu’à cela, pas à mon absence de culotte dont je venais de me rendre compte!

Arrivées dans son antre, il nous redemande ce que l’on faisait là. Sylvie lui répète son excuse bidon (que j’ai totalement oubliée) puis il nous demande nos noms pour rendre compte au lycée. Aïe !

 

 

uchronie n° 2 : au lycée

 

Arrivées dans son antre, il nous redemande ce que l’on faisait là. Sylvie lui répète son excuse bidon (que j’ai totalement oubliée) puis il nous demande nos carnets de correspondance pour rendre compte au lycée. Aïe !

Nous lui jurons que nous ne l'avons pas sur nous, que nous l'avons oublié aujourd'hui.

Il ricane, et dévoile une dentition parfaite. J'en suis étonnée. Il est si négligé. Je le considérais presque comme un SDF, comme une personne misérable, sans aucun charme, à mille lieues de ma "vie dorée". Et ce rire,  un peu méchant certes, le rend un peu plus humain... un peu moins "gardien du stade" acariâtre. Sa réplique suivante me fait atterrir brutalement :

vous me prenez pour un vieux débile ?

Au fond de ces yeux, sous ses sourcils broussailleux je vois une lueur de victoire, un sentiment de domination, un peu de cruauté. Il nous cache quelque chose...

vos carnets!!

Le ton est sans appel... Notre mensonge minable s'effrite devant sa détermination, sa conviction. Nous ne faisons pas le poids. Son uniforme, bien que sale, ajoute à son autorité. Il représente l'ordre.

posez-ça là! Je n'en ai pas besoin pour le moment. Si vous ne m'obligez pas à m'en servir.

La menace est plus que sous-entendue.

S’il vous plaît. Monsieur Guttierez ! Soyez sympa, ne dites rien au lycée!

N’en parlez pas à nos parents.

Nous nous faisions suppliantes.

Venez voir ça!

Il nous indique un écran dans un coin de la pièce. Un système de vidéo surveillance... Il fait défiler les images et nous reconnaissons le stade, le complexe omnisports, les extérieurs et … l'intérieur des vestiaires!!! Nous sommes abasourdies. Sans réaction, bouche ouverte... Il nous laisse réaliser ce que ça signifie, nous laisse nous noyer lentement dans notre désarroi.

Les vestiaires sont vides désormais, les affaires accrochées aux porte-manteaux, ou étalées sur le sol.

M. Guttierez appuie de ses gros doigts boudinés sur les boutons de son magnétoscope. Les images défilent à toute vitesse... Puis clac, lecture. Et là le ciel me tombe sur la tête.

Je me vois nue, au milieu de tous ces garçons, des mains sur tout le corps. L'image n'est pas très nette, en noir et blanc et il n'y a pas de son. Ce qui rend la scène encore plus surréaliste. Mais le doute sur nos identités n'est pas permis. Sylvie semble inciter les garçons à aller plus loin. En tout cas, elle ne fait rien pour stopper la chose.

ohhh non !!!! Je gémis faiblement...

Nous sommes tellement consternées que nous n'imaginons pas un seul instant que ces images sont volées, illégales... La honte paralyse notre cerveau et nous sommes deux petites mouches prises dans la toile d'une araignée géante.

Cette sensation est d'autant plus forte que la loge de M. Guttierez est minuscule et sinistre. Le mince fenestron laisse difficilement pénétrer une lumière blafarde. La faible lumière jaunâtre d'une applique sans abat-jour rend l'atmosphère encore plus pesante. La loge est sens dessus-dessous et une odeur de renfermé me prend désormais à la gorge. Une vieille télé minuscule occupe un coin de la pièce en face d'un lit une place défait, aux draps douteux. Une table et une chaise. Avec de la vaisselle entassée.  Au fond une porte vers la salle de bain, les WC? Seul le coin où nous nous trouvons, où se trouve le système de vidéo surveillance semble plus avenant. La seule distraction de M. Guttierez...

Il doit vivre ici, dans ces quelques mètres carrés. Mon esprit s'évade. J'imagine la vie de ce pauvre homme, enfermé dans ce local confiné.  Sans lumière, sans famille, sans joies. S'y enterrant petit à petit, pour ne plus subir les quolibets des adolescents, de ces lycéens qui sentant la faiblesse de l'homme, ne se privaient pas de l'insulter, de le mépriser, pas forcément par méchanceté, juste pour rigoler, ou par forfanterie devant les filles...

Je le vois se refermer de plus en plus aigri, rêvant de vengeance, de coincer une de ces petites putes adolescentes, le cul presque à l'air dans leurs jupettes... Je le vois faire des cauchemars dans son lit, se lever le matin sans aucune envie, sans projet, si ce n'est de passer une journée de plus, et de descendre une bouteille... C'était ça la deuxième odeur que je n'arrivais pas à distinguer, le vin rouge... Comment serait-il s'il était né dans ma famille, ou dans une des familles de ces lycéens qui le méprisaient tant. Je l'imagine habillé correctement, propre, coiffé, rasé... Un brun ténébreux... souriant. Athlétique, musclé, bronzé un sexe épais émergeant de sa toison abondante d'homme du sud...

Les images continuent de défiler à l'écran, montrant de façon plus qu'explicite ma soumission, mon plaisir à être pelotée par toutes ces mains...

J'imagine désormais M. Guttierez devant son écran, son gros sexe à la main, en train de se masturber devant mon corps dénudé. Je le vois presque saliver, les yeux exorbités, sa main poilue recouvrant son gros gland rouge à chaque aller-retour. Puis je le vois exploser, un geyser de liqueur blanche retombant sur son sexe, ses doigts, jusque dans ses poils noirs...

Cette évocation, ce flash  ravive en moi un désir que je pensais éteint par ma mésaventure (?) précédente. Je ne peux empêcher mon regard de se glisser sur la braguette de M. Guttierez, qui recèle une bosse significative. Un afflux sanguin échauffe soudainement mon entre-cuisse. Puis la vague de chaleur se diffuse dans mon ventre, mes seins et vient rougir mes joues.

Sylvie, tu peux m'attendre dehors ? Je vais essayer de trouver un compromis avec M. Guttierez.

Tu es sûre? Tu souhaites vraiment rester seule ici ?

Oui, ne t'inquiète pas! Si ça ne va pas je t'appelle! Reste à portée de voix.

Guttierez n'en demandait pas tant. Il se méfie un peu et pense que Sylvie va en profiter pour aller chercher de l'aide. Mais je le rassure :

Faites-nous confiance! Nous ne souhaitons pas que nos parents apprennent tout ça...Ni le lycée d'ailleurs! Et puis ça sera plus facile pour toutes les deux.

Sylvie sort.

Il s'assoit sur son lit et me demande d'approcher. Je vais devoir jouer serré. Il passe la main sous son matelas et en sort une revue. Ce n'est pas une simple revue de pin-ups dénudées. Ce sont des images pornographiques.

Viens-voir! Approche.

Je ne sais quelle attitude adopter... la Sainte Nitouche, petite fille de bonne famille qui n'a jamais rien vu de tel... Ou la jeune fille délurée qui connaît tout ça et qui n'a pas froid aux... yeux. Mais après ce qu'il venait de visionner sur moi, j'aurais du mal à être crédible.

Tu as déjà fait ça?

Il me montre une femme aux formes plantureuses, le minou empli par un sexe énorme...

Non, M. Guttierez ! Je suis vierge...

Puis une autre, où une jeune femme blonde avalait une queue de couleur, les yeux mi-clos...

Je l'imaginais à nouveau, en train de se branler, son magazine à la main.

Déshabille-toi!

Vous me laissez partir après?

Si tu es gentille avec moi et que tu fais tout ce que je te dis...

Le dilemme... à nouveau ma personnalité se dédouble. Je me vois me plier aux exigences de ce pervers... à nouveau le désir s'empare de moi. Mon sexe s'humidifie.

Je vais essayer...

Déshabille-toi!

Je soulève mon petit chemisier qui ne cachait pas grand-chose. Mes tétons sont déjà dressés, et je vois le regard lubrique de M. Guttierez... Il doit s'imaginer que c'est lui qui m'excite, ce que je m'interdis de penser ! Et pourtant !

Je vois sa main approcher de mes petits seins. Elle s'y pose doucement, mais sa peau est rugueuse. Un frisson me parcourt de la racine de mes cheveux au bout de mes orteils, en insistant lourdement entre mes fesses... Ces sensations sont nouvelles pour moi. J'ai envie de croire que c'est un frisson de dégoût, mais j'ai surtout peur que ça s'arrête.

 

S’il vous plaît....

Tais-toi! Enlève ta jupe !

Pendant qu'il masse mes petits citrons de ses mains râpeuses, je me déshabille à nouveau. Ma jupe rejoint mon chemisier sur le dossier de la chaise.

Petite garce! Tu n'as pas de culotte!

Ses mains descendent le long de mes flancs, pas très marqués à cette époque-là. Puis elles empoignent mes fesses avec vigueur. Je me dégage et recule jusqu'à la table.

Non! Arrêtez!

Assis toi sur la table! Écarte les cuisses.

Je m'exécute et ouvre légèrement les jambes, essayant de cacher mon intimité.

Fais voir ta petite chatte de vierge! Écarte tes lèvres !

La tension monte d'un cran. Je veux fuir, crier pour que Sylvie vienne me chercher... Mais j'ai aussi envie de continuer, de satisfaire les pulsions de ce vieux pervers, et surtout de satisfaire les miennes.

Tout en fixant de manière effrontée M. Guttierez, j'offre mon bijou à son regard. Puis je fais glisser mes mains entre mes cuisses et écarte mes lèvres trempées à nouveau.

Caresse-toi!

J'attendais cet ordre depuis toutes les fibres de mon corps. Je pose un pied sur la table afin de m'ouvrir encore plus. D'une main, je tire sur mes petites lèvres. Ma chatte émet un bruit de succion humide en s’entrouvrant. Puis je glisse un doigt entre mes petites lèvres. 

Mets-toi un doigt!

La voix virile, son regard vicieux poussent mon index à l'intérieur de moi. De mon autre main, je caresse frénétiquement mon bouton. Il approche à nouveau.

Non! Ne me touchez pas! Je ferais tout ce que vous voulez mais ne me touchez pas!

Comme tu veux! Dit-il en ricanant à nouveau

Et je le vois ouvrir sa braguette et sortir son sexe. Il est tel que je l'avais imaginé, épais, lourd, avec un gland énorme: Une prune! Il commence à se branler tout en me regardant me caresser. Je suis au bord de la jouissance et je sens que ça va être encore très fort.

Arrête ! Petite salope! Allonge-toi sur la table! Monte tes jambes... Voilà ! Monte encore! Attrape-les avec tes mains derrière les genoux! Approche-les de ta poitrine!

Le salaud! Dans cette position je suis complètement ouverte. Je n'ai plus rien à lui cacher! Je le vois en train de se branler de plus en plus vite.

Tire en arrière sur tes jambes! Je veux voir ton cul! Ton petit cul de vierge! Continue de te caresser! Oui c'est ça passe ta main dans ta raie! Petite vicieuse! Tu aimes ça hein... te tripoter le cul? Exciter les vieux Messieurs comme moi...

Oh nooooon !!! M. Guttierez ! Nooooon! Je ne veux pas !

Paradoxalement, tout en disant ça, je glisse mon majeur entre mes fesses... L'enfonce lentement, complètement. Cette fois j'ai atteint le point de non-retour. La jouissance s'empare de moi et je crie mon bonheur, ma honte, ma fierté d'exciter un homme.

Tout doucement les vagues de plaisir refluent dans mon corps... M. Guttierez a les yeux qui lui sortent de la tête. Il a l'air aussi excité qu'étonné par mon orgasme. Il a arrêté de se masturber, mais sa queue semble avoir doublé de volume. C'est la première fois que je vois un sexe d'homme en érection. Je suis attendrie par cet hommage viril. J'ai envie de le prendre dans mes mains et de le cajoler.

Comme s'il lisait en moi à cœur ouvert, M. Guttierez se dirige vers moi. Il est à portée de main. Je lis dans ses yeux une supplique. Mes mains se tendent et se saisissent du membre. Il est chaud, brûlant même, et doux, si doux.

J'essaie d'imiter maladroitement les mouvements qu'il faisait lorsqu'il se masturbait. Je sens la vie pulser entre mes doigts. M. Guttierez regarde mes petits doigts tout fins et si blancs s'activer sur son membre turgescent.

Je suis prise d'une impulsion folle. L'image de la blonde tout à l'heure qui avalait le sexe de couleur s'impose à moi.

Je me tourne un peu sur la table et approche la queue de mes lèvres. Je ne sais pas ce que je fais, je ne sais pas ce qui va se passer, mais j'en ai trop envie. J'ouvre ma bouche et essaie d'avaler la grosse prune. Ça passe! C'est chaud, c'est doux c'est bon. J'ignore tout de cette pratique. "Sucer"! bien sûr j'en ai souvent entendu parler, dans des blagues grivoises, ou parfois par des copines un peu plus délurées que moi. Mais de là à le faire moi-même... Je n'aurais jamais imaginé ce matin en être là à midi !!! Sucer... je décide d'improviser... J'aspire et essaie d'avaler le membre raide. Je force un peu mais j'arrête avant d'avoir un haut le cœur. J'entends M. Guttierez soupirer. Il a posé ses mains sur ma tête et accompagne mes mouvements.  Je me retire doucement et recommence. J'essaie de descendre le plus possible, car je l'entends grogner lorsque je fais ça. Je continue et de mes mains libres je caresse ses testicules poilues. Quelle drôle de sensation! Quel sentiment de puissance aussi … Je tiens un homme entre mes mains! Entre mes lèvres! Ma main glisse entre ses jambes explore et j'entends un grognement plus fort que les autres. La pression sur ma tête s'accentue. Les doigts se crispent dans mes cheveux. Je crains d'avoir fait mal à M. Guttierez, de l'avoir mordu... Tout à coup un flot chaud et onctueux s'écoule dans ma bouche. Je suis tellement surprise que j'essaie de me dégager, mais je suis tenue fermement. Je sens M. Guttierez se déverser dans ma bouche par saccade. Il est complètement crispé et a poussé un long cri guttural.

J'essaie de maintenir le sperme dans ma bouche, mais n'y parvenant pas, j'avale la substance et découvre un nouveau plaisir. J'adore !! Je glisse ma main entre mes cuisses et me caresse avidement, tout en continuant à téter le sexe encore vigoureux. Le plaisir me gagne en cinq secondes !! Je jouis tout en me délectant du nectar...

Sylvie qui a entendu des cris, n'ayant pas eu de réponse à ses appels a entrebâillé la porte et a passé la tête pour voir ce qu'il se passait. Elle reste bouche bée en me voyant nettoyer le sexe de M. Guttierez à coup de langue. Je lui fais un signe discret que tout va bien.

Quelques minutes plus tard, je la rejoins. Elle est stupéfaite et ne s'en remet pas. Je lui raconte tout, ainsi que l'accord passé avec M. Guttierez. Nous oublions tous les deux, tous les trois, tout ce qui s'est passé dans cette matinée. Plus personne n'en parlera jamais.

Je n'ai pas eu le cœur de lui demander de débrancher sa caméra pirate dans les vestiaires... Après tout, il ne fait de mal à personne, et c'est certainement la seule distraction de sa vie. Je lui ai aussi laissé l'espoir qu'un jour peut-être je repasserais le voir...

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 22:29

J’allais avoir 16 ans. Printemps 1983. Au lycée Albert 1er en fin de seconde.

Lycée de bon niveau mais, coincé sur le Rocher, il ne dispose pas de place pour le sport, aussi nous devions aller au stade de Moneguetti pour s’y adonner dans de bonnes conditions (enfin , disons que là au moins on pouvait).

Nous faisions sport séparément les garçons et les filles et, ce jour-là, ou plutôt à cet horaire-là  (mais je ne me souviens plus si c’était le matin ou l’après-midi), il n’y avait personne après nous (10h à 12h peut-être).

Le vestiaire était tout en long. Lui je m’en rappelle comme si c’était hier. En entrant à droite un vestiaire tout en long et en entrant à gauche les douches, communes.

 

J’étais venue en jupe et chemisier.il fait déjà chaud début juin par chez moi ! à l’époque évidement une culotte (sans effet de style puisque je ne couchais pas et n’avais pas même l’idée d’aguicher les garçons, donc culotte en coton, simplement confortable). En revanche je ne portais pas encore de soutien-gorge. En effet j’ai été longtemps impubère, première règles à 15 ans ! et formée assez tard. A cette époques j’avais de petits seins qui ressemblaient non pas à des pommes ou des pamplemousses (Sylvie, « très » formée, et très dont la compagnie était très recherchée des garçons !- elle se reconnaîtra si, très improbablement, elle venait à lire cette évocation de nos souvenir), non moi c’était plutôt des citrons. L’avantage c’était qu’ils ne pesaient pas et de toute façon ils étaient si fermes qu’un soutien-gorge aurait été ridicule. Toujours un peu timide je m’étais installée tout au fond avec Sylvie.

 

Donc après cette séance de sport dont j’ai absolument tout oublié, nous rejoignons le vestiaire avec les autres. Pas pressées, on discutait en attendant que les douches se libèrent (il devait y avoir de la place pour 6 peut-être, pas plus) puis ce fut notre tour.

Les douches communes, ça n’est pas l’idéal pour la pudeur mais on s’y fait, et comme il n’y avait rien pour accrocher les serviettes, nous étions nues dans ce vestiaire. Enfin, on ne se pavanait pas toutes nues non plus ! On se déshabillait, on entrait dans la douche, on ressortait, se séchait et se rhabillait très vite.

Nous étions les dernières à y aller, en fait on avait tellement à se dire que nous avons croisé les dernières qui sortaient de la douche quand nous y sommes entrées.  On a pris une longue douche, mmm ! bien chaude, sans avoir à se dépêcher ! Combien de temps y sommes-nous restée ? 10 minutes ? Plus ? Trop certainement car, contre toute attente, il y avait un autre groupe qui venait de prendre possession du vestiaire. Et une remarque en passant, il n’y avait pas de vestiaires spécifiques « garçons » ou « filles », faute de place, c’est pour cela d’ailleurs que l’on ne faisait pas sport ensemble (enfin je pense).

 

Horreur ! des voix de garçons !

Je suis pétrifiée. Sylvie qui est moins prude passe la tête.

« yeah Sylvie ! Tu es restée pour nous ! »

Sylvie répond sans hésiter au gars qui l’avait interpellée

« je ne suis là pour personne, vous nous foutez la paix, et vous regardez ailleurs »

Puis se retournant vers moi, doucement : « viens, on traine pas ! »

Et sans hésiter sort toute nue de la douche et fonce vers ses affaires.

J’hésite à la suivre mais je me lance, une main qui cache mon pubis, un bras devant ma poitrine.

Las ! avant d’arriver un garçon attrape mes affaires et s’amuse à m’empêcher de les reprendre.

Ça cri ! ça branche ! j’entends des choses sans rien comprendre. Sylvie essaie de m’aider. Alors je tends les bras pour essayer d’attraper mes vêtements. Plus rien pour cacher mes citrons, plus rien pour cacher ce petit duvet blond ((j’étais très très blonde jeune, avec des ancêtres vikings par maman), plus rien pour cacher quoi que ce soit en fait. Mes vêtements ont dû faire un rapide tour du vestiaire et je pense que tous ont pu se faire une opinion sur mon anatomie.

« Arrêtez ça suffit comme ça » impose l’un des garçons. Ils se calment immédiatement. Je réussi à attraper ma jupe, je la passe de suite. Quelqu’un me tend mon chemisier, je le passe aussi, très vite.

 

« Qu’est-ce qui se passe ici ? »

Là ça se corse. C’est le gardien, un vieux, moche et grincheux (on ne l’aimait pas car il râlait tout le temps pour un oui ou un non). Heureusement que nous sommes habillées, et les garçons aussi.

Sylvie lui raconte je ne sais quoi à brule pourpoint. Inventant une explication censée être plausible.

« Ne restez pas là ! Suivez-moi !»

 

Et nous voilà suivant ce vieux râleur. Je n’avais qu’une angoisse : qu’il cafte au lycée et que l’on soit punies (et la double peine quand mes parents apprendraient). Je ne pensais qu’à cela, pas au fait que j’avais passé mon chemisier sans avoir eu le temps de m’essuyer et qu’un linge fin sur un citron mouillé, ça se remarque… quant à mon absence de culotte, je n’y pensais pas et lui n’en savait rien !

Arrivées dans son antre, il nous redemande ce que l’on faisait là. Sylvie lui répète son excuse bidon (que j’ai totalement oublié) puis il nous demande nos nom pour rendre compte au lycée. Aiïï !

Sylvie se lance sans réfléchir : « Anna Lafée L – A – F – E - E »

Je reste coite mais réagit quoique lentement : Véronique

« Véronique comment ? »

Un nom vite… « Véronique Pastor »

« Pastor ? votre père est dans l’immobilier ? »

« Non, c’est Michel le cousin de papa, mais mon père travaille dans son groupe quand même »

« Bon ça va allez-y mais ne recommencez pas ça ! »

 

Et on quitte le stade très vite en partant d’un grand fou-rire dès le premier coin de rue passée.

On a rigolé comme des folles en se remémorant le passage chez le vieux

« d’où t’a sorti ANNA LAFEE ? » ais-je demandé à Sylvie.

« je sais pas mais « on la fait » me dit Sylvie hilare et ajoutant « mais toi, le coup de Pastor bravo, fallait oser ! »

« c’est le premier nom qui m’est venu à l’esprit » luis ais-je dit. C’était facile, son nom est inscrit partout à Monaco, il est plus connu que le prince ? Probablement plus riche et peut-être plus puissant. C’est sûr qu’il a dû flipper l’ancien.

 

Nous marchions en bavardant toujours lorsque Sylvie s’arrête et me dit :

« Tu sais que tu es une bombe habillée comme ça ? »

« Pardon ? » On ne m'avais jamais dit un truc comme ça.

« Tu as vu le regard des mecs qu’on croise ? Ils te déshabillent carrément »

C’est là que j’ai pris conscience de l’indécence de ma tenue, de la marque de mes seins collés au chemisier, leur pointes semblant vouloir percer le tissus (bon j’exagère un petit peu ! à peine). Un drôle de sentiment me surprend : je crois que c’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que j’étais une fille. Une fille dans le sens une femme, potentiellement désirable. J’ai ressenti quelque chose de très fort, de très troublant. Je suis restée un instant sans rien dire.

Prenant conscience de ma féminité, mon esprit se porte sur mon sexe (zone alors très négligée, en termes d’intérêt, pas d'hygiène) et je réalise que dans l’urgence je n’avais pas récupéré ma culotte.

« Zut ma culotte ! »

Sylvie repart d’un nouveau fou-rire

Je fouille mon sac : rien qui ressemble à une culotte.

« et bien tu me diras ce que ça fait » me dit Sylvie, car on avait encore du chemin à faire, en pleine ville !

- - -

Cette petite aventure gentillette m’est revenue à l’esprit après avoir lu un récit de Gérard dans lequel une femme est prise au piège dans un vestiaire. Histoire beaucoup plus chaude évidemment, mais elle m’a permis de revenir à mes 16 ans, de revivre ces émotions intenses… et d’imaginer ce qui aurait pu se passer.

Imaginer ce que j’aurais pu faire dans ce vestiaire si j’avais eu à l’époque l’expérience de libertinage que j’ai acquis plus tard.

Imaginer même ce que nous aurions pu faire, avec ma copine Sylvie, avec ce vieux râleur de gardien de stade…

Imaginer ce qu’il aurait pu nous demander de faire…

 

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Mercredi 9 mars 3 09 /03 /Mars 00:03

Mon gynéco (épisode 3)

Cela fait quelques mois maintenant que mon « vieil » amant s’occupe de ma petite santé intime. Je ne sais pas si tout cela est bien raisonnable. Je ne pense pas que cela ait une incidence sur mon mariage. J’aime toujours mon mari qui reste un amant exemplaire et un amour et je lui offre en prime ce que mon amant me fait découvrir. En effet, plus notre relation avance et plus elle se transforme en un jeu, pour ne pas dire une initiation. Et à chaque fois, je rentre à la maison avec, encore plus qu’avant, l’envie de faire l’amour, et surtout plus disponible aux envies de mon chéri.

 

Je le décourageais toujours à venir me taquiner par derrière. Sans l’inviter, je ne l’en décourage plus, et il l’a bien compris. Je le décourageais à utiliser des sextoys… il en use et en abuse aujourd’hui comme bon lui semble. J’ai dépassé mes réticences d’alors et nous en profitons bien tous les deux.

 

C’est vrai que mon gynéco m’a un peu déridé les fesses ! Voyez vous-même : Après la séance de rasage, mon gynéco m’a reçue avec beaucoup de gentillesse et d’égards. Il faut dire que j’avais compris la leçon, j’étais venue dans une jolie robe d’été, boutonnée sur le devant, fraîchement épilée et sans sous-vêtements. Je ne voulais pas réitérer la scène du dernier rendez-vous.

 

Son assistante était partie dès mon arrivée, nous étions seuls. Nous nous sommes embrassés comme s’embrassent de jeunes amants, il m’a caressée, déshabillée et, alors que je m’attendais à ce que l’on fasse l’amour, il a tenu à m’installer sur la table de travail, comme pour un examen gynéco classique.

 

  • — Tu crois que tu as encore quelque chose à découvrir ? lui dis-je en souriant.
  • — Non, j’ai envie d’autre chose !

 

Je le regarde s’affairer. Il sort un gros appareil photo.

 

  • — Eh ! Qu’est-ce que tu fais ?
  • — Tu le vois bien. Je veux des souvenirs de toi.
  • — Non, je ne veux pas de photos.
  • — Écoute Alanys, tu ne m’as pas attendu pour vivre et moi je n’ai pas eu besoin de toi non plus, alors si notre relation ne te convient pas, je ne te retiens pas !

 

Je suis KO ! Quelle claque ! Je suis incapable de réfléchir, de raisonner, de me lever et de le laisser avec ses réflexions de macho à deux francs. J’en suis incapable.

 

  • — Non, c’est pas ce que je voulais dire, c’est juste que j’aurais préféré…
  • — Eh bien moi, j’ai envie de photos de toi, mais encore une fois, je ne te force pas, tu peux t’en aller, je ne vais ni te violer, ni te forcer.
  • — Mais qu’est-ce que tu vas en faire ?
  • — Ne t’inquiète donc pas, tu me fais confiance, non ?
  • — Oui
  • — Alors laisse-toi faire.

 

Et je le laisse faire. Il me prend les jambes écartées par les étriers, le sexe occupé par un flacon d’un produit, et d’autres joyeusetés encore. Puis il me fait me rhabiller, prend encore quelques photos pendant que je m’habille mais m’interdit certains boutons. Il veut que ma poitrine et mon sexe soient prêts, soient près, soient à peine couverts. Je le laisse faire, de toute façon je vais monter dans ma voiture garée devant la porte, c’est pas méchant.

 

Il ouvre la porte. Je suis en manque, déçue. Nous n’avons pas fait l’amour et même si j’ai eu un petit orgasme alors qu’il me masturbait avec son flacon, ça n’avait rien de génial ! Mais bon, avec mon mari je ne jouis pas non plus à chaque coup (même si c’est bien rare que je sois « absente » mais cela m’est arrivé), alors ce doit être pareil avec un amant. Je m’apprête à l’embrasser et lui demander quand on se reverra, face à lui sur le pas de la porte, quand je le vois éteindre la lumière, sortir et fermer la porte derrière nous.

 

  • — Viens, on va boire un verre.
  • — Où ça ? (là je m’inquiète franchement car au moindre mouvement, je me dévoile vraiment.)
  • — Dans mon QG. Tu verras, c’est un endroit super sympa !

 

Il me prend la main, gentiment, tendrement même, mais avec une autorité naturelle que je n’ai plus envie d’affronter. Je le suis. Les pans de ma robe volent et je les retiens comme je peux de ma main libre. Il me regarde et d’un ton mi-sourire mi-fâché, et me dit :

 

  • — Tu sais, si je te demande de défaire un peu ta robe c’est pour que l’on puisse te voir pas pour t’embêter. Alors il faut jouer le jeu : pas de vent, tu n’auras qu’une impression ; le vent soulève ta robe alors que tu es seule, ton cœur accélérera ; et si par chance pour un passant le vent choisit le bon moment pour te taquiner alors tu goûteras aux joies de l’exhibition. Et tu verras, tu y prendras goût. Alors désormais, quand je te demande quelque chose, ne triche plus.
  • — D’accord !

 

« D’accord ! », comment ça « d’accord » ? Ça va pas ma grande ! Je ne suis pas d’accord du tout. Pourquoi est-ce que j’ai répondu cela ? Je ne retiens plus ma robe et en effet, je sens mon pouls accélérer. Heureusement nous arrivons à sa voiture, Audi A6, ça gagne bien, gynéco ! Il me tient la porte et m’aide à m’installer, très galamment, referme (rien que le bruit de la porte se fermant – elle ne « claque pas » – participe à l’impression de luxe de cette voiture). Il me rejoint, on s’attache, il démarre.

 

Nous roulons une dizaine de minutes, une dizaine de minutes pendant lesquelles il conduit avec sa seule main gauche. L’autre m’est destinée. Ouvrant, repoussant ma robe au maximum pour mieux me caresser. Écartant mes cuisses pour mieux atteindre mon intimité. Maintenant cette situation, sans se soucier des bouchons, des voitures et des camions autour… Eh oui, c’est vrai, l’impression est extraordinaire. Si ce n’est pas encore du plaisir, c’est déjà une émotion. Une émotion assez intense pour être heureuse de pouvoir la connaître.

 

J’ai joui dans sa voiture. J’ai aimé jouir ainsi, avec du monde autour. Je n’en reviens pas. J’ai un peu honte quand même.

 

Nous arrivons devant son « QG ». Un bar, c’est vrai assez select mais avec une ambiance agréable, ni guindé bourgeois ni vulgaire. La patronne est manifestement une amie. Ils s’embrassent, on me présente. Il y a quelques amis à lui. On s’attable avec eux.

On boit un verre, puis deux. L’ambiance est sympa. J’ai totalement oublié que le temps passait et que mon rendez-vous gynéco allait être plus long que prévu. Heureusement que mon mari rentre tard ! La discussion s’anime :

 

  • — Dis-donc Jeff, je ne voudrais pas être indiscret mais on t’attendait vachement plus tôt ! Tu as fait une pause crapuleuse avec, excuse-moi, dit-il se tournant vers moi, « Alanys » c’est ça ?
  • — Oui, lui ai-je répondu
  • — Les vaches ! Nous on les attend et eux, Tagada !
  • — Oui, elle s’appelle Alanys et non, on n’a pas fait « Tagada » comme tu dis, gros malin.
  • — On va te croire !
  • — Eh ben c’est comme ça, on a gentiment fait des photos.

 

Là mon cœur se noue, je crains le pire, je le sens venir au galop !

 

  • — Comme c’est mignon ! Vous avez pris de jolis couchers de soleil ?
  • — Toi quand tu veux, t’es vraiment con ! J’ai pris des photos d’Alanys c’est tout.
  • — On veut les voir !
  • — Non c’est privé ! dis-je d’autorité.
  • — S’il te plaît Alanys, tu es adorable mais ce n’est pas toi qui décides de ce que j’ai à faire. Il vraiment falloir que tu comprennes ces choses-là.

 

Une fois de plus, en quelques mots, il me giflait, m’humiliait, et là, devant ses amis. Je ne savais plus où me mettre. J’aurais voulu disparaître.

 

Jean-François me tend alors les clefs de sa voiture.

 

  • — J’ai envie de faire quelques photos avec mes amis. Va me chercher l’appareil s’il te plaît.

 

Il m’offrait un répit. Certainement ils vont parler de moi. Médire de moi peut-être mais au moins je n’y assiste pas. Je sors, un coup de vent soulève ma robe. Il n’y a personne sur le parking, juste moi qui reprends conscience de ma presque nudité. J’ouvre la voiture, prends l’appareil et reviens auprès de Jeff.

 

  • — Ah te revoilà ! Merci ma chérie (c’est la première fois qu’il m’appelle ainsi, « ma chérie »… éprouverait-il les mêmes sentiments que moi à son égard, ou suis-je un peu grisée par ces quelques verres et ce que j’ai cru entendre. Je goûte avec ravissement l’écho de ses paroles si touchantes)
  • — Mets-toi entre eux deux que je vous prenne ensemble.

 

Il prend sa photo, puis quelques autres.

 

  • — Montre-nous, ça donne quoi ?

 

Il tripote un bouton et la dernière photo s’affiche. C’est vrai que nous sommes à l’heure du numérique. Il tend l’appareil à son ami qui regarde les dernières photos prises. Qui fait apparaître les dernières, les avant-dernières… Je suis près d’eux, j’entrevois à peine les images.

 

  • — Ah, celle-là c’était juste avant d’arriver.

 

Je regarde, on me voit habillée dans la salle d’attente du cabinet. La fin de rhabillage ! Il passe à celle d’avant. Quelques sifflets fusent (je le prends comme un compliment mais je panique franchement, je n’ose plus regarder ce qu’ils découvrent). Sifflets qui laissent vite la place à un silence pesant. Ils ont tout regardé et manifestement, l’appareil photo avait une fonction vidéo car, osant lever les yeux vers eux, j’ai deviné le flacon s’enfoncer dans ce qui devait être mon intimité.

 

Mon intimité !

 

Existait-elle encore ?

 

à suivre...

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Mercredi 9 mars 3 09 /03 /Mars 00:01

Mon gynéco (épisode 2)

Les semaines passèrent et ma passion pour cet amour de jeunesse grandissait sans cesse. Je me fis belle pour ce rendez-vous et arrivai très impatiente et franchement fébrile au rendez-vous fixé. La secrétaire me fit patienter. Il y avait une toute jeune femme avant moi, très jolie. Je me découvrais jalouse. Mais je me rassurais : j’étais habillée sexy avec une petite robe d’été courte et légère qui mettait en valeur mes longues jambes (j’en suis très fière…). On verra !

 

La jeune femme est invitée à entrer. J’attends seule, impatiente. Je me refais le film de notre première aventure. Je repense à son sexe, je me souviens de sa chaleur, de son odeur, du parfum envoûtant de sa liqueur coulant dans ma bouche. Rien que d’y penser, mon cœur s’enflamme, s’emballe. Mon intimité aussi s’émeut, je me sens humide, prête à le recevoir…

Son assistante m’appelle enfin. J’ai tellement envie de lui que j’espère qu’il va me sauter dessus comme un adolescent… mais c’est le toubib qui me reçoit, assez froidement. Sa seule concession est un tutoiement poli :

 

  • — Bonjour Alanys, tu te déshabilles et tu t’installes s’il te plaît, j’arrive.

 

Et pendant qu’il consulte son écran, je me déshabille. Ma robe tombe. Je reste un instant en sous-vêtements afin qu’il puisse apprécier l’érotisme de la situation : « une leçon de séduction » avait dit la pub !

Il lève son regard sur moi, me sourit et lance un :

 

  • — Très joli mais tu es encore plus belle sans !

 

Je les retire et m’installe sur le fauteuil. Il se lève, s’approche de moi et, à peine son regard posé sur la courte toison blonde de mon pubis, se raidit, visiblement contrarié et s’emporte :

 

  • — J’avais dit « mêmes conditions », tu aurais dû t’épiler avant !

 

Je n’ai pas eu le temps de comprendre sa réaction qu’il me tend ma robe et ajoute :

 

  • — Tiens, rhabille-toi. Il y a un supermarché au bout de la rue, va acheter de quoi te raser et reviens de suite.

 

Je reste interdite. Je ne comprends pas vraiment ce qui m’arrive mais sa voix, ses mots, le ton qu’il a employé, la fascination qu’il m’impose… Obéissante, je me lève, prends ma robe et m’avance vers mes sous-vêtements…

 

  • — Non ! Ne perd pas de temps, enfile ta robe et va acheter le nécessaire.

 

À la fois surprise et fascinée, je ne me sens pas capable de réagir. Je fais comme il me demande.

 

Il y a une heure, je me trouvais sexy avec cette petite robe et ces dessous coquins. Là, je me sens nue. Encore dans le couloir de l’immeuble, il me semble sentir une brise ma caresser le sexe. S’il y a le moindre souffle de vent dehors, je me fais embarquer par la police !

Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais, nue sur une plage naturiste, je suis passée presque inaperçue).

 

Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Quiconque se trouverait un peu en dessous de moi pourrait me découvrir. Enfin, c’est ce que je ressens. Je tiens le bas de ma robe nerveusement. Tout à l’heure mon cœur battait la chamade à l’idée de retrouver mon amant, là, mon cœur bat la chamade, mes jambes tremblent, je suis très mal à l’aise. Très mal à l’aise !

 

Et bien sûr… deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais l’un d’eux se baisse franchement pour regarder, sans honte aucune. Il n’y a aucune raison qu’ils puissent voir mes fesses ou mon sexe, comme il n’y aurait eu aucune raison qu’ils imaginent que je porte – ou non – des dessous affriolants. Alors pourquoi me matent-ils comme cela ? Malchance probablement ! Je garde ma main sur les pans de ma robe et ils ne verront rien.

Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes passe une main sous ma robe, attrape mes fesses et tente de glisser plus loin.

 

Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer pour retourner au plus vite au cabinet. Ils ne me suivent pas. Je marche dans cette rue bondée, à la merci d’un courant d’air crapuleux. J’ai l’impression qu’on me toise. Mon cœur va exploser. J’arrive enfin.

 

Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi-nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses et, à mon corps défendant, sur mon sexe en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.

 

Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Pendant la séquence « magasin », il n’y a eu que gêne, vraiment. Pendant les premières minutes dans la salle d’attente également, puis mon cœur s’est calmé un peu, et je dois avouer qu’à présent, toute gênée que je sois, je suis terriblement excitée. Depuis une heure, dans le calme de la salle d’attente, j’ai apprivoisé mon état, ma presque nudité. Cela reste extrêmement étrange mais j’ai presque envie de dire « amusant ». Il reste une jeune femme avant moi et son mari (son amant ?) l’accompagne. Il me regarde de temps à autre, comme cela est inévitable quand on reste longtemps à attendre dans ces conditions. J’ai aimé ses regards, ses regards appuyés sur mes cuisses. J’avoue avoir eu l’idée de jouer Sharon Stone, décroisant et recroisant ses jambes face à lui, lui offrant un instant d’émotion. Je ne l’ai pas fait.

 

J’étais venue un peu inquiète à ce rendez-vous, ne sachant si nous allions reprendre là où nous nous étions quittés, ou si la raison ou la morale allaient remettre les choses en ordre. Maintenant je suis sûre que dans un instant je me livrerai à lui et que nous allons encore faire l’amour. Et j’espère qu’il sera à hauteur du feu qui me dévore, de l’adrénaline qui brûle dans mes veines !

 

Enfin c’est mon tour. Il me fait entrer et me dit de m’installer. Une fois nue sur la table de visite, il prend le gel de rasage et le rasoir et me demande si ça s’est bien passé. Je lui réponds que oui sans m’étendre d’avantage.

 

Il va chercher un linge, le trempe d’eau très chaude et le passe sur mon pubis. C’est brûlant mais supportable. Juste supportable. Et justement, la presque brûlure immédiate me laisse une impression de bien-être plus grand encore. Je le laisse faire.

Il est assis devant moi, le visage entre mes cuisses écartées. Les pieds dans les étriers, je suis offerte et disponible.

 

Il coupe d’abord aux ciseaux la plus grande partie de ma toison puis étale le gel qu’il fait mousser en me massant longuement. Délicatement, il entreprend alors le rasage, allant beaucoup plus loin que je ne l’avais fait moi-même, en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.

Je ne m’étais rasée qu’une seule fois, je n’étais pas une habituée de la chose. Cela n’avait rien d’anodin pour moi que de passer la lame d’un rasoir aussi près de mon intimité… mais qu’un homme, même pas mon mari, fasse glisser cette lame le long de les grandes lèvres, frôle mon petit bouton si fragile, se perde au fond de mes fesses… quelle horrible, étrange et fabuleuse sensation !

 

Une fois fait, il me rinça doucement, attentivement, essuya avec beaucoup de douceur puis sorti sa pommade et m’en passa partout insistant longuement pour que tout pénètre, jusqu’entre mes fesses, jusqu’à mon anus, prenant un certain plaisir à en déposer sur mon sphincter pour le faire pénétrer avec ses doigts.

 

Il sortit sa verge, enfila un préservatif et plongea dans mon sexe trempé. Excitée comme je l’étais, je fus clouée par un premier orgasme d’une rare violence après quelques mouvements à peine. Il s’en aperçut et me dit :

 

  • — Tu démarres vite, on va voir comment tu vas réagir à ça.

 

Et il posa son sexe sur mon anus.

 

  • — Non pas ça, je n’aime pas !
  • — Ça te fait mal ? me demande-t-il.
  • — Un peu, et puis je ne trouve pas ça normal.
  • — Ça, on s’en fiche. Ce qui compte c’est ton plaisir… et le mien !

 

Et il fit pénétrer son gland entre mes fesses. Ainsi écartée et préparée il semblait bien que j’étais prête et il n’eut aucun mal à s’enfoncer en moi. Il me demanda s’il me faisait mal et, rassuré par ma réponse, s’enfonça tout entier en moi jusqu’à me caresser le sexe avec son pubis.

 

Quelle étrange sensation ! Non pas tant la sodomie, mon mari s’y était essayé et l’avait pratiquée avec beaucoup de gentillesse aussi. Non, la sodomie dans cette position, demi-assise, les pieds dans les étriers, son sexe au fond de moi et, surtout, son pubis de mâle dont la pilosité n’avait pas disparue sous le feu du rasoir, cette pilosité qui frottait contre mon sexe ouvert, contre mes muqueuses intimes !

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Il resta un court instant immobile puis, la légère douleur passée, commença à aller et venir au fond de moi de plus en plus vite. Puis brutalement, sortit, s’accroupit et me lécha le sexe et l’anus comme s’il n’avait rien mangé depuis une semaine… Se releva et replongea sans précaution au fond de mes entrailles, m’arrachant un cri de douleur vite remplacé par le plaisir de ses va-et-vient vigoureux…

 

Il s’amusa avec moi longtemps, alternant cunni fougueux et sodomies violentes. Je ne saurais vous dire combien d’orgasmes je lui dois…

 

Avant de partir il me fixa un prochain rendez-vous, « dans les mêmes conditions » et ajouta-t-il « ce qui veut dire que tu ne viendras plus me voir avec des sous-vêtements ».

 

Mon mari me trouva fatiguée mais je n’ai pas eu le cœur de me refuser à lui. Je l’aime toujours autant et je crois que ma fatigue risque de perdurer.

 

A suivre…

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Jeudi 3 février 4 03 /02 /Fév 22:39

Il y a quelques jours, Fil, une relation aussi intime que virtuelle, me disait son envie de profiter de la douceur de mon sexe pendant que mon mari me prendrait pas derrière.

Fil n’est manifestement pas attiré par la sodomie. Honnêtement moi non-plus. Je persiste à penser que ce n’est pas très bien. Ce n’est pas très normal. Mais toujours pour être franche, qu’est-ce que c’est bon !

 

J’ai pensé à sa demande :

Bonsoir Douce Alanys,
Encore une journée sans toi... Elle fut bien longue.
Était-elle douce pour toi?
Puis je te demander un service?
J'aimerais que ce soir tu offres ton petit trou à ton homme en pensant à moi à sa place...
Il est allongé sur le dos et toi tu t'es installé sur lui. Une jambe de chaque côté de ses hanches. Tu lui tournes le dos et tu te sodomises. Tu ne bouges plus maintenant.
Je suis face à toi. Je vais m'allonger à plat ventre entre ses jambes écartées et je vais embrasser ton sexe ainsi offert jusqu'à ta jouissance. Ton anneau se contractera lors de ton orgasme, et donnera le signal à ton homme pour se laisser aller au fond de ton ventre.
Bonne soirée ma douce Al.
À demain. Fil


Voilà ma réponse :

Ce matin, avec mon mari nous avons fait un gros câlin. J'avais envie de m'amuser un peu après tes propositions indécentes alors j'avais sorti mon vibro en silicone noir. On l’avait acheté après une petite aventure "exotique". Il est agréable comme texture.              
J’ai commencé à me caresser toute seule ce qui bien sûr n'a pas échappé à mon chéri qui n'a pas tardé à prendre le train en marche (si j'ose dire). On a fait l'amour adorablement et, forcément, il a voulu me glisser le vibro entre les fesses (on adore faire comme cela, lui couché, moi sur lui; Dans cette position j'adore quand il me mange les seins et en plus c'est moi qui conduit, et j'aime bien !), dans cette position il me glisse toujours un doigt derrière, c’est devenu un tic de sa part, il me pénètre, me mange les seins et me mets un doigts derrière, mimant une petite sodomie, alors quand je le provoque avec un vibro, forcément... 
Mais ce matin je pensais à ton mail et je voulais que ça se passe comme tu voulais, et toi (désolée) tu étais le vibro. Alors pas question de la salir dans mon petit trou. Je me suis alors relevée et retournée. Je l'ai guidé en moi, me suis assise sur lui.         
Il a pris mes seins dans ses mains. Il sait que j'aime ça. 
Comme c'est moi qui m’empalais doucement, je n'ai pas eu mal mais pris beaucoup de plaisir à cette petite sodomie matinale.           
J'ai joué avec lui un moment jusqu'à ce que sa main descente vers mon sexe. Il adore mettre ses doigts au fond de moi, surtout quand il me sodomise. Mais moi je te voulais toi alors j'ai repris mon vibro et l'ai posé entre mes lèvres intimes. Voyant cela, il me l'a pris des mains et a commencé à le faire pénétrer en moi. Je l'ai laissé faire et me suis allongée sur lui, libre de me laisser aller, les yeux fermés imaginant cet inconnu qui me prend en même temps que mon mari.              
Oui j'ai adoré ce petit moment.              
Quand, au final, je me suis régalée de la liqueur de mon mari, il en a profité pour te planter entre mes fesses. Ainsi sa liqueur s'écoulait dans ma bouche pendant que tu étais au fond de mes entrailles, me sodomisant bien malgré toi. J’espère au moins que cela t’aura plu !
J'adore le boire, j'adore.             
Je crois que si j'ai cédé aussi facilement à ses fantasmes candaulistes c'est surtout pour me régaler d'avantage du plaisir des hommes. Cette sensation merveilleuse de les sentir s'abandonner entre mes lèvres…              

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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