Journal intime

Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 17:51
Je voudrais envoyer de gros bisous à tous ceux qui ont aimé me lire (et me regarder). Et à tous les autres aussi.
Soyez heureux !
Aimez autant que cela est possible.
Rêvez à qui vous voulez mais aimez et donnez du plaisir à votre partenaire, votre femme, bref que vos visites dans mon intimité soient un prétexte à décupler vos plaisirs bien réels.
Mon mari se régale avec moi comme je me régale de lui et de mes amants de passage.
Et lorsque je rêve d'un autre, c'est souvent lui que je mange!
Je vous aime
Très bonne année
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Bisous mouillés
Yoni
Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 00:54

Malgré le coup de frais de ces derniers jours, je béni le ciel d’habiter dans le sud.

Par les grandes fenêtres des chambres et la grande véranda du salon, le soleil vient chauffer la maison… assez pour me permettre d’aller et venir chez moi en nuisette légère sans avoir froid.

Et comme je suis d’humeur coquine ces jours-ci, je me régale à traîner ainsi en espérant la visite du facteur. Très sympa, discret et qui n’a encore jamais céder à mes charmes, mais il faut dire que je n’ai jamais vraiment tendu la perche. Le jeu, pour moi, consiste à lui faire comprendre qu’il a toutes ses chances de réussir s’il ose, mais hors de question pour moi de faire du racolage !

Facteur ou toute autre personne, virile de préférence, qui voudrait bien me mettre dans ce délicieux embarras que d’avoir à ouvrir dans cette tenue à un inconnu (pas intime en tous cas).

Aujourd’hui, j’ai dépassé toutes les bornes que j’avais imaginées ! Non que j’ai poussé l’exhibition plus qu’auparavant mais quand même !

Il y a eu une série de cambriolage dans mon impasse. Sur la quinzaine de maisons, trois ont été visitées et plusieurs jardins et abris de jardin d’autre maison également.

Nous, pour l’instant, sommes tranquilles. Il faut dire qu’avec Max, quand il montre ses crocs de beauceron en colère, on ne doit pas avoir envie de chaparder quoique ce soit.

Mais le quartier a vraiment été la cible de malfaiteurs, voyous ou autres et les gendarmes ont entamé une visite systématique des habitations  pour nous mettre en garde, prodiguer quelques conseils et si possible recueillir quelques informations pour leur enquête.

C’est dans ce cadre que ce matin j’ai entendu frapper à la porte, sans savoir encore ce dont il s’agissait. J’ouvre donc dans ma tenue très légère. Je vous laisse imaginer ma stupeur en voyant deux gendarmes devant moi (un homme la quarantaine et une femme, la trentaine). Affolée en les voyant (que s’est-il passé ? mon fils ? mon mari ?...) je suis restée pétrifiée à demie nue devant eux. Il a fallu qu’ils m’expliquent en quelques phrases de quoi il en retournait. Largement assez de temps pour constater mon impudeur (presque) involontaire.

Revenue au calme, j’ai alors mesuré l’inconfort de la situation, surtout que je les ais naturellement invités à entrer car ils avaient plein de choses à me dire (conseils de prudence, etc.). Cramoisie de honte je les invite à m’attendre au salon pendant que je vais enfiler quelque chose de plus décent.

Ouvrant la porte, Max qui était sur la terrasse  se précipite en grognant, les crocs menaçant. Machinalement je me baisse pour l’attraper par le cou et le forcer à se calmer. Offrant à mes visiteurs une vision que vous connaissez bien (voir mon dernier post, avec photo en nuisette). Max se calme et je m’éclipse afin d’aller passer un peignoir.

Derrière la porte de la chambre m’attend un kimono en soie noire… ça        ira bien (le peignoir était dans la salle de bain, tant pis). Je le passe et retourne voir mes gendarmes.

En entrant dans le salon, je me suis immédiatement sentie déshabillée par leurs regards. Je baisse les yeux pour m’assurer que je ne suis pas indécente, je constate que ce kimono (que je ne mets que rarement) est très court et s’arrête à mi cuisse (pour ne pas dire moins). Ben ma grande tu es habillée mais ça ne cache pas grand-chose, me suis-je dit en un éclair. Trop tard je ne vais pas faire un défilé de mode.

Je m’assois et les écoute poliment.

Nous avons passé ainsi un bon quart d’heure, peut-être plus. Assise confortablement dans un fauteuil, j’ai essayé de me contrôler pour garder les genoux serrés sans quoi le gendarme en face de moi aurait vu sous ma nuisette. Il aurait probablement vu que le trouble qui m’a envahi distillait son émotion sous forme de fine gouttelettes perlant sur les ourlets de mes lèvres.

Je ne suis pas certaine d’avoir réussi à rester genoux serré.

J’espère pas !

Lorsque j’ai proposé un café, la gendarmette a donné le signal du départ. Dommage cela aurait été formidable !!! Je plaisante. (Quoique)

En partant, alors que la gendarmette entrait dans leur voiture, le gendarme s’est retourné vers moi en me disant de rester prudente… et qu’il repasserait prendre des nouvelles. MMM ! Peut-être de futures aventures à venir.

 Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 15:29

Max

Depuis des mois maintenant, j’ai une hygiène de vie presque irréprochable. Il faut dire que mon mari est là presque tous les jours et me satisfait largement. Pourtant quand parfois j’ai le temps de rêvasser ou de reprendre mon blog, je pense à ces deux années de grande débauche (2002-2005) mais aussi aux aventures que j’ai pu vivre depuis.

 

Mon seul amant régulier est Max. Je n’ai pas encore osé vous en parler franchement car certains d’entre vous ont trouvé mon site sympa et je sais que si je confesse ces rapports là, je vais être jugée et méprisée.

Au début ce n’était que des caresses très normales, puis ce fut un peu un jeu lorsque, trop seule, je me caressais toute nue au salon et qu’il venait quémander un câlin.

D’un câlin sans équivoque au trouble d’une érection particulièrement impressionnante, il y a eu des petits pas timides, gênés, honteux…

Et puis au bout du chemin il y a un amant fidèle, discret avec un sexe viril… comme n’importe que sexe mâle. Certes il a quelques différences mais n’y en a-t-il pas d’un homme à un autre ?

 

La première fois – je vous la raconterai dans le menu – a été une surprise. A quatre pattes en nuisette, il m’a prise ainsi, sous l’étendage du linge. J’aurais probablement pu me lever et tout se serait arrêter là. Je ne me suis pas levée. Peur de ses crocs près de ma joue, impressionnée par ses pattes qui me tenaient, secrètement en attente de cet instant qui arrivait enfin !

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Mardi 15 septembre 2 15 /09 /Sep 21:57

 

Voici une petite pause coquine au cours d’un été plutôt sage. Et cette aventure même est assez sage… mais il n’a jamais été question pour moi d’autre ambition que de me livrer à vous avec parfois mes excès ou mes banalités.

 

Nous avons passé un été assez sympa avec mon mari, partis tous les deux en amoureux trois fois une semaine au bord de la mer. C’était romantique et comme toujours très sexuel. Mais presque routinier : grasses-mat crapuleuses, siestes crapuleuses, soirées coquines ! On ne peut dire qu’il y ait eu abstinence … mais rien d’exceptionnel !

Bien sûr mon oubli systématique, et délibéré, de petite culotte nous aura permis de nous préchauffer avant de se faire plaisir à la maison. Quelques petites exhib plus ou moins discrètes auront été les seuls « extras » de nos vacances.

Nous avions décidé de se faire un petit numéro d’exhib hard dans un grand sex-shop… on ne l’a pas fait ! Sages je vous dis !

Et entre chaque semaine de vacance mon mari partait quelques jours pour son boulot, me laissant seule avec mes sextoys, Max et mes souvenirs des jours passés au bord de l’eau. Et sincèrement j’étais bien assez satisfaite pour aller déranger ce bon vieux Max ou me contenter d’objets sans vie !

 

Je me prélassais au bord de la piscine, toute nue dans la mesure où les haies presque aussi large que haute me cachent du voisinage. Surtout que je n’ai que 3 voisins : les 2 premiers sont très loin et mes arbres et massifs complètent encore les haies (j’ai une belle maison avec pas mal de terrain) et le seul dont seul la haie nous sépare de quelques mètres est un adorable retraité qui me « connaît » très bien. Il ne serait donc pas choqué en me voyant ainsi.

J’étais plongée dans un thriller passionnant à moitié allongée sur un transat lorsque le bruit d’un taille-haie m’a ramenée à la réalité. « Zut ! » Je l’aime bien mais là il m’enquiquine ! Mais bon, on était quand même en plein après midi début septembre, il avait le droit.

Il était encore loin, caché par la cabane de la piscine et un gros figuier très dense, seul le bruit me gênait. J’essaie de replonger dans mon bouquin. Les minutes passent. La coupe avance et, levant la tête de mon bouquin, je m’aperçois que ce n’est pas mon voisin (j’aurais dû m’en douter d’habitude il fait ça en fin de matinée). L’homme est plutôt jeune (ça ne me dérange pas), la trentaine à peine, brun, un ibère probablement ! Il m’a sûrement vu mais nos regards n’ont pas eu le temps de se croiser. D’ailleurs j’ai immédiatement remonté mon livre devant les yeux.

Je ne suis ni un modèle de vertu ni une jeune première mais je suis toujours très sensible à l’imprévu, aux aventures que le destin m’envoie sans prévenir. Exactement le genre de situation qui me fait chavirer. Mon ventre est serré, j’ai une boule dans la gorge et je reste ainsi. Je l’entends avancer. Je n’ai pas bougé. J’aurais pu prendre mon paréo, ma serviette… Cela ne m’a même pas effleuré l’esprit. Je suis juste restée là, comme pétrifiée ! Je sais qu’il m’a vue, il ne saurait faire autrement. Il sait que je le sais, il fait suffisamment de bruit ! J’adore ce jeu ! Je reste à lire mais, toujours adossée, je ramène une jambe pliée sous mon autre cuisse. Mes lèvres s’ouvrent naturellement et il me semble sentir des gouttes couler. Transpiration ou imminence du plaisir ? Les voit-il ? Quel effet cela lui fait-il ? J’aimerais parfois être un homme pour ressentir cet émoi devant une femme ainsi offerte !

Le moteur se tait ! Je pose mon bouquin et me lève sans un regard pour mon bel ibère. Une marche après l’autre, je descends lentement vers le petit bassin. Je fais une pause sur la dernière marche avant de me laisser aller. Debout face à lui, les jambes à peine écartées, l’eau arrive à la limite de mon pubis, comme si mon sexe rose et lisse, gorgé d’envie était posé sur un plat, un présentoir d’eau cristalline. Je mouille mes cheveux, mon visage. Puis mes bras et enfin mes seins.

Comment pourrait-il croire que je les mouilles encore ? Mes caresses sons sans équivoque !

Le moteur n’a toujours pas repris ; Je lève enfin les yeux sur lui. Nos regards se croisent. Il me sourit franchement et me fait un coucou maladroit avec sa main. Touchant ! J’esquisse un tout petit sourire, me retourne et commence à nager.

J’aime faire des longueurs ça me détend.

Je nage en imaginant ce jeune jardinier me rejoindre dans la piscine. Je m’imagine déjà en madame Solis (Eva Longoria, la plus mimi des « desesperate housewife »)… mmmm je la vois avec son jardinier, un beau brun aussi !

Enfin, entre panique et soulagement, j’aperçois mon empêcheur de rêvasser debout sur les margelles de la piscine. Je m’arête prés de lui.

En gentleman c’est lui qui brise la glace :

Excusez mon impolitesse mais il fait si chaud et vous voir dans cette piscine m’a donné envie !

Je comprends. Venez vous rafraîchir ça vous fera du bien.

Mais je n’ais pas de maillot !

Moi non plus. On est tranquille ici !

J’avais remarqué oui.

Sans plus de discours il se déshabille. Manifestement il a eu chaud et ne peut cacher une belle érection qui semble le gêner.

Ne soyez pas gêné, j’ai déjà vu des choses comme çà !

Oui mais on ne se connaît même pas.

Venez donc.

Il s’approche

Moi c’est Yoni et toi

Lucas

Et bien bienvenu Lucas !

Et je me rapproche pour l’embrasser sur les joues.

Pendant que l’on se bise chastement, il pose une main sur ma taille et, j’en suis persuadée sans le faire exprès, son sexe m’a effleurée. J’ai sursauté.

Oh ! pardon, je ne voulais pas…

Ce n’est rien ! lui dis-je en attrapant l’objet du délit dans ma main

..

Tu veux nager un peu ?

Oui.

Et nous voila barbotant ensemble comme deux vieux copains.

Il plonge et s’amuse à nager au fond. J’en profite pour m’asseoir sur les margelles, les pieds dans l’eau.

Il revient vers moi.

Spontanément il vient se placer entre mes jambes écartées, ses avant-bras se posant sur mes genoux, sa tête si proche de mon sexe !

Je n’avais jamais vu, en vrai, de sexe rasé intégral comme le tien (il me tutoie… ça peut se comprendre, il y a déjà une certaine intimité entre nous et je l’avais fait la première !)

..

Pourquoi tu fais ça ? Tu n’aimes pas au naturel ?

Il y a des plaisirs beaucoup plus grands comme ça ! Imagine ta langue passant sur une toison fournie ou glissant sur moi !

Je préférerai essayer qu’imaginer !

J’écarte plus encore mes genoux répondant ainsi à ses attentes.

Il plonge sa langue entre mes lèvres et se lance dans un cunnilingus passionné, désordonné, gourmand, sensuel… adorable ! Lorsque j’ai senti le plaisir venir j’ai planté mes doigts dans ses cheveux et lorsqu’un orgasme violent m’a traversée, j’ai plaqué sa bouche contre mon sexe pour qu’il ne bouge plus mais maintienne cette pression étrange qui retient l’acmé de mon orgasme

Lorsque je l’ai relâché, il a fait quelque mouvement de dos, exhibant un sexe fièrement dressé malgré la fraîcheur de l’eau.

Après un salutaire (et obligatoire) petit moment pour me remettre, je glisse dans l’eau. Il s’approche de moi, m’embrasse sur la bouche. Ses mains caressent mes fesses. Son sexe dur plaqué contre moi. Il a autant envie de moi que moi de lui… mais je ne pratique plus le sexe sans précaution depuis bien longtemps et ni lui ni moi n’avions programmé cet intermède.

Reviens demain si tu veux on aura de quoi se faire plaisir en sécurité mais pour le moment ça me semble pas prudent !

Tu es dure ! je vais exploser moi !

J’y compte bien ! A ton tour de t’asseoir.

Il a parfaitement compris et après m’avoir caressée les seins et embrassée une dernière fois, s’est installé les pieds dans l’eau.

Je lui ai fait une longue fellation, me suis appliquée pour lui donner autant de plaisir qu’il m’en avait donné.

Manifestement pas habitué à pratiquer avec des partenaires aussi gourmandes que moi, il a pris soin de me prévenir avant d’exploser :

Attention j’arrive ! … J’arrive !

Et moi j’adore ! J’adore quand il se raidit, se raidissement qui se propage à tout le corps. Le sexe qui enfle un court instant avant la première éjaculation, cette chaude liqueur qui se répand dans ma bouche et coule dans ma gorge comme si, mante religieuse, je venais de dévorer mon amant.

J’adore !

 

Nous nous sommes revus et avons fait l’amour, plusieurs fois, lui offrant ce que ses (je crois) rares partenaires ne lui avaient pas permis de découvrir.

Cela aura été mon seul amant de l’été. Il a été charmant.

Yoni

Bien sur je n’ai pas de photo de cette aventure alors celle de ma nuisette blanche pourra peut-être vous satisfaire.

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 07:47

Bonjour Jean

Comme promis je vais publier cette histoire

Je viens relire ce passage.

J'y étais

J'ai adoré

Et j'y pense souvent quand mon mari me fait l'amour

 

 

 

Mail  (fin 2002)

De : yonigift@gmail.com

A : Jean @xx

 

Je vais essayer de vous raconter, en plusieurs fois, cette folle journée à Toulouse, fin septembre

La journée de l'aéroport (avec Joseph et François voir dans le blog) aura été pour moins une "renaissance" de ma sexualité"...

J’étais donc parti à Toulouse en voulant vivre vos fantasmes, les vôtres et ceux de mon mari.

Je me suis habillée d'une jupe courte mais serrée (elle ne se relève pas au vent) d'un chemisier et de chaussures d'été à haut talons (enfin haut pout moi : 7 cm) sans rien d'autre, et après un bain et mes soins intimes que vous connaissez. J'ai voulu tester à nouveaux les boules de geisha, seule, et je me les ais mises avant de partir.

Sans culotte, j'avais toujours l'impression qu'elles allaient partir alors j'ai contracté mon périnée en quasi permanence.

La première émotion fur le péage, ma jupe un peu relevée était en limite d'exhibition et le jeune homme du péage tardait à me donner la monnaie: premières sueurs.

Garée parking Jean Jaurès j'ai ensuite pris le bus, bondé, pour aller de l'autre coté du centre....

 

A suivre

Bisous mouillés

Yoni

 

 

From : Jean @xx

To : yonigift@gmail.com

 

Bonjour Yoni

[…]

"Je vous aurais fait relever, tout en conduisant votre jupe pour que votre corps soit en contact direct avec le siège et pouvoir ainsi mieux encore le caresser, le parcourir et lorsque nous serions arrivé au péage ce jeune homme aurait lui aussi découvert votre merveilleux trésor mais vous auriez été rassurée par ma présence et lui auriez donné le temps de vous admirer

Peut être même alors aurais je déboutonné un peu votre chemisier pour qu'il puisse encore mieux voir quelle femme magnifique vous êtes, ensuite nous aurions continué jusqu'au parking et soyez certaine que d'autres personnes des deux sexes vous auraient encore admiré et que plusieurs se seraient plus tard donné du bonheur en pensant à vous Yoni et je crois que avant que vous ne descendiez de votre voiture mes doigts et ma bouche vous auraient conduit au plaisir... "

[…]

 

 

De : yonigift@gmail.com

A : Jean @xx

 

Vous auriez aimé cela, m'exhiber aussi franchement?

J’aurais probablement refusé mais l'idée m'excite terriblement.

Bon je vais essayer de continuer ma journée....

 

Dans le bus bondé j'étais debout faute de place, avec plein de monde à mes cotés. Je me sentais tellement nue et tellement fragile avec ces choses en moi!

Chaque "à coup" et il y en avait souvent faisait que les gens (hommes et femmes) venait me heurter, me toucher (mais sans me manquer de respect) mes boules s'entrechoquaient sans cesse et j'avais l'impression d'entendre le bruit qu'elles faisaient (mes voisins entendaient ils aussi?) j'avais peur qu'elles ne tombent alors je contractais mon périnée et serrais mes jambes.

J'ai eu un plaisir extraordinaire sans pour autant d'avoir d'orgasme fulgurant, juste un plaisir qui est venu de loin et m'a emmené très haut, sans à coup.

J’ai quitté ce bus les jambes tremblantes non sans avoir croisé quelques regards appuyés et quelques sourires masculins (ils n'avaient pourtant rien vu j'en suis certaine!)

Je suis entrée dans un grand magasin pour me calmer ou plus, en effet j'avais envie de cet orgasme simple. J’ai attrapé une robe au hasard et me suis rendue aux cabines d'essayage.

Il y en avait une dizaine et quelques chaises pour patienter.

Elles étaient occupées, je me suis assise sagement. Il y avait 2 messieurs qui devaient attendre leur femme (la cinquantaine pour l'un) ou sa fiancée (à peine la vingtaine pour l'autre). Nos regards se sont croisés; les 2 étaient insistants mais différemment, le jeune à la fois très direct et très gêné, l'autre plus discret mais plus sur de lui (il m'a même souri).

J’ai détourné mon regard et me suis mise à penser au film avec Sharon Stone (basic instinct) pour autant je ne me voyais pas en faire autant.

Sans les regarder j'ai croisé discrètement mes jambes, puis mon regard a balayé l'entrée des cabines et les 2 hommes.

Puis, le regard baissé (je n'ai pas osé plus) j'ai décroisé et recroisé mes jambes façon "Sharon" afin qu'ils puissent voir, très rapidement.

À cet instant la dame plus âgée sort, je me lève et croise le regard du mari qui me souri à nouveau, plus franchement

J’entre dans la cabine et me caresse comme une folle jusqu'à l'orgasme.

 

... (à suivre)

PS: cela aura été une des journées les plus folles de ma vie!!!!

A bientôt bisous

Au fait j'ai 2 questions en suspend, si vous ne répondez pas j'arrête de vous écrire:

1) j'ai aimé votre site (pipe-show) mais je vous ai demandé

-où me verriez-vous? Où NOUS verriez-vous?

2) dans la "bulldog list" il y a une dizaine de catégorie, j'en ai éliminé quelques une et pas d'autres et je voulais que vous réagissiez à cela (il y avait de quoi!)

A vous

Je vous prends entre mes lèvres et ne vous lâcherais plus tant que vous ne m'avez pas répondu

 

 

From : Jean @xx

To : yonigift@gmail.com

 

Bonjour Yoni

Vous me faites languir et aussi tout à fait autre chose

 

Quand j'ai commencé à lire votre message très rapidement mon sexe a réagit

Je vois imaginais vous préparant déjà toute excitée dans votre bain votre trésor devait se trouver tout humide et probablement vous êtes vous caressée avant d'introduire en vous ces boules de geisha

J’imagine votre adorable trésor s'ouvrir pour avaler doucement chacune de ces boules, hummmmmm voilà elles sont en vous maintenant dans votre intimité, peut être n'étiez vous pas encore vêtue quand vous les avez enfilées dans votre trésor tout humidifié de votre douce liqueur dont j'espère connaitre un jour le délicieux parfum

 

Et vous êtes partie en voiture avec cette jupe courte qui découvrait toutes vos magnifiques jambes et la majeure partie de vos cuisses et ce chemisier sans rien dessous et dont l'étoffe devait caresser sensuellement vos seins faisant ressortir vos tétons adorables

Oh comme j'aurais voulu me trouver assis à vos côtés pour vous admirer dans cette tenue vos jambes écartées afin de pouvoir accéder aux pédales je crois que je n'aurais pas résisté au plaisir de caresser délicatement cette peau si douce que vous me découvriez ma main aurait continuer cette caresse pour aller se glisser sur votre trésor, je crois qu'elle aurait encore fait glisser cette jupe pour le découvrir et que je puisse mieux le caresser et y introduire mes doigts qui serein et venus délicatement sur votre bouton d'amour.

je vous aurais fait relever, tout en conduisant votre jupe pour que votre corps soit en contact direct avec le siège et pouvoir ainsi mieux encore le caresser, le parcourir et lorsque nous serions arrivé au péage ce jeune homme aurait lui aussi découvert votre merveilleux trésor mais vous auriez été rassurée par ma présence et lui auriez donné le temps de vous admirer Peut être même alors aurai-se je déboutonné un peu votre chemisier pour qu'il puisse encore mieux voir quelle femme magnifique vous êtes , ensuite nous aurions continué jusqu'au parking et soyez certaine que d'autres personnes des deux sexes vous auraient encore admiré et que plusieurs se seraient plus tard donné du bonheur en pensant à vous Yoni et je crois que avant que vous ne de scandiez de votre voiture mes doigts et ma bouche vous auraient conduit au plaisir

 

En attendant la suite de ce récit je vous fais mille baisers

Je vous voudrais devant moi là en ce moment en train de vous donner de la joie, du bonheur du plaisir vous êtres une femme superbe et adorable que je désire plus que jamais.

 

 

De : yonigift@gmail.com

A : Jean @xx

 

Suite de ma journée de folie toulousaine:

 

Après la cabine, toujours nue sous ma jupe mais sans les boules que j'avais retirée à la fin de mes caresses dans la cabine, je me suis promenée en ville puis suis allée manger une salade en terrasse place du Capitole

J’ai choisi une table en limite de place, ainsi il n'y avait rien entre moi et la foule de promeneurs

J’ai pris mon temps pour manger tranquille et pour mon café me suis laissée aller en arrière, jambes croisées sagement ... mais vu la longueur de ma jupe et la position qui sait si dans le mouvement un promeneur chanceux....?

 

La suite (et fin) est la pire chose que j'ai jamais faite.

Je me promenais en direction de la Garonne lorsque 3 gars (jeunes et athlétiques) m'ont dépassée d'un pas rapide, se sont retournés sur moi en plaisantant et après quelques sourires "limites" ont continués leur chemin

Ils étaient maintenant à au moins 2 ou 300 m lorsqu'ils sont entrés dans un magasin.

Lorsque je suis arrivée au niveau de ce dernier, je n'ai pu m'empêche de regarder : c'était un sex-shop

"Attention danger! N’entre pas" me suis-je dis "pour le moment je m'amuse, j'ai repris le contrôle de ma vie mais si j'entre..."

Je pousse la porte et entre

Les garçons sont invisibles, il y a manifestement des recoins ici

Le "marchand" me demande si j'ai besoin d'aide

Je lui dis que je voudrais juste jeter un œil

Il insiste pour me vendre des objets et fait le tour du comptoir.

Il commence par me demander c'est pour moi, une ami ou même mon mari, "pour moi" dis-je simplement" il me demande alors si j'en dispose déjà, je lui dis que oui et que j'aimerais quelque chose d'original

Les trois garçons apparaissent à nouveau et s'excitent manifestement en me voyant, ils s'approchent de moi

 

A suivre

Bisous mouillés

Yoni

 

De : yonigift@gmail.com

A : Jean @xx

 

Suite...

 

Je vous ais abandonné dans le sex-shop...

 

Le vendeur me proposait toutes sortes d'objets, les 3 gars s'étaient approchés (assez pour entendre) et je lui répondais " non merci ça j'en ai déjà" (boules) ça aussi (vibros classiques).

Le plus entreprenant des 3 gars s'approcha de nous et me dit à l'oreille en me montrant un mini gode: " vous devriez essayer ce petit là où t'imagine pendant que ton gars te fait l'amour, ma copine adore" "mon mari m'en a ramené un aussi, c'est vrai que c'est bien mais je suis habituée à des choses plus sérieuse, merci quand même" et je me suis franchement détournée de lui pour demander au vendeur : "combien coute le gros noir, là? (25 cm x 7)

Puis j'ai regardé le gars en souriant un très bref instant puis je suis revenu vers le vendeur.

Je l'ai acheté.....

 

 

From : Jean @xx

To : yonigift@gmail.com

 

Bonjour Yoni,

 

Vous ménagez le suspens pour votre promenade à Toulouse mais que c'est excitant de vous imaginer ainsi à chacun de vos messages sur le sujet j'ai très envie de connaitre la suite

Vous êtes dans ce sex-shop et je me plais à imaginer tellement de choses qui vont vous y arriver Yoni ;

 

Je viendrai vers 13h comme hier espérant que vous serez là comme vous me l'avez dit

Je vous imagine assise devant cet écran au milieu de plein de monde

 

(nota de Moi : je tapais mes mails à Jean  depuis un cyber café)

 

Aujourd’hui vous n'avez pas de string en dentelle car vous avez pensé à moi et ce matin vous êtes partie avec votre trésor à l'air hummmm comme je voudrais être parmi les passants qui pourront vous voir et vous admirer Yoni ils ne savent pas la chance qu'ils ont, aurais je un jour ce bonheur Yoni ?? J’aimerais tellement

 

Hier je vous ai envoyé quelques photos durant notre "dialogue" et dans l'après midi j'ai fait de même avec des récits sur ce sujet, avez vous eu le temps de les regarder et de les lire Yoni et si oui qu'avez vous ressenti?

Vous êtes vous caressée en le faisant ou cela vous a t il déplu?

 

Vous m'avez dit que vous aviez un chien et que vous aviez pensé à vous faire lécher par lui peut être suite à cela aurez vous pris la décision de le faire ou plus encore Yoni

 

Je vous attendrai donc tout à l heure, je vous voudrais nue sous vos vêtements alors si vous lisez ce message avant 13 h ; ôtez vos sous vêtements Yoni vous êtes tellement désirable j'ai tant envie de vous , vous êtes merveilleuse et lorsque je vous ai envoyé mon premier message suite à votre récit je n'aurais jamais imaginé un seul instant que j'aurais le bonheur de pouvoir dialoguer ainsi avec vous et je vous remercierai jamais assez pour cela j'espère que de votre côté vous ne regrettez pas et que vous ne regretterez jamais notre relation actuelle

 

Je vous voudrais là devant moi Yoni, je vous voudrais offerte là et je me pencherais sur vous pour couvrir vos trésors de baisers et vous donner du plaisir

 

A tout à l'heure Yoni

Votre Jean

 

 

De : yonigift@gmail.com

A : Jean @xx

 

Suite...

 

Le jeune gars revient vers moi, un peu vexé, (ou profitant de l'occasion) il me dit: "si tu (il est passé au tutoiement) accepte ça dans les fesse en plus de ton mec, on a surement mieux à te proposer... on est libre tout les 3!"

"Non merci, c'est tentant mais non. Désolée"

"Allez ne dit pas qu'on te fait peur?"

"Peut-être mais ce n'est pas parce qu'une femme s'achète un gadget qu'il faut imaginer qu'elle couche avec n'importe qui, faut pas vous faire de film les gars!"

"Alors juste pour le plaisir je te paye un film"

Le vendeur intervient: "les films sont visibles en cabine individuelle uniquement!"

"C’est parfait ça!" dis-je alors, puis vers le gars "ok pour la toile mais chacun chez soi" le gars râle mais accepte

Il me laisse choisir, il y avait plusieurs choses qui me tentaient (animal notamment mais je n'ai pas osé) j'ai choisi pour rester dans l'ambiance un "gang-bang" avec une blonde épilée, (on ne se refait pas!)....

 

Nous allons donc vers les cabines, le plus entreprenant des 3 gars me tiens galamment le porte de la cabine, j'entre (c'est vraiment petit) puis, de ce que j'entends, ils occupent les cabines mitoyennes, je m'enferme.

Le film démarre, c'est un peu long et j'en profite pour remettre mes boules de Geisha, autant aller au bout des choses (je les nettoie dans ma bouche, l'une après l'autre), toujours pas d'action, je prends mon gros noir entre les mains et décide de le nettoyer avec une lingette (2 en fait) puis le "rince" avec ma langue. Une fois prés je le passe sur mes lèvres intimes puis sur mon bouton, les vibrations me transportent doucement.

Le jeune frappe à la cloison, il me demande si j'ai enlevé ma culotte, je lui réponds que je n'en avais pas - "la vache!" cri t il, est-ce un compliment? L’action commence enfin, et plutôt fort, la fille avale le sexe d'un noir pendant qu'un autre (blanc) la prend en levrette.

Je reprends mon olisbos dans la bouche et entame une fellation.

Ils changent de position et le noir la pénètre - je me pénètre aussi - le vibreur butte sur les boules, je les retiens avec la ficelle (allongée par mon mari depuis qu'ils les avaient perdues au fond de moi) mais je pousse au maximum.

Cela dure - je fais durer aussi.         
De temps en tps le jeune tape à la cloison et me parle, maintenant le "tu" à systématiquement remplacé le "vous": "est-ce que tu l'as mis dans ta chatte?" je réponds simplement "oui"

 

Le noir athlétique se couche et la file vient s'empaler sur lui, je retire les boules pour enfoncer le gode à fond... c'est tellement bon!

Je ne peux me retenir et je jouis bruyamment - je me laisse aller - les jeunes l'entendent et me crient leur enthousiasme: des "Ouais!", "super", "elle est arrivée!!"

Le film continue, je recouvre mes esprits, doucement, un deuxième gars prend la fille par derrière - elle en a deux en elle maintenant - un troisième se place entre ses lèvres et elle l'avale

Le jeune tape et me demande si je veux ça, je lui réponds: "oui - mais pas avec vous - restez comme ça" et je reprends le va et vient au font de moi.

Les acteurs changent de position, la fille se lève et s'accroupi dos au noir, elle pose son anus sur son sexe dressé - je retire mon vibreur et replace les boules dans mon ventre - je place alors mon gros noir contre mon anus trempé, la sensation est sublime!

L'actrice s'empale doucement, il disparait, enserré par son anus alors que ses lèvres intimes s'ouvrent grand.

La jeune tape, "tu te le mets aussi?" - je réponds encore "oui" et l'enfonce un peu (pas trop, le mien est énorme) j'en ais assez enfoncé pour qu'il longe les boules de Geisha qui vibrent alors de concert.

Je joui encore

Je recouvre une fois encore, lentement, mes esprits. Lorsque je reviens à moi, l'actrice reçoit sur son visage le plaisir de ses amants.

J'ouvre sans bruit la porte de la cabine et m'enfuit du magasin avant que les jeunes ne s'en rendent compte.

Je n'ai plus rien en moi - je n'en ai même plus envie –

Je marche jusqu'à la voiture, l'agitation des rues autours de moi me semble totalement irréelle.

Je rentre à la maison.

 

Tendres bisous de mes lèvres mouillées de votre liqueur

Yoni

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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