Mercredi 22 juillet 3 22 /07 /Juil 17:09

Premier épisode : « la jeune femme naïve »

Tout commence il y a longtemps, j’avais 25 ans à peine, mariée depuis 5 ans.

Nous venions d’emménager dans un quartier résidentiel après 6 ans en appartement. Petit jardin privatif coté garrigue et garage coté rue. Nous étions la dernière rangée de maison et à part les quelques voisin le coin était très calme.

Nos voisins directs étaient transparents, ce qui nous allait bien, et les autres très discrets.

Beaucoup de garages étaient insuffisants (une seule place ou utilisés comme « cave ») et quelques voitures ou camionnette (un voisin artisan) étaient gérées le long du trottoir, sans gêner.

 

Mon mari allait travailler assez tôt, il partait un peu avant 7 heures, avant que le quartier ne s’éveille.

Jamais (encore aujourd’hui) je ne le laisse partir sans mon bisou.

Ce matin là, je ne me souviens plus très bien… réveil en panne ou souci… Il se dépêche et je l’aide en ouvrant la porte du garage et le portail. Il démarre et se retrouve dehors prêt à partir.

Fenêtre baissée il me lance un bisou… j’en veux un vrai et me précipite pour l’embrasser avant qu’il ne parte.

Rien d’anormal ni d’excitant, c’est vrai. Juste que moi je suis encore en nuisette. Une petite nuisette en soie noire et dentelles qui ne cache pas grand-chose (et je ne dors pas avec culotte et soutien-gorge).

Rien d’anormal ni d’excitant si ce n’est que, pendant que je suis penchée en avant pour embrasser mon chéri dans la voiture, mon artisan est sorti pour rejoindre sa camionnette. Il est vrai que je ne pouvais pas le voir, il était juste derrière moi.

Rien d’anormal ni d’excitant jusqu’à ce que mon mari me susurre à l’oreille, tout en me tenant aussi doucement que fermement dans ma position (il avait passé son bras par la fenêtre de sa voiture et posé sa main sur mes reins ce qui avait pour effet de relever encore ma nuisette qui, sans cela, ne cachait déjà rien de mon intimité à mon beau voisin.) :

Reste un peu comme cela ma chérie, je vais être excité toute la journée et ce soir je m’occupe de toi encore plus que d’habitude.

Pourquoi ? lui ais-je demandé sans malice.

Parce que j’ai une belle femme et que j’aime quand les voisins bavent toi.

Je me retourne brusquement et machinalement. Mon artisan me salue discrètement d’un geste de la tête. Je passe du rose pâle ou rouge vif en moins d’une seconde !

Tu sauras lui résister ou je reste à la maison ? Me demande mon goujat de mari

Vas t-en espèce de malotru… et reviens vite.

Je l’embrasse et file me réfugier dans la maison.

 

Enfin seule, je ne peux m’empêcher de penser à ce voisin plutôt séduisant. Certes il n’a pas trop le profil des hommes que j’ai fréquenté jusqu’alors, plutôt rustique. Façon joueur de rugby : grand, carré, puissant… excitant !

J’avoue m’être donnée du plaisir toute seule en pensant à ses grosses mains sur moi, et au reste de son corps…

Lorsque mon mari est rentré, il n’en a pas parlé jusqu’à ce que nous nous retrouvions pour notre câlin du soir.

Alors que je suis en train de lui faire une petite gâterie et qu’il me pénètre d’une bougie (on a acheté nos premiers sex-toys à cette époque), il me dit :

Ferme les yeux.

Mange-moi comme tu aimes le faire.

Dis-moi que tu aimes.

Mmm ! J’adore te manger, j’aimerai me nourrir que de ça !

Puis, alors qu’il fait aller et venir la grosse bougie dans mon sexe il reprend

Et celle-là tu n’aimerais pas la manger aussi ?

De la bougie ? Beurk ! Je préfère la vraie

Mais non pas la bougie… Garde les yeux fermés et imagine          
« nous sommes encore dans la rue ce matin, tu es penchée par la fenêtre t tu me fais une gâterie dans la voiture… Et notre voisin est tellement excité que sa bite est plus dure que jamais, et il est en toi, tu la sens ? » (il s’enfonce plus brutalement)

Aie !

Oui il te fait un peu mal mais tu es si excitante qu’il ne peut pas se retenir le bougre !

Il agite la bougie dans mon ventre et semble vouloir que je l’avale d’avantage. Je ne mense plus à cette bougie. J’ai le sexe du voisin dans mon vagin, violent, puissant, fabuleux. Je joui avec une intensité rare.

Mon mari aussi et se répands dans ma bouche. Je le garde ainsi un moment.

Je suis apaisée, j’aime le gout de son plaisir, je fais durer le mien. Plaisir de gourmande amoureuse et sereine.

Lorsqu’il reprend vigueur, nous enchaînons sur des « positions » plus classiques…

 

On n’a jamais réitéré cette exhibition involontaire et je n’ai jamais adressé la parole à ce voisin voyeur malgré lui.

 

Intermède 1

Depuis 15 ans, nous avons eu, mon mari et moi, l’occasion de gouter à des situations bien plus perverses, mais nous parlons de temps en temps de ce moment lourd d’émotion et, lorsque nous étions (2002-2003) à l’acmé de notre parcours libertin, mon mari m’a souvent dit :

Dommage qu’on ait loupé cette occasion. C’aurait pu être assez génial.

De me faire prendre dans la rue ? T’es dingue !

Non, peut-être pas, mais avoue que la situation était « caliente ».

Depuis nous avons déménagé plusieurs fois et actuellement nous habitons en banlieue toulousaine dans un quartier résidentiel, au fond d’une voie privée sans issue, avec très peu de passages et des voisins très discrets… l’histoire se répète ! Sauf que, faute d’un voisin rugbyman, il n’y a que des (très) retraités.

Je ne vais pas me plaindre quand même. L’un de mes deux voisins (plus de 70 ans aujourd’hui) a eu assez souvent l’occasion de passer à la maison et pas forcément pour boire une verveine (mais cela fera l’objet d’autres épisodes).

Disons que depuis 15 ans la jeune femme naïve et bien élevée est devenue plus libre. J’assume mon plaisir et me fiche de ce que l’on peut penser de moi. Tant que j’ai la chance de vivre et de disposer d’un corps sensible et encore assez attirant je ne vais pas me gêner.

 

Intermède 2 : Jean

En 2002 j’ai connu un homme sur un forum. Je lui ais confié mes premiers états d’âme et mes craintes aussi. Je croyais être une « soumis » car j’adorais être le jouet un peu « irresponsable » d’une situation, alors je lui ais demandé d’être mon maître (j’ai demandé à un ou deux autres). Cela n’a pas marché ! Je suis une insoumise, je n’en fais qu’à ma tête, je suis juste une libertine hypocrite qui recherche l’irresponsabilité afin de ne pas culpabiliser (bon, maintenant je ne me pose plus ces questions). Jean a su me garder. Etre gentil.

Peut-être devrais-je lui en vouloir car au lieu de me ramener vers une vie plus normale, lui qui pourrait être mon père (65 ans) m’a au contraire incitée à aller de l’avant. Même lorsque je lui parlais de mes amours avec Max (mon chien) il me poussait à aller plus loin. Lorsque je lui disais fantasmer sur l’âne du voisin (3 maisons plus loin), il a essayé de me faire passer à l’acte (pas fait trop peur !). Malgré cette mauvaise conscience, mon Gepetto lubrique, il a toujours été là lorsque je passais de mauvais moment (la débauche n’est pas un long fleuve tranquille). Et je crois que je l’aime d’un amour platonique autant qu’incestueux.

Si je lui ais envoyé des photos de moi régulièrement (visage non flouté), je n’ai jamais voulu avoir des photos de lui.

Il y a peu j’en ais eu envie. J’ai aimé ce visage de papy dégarni.

J’ai aimé, sur cet autre cliché, cette barre de chair que l’on a envie de faire fondre sur la langue.

Il voudrait, depuis longtemps, que je lui raconte mes aventures amoureuses avec des mots crus. Je ne l’ais jamais fait. Je n’aime pas cela. Mais je luis avais promis que ma prochaine bêtise fera l’objet d’un texte plus cru.

C’était hier.

 

Deuxième épisode : « une épouse libertine »

Hier. 21 juillet 2009.

Mon mari doit partir de bonne heure. Il est 06h45 et je vais ouvrir le portail (j’en profite pour prendre le journal, le livreur vient de passer je l’ai entendu).

La voiture avance, mon mari a ouvert la fenêtre pour m’embrasser.

Je me penche pour mon bisou, sa main m’enlace et relève le tissu léger de ma nuisette (aussi légère qu’il y a 15 ans). J’aime cette caresse.

J’entends des pas à coté. Mon voisin vient lui aussi prendre son journal (il a entendu aussi le livreur).

Il est à quelques mètres de moi. J’embrasse encore mon chéri en écartant légèrement les jambes pour plus de stabilité (oui, je suis une hypocrite). Je sens une petite Tramontane fraiche remonter le long de mes jambes et caresser mon sexe déjà humide. J’ai un frisson.

Pourquoi ce frisson ? tu as froid ? Ou tu veux que je reste ?

Non merci, ça ira ! Et puis sinon je demanderais de l’aide à monsieur Martin.

Dis donc toi, tu crois que je peux te laisser dans cet état ?

Non, mais tu dois partir. Gros bisous !

Il râlouille en plaisantant et surtout en me demandant de lui en garder pour ce soir. Sous entendu, je peux en donner un peu.

Et il démarre.

Je reste debout sur le chemin, je lui fais un coucou machinal de la main (ma nuisette ne supporte pas cela) et, mon voisin se trouvant à présent entre mon mari et moi, je ne peux l’ignorer et le salue également.

Encore parti ? Me demande monsieur Martin, connaissant un peu le boulot de mon mari.

Oui, mais il rentre en fin de semaine.

N’hésitez-pas si vous avez besoin de quoi que ce soit !

Merci monsieur Martin… et n’hésitez pas à passer me voir si vous voulez.

C’est sorti comme ça, vraiment, sans malice.

Je m’en retourne chez moi, M. Marin aussi.

5 minutes à peine sont écoulée que quelqu’un frappe à la porte. Je vais ouvrir.

Re-bonjour, mon épouse dort encore, elle ne se lève pas avant 9 heures et je me suis dis que l’on pourrait boire le café ensemble et papoter un peu. Et puis je vous ais amener quelques produits du jardin (quelques salades, et un solide concombre dont je doute sincèrement de la provenance – je remercie sans relever)

Entrez, il est prêt, j’en fais toujours une cafetière pleine.

Je nous sers dans des mugs en grès que l’on peu garder en main, c’est un contact chaud et doux que j’aime autant que le café qu’il contient. Nous nous installons au salon, par habitude (chez eux il m’est arrivé d’en prendre avec madame, mais ça se passe à la cuisine, chez  moi c’est rare).

Bien installés, nous commençons à boire en engageant la conversation.

M. Martin s’arrête au milieu d’une phrase, le regard perdu dans le triangle de mes jambes dont rien ne cache le « trésor » comme Jean l’appelle. Le moindre de mes mouvements laisse apparaître la peau rose de mon pubis toujours rasé et M. Martin doit entrevoir les lèvres de temps à autre.

Votre mari a vraiment de la chance d’avoir une femme comme vous !
Si belle, si libre !

Et si gourmande ! me suis-je surprise à ajouter.

Je pose ma tasse et m’approche de lui. Je m’agenouille et en parlant pose mes mains sur sa ceinture pour commencer à le déshabiller :

Vous savez, j’ai un ami, ou plutôt un confident à qui je me confie mais auquel je ne veux jamais céder pour préserver la magie de nos rapports. Il est un peu plus jeune que vous et rêve de moi en train de lui faire l’amour en parlant avec des mots crus. Vous pouvez m’aider ?

Bien sur ma chère voisine mais alors, au moins pour ce matin tu oublie les « vous » et les « monsieur » et tu te lâche.

Bien maître !

Déshabille-moi vite.

Oui, je veux te bite dans ma bouche, ça fait longtemps que je ne l’ais pas eu.

Je libère son sexe et l’avale d’un trait

Mmm ! c’est bon !

Pour moi aussi me dit « Jean » (je l’appelle comme cela, ce n’est pas son vrai prénom mais ainsi je pense d’avantage au vrai « Jean » mon vieux confident, mon Gepetto pervers), Passe bien ta langue dessous, Oui comme ça.

Son vieux sexe mou a du mal a durcir mais je le connais je sais qu’il va gonfler. Je m’applique.

A cet instant je pense à mon confident, le vrai Jean avec qui je baise si souvent par procuration. J’essai d’imaginer le goût de son sexe.

Il attrape le bas de ma nuisette et la remonte, je suis obligée de le lâcher un instant pour qu’il la retire totalement. Je suis nue.

Où est Max ? Va le chercher.

Il doit être dehors !

Va le chercher.

Je me lève, attrape ma nuisette

Laisse tu n’en as plus besoin aujourd’hui.

Je me lève et descends, nue, dans le jardin. Certes il est clôturé et de belles haies me protège des vue mais la descente des escaliers (maison à un étage), coté rue, me laisse à la merci de quiconque passerait par là ou de mon voisin d’en face.

Sitôt en bas, Max vient me faire des fêtes. Je le caresse et le fait entrer.

La montée des marches ne vaut probablement pas Cannes mais c’est impressionnant tout de même. Malgré mes extravagances et perversions, je ne me suis jamais habituée à l’exhibition et cela m’émeut toujours autant (sans quoi j’arrêterais d’ailleurs).

« Jean » se branle doucement en m’attendant.

Max t’as baisé ces jours-ci ?

Non, cela fait longtemps d’ailleurs.

Lèche le, bouffe-le comme tu viens de me bouffer.

Je me glisse au sol et caresse mon chien qui se laisse faire volontiers. C’est vrai que cela fait des mois qu’il n’y a plus droit. Mon mari ne veut plus et, honnêtement, je suis assez comblée avec lui sans avoir à me faire mon chien. Son sexe est doux. Je le caresse mais il ne semble pas avoir envie.

Lèche-le.

Je m’exécute, titillant du bout de la langue l’extrémité de son sexe mais rien ne se passe.

Branle-le.

Je le caresse, tire un peu son prépuce pour faire sortir son vrai sexe… malgré mes bisous et mes léchouille il ne veut pas de moi. Je suis un peu vexée, il n m’avait pas habituée à ça.

Il ne veut pas je crois ! Dis-je à mon vieil amant.

Continue. Dit-il en se levant

J’entends de l’eau couler, Jean revient avec son concombre à la main.

Je me suis dit que si je ne pouvais assurer il pourrait m’aider. Couche-toi sur le dos.

Il s’installe sur moi en 69 et me donne son sexe un peu mou à manger puis viens me bouffer la moule. Très vite je sens le bout dur et froid du concombre (sincèrement messieurs, une belle bite vaut bien mieux que tous les trucs que vous me fourrez dans le vagin ou le cul).

Alors c’est pas une belle bite ça ?

Pour toute réponse j’essai de l’avaler entièrement en aspirant et léchouillant  tout ce que je peux. D’un doigt je lui caresse l’anus, ça provoque en lui un mouvement vers l’avant. Son sexe grandissant cogne ma glotte et me fait réagir. Mais je le bouffe encore. Il est presque bien.

Enfin dur, ou presque il se relève.

Reprend ta pipe à Max, à genoux.

Je me lève et reprends ma gâterie. Max aime bien mais reste calme.

Jean continue à me pénétrer de son concombre.

Il le retire.

Je sens sa langue puis ses doigts qui s’occupent de mon cul. Va-t-il oser m’enculer avec ce truc ?

Non, le concombre plonge à nouveau entre les lèvres de mon vagin. Il va et vient. Et si je préfère un vrai sexe, je dois avouer que le plaisir arrive. Encore quelques aller-retour en moi et je jouis. Un orgasme lent qui vient doucement.

Je suis toujours là, le concombre immobile au fond de mon vagin, ma bouche sur le sexe peu motivé de mon chien. Je reprends doucement contact avec la réalité lorsque je sens le sexe de Jean se présenter sur mon œillet.

Non pas par là !

J’ai trop envie de t’enculer ma belle, bouge pas.

Il écarte mes fesses et pousse son sexe mi-dur au fond de moi. C’est agréable.

Branle-toi avec le concombre.

Je me retrouve sur un avant bras, encore plus cambrée. Je prends le concombre et le fait bouger. Je ressens parfaitement le frottement sur mes chairs intimes là où il entre en contact avec le sexe de Jean. Agréable impression. Je soupire d’aise.

Tu aimes ça ma salope ! tu va en avoir.

Et il commence à me pilonner de plus en plus fermement. Me sentir ainsi enculée par cet homme si âgé, si charmant et si vulgaire à cet instant est tellement exceptionnel.

Je pense à Jean, j’aimerais lui faire ce cadeau un jour.

Non, lui il doit rester le confident.

Max veut se lever. Je le maintien. Si lui ne veut pas moi j’ai envi de sentir un sexe dans ma bouche.

« Jean » me sodomise longuement (c’est pour cela que j’ai des rapports avec lui, son sexe jamais très dur ne fait pas mal et il n’éjacule pas vite), j’ai le temps d’arriver encore avant qu’il ne me prévienne

J’arrive !

Je fais un petit bond en avant pour l’extraire de mon cul, évacue le concombre et me retourne avant qu’il ne se soit rendu compte de ce qui lui arrivait.

Ma main remplace mon sphincter et je le branle sur mes lèvres.

Il n’est pas surpris, nous finissons à peu prés toujours comme cela. J’aime son sperme, cette mâle liqueur que m’offrent mes amants. Je le tête jusqu’à ce qu’il s’écarte de moi et s’assoie sur le canapé.

Il reste du café ?

J’ai un peu de mal à atterrir

Oui, surement. Dis-je en me levant

On a pris notre café comme çà, moi nue, lui habillé mais le sexe à l’air, dépité, endormi.

Le soir j’ai tout raconté à mon mari. Je craignais sa réaction car il est aussi pervers que possessif mais il m’avait donné la permission je crois.

Nous avons fait l’amour comme des bêtes.

Merci mon Jean de m’accompagner ainsi.

 

 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Jeudi 16 juillet 4 16 /07 /Juil 12:29
Pour Yann,

Je m'excuse mais je n'ai pas (encore) réussi  mon gage.

Chez moi je suis trop connue (petite ville de province) et là où je passe mes petites vacances (souvent  mais pas longtemps) il y a vraiment trop de monde!
Donc faute de terrasse bondée de monde, voici une aire d'autoroute entre Toulouse et Narbonne vers 10h du matin, plus calme.

Par Yoni - Publié dans : exibition
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Mercredi 8 juillet 3 08 /07 /Juil 16:32

Pour Yann qui était mécontent ne n'avoir pas assez de photos !

Désolé Yann mais quand je vis mes excés je ne pense pas "photo". et c'est vrai que l'on aurait pu en faire de belles ce soir là !
pour me faire (un peu) pardonner je te donne celle là qui a été prise quelques jours avant !



Si cela ne suffit pas à me faire pardonner, je veux bien accepter un gage.

Peut-être penserais-je à me prendre en photo à cette occasion ?

Bisous moullés
Par Yoni - Publié dans : insertion - Communauté : libertinage et amateurisme
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Lundi 6 juillet 1 06 /07 /Juil 16:48

(A Jean, qui m’a guidée à cette époque très libertine et qui m’a aidée lorsque ça allait moins bien.)

 Cette photo ne me représente pas mais vous donnera une idée de  ce soir là : 

 

Ce récit remonte à quelques années. Epoque où, en quelques mois j’ai gouté à peu prés à tout. Période assez courte mais d’une rare intensité !

 

Je ne sais si je vous l’ai déjà écrit mais pour mes nouveaux lecteurs je me présente : je suis née en 1967 (aux prémices de l’aire libertine !), je suis assez mince (je suis restée très longtemps à 50 kg pour 1 m69), je suis naturellement bonde, presque platine lorsque j’étais enfant plutôt châtain aujourd’hui hélas. Parfois je triche un peu et je change de couleur mais rarement, j’ai en effet la chance d’avoir des « mèches » très claires ici et là d’autres moins, bref un balayage très riche 100% naturel qui s’éclaircie en été. Je frise cheveux courts mais comme je les garde longs et qu’ils sont épais ils tombent en jolies ondulations qui plaisent beaucoup à mon mari (moi je rêve d’avoir de cheveux lisses et parfois je passe des heures à les lisser).

 

J’ai la chance aujourd’hui (c’était un calvaire quand j’étais ado) de ne pas faire mon âge. A 20 ans j’en paraissais 15, et aujourd’hui encore on ne me donne souvent guère plus que la trentaine. Il faut dire que j’ai la chance de n’avoir quasiment pas de rides, un visage de gamine et de petits seins qui restent haut perchés et souvent très durs (ce qui était un inconvénient jeune lorsque mes amies mettaient en avant des seins opulents et agressifs alors que je cachais ma poitrine menue, devient un avantage certain… bien que j’adorerais avoir des seins plus gros !). Enfin je dirais que mes jambes restent ma fierté : très longues et fines j’adore marcher en talons-aiguilles (j’ai eue travaillé dans une parfumerie sur des talons de 14 cm et je m’y sentais bien. J’allais même en boite pour danser sur mes hauts talons. Aujourd’hui un accident m’a laissée les ligaments en compote et je ne peux plus les mettre. Dommage !)

 

La soirée dont je vous parle ce soir a eu lieu en 2003.

 

J’étais je pense au top de ma féminité et surtout en pleine tourmente libertine.

 

Je m’étais laissée emmenée dans des pratiques dingues et mon mari m’avais initiée aux clubs libertins.

Nous n’y sommes pas allés très souvent mais je dois avouer que cela c’était plutôt bien passé, rien de glauque où il m’a emmenée. Très rapidement je me suis prise au jeu de l’amour en public mais je n’avais été prise qu’une seule fois par un inconnu. Vous voyez, on est loin de la grande dépravation !

 

Le club où nous allions, prés de Toulouse (le Lov’inn… Je n’y suis plus allée depuis 5 ou 6 ans je ne sais même plus s’il existe encore), organisait parfois des soirées à thème. Ce soir là c’était simplement soirée « Carnaval ».

Costumes de rigueur !

 

Mon mari me disait sans arrêt (et encore aujourd’hui) qu’il adorait quand j’étais féline comme une chatte bien qu’il me trouvait plus chienne que jamais.

- Tu me veux comment pour notre soirée, chatte ou chienne ?

- -Je te veux chienne comme jamais mais dans un corps de chatte !

C’est comme cela que l’on a eu l’idée de CatWoman.

 

Ma tenue:

Sur ma très longue chevelure blonde (pas coupée depuis plusieurs années) j'avais un masque en similicuir qui recouvrait mon crane et descendait jusque sur l'arête du nez, avec les deux petites oreilles pointues.

 

Sur le corps un collant en lycra noir intense et un top identique (manches longues et col montant). Le collant avait une fente discrète sur une petite dizaine de cm (j'avais défait la couture, et reprise un peu plus loin), une ceinture large pour faire la liaison et mes bottes en cuir fin et talon haut.

 

Bien sur ni culotte, ni soutien gorge (autant dire que je semblais nue tant cette tenue me collait, on avait prévue une petite jupe noire au cas où ma tenue serait trop indécente et un manteau-cape).

 

L’accessoire que Jean connaît bien, gênant dans la voiture, était dans un sac pour le voyage (il s’agissait d’un plug sur lequel mon mari avait fixé comme une queue de cheval).

 

L'heure arrivait et j'étais encore excitée par notre après-midi frustration et plutôt que "l'eau à la bouche", c'est le goût du sperme de mes deux retraités et de Max qui me maintenait en haleine. (Excusez-moi je vous en parlerai plus longuement peut-être une autre fois mais disons que j’avais eu l’occasion de satisfaire mon goût pour les autres dans l’après-midi sans avoir la chance d’être satisfaite.)

 

Mon mari, toujours aussi pervers avait planifié, sans me le dire, pas mal de choses, il m'avait dit :

- Ce soir tout le monde aura le droit de caresser les parties couvertes de ton corps, pour le reste tu feras ce que tu veux.

 

J'étais bien-sur dans cet état et cette tenue en voiture (sans cape) et au péage (no coment !).

Une fois à Toulouse, nous avons pris un bout de rocade pour sortir à L’union (banlieue de Toulouse), il s'est arrêté devant un café-tabac et m'a dit :

-  Va m'acheter un paquet de cigarette s'il te plait... et laisse tomber la monnaie par terre, prends ton temps pour la ramasser!

Je saisi mon sac et ma cape

- Tu n'as pas besoin de ça pour si peu. me dit-il en retenant mon manteau.

 

Je sors dans la rue, un peu paniquée, des passants me croisent (et me toisent), je me précipite dans le café: pour un refuge c'est raté, en soirée il n'y a que des hommes, et pas les meilleurs je pense, ils me matent sans ménagement, je demande mes cigarettes en bégaillant, on me sert, mon cœur bat à 200, j'ai des picotements sous les bras et... je mouille comme une fontaine.

 

J'ai failli oublier de faire tomber la monnaie mais je tremble tellement (rien qu'à évoquer ce moment je tremble  à nouveau et etc.) que je la fait tomber. Je repense alors à mon mari, je le regarde par la vitrine et me baisse lentement, dos aux buveurs (la fente s'ouvre forcément et ils ne peuvent pas ne pas voir), pour ramasser mes sous.

J’entends vaguement des choses dans mon dos.

Je me lève et sors très vite.

 

Mon mari a reculé la voiture. Je ne la vois pas et commence à paniquer. Il me fait un appel de phare. J’ai presque 100 metres à faire en pleine ville !

J’entre dans la voiture.

Mon mari m'embrasse et redémarre.

 

(En me remémorant tout cela, je fantasme en pensant à ces hommes attablés. J’aurais du leur demander ce qu’ils disaient dans mon dos et, imaginant un :

- Dommage qu’on ne peut pas toucher !

Je répondrais :

- Tant que c’est sur une partie couverte vous avez le droit !

Alors ils se seraient levés et m’auraient caressée. Le patron aurait fait le tour du comptoir et mis le panneau : « fermé » sur la porte en croisant le regard de mon mari.

Et puis j’aurais fait comme cet après-midi avec mes amants, leur offrant mes lèvres en échange de leurs liqueurs. Mais gardant ma frustration pour mieux bruler dans la soirée…).

 

Nous arrivons au club. A la porte nous sommes reçus poliment mais assez froidement :

- Désolé madame, les pantalons sont interdits pour les dames.

- Mais c’est son costume ! lui dit mon mari.

- Désolé monsieur c’est la règle.

 

Nous retournons à la voiture, mon mari sort la mini jupe censée compléter mon costume au cas où il aurait été trop impudique (je n’ai pas osé montrer mon sexe au portier qui n’a vu qu’une combinaison noire !

 

Je retire la ceinture et entre dans la voiture pour me changer.

- Non ! Reste dehors c’est plus drôle !

Je retire mon collant et le pose sur le siège. Je me baisse en avant et  tends la main pour prendre ma jupe.

 

- Ma chérie tu as déjà des admirateurs !

Je me retourne machinalement. Un vigile et son rottweiler me regardaient. Les deux semblaient aussi intéressés l’un que l’autre.

Le vigile me fait un sourire et un clin d’œil discret. Mon mari n’en a rien vu. Nous nous connaissons déjà (tous les trois) mais cela est une autre histoire dont mon cher et tendre n’a pas connaissance. Mais vous l’avez compris, nous sommes déjà venu ici…

Je reprends où j’en étais, écartant légèrement un pied pour que, me baissant pour récupérer ma jupe, je puisse leur offrir un petit cadeau.

 

Je m’habille (si je puis dire). Mon mari récupère le collant pour le glisser dans mon sac. Et nous nous représentons à l’entrée. Sans problème ce coup-ci.

 

Je n’ai encore ni mon masque ni mon accessoire.

Nous allons d’abord au restaurant du club.

 

Repas sans histoire. Fin, assez « pimenté » mais comme nous sommes entre libertins, il n’y a pas d’exhibition ici. Donc repas presque bourgeois.

Vers 23 heures nous sommes dans la partie discothèque. L’ambiance est sympa comme à l’accoutumé. Le patron lui-même viens nous saluer et, avec des termes très courtois me complimente sur mes jambes « qui semblent indiquer un puits de perdition » (je cite) mais regrette que je n’ai pu trouver de costume pour faire la fête du carnaval. Nous lui racontons notre mésaventure.

- Quel idiot je vais le …

- Non, s’il vous plait ! nous ne venons pas ici pour entendre crier, ce n’est pas grave !

-Ok. Excusez-nous ! Habillez-vous comme vous le désirez madame, vous êtes ici chez vous.

Il nous salue et s’en retourne.

 

- Ma chérie, et si tu allais te faire chatte ? Encore plus que tu ne l’es.

Je prends mon sac et me lève pour aller vers les toilettes.

- N’oublie pas ton accessoire !

- Je n’oserai pas.

- Alors je te le mettrais moi ici quand tu reviens.

- Grrr !

Et je me sauve.

 

Arrivée aux toilettes, disponibles et propres, j’en profite pour me soulager un peu et remets mon collant et ma ceinture (la jupe le remplace dans mon sac). Je prends le plug et le présente mais ça ne passe pas (et j’ai oublié le gel).

Je salive alors mon index et viens mouiller mon petit trou (et dans l’état où je suis depuis cet aprèm l’effet est immédiat : c’est bon !). J’insiste un peu pour être sûre… glissant mon doigt assez loin (vraiment c’est bien meilleur qu’une grosse brute qui vous prend sans ménagement !) et faisant de lents mouvements pour m’assouplir (parce que c’est bon) avant de mettre la chose. Puis je me résous à réessayer. Je le léchouille un peu d’abord puis le prends dans ma bouche pour le tremper. (Il est propre mais le goût du plastique ne vaudra jamais celui d’un sexe mâle bien vivant !). Il entre dans moi plus facilement. J’aime quand la partie large passe et que mon petit trou se referme dessus.

Je retourne déguisée à ma table.

 

Mon mari m’embrasse.

Je m’assois mais ce n’est pas simple avec ça là ! Il me faut trouver une position confortable. Ce sera sur le coté, en chien de fusil ou presque.

Nous commençons la soirée. C’est sympa et il est vrai que ces déguisement donne une ambiance assez surréaliste à la soirée car personne n’a osé la faute de goût du masque grotesque acheté pour le carnaval des rues. Nous sommes entre gens assez fins manifestement même si nous restons dans la caricature : les hommes sont majoritairement restés de grands enfants (cowboys, indiens, pompiers, militaire…) et les femmes des fantasmes masculins (geishas, infirmières, hôtesses de l’air…) bien que certaines affichent un coté masculin (policières très sexy). Peu de super héros.

A l’entrée nous avions reçu un numéro en nous recommandant de ne pas le perdre (loterie ?). J’ai compris lorsque le DJ a annoncé que nous allions faire, pour celles qui voulaient, un jeu pour désigner la reine du carnaval.

 

A l’appel de notre numéro nous devrions aller danser dans l’une des deux cages d’exhibition pour des duels de sensualité. Au terme du jeu la reine aurait droit au champagne à volonté pour la soirée et un repas avec son amoureux quand elle le voudrait. Et les hommes ? Simple spectateurs ! Cela aurait pu m’amuser de voir mon homme en maillot de bain et tee-shirt rouge d’alerte à Malibu danser tout seul devant tout le monde. Peut-être ce sera pour plus tard.

 

- Les nmr 1 et nmr 2 sont invitée à venir sur scène sous vos applaudissements les amis.

 

Numéro 1 est une dame presque la cinquantaine habillée en marquise. Mais vraiment j’aimerais être comme elle à 50 ans. Droite, fière, fine et des seins explosant des son corsage.

 

Numéro 2 ne viens pas. Le DJ insiste gentiment mais l’excuse aussitôt. Tout doit être consenti, accepter, volontaire et seul le plaisir doit nous guider ici. Elle sera la bienvenue si elle veut rejoindre le jeu plus tard.

 

Numéro 3 est une jeune punk, en tous cas déguisée comme telle.

 

La danse commence. Le paradoxe est tellement grand entre la jeunette et la femme mûre, la provoc et la classe, le sexe et la sensualité… Et c’était un concours de sensualité. Madame gagne. Un animateur lui apporte une coupe de champagne au sortir de sa cage et le DJ la félicite. La jeune punk y a droit aussi avec un petit mot gentil.

 

Le spectacle de ces danses lascives de femmes costumées dans les cages est plus que troublant et bien que je n’ai aucune pulsion homosexuelle, je m’avoue plus que troublée. J’en avais oublié mon numéro.

- C’est au tour des 18 et 19 pour venir nous étourdir.

 

18 est une infirmière en jupe et haut de latex blanc. Une belle fille.

- 19 est une timide je crois ! Allo 19 !

- Chérie c’est à toi !

 

Et mon mari se lève et m’aide à me mette sur mes pieds. J’avance dans un nuage. J’ai peur ! Mes hauts talons et mes chevilles froides ne me donnent pas une belle démarche. Je me sens ridicule. J’ai honte. Une sensation se réveille dans mes fesses. Mon Dieu, je l’avais oublié celui-là. Ma honte et ma peur sont à son comble. J’avance aussi lentement que possible.

- La panthère noire dans la cage ! Crie quelqu’un.

Je suis seule au milieu de la piste pour rejoindre la cage libre. Je deviens folle. De nouveaux cris finissent de me faire perdre la tête

- La panthère, La panthère…

Je sens mes jambes défaillir et je tombe.

Mon mari et un autre homme se précipitent :

- Ça va ? tu veux qu’on rentre ?

- Non merci. Ça va aller.

Sans me relever, j’avance à quatre pattes. Lentement. Tout le monde doit voir ma queue de panthère qui caresse mes fesses noires.

 

J’arrive enfin devant ma cage. Je la regarde sans avancer, puis regarde l’assistance.

Un homme comprends, se précipite et l’ouvre. S’accompagnant d’un grand geste il crie

- Yaah !

J’entre dans la cage

 

La musique commence. Je m’autorise un tour complet à quatre pattes dans chaque sens avant de me lever, tel le fauve en cage! Et de danser. Libérée dans cette cage.

 

Moment inoubliable de stress et d’émotion. J’ai adoré (après).

 

L’infirmière bien plus belle que moi n’a eu aucune chance ! Le public m’étais acquis.

 

Plus tard dans la soirée il y a eu un deuxième tour. Toujours sans avoir le droit à l’effeuillage. Gagné également

 

Puis un avant dernier tour. Nous avions le droit à un effeuillage limité à deux articles (zéro au premier tour).

 

J’étais face à une rousse-auburn d’une petite trentaine d’année, jeune mariée. En dansant elle a retiré sa robe, ne gardant que son bibi dans les cheveux avec ce voile délicat devant les yeux, un corsage qui mettait en valeur sa taille et ses seins, un porte-jarretelles et des bas blancs, un string en dentelle et des escarpins plus haut que les miens.

 

Moi je n’avais rien à enlever qui aurait pu me rentre plus sexy alors je m’amusais à me jeter contre la cage bras et jambes écartés pour me dévoiler sans le dire.

Et puis elle a retiré son string. Cette jeune mariée toute de blanc vêtue face à une panthère noire qui ne créait plus la surprise. J’ai perdu.

Le patron lui-même est venu féliciter la première finaliste. Elle a scotcher tout le monde en annonçant.

- Je me sentais à l’aise car je n’étais pas vraiment déguisée. Nous nous sommes mariés au printemps dernier et on cherchait une occasion d’annoncer mes bonnes résolutions.

- Et ces bonnes résolutions sont … lança le patron du club,

- J’ai enlevé ma culotte pour la dernière fois.

- Pardon ?

- Mon chéri m’a demandé de ne plus en porter, c’était la dernière fois !

- Waouh ! On l’applaudi et on espère vous voir très souvent parmi nous.

 

Et il s’approche de moi :

- Notre panthère préférée s’est fait croquer par une jeune mariée. Pas trop déçue ?

- Non bien sûr on est là pour s’amuser et on s’amuse.

- Et on l’applaudi aussi ! Ah, au fait vous n’avez pas une annonce libertine à nous faire à la suite de notre petite effrontée ? Mais vous semblez déjà peu concernée par les culottes.

- Non pas vraiment !

Mon mari se précipite alors :

- Tu devrais leur dire les règles pour ce soir ma chérie, si personne ne sait…

Le patron reprend le micro très intéressé

- Les amis on a quelque chose de croustillant qui arrive… Chère amie dites-nous :

- Et bien ce soir toutes mes parties couvertes sont offertes sans restrictions aux caresses de qui veux, pour le reste je suis libre.

- Re-waouh !!! on peut vérifier ?

Bien sûr

Il approche sa main et la pose sur mon sein droit. Il le caresse

- Je crois que certains vont regretter notre panthère ! dit le patron sans cesser de me caresser. Puis il reprend :

- Mes amis en attendant la finale je propose à Catwoman de danser pour nous dans la cage afin que chacun puisse se faire une idée de vos parties couvertes. Vous êtes partants ma chère ?

Je me pince les lèvres, morte de trouille et murmure un petit

- Oui bien sûr

- DJ (je ne me souviens pas de son nom) met nous quelque chose de doux et sensuel s’il te plait, une série de bons vieux slows.

Et je me retrouve dans la cage à danser très lentement sur une musique douce. Des hommes s’avancent, quelques femmes aussi. Des mains s’avancent. Elles me font peur quelques secondes mais les sourires me rassurent. Elles me caressent.

Je me colle alors à la cage. Une bouche vient se poser sur l’un de mes seins, puis une autre. Mes tétons me font mal. Des mains caressent mes reins. Je sens mon plug bouger, quelqu’un doit tirer sur ma queue. Ha ! Il est sorti ; Hmm il revient et se loge dans mon ventre. Ça recommence. Encore. Un doigt vient caresser mon sexe. Il n’y a pas droit, si je refuse. Je le laisse faire. Il glisse maintenant 2 doigts dans mon sexe. Mon plug s’agite toujours, mes tétons me font presque mal. Je hurle ma jouissance et m’écroule.

 

La musique continue, douce.

Mes mains restent accrochées aux barreaux. Des mains me caressent encore. Gentiment. C’est agréable. Mes yeux voient mieux après cet orgasme libérateur. Je reprends un peu mes esprits en restant ailleurs. Je vois des sexes d’hommes à travers les barreaux. Celui-là est beau. Hmm et en plus il est bon. Je le mange toute à mon envie oubliant ces mains qui me caressent. Mais mon beau mâle ne tient pas longtemps et faute de champagne il m’offre une liqueur épaisse et enivrante. Bonne. Mes yeux se portent vers un monsieur qui semble âgé, j’ai envie de lui donner ce plaisir. Il résiste plus longtemps avant de se répandre. Je me rappelle en avoir satisfait un autre. Qu’il m’excuse s’il me lit aujourd’hui, je ne m’en souviens pas plus.

Après j’ai voulu sortir et boire un verre bien frais. Le patron a annoncé la fin de ma participation et m’a accompagnée au bar. Mon mari nous y a rejoints. Assise sur un haut tabouret je lui ai dis un peu lasse :

- Enlève moi ce machin j’ai envie de toi.

Le patron nous servait du champagne frais pendant que mon mari retirait le plug et le posait sur le comptoir.

- Viens ! lui dis-je

-Où ça ?

- Comme tu veux.

Il me prit par les hanche pour que mes fesses dépassent bien du tabouret et entra dans mon sexe sans difficulté tant il était trempé.

- Doucement ! lui dis-je, Tout doucement, je veux en profiter

Je pris ma coupe de champagne el la bu lentement pendant que mon mari me prenait tout aussi lentement. Pendant ce temps, le patron me faisait la conversation.

Mon mari se sentant arriver et sachant mon goût pour la chose me dit

- Tu veux que le patron me remplace  pendant que j’arrive entre tes lèvres ?

- Oui

Le patron qui n’était pas sourd fit le tour du comptoir et sorti son sexe pendant que mon mari sortait de moi. Puis pendant qu’il me présentait son sexe trempé pour que je le prenne dans ma bouche, je senti le patron me perpétrer avec autant de douceur que d’assurance (et avec préservatif ce qui va de soi en club).

Sentant mon mari gonfler. Je fis une pause et souffla sur sa verge pour le calmer.

- Doucement mon chéri, doucement.

Et d’une main je saisi la base du sexe du patron pour le faire sortir aussi mais sans rien lui dire je le positionnais juste à coté et tirais un peu pour lui montrer la voie. Il s’enfonça dans mes fesses avec beaucoup de douceur encore. Un vrai gentleman. Mais planté au font de moi il m’arracha un petit cri.

- Monsieur a remplacé le plug ? me demanda mon mari

- Oui, j’en avais envie. Allez-y maintenant ne vous arrêtez plus j’ai envie de vous.

Mon mari ne pu se retenir que quelque secondes et m’offrit je crois la plus belle rasade qu’il m’ait jamais offerte. Quand à l’hôte de mon séant, il prit encore un moment, accélérant et renforçant ses coups de reins sans me causer de douleur, m’offrant un orgasme de rêve : un sexe aussi viril que délicat au fond de moi et le sexe de mon chéri entre mes lèvres, sa liqueur présente sur ma langue et sa virilité renaissante qui me disait « ma chérie tu en auras d’autres ».

Bisous mouillés à tous.

 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 14 juin 7 14 /06 /Juin 23:26
Oui, j’aurais adoré…

Jean m’a demandé si j’aurais aimé profiter des ces jeunes gens si mon mari n’était pas là.

En fait j’aurais adoré qu’il reste et assiste à ce qu’il a provoqué.
Bien sur je n’ai pas osé et même en l’absence des pêcheurs et autres promeneurs, je n’aurais probablement pas osé. Mais peut-être qui si nous avions été vraiment seuls sur cette plage et que debout face à moi l’un d’eux m’avait présenté son sexe alors peut-être aurais-je cédé comme il m’ait déjà arrivé de céder.
Et j’aurais adoré le faire en sachant mon mari pas loin qui regardait.

Souvenez-vous Jean, ce devait être fin 2002 peut être 2003 lorsque nous avons commencé à fréquenter les clubs chauds de Toulouse. La première fois que j’ai osé avoir des relations sexuelles (avec mon mari) en présence d’inconnus. Mon mari était assis sur un fauteuil et moi sur lui, ma jupe relevée, empalée sur lui. Les hommes autour se masturbaient tout prés et j’ai même reçu quelques gouttes (très peu) sur mon visage.
Le lendemain à la maison mon mari m’a demandé mes impressions et surtout, connaissant mon goût pour la chose, si je n’avais pas été tenté de le prendre dans ma bouche…
Bien sûr, évidemment, mais je n’avais pas osé ! Il m’a presque engueulée me disant que nous allions là pour nous faire plaisir et que si j’en avais envie pourquoi me priver. Ce que je fis le coup d’après.

 Alors sur cette plage, nue, assise en tailleur, le sexe grand ouvert avec quatre beaux garçons rien que pour moi… quelle femme pourrait dire en toute honnêteté ne pas avoir envie d’en profiter. Oh oui alors, ils auraient pu me demander n’importe quoi je sais que j’aurais adoré et mon envie était renforcé par la présence de mon mari qui, après m’avoir entraînée dans la débauche, a tout arrêté quand sa jalousie et sa possessivité sont devenues plus fortes que son excitation à se servir de moi comme d’un jouet sexuel. Ce jour là, il avait eu envie de m’exhiber un peu, sans risque…

alors oui j’aurais adoré qu’ils me fassent milles choses et qu’au bout je puisse les prendre dans ma bouche pour m’enivrer de cette liqueur chérie. Laquelle m'aurait la plus enivrrée. La première, toujours émouvante, ou celle-ci  un peu douce-amère, ou celle-là trop épaisse pour glisser dans ma gorge sans saliver un peu avant de déglutir enfin ou la dernier goutte  tirée du dernier des combattants, rendant les armes entres mes levres... peu importe je vous aime tant!
Par Yoni - Publié dans : libertine
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