Journal intime

Lundi 17 janvier 1 17 /01 /Jan 07:51

Journal de Yoni

Samedi 15 janvier 2011


Mon mari m’a proposé une journée au bord de mer et resto les pieds dans l’eau. Cela fait des mois que je ne suis pas allée à la mer et ça me manquait. J’accepte, évidemment.


Il fait très beau et ce grand soleil prévu pour toute le journée me rend guillerette. Nous allons faire un promenade en amoureux le long du port de Mateille, j’aime bien ce petit coin, nous y avons habité avant de déménager sur Toulouse et je regrette bien ces promenades quotidiennes.


Cela m’émeut aussi car nous habitions cette station (aux Rocailles, face aux bateaux » à une époques où nous n’hésitions pas à faire tout ce que l’on voulait. C’était très coquin.


Très souvent nous nous promenions en amoureux, main dans la main, mais j’étais toujours nue sous mes jupes ou mes robes d’été. Et pour qui connait le coin, le vent était un complice particulièrement pervers ! Lorsqu’Eol faiblissait et que j’étais d’humeur libertine, ou que mon mari me le demandait, je forçais un peu le destin. J’aimais bien l’Argonaute, ses fauteuils très bas en arrière, à l’angle du bassin (place des menhirs). Je pense que plus d’un promeneur a dû apprécier le soin que j’apportais à mon épilation intime (rasage en fait).

Bref, nous revenions sur les lieux non du crime mais du libertinage, et cela m’émoustillait.

Je me suis habillée assez chic pour le restaurant : jupe noire mi-cuisses sur leggins noir en lycra, bottes assez haute, chemisier blanc et une petite veste. Sobre mais chic.


Arrivés à Gruissan, nous nous sommes garés devant le chantier naval et avons commencé la promenade  le long des quais. Le temps était incroyable. Pas un nuage, ciel bleu parfait, soleil vigoureux qui nous chauffait le dos et la nuque. Et pas un brin de vent. Incroyable ici !

U niveau du petit pont qui donne sur l’étang, alors que l’on passait « rive gauche », on avait déjà tombé la veste et je pestais d’avoir des leggins si chaud.

On passe devant les rares restos ouverts (les palmiers et la médina), on pousse jusqu’à la place du cadran solaire pour voir s’il y avait d’autres restos ouverts mais non et nous sommes retournés manger aux « palmiers ».

On a pu avoir un table en terrasse, en bordure, à 2 mètres de l’eau !

15 janvier en terrasse ! et sans veste. Désolée chers parisiens et autres nordistes, le sud est moins beau que la Bretagne mais il y a des petits avantages.

Nous commandons un apéro (un petit muscat pour moi) et du poisson (évidemment). Avant de manger j’aime bien me laver les mains et me rends aux toilettes. En marchant vers le petit coin une petite gêne m’incite à m’occuper également de ma vessie.  J’entre dans les toilettes, referme derrière moi, relève ma jupe et baisse mes leggins. Assise sur le pot, laissant s’écouler doucement mon petit pipi, j’étais songeuse et me replongeai dans mes rêveries coquines.

Et zut, après tout il vaut mieux être à l’aise et coquine que d’avoir chaud et être inconfortable tout l’après-midi. Je retire donc tout ce qui se trouvait sous ma jupe. Petit problème, mon sac est resté à la table. Bon je vais le rouler serré on le verra pas… et puis tant bien même !   
Je me lave les mains comme prévu et m’en retourne à table.

Je marche lentement, goutant ma liberté recouvrée. Il me semble être caressée par les regards des clients, surtout ceux qui m’ont vue passée et regardant mes cuisses gainées de noir et qui me retrouvent au naturel. Et ceux qui se demandent ce que je tiens dans ma main.

Mon mari me sourit de loin. Je n’aurais pas besoin de le convaincre du bien-fondé de mon initiative. Ma première promenade sans culotte c’était ici et à sa demande.

Je suis assise en extrême bordure de terrasse, face aux autres tables. Je n’en rajoute pas mais ne fait pas non plus très attention à ma position.

Pour moi, le repas fut délicieux …

La dégustation du café aura je pense été intéressante pour mes voisins. J’aime me laisser aller au fond de mon siège pour apprécier ce petit plaisir.

Ensuite, promenade digestive autant que romantique jusqu’au bout de la station. Arrêts-causerie ici et là sur les nombreux bancs. Petits souvenirs émus en passant devant les toilettes publiques de la plage (j’y ai fait autrefois quelques « bêtises »).

En fin de balade nous longions les quais, le beau temps avait poussé les heureux propriétaires à venir s’occuper de leurs bateaux. Je m’imaginais en Atlantique, une marée basse complice offrant au plaisancier un angle de vue sur mes « trésors » cachés comme dit un de mes amis. Mais la Méditerranée reste bêtement haute et je suis restée très pudique.

Il était environ 17h00 quand nous sommes revenus à la voiture.

-          - "Si nous allions faire quelques soldes avant de rentrer ?"


Mon adorable mari, comme d’habitude, a spontanément accepté. Faut dire qu’il y a un centre commercial juste à l’entrée de l’autoroute. Même pas de détour à faire. Et nous voilà partis !

Arrivés sur place j’ai insisté pour qu’il s’achète quelques fringues sympas (il ne vient jamais en course). On a fait quelques boutiques (Jules…) noires de monde. J’adore être nue sous une jupe courte dans ce genre d’endroit. Beaucoup de mâles élégants, donc potentiellement attentifs, moyenne 25-45 ans… J’en avais l’eau à la bouche. D’ailleurs mes lèvres étaient plus qu’humides.

J’avais une envie folle d’entrer avec lui dans une cabine pour… Mais je n’ai pas osé.

Je me suis acheté une paire de chaussure et un sac à main. Le magasin est à un angle de la galerie, très vitré, et j’espère que mes essayage ont, discrètement, donné un peu de plaisir aux messieurs qui se sont fait trainer ici pour les soldes ! Avez-vous déjà enlevé des bottes avec une jupe assez courte ?

J’étais très excitée par notre petite escapade et j’avais vraiment envie de faire l’amour. J’espérais que dans la voiture… Mais non, vraiment trop de monde.

On s’en va.


A peine partis, je commence à me caresser. J’ai trop envie.

-          Attend un peu et je m’occupe de toi. Me dit mon petit mari

Et sa main vient repousser la mienne. Le méchant. Il est juste là, posé, caressant la peau de mon pubis, descendant jusqu’à la naissance de mon clito sans aller au-delà.

Ma jupe est largement relevée sur mes cuisses et jusqu’au péage je suis vulnérable aux regards extérieurs (c’est court mais il y a beaucoup de monde).

On est sur l’autoroute, sa caresse est douce mais reste « pudique ».

Embranchement pour Toulouse. Dès la sortie de l’échangeur ses caresses sont plus précises. Il est sur mon clito. Je m’ouvre d’avantage. Je suis trempée. Ses doigts glissent entre mes lèvres et en ressortent couverts de moi. Je fonds ! Il me les donne à lécher. Je sais que c’est sale et tout ça mais j’aime bien ça. Je le lèche, lui attrape les poignets pour le maintenir et lui fait une petite fellation du doigt. D’autorité je le replonge en moi et lui tends ses doigts à lécher. Je veux qu’il me mange, faute de mieux.

Les bizarres statues (guerriers cathares stylisés – bof) annoncent la prochaine aire de repos. Je croise les doigts. Il entend ma prière. Il met le cligno et serre à droite. On sort. Il se gare.

-          - "Viens !"

C’est bref et concis et je pense avoir compris ce qu’il voulait ? Enfin dans ses grandes lignes.

Il me prend la main et m’entraine dans les toilettes pour hommes (ce n’est pas notre première fois aux toilettes mais on ne l’a jamais fait chez les dames.  Il ne doit pas savoir que ça existe). On croise un gars. On s’en fout. Il ouvre une cabine, me fait entrer et ferme derrière lui.

Il me colle contre la cloison, m’embrasse comme un mort de faim (j’adore) tout en ouvrant sa braguette et chercher à entrer direct. Trempée comme je suis il n’a aucun mal. J’ai juste à poser un pied sur la cuvette pour faciliter le chemin…..

J’adore quand il me fait l’amour debout. Entre deux portes. Je joui quasi à la seconde. Dès qu’il entre. Et là plus que jamais. Et lui ne traine pas non plus. Je sens le flot brulant de son plaisir, les jets puissants au fond de moi. On n’a pas cessé de s’embrasser pendant cette étreinte express mais tellement agréable. Je me laisse allée, accroupie devant mon homme, pour recueillir nos plaisirs mêlés dans ma bouche. Je me régale de cette crème-liqueur d’amour. Mmm !

« L’avion se pose ! », nous sortons de notre trip. Mon mari se rembraille, je m’essuie avec un klenex (je dégouline) et nous sortons.

On croise encore un monsieur, je lui souris apaisée.


Retour à la voiture pour une heure et demie de route. Je vais être bien.

 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 13 octobre 3 13 /10 /Oct 22:10

 

[Désolée de vous avoir laissés en plan. La vie a ses hauts et ses bas, ses petits cahots comme celui qui m’a éloignée de vous quelques temps, n’ayant plus la tête aux confessions coquines. Mais l’orage est passé et me revoilà, avant la prochaine éclipse !]

 

[Heureusement les moments forts que j’avais commencé à vous raconter sont gravés dans ma mémoire et je devrais pouvoir reprendre sans trop d’oublis, je me rappelle des odeurs, des bruits, de mes impressions, de ma gêne, de mon excitation…]

 

Mon mari me tenait toujours les cuisses ouvertes, jambes passées derrière ses bras. J’ai horreur de cette position trop inconfortable. Je ne la supporte jamais longtemps et là cela fait maintenant une éternité qu’il me la fait subir. Ce serait très désagréable si ses caresses et les vibros ne procuraient pas tant de plaisir… et surtout s’il n’y avait cette ombre aperçue dans l’entrebâillement de la porte.

J’en oubliais ses doigts et ces vibros qui allaient en moi. Je pensais à mon ombre. J’hésitais entre mon frère et ma belle-sœur. J’avais envie que ce soit mon frère. Envie qu’il me voie enfin comme une femme, envie qu’il ait envie de moi, envie qu’il me mette au centre de ses fantasmes. Et mon esprit me ramène à mon adolescence, lorsqu’il me racontait ses sorties avec ses potes. Ce jour où il me raconta comment avec un copain il avait été voir une prostituée et l’avait partagée en découvrant au fur et à mesure les choses qu’ils n’avaient qu’imaginer. Sait-il combien de fois j’ai rêvé être cette femme ? Je crois qu’il ne l’a jamais refait mais il m’en a tellement parlé par la suite que je suis certaine qu’il aurait adoré recommencé. Je suis là ! Offerte à lui. Mais viens donc au lieu de rester caché.

Ou alors c’est ma chère belle-sœur. Si douce, si gentille, si gentillette ! Sait-elle les aspirations de mon frère? Lui a-t-elle offert ce dont il a besoin ? Regarde ! Regarde-moi donc ! Regarde ce que tu pourrais être ! Un jouet entre leurs mains. Oui, bien-sûr. Mais c’est moi qui jouit, qui perd le compte des vagues qui naissent sous leurs doigts, leurs langues, leurs sexes et tout ce qui les amusent, ces vagues qui d’un point se répandent jusqu’à mes orteils, jusqu’à mes cheveux. Oui, regarde quel jouet on peut être entre leurs mains, combien ils en sont fier et content, et comment le jouet profite !!!

Regarde ce que tu dois offrir à mon frère !

 

La porte s’ouvre, un grincement imperceptible résonne sur mes sens hypertendus.

Mon cœur va éclater.

Mon mari vient de m’enfoncer les deux vibros au plus profond de moi ;

Je suis exhibée comme il serait inimaginable de l’être. Devant qui ?

Il a mis dans mon sexe le gros vibro en silicone. Il est souple et agréable. Un vrai sexe, presque !

Il le fait aller et venir. Il le sort, le replonge.

Le retire.

Il prend mon clito entre ses lèvres. Me lèche longuement le sexe. Pas comme d’habitude.

Je ressens cette différence et aussitôt un profond orgasme me secoue.

Le vibro replonge en moi. Souple mais il semble plus dur que tout à l’heure.

C’est mon frère. J’en suis certaine.

Je ne suce plus le sexe de mon mari depuis longtemps maintenant ; je le serre dans ma main. Fort.

Parfois je luis donne un coup de langue ou le prends entre mes lèvres… qu’il force gentiment.

Il me retire le vibro qui comblait mon petit trou.

Je me sens béante !

Ce qui devrait être le vibro silicone sort de mon sexe pour venir glisser au fond de mes entrailles.

C’est lui, j’en suis sûre et j’adore lui offrir ce cadeau.

Je connais ses fantasmes et reprends mon mari dans ma bouche, essayant maladroitement une « gorge profonde » (sans y parvenir). Je veux qu’il me voie prête à tout.

Il est maintenant en moi et commence à remuer. Doucement d’abord. De lents mouvements terriblement jouissifs. Suis-je encore capable d’avoir un orgasme ?

Son accélération m’apporte une réponse. C’est horrible. Non c’est juste trop bon.

Il se calme. Je ne l’ai pas senti arrivé.

Un doigt vient fouiller mon sexe. C’est agréable.

Puis deux et trois.

Il essaye de mettre sa main.

Ses trois doigts me labourent le sexe. Il essaie le quatrième. Je les sens en moi.

Il doit s’amuser à se caresser en moi. Son sexe toujours entre mes fesses.

Je suis revenue de mes orgasmes. Un peu dégrisée mais d’avantage consciente. J’aime ça. Je n’éprouve plus de plaisir mais il me semble regarder la scène. Mon mari qui me retient écartée, offerte, le sexe au bord de mes lèvres, mon frère dans mes fesses qui essaie de mettre sa main dans mon vagin. Ce n’est même plus obscène, c’est juste touchant ! Je les aime tant tous les deux !

Mon frère essaie de joindre le pouce au reste de la main pour me fister… mais comprends bien vite que je ne peux accepter une main aussi grosse.

Sa petite main (quelques doigts) est désormais immobile mais son sexe a repris ses va et viens. Accélère et explose très vite. Je sens la chaleur de son plaisir se répandre en moi.

Toujours très consciente, je me plais à penser que mon mari va être obligé d’avouer que ce n’était pas le vibro en silicone qui a pu déverser tout cela ! Mais mon mari est malin et, après que l’ombre ait glissée hors de notre chambre et retrouvé la sécurité d’une porte entrebâillée, il me libère de mon inconfortable position, me retourne et me prend en levrette. Juste assez pour me remettre sur le chemin du plaisir et changer de voie et se répandre à son tour entre mes fesses.

« Le salaud » pensais-je. Il me vole mon secret !

Mais je ne suis pas sotte moi non plus, et connaissant mon goût irrépressible pour cette liqueur il ne saurait être surpris de me voir le gober aussitôt sorti de mon intimité. Non, je n’ai aucune attirance pour le scato et s’il était sale j’aurais été bien embêtée, mais j’ai toujours eu la chance d’avoir à gouter de beaux sexes mâles gorgés de cette si fabuleuse liqueur, ou trempés dans nos plaisirs communs, ou comme là, trempé dans son propre plaisir même s’il est vrai, une saveur plus épicée y est remarquable. Mais je connais par cœur les différents parfums de sa liqueur, qui changent souvent mais que je reconnaîtrais entre mille (mmm je rêve) et là, sa liqueur, même marqué de mes épices, avait une fragrance inconnue.

 

Comme j’aimerais pouvoir dire à mon frère comme j’aimerais connaître le parfum simple que je n’ai qu’entre-aperçu, caché dans un cocktail par ailleurs enivrant !

 

PS : bien évidement mon petit mari n’a pu tenir le secret – le voulait-il ? – et il m’a raconté les détails de cette soirée. Et m’a dit que la sodo était juste une « diversion » car s’il voulait bien me prêter, il n’avait pas envie d’élever les gosses des autres. Alors s’il a consenti à laisser mon frère découvrir la douceur de mon sexe, dépourvu de préservatif, il l’a rapidement réorienté vers la voie étroite. Et oui, on est parfois rattrapés par des considérations bien terre-à-terre !

 

Bisous mouillés


 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 11:18

Satanée chatte !

J’étais bien partie, le plaisir me submergeait… je naviguais sur une mer un peu houleuse d’un plaisir gentiment pervers et cette maudite chatte me ramène sèchement à la réalité, éclairant brutalement ma douce nuit. Non ce n’est pas elle, la lumière vient du couloir et l’entrebâillement de la porte lui permet de pénétrer la chambre, dans le sillage laissé par cette maudite chatte !

Mais qui a allumé ? Qui est là ? Bon sang, mon frère et ma belle-sœur !

Je panique et rejette le sexe de mon mari hors de ma bouche pour l’alerter :

Cédric (prénom changé) il y a quelqu’un, arrête !

Il me maintient dans la position extrêmement indécente et me répond très doucement :

Chhhut ! Si tu ne fais pas de bruit celui ou celle qui est monté faire pipi va repartir sans se douter de rien.

La lumière s’éteint. Nous restons immobiles. Rien ne se passe.

La chambre est baignée d’une très légère lumière diffusée par les radios-réveils. C’est très léger. Je me sens d’avantage dans l’obscurité que dans la lumière et cela me rassure un peu. Et puis devrais-je l’avouer j’aurais détesté être ainsi surprise par ma belle-sœur mais j’espérais –tout en le craignant – que mon frère puisse me voir ainsi.

Moi, après tout, je l’avais vu plusieurs fois sortir de sa douche et se changer devant moi. Au début ce fut accidentel, j »étais entrée dans son studio alors qu’il se douchait, je ne pensais pas mal car, me douchant dans la salle de bain commune, je sortais toujours avec une sortie de bain (comme les parents d’ailleurs), et lui ne savait pas que j’étais là et ne voyait pas le mal être nue « chez lui ». J’ai piqué un phare mémorable mais suis restée là, comme l’idiote que j’étais. Il s’est retourné mais j’ai eu le temps de le voir et cela m’a troublée.

Par la suite, fuyant l’ambiance empesée, pesante, oppressante de la bourgeoisie quasi vulgaire de mes vieux, je squattais chez mon frère certainement plus souvent qu’il l’aurait souhaité et que j’aurais dû. C’est ainsi qu’il commença à me raconter ses aventures sentimentales, puis sexuelles. C’est ainsi qu’il me laissa regarder sa collection de magasine très très hot !! C’est ainsi qu’il prit plus d’aisance avec moi, avec sa nudité… alors que moi je ne me suis jamais dévoilée devant lui. C’est ainsi que mon amour pour lui, fraternel et détaché de toute perversion a commencé à être parasité par des pensées que je réprouver autant qu’elles m’embarrassaient et provoquaient en moi de troublantes bouffées de chaleur ; je mis cela sur le compte de la puberté (qui chez moi fut tardive, comme plein de choses d’ailleurs) et ais refoulé tout cela au fond de moi. Juste derrière mes ovaires !

Je ferme les yeux et me laisse à rêver. Je reprends le sexe de mon mari entre mes lèvres en essayant d’imaginer à quoi pourrait ressembler celui de mon frère en érection.

Je déguste avec gourmandise ses perles de plaisir. Les prémisses de sa jouissance. Quel goût aurait mon frère, ainsi surpris à l’orée de son plaisir. Trahi par quelques gouttes innocentes et claires.

Je me fiche de ce qui est bien ou pas, j’ai le droit de rêver, de fantasmer sur qui je veux. Je suis bien la seule à le savoir.

Mon mari fait maintenant aller et venir le gode annelé dans mon intimité. Il l’enfonce à fond. Je sens le relief du fond, au niveau du bouchon des piles, qui effleure mes muqueuses. Il le maintien ainsi et viens me léchouiller le derrière. Il lèche et fait glisser sa langue… j’adore. Il fait des va et viens avec comme s’il s’agissait d’un petit sexe essayant de me pénétrer, et c’est vraiment délicieux surtout avec ce gode vibrant qui me remplit. Je suis trempée, il doit baver, je sens couler entre me fesses. Il glisse enfin doucement le gode silicone dans mes fesses. Doucement, alors j’aime bien.

Assez vite il libère mon petit trou et recommence à le lécher… c’est merveilleux.

J’adore quand, couchée sur le ventre, jambes écartées, il me léchouille longtemps cet endroit-là. Je joui très souvent juste comme ça. Et moi qui apprécie peu la sodomie, quand il me fait ça, cela m’arrive de la lui demander (rarement car j’ai toujours honte).

Ce soir-là, il innovait en me léchouillant après m »avoir déjà sodomisée, certes avec un accessoire, mais sans être vexante, il supportait la comparaison avec l’original. Et donc je devais lui offrir la vision d’une certaine béance ! Peu m’importe, sa langue allait dans des endroits magiques, d’une sensibilité inespérée.

Je rêve… et je joui dans ce rêve.

Et dérangée par mes petits cris la maudite chatte vient contre moi. Me sort de mon rêve.

Je relâche encore le sexe de mon homme pour râler sur cette maudite bestiole lorsqu’il me semble voir une ombre dans l’entrebâillement de la porte.

... à suivre

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Dimanche 1 août 7 01 /08 /Août 10:41

Mon grand frère.

 

Cela fait un petit moment que je pense à vous raconter cette histoire, assez récente (l’été dernier) mais cela m’étais difficile. Il aurait fallu demander à mon mari de le faire, mais il ne sait pas que je me confie à vous.

Je vais essayer.

D’abord un petit retour très loin en arrière. Cela à son intérêt je pense.

Comme vous avez dû le comprendre je suis issue de certaine bourgeoisie (et même d’une très haute aristocratie mais le prestige de mes ancêtres n’est plus connu que des historiens et généalogistes. Ma « branche » n’a pas de titre ronflant à faire valoir… dommage pour mon paternel qui ne vit que pour le paraître et les mondanités. Bref je m’égare encore) et mon éducation franchement pas drôle ne m’a pas aider à vraiment m’épanouir. Enfin, entre la musique classique et l’opéra, les expositions et tout le tralala (tout le tralala dont j’étais d’ailleurs exclue, devant attendre leur retour seule dans la maison) vous imaginez la joie.

Heureusement j’avais un grand frère de quatre ans mon ainé qui avait, plus ou moins, réussi à s’émanciper. C’était Deep Purple et Queen, moto et copains «d’un autre monde ». Et on s’adorait ! Et j’adorais quand il invitait ses potes dans sa garçonnière. Il avait réussi à pouvoir emménager ce qui au départ devait être un simple abri de jardin mais qui après travaux était un véritable studio avec tout le confort. Et assez loin du salon de la villa il y avait moins d’interférence entre Rachmaninov et Freddy Mercury !

Quand ses copains venaient, j’aimais bien trainer dans le coin, prétextant leur amener du Coca ou autre chose ; Ils étaient sympa avec moi. J’avais 15 / 16 ans mon frère 19 / 20 et ses potes souvent plus. Avec eux il a découvert la vie et se confiait à moi. Il me disait tout, même lorsqu’il a été voir des prostitués avec un des copains (son dépucelage vers 19 ans), ce qu’ils ont fait. Et cela a continué.

Il avait chez lui des magazines pornos qu’il me laissait feuilleter. Cela m’apparaissait comme le comble du vulgaire et de l’odieux. Mais je les ai tous parcourus. C’était hypnotique.

Et lui ne se gênait pas pour aller et venir, sortant nu de sa douche devant moi.

Je me demande aujourd’hui a qu’el point il était naïf ou pervers. Je ne saurais trancher. Mais dans mon esprit, les comptes rendus de ses sorties, les magazines porno, sa nudité affichée sans complexe (c’était un athlète de près de 2 m, costaud de partout… et à la fin du compte je commençai à gamberger. J’évacuais toute idée incestueuse dès qu’elle se présentait, certes, mais j’évacuais de plus en plus souvent et quand il a quitté la maison pour se mettre en ménage avec sa copine (il avait alors 21 ans et cela faisais 3 ans que nous étions très, très intimes), je dois avouer que cela a été autant un déchirement qu’une certaine libération.

25 ans plus tard (environ), quel plaisir de le recevoir avec sa (deuxième) femme pour quelques jours à la maison. Quelques années auparavant ils étaient passés avec leurs enfants et nous avions le nôtre avec nous. Les 3 / 4 jours passés ensembles, souvent autour de la piscine (BBQ et apéros) pendant que les jeunes pataugeaient et jouaient. C’était très sympa. Cette année, nous sommes entre vieux ! Mes neveux et nièces ont quittés la maison, ce sont de jeunes adultes. Mon fils, grand ado, devrait être chez un copain pour la semaine (il y est, forcément sinon je l’étrangle), mais l’absence totale de nouvelles me laisse à penser qu’il n’a pas besoin de nous. Le dernier SMS (réponse au mien) faisait état d’un programme dans lequel nous n’apparaissions pas (un oubli sûrement). Je le préviens que son oncle et sa tante sont là, il passera demain en fin d’aprem. Bel effort

Nous sommes tous les quatre au bord de la piscine. Fin de journée chaude. Mon mari prépare l’apéro et nous l’apporte dans la piscine (on peut s’y asseoir, c’est agréable). Moi j’aime bien un petit Muscat.

On bavarde, on rigole (surtout après 2 ou 3 Muscat ! d’habitude je n’en prends qu’un, et assez rarement). On refait le monde et on commence à ressortir les vieilleries, l’adolescence pas très sympa en ce qui nous concerne, les premières motos (pour les garçons), les premiers flirts… Bref de l’apéro dans la piscine à la fin de la soirée vers 01 heure du mat, on a fait revivre une époque des plus troublantes. Bien sûr Jean (mon frère – prénom modifié par souci discrétion) n’a pas évoqué mon initiation, très théorique, à la pornographie ni ses humeurs naturistes en ma présence… mais moi je ne pouvais pas ne pas y penser et, de l’avoir vu nager avec toujours autant de puissance, le voir à l’approche de la cinquantaine encore aussi athlétique me taquinait les ovaires ! Par ailleurs, mon petit bikini blanc qui, une fois mouillé se colle avec une certaine impudeur sur mon pubis bien évidemment toujours lisse (3 jours sans m’en occuper et j’aurais une petite réflexion : « tu n’aimes plus quand je te fais des bisous là ! », ou quelque chose d’équivalent. Jamais méchamment… et puis je dois avouer y avoir pris goût. Ce n’est pas désagréable de s’occuper de soi ! Bref assise sur les margelles, mouillée en sortant de l’eau et les genoux un tant soit peu écartés, mon frère et ma belle-sœur pouvaient se faire une idée assez précise de mon anatomie. En ai-je eu conscience ? Oui, à un moment, et cela m’a gêné. J’ai resserré mes jambes, un moment, et puis je me suis laissée aller au petit jeu que j’affectionne tant « mais non je ne m’exhibe pas, mais si vous regardez vous ne serez pas déçus ! ».

01h du mat. On est fatigués, surtout jean qui a 600 km dans les pattes. On s’embrasse, on va se coucher.

Jean et sa femme dorment en bas. Il y a une chambre et une salle de bain (pas de WC, travaux à venir).

Nous rejoignons notre chambre à l’étage. Il fait très chaud, début aout près de Toulouse pour ceux qui< connaissent… nous nous allongeons sur le lit, tous nus. Mon mari m’embrasse pour me souhaiter bonne nuit tout en posant machinalement sa main sur mes seins. Il me caresse. Je soupire. Je l’embrasse et murmure :

« Bonne nuit ça veut pas forcément dire dodo ? »

« Tu n’es pas fatiguée ? »

« Oui, très, et alors, j’ai pas l’intention de faire le boulot. Je comptais un peu sur toi »

« Et si moi je suis fatigué, tu t’en fiche ?

« Oui. »

« Bon je vais faire une effort ! »

« Mmm j’aimerai bien que tu ressortes les trucs bizarres » (ce sont mes sex-toys qu’honnêtement j’utilise très peu ayant toujours préféré le vivant, palpitant et si déroutant appendice du mêle dominant.)

Il se lève et récupère la boite à malice cachée sous une pile de drap. Je le regarde faire, allongée sur le dos, les mains derrière la nuque, jambe écartées. Une petite brise presque fraiche entre par la fenêtre grande ouverte (qui bien heureusement ne donne pas sur la même façade que la chambre de mon frère. Si on fait un peu de bruit ce n’est pas grave.).

Il prépare lentement les « accessoires », met des piles dans les vibros, les essayent… il joue manifestement avec moi. Et j’aime ça. Je le regarde toujours. Je me régale déjà.

Il a posé différents sex-toys sur sa table de nuit. Fait le tour du lit et se plante face à moi. Il s’agenouille et s’avance vers moi. J’écarte encore les jambes pour lui faire de la place. Son visage est devant mon sexe. Il m’embrasse au creux de l’aine. A gauche, à droite. Caresse l’intérieur de mes cuisses. Il pose sa langue sur mon nombril, il joue avec. Puis sa langue descend. J’attrape ses cheveux, le force à ma bouffer toute crue. Mais il est bien plus fort que moi et ma pression ne change rien. Il léchouille tout ce qu’il peut, va jusqu’à remonter le sillon extérieur de mes grandes lèvres sans jamais embrasser vraiment ma vulve.

Il s’arrête. Je sens le souffle de sa respiration sur mon sexe mais, malgré ma pression sur ses cheveux il refuse toujours de céder. Il me regarde et revient vers mon sexe. Il souffle dessus ; C’est horrible. J’en veux plus.

« Viens»

Il me regarde à nouveau et, toujours aussi insolent, il vient vers moi. Sa langue remonte, glisse sur mon ventre, le long du sillon de mes seins, le long de mon coup. Il glisser derrière mon oreille, sur ma joue jusqu’au coin de mes lèvres. Il m’embrasse avec passion. Je lui rends largement son baiser, d’autant plus qu’en remontant, il a passé une jambe entre les miennes et sa cuisse exerce une pression – très volontaire, je le connais – contre mon clito qui réagit aussitôt. Je suis au bord du gouffre.

Il redescend, attrape un de mes seins dans sa bouche pendant qu’il maltraite l’autre avec sa main.

Il descend encore en attrape mon clito à pleine bouche. L’aspire, le titille de sa langue, le relâche pour en lécher la base et le corps (j’adore ça, le bout est trop sensible et c’est rapidement plus agaçant que plaisant). N’allez pas croire que j’ai un gros truc, non j’ai un clito tout petit et normal, je pense, mais c’est quand il lèche son « corps » que je me régale.

Enfin, il se relève et m’attrape par les hanches pour me mettre en travers du lit. Il s’installe à genoux, sur le coté, son sexe devant ma bouche et (d’où la position) sa main droite disponible pour prendre sur la table de nuit les sex-toys qu’il a préparé.

Pendant que je le suce, je sens pénétrer le vibro annelé dans moi… et mon dieu que c’est bon !

Nous nous amusons ainsi depuis quelques minutes quand la porte, en face de mon intimité, s’ouvre (mal fermée). C’est le chat qui vient profiter du lit… La porte reste légèrement entrebâillée, nous sommes trop bien partis pour s’en soucier. Et puis nous sommes sels à l’étage…

A suivre...

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 23:06
aimes-tu.jpg J’aime juste quand, rasé de prés, tu poses ta joue là, si prés de ce plaisir qui t’attend.
J’aime quand tu n’y fais rien, endormi ou presque, posé au creux de mon aine.
Je sens ton souffle caresser mon intimité.
Mes sens s’éveillent doucement.
J’aimerais que tu t’occupe de moi mais on est si bien ainsi !
-
J’aime quand tu n’oses pas, ou devrais-je dire quand tu veux m’obliger à te supplier.
J’aime quand ta langue glisse sur ma peau, explorant chaque millimètre sans se risquer à goûter au fruit défendu. Mon ventre se serre, se noue.
Je meure d’envie de plonger mes doigts dans tes cheveux pour que tu mettes fin au supplice ! je me retiens. J’aime ce supplice et je sais que tu aime me sentir ainsi.
J’aime quand, alors que je me cambre à me briser les reins pour t’obliger à m’embrasser vraiment, tu viens mordre l’arrête qui sépare ces fossettes que tu aimes tant.
 -
J’aime quand tu ne me touches plus, quand tu restes là à quelques centimètres de ta proie, immobile.
J’aime quand tu souffles, un souffle lent et régulier, sur mes lèvres ouvertes. J’aime quand ton souffle se concentre sur mon clitoris brulant du désir de toi. J’aime ce souffle qui ne saurait sécher ce miel qui coule de moi et t’enivre malgré toi.
-
J’aime quand, toujours immobile tu plantes ton regard dans le mien.
J’aime cette promesse muette.
J’aime quand, ne me lâchant pas du regard tu ouvre doucement la bouche, tout doucement
Et que tu plonge comme un cobra sur une proie pourtant toute offerte.
 -
 J’aime cette violence libératoire qui me transperce et me fait jouir dans la seconde !
J’aime me sentir comme un papillon épinglé par un naturaliste sadique, ta langue me transperce et mon corps se tend, prêt à rompre.
Tu m’infliges une jouissance si soudaine et si persistante !
J’aime me sentir comme la guitare que le rocker fait vibrer longtemps en écrasant la corde contre le bois, et qui du bout de son majeur fait rouler jusqu’à l’épuisement.
J’aime quant tu pince si fort mon bouton entre tes lèvres agressives.
 -
J’aime cette jouissance née de ton si beau visage ;
J’aime celle qui va suivre quand plus rien au fond de moi ne pourras ignorer ce contact si doux et i puissant.
J’aime même quand un peu trop gros, un peu trop brute, tu viens frapper au fond de moi, et que j’ai mal.
 -
J’aime quand, après tout, c’est entre mes lèvres que tu t’abandonneras.
J’aime m’endormir ainsi, savourant la chance que j’ai d’être mariée à un amant adorable.
 -
Mais j’aime rentrer chez nous avec le souvenir encore chaud d’autres saveurs…
Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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