Premier épisode : « la jeune femme naïve »
Tout commence il y a longtemps, j’avais 25 ans à peine, mariée depuis 5 ans.
Nous venions d’emménager dans un quartier résidentiel après 6 ans en appartement. Petit jardin privatif coté garrigue et garage coté rue. Nous étions la dernière rangée de maison et à part les quelques voisin le coin était très calme.
Nos voisins directs étaient transparents, ce qui nous allait bien, et les autres très discrets.
Beaucoup de garages étaient insuffisants (une seule place ou utilisés comme « cave ») et quelques voitures ou camionnette (un voisin artisan) étaient gérées le long du trottoir, sans gêner.
Mon mari allait travailler assez tôt, il partait un peu avant 7 heures, avant que le quartier ne s’éveille.
Jamais (encore aujourd’hui) je ne le laisse partir sans mon bisou.
Ce matin là, je ne me souviens plus très bien… réveil en panne ou souci… Il se dépêche et je l’aide en ouvrant la porte du garage et le portail. Il démarre et se retrouve dehors prêt à partir.
Fenêtre baissée il me lance un bisou… j’en veux un vrai et me précipite pour l’embrasser avant qu’il ne parte.
Rien d’anormal ni d’excitant, c’est vrai. Juste que moi je suis encore en nuisette. Une petite nuisette en soie noire et dentelles qui ne cache pas grand-chose (et je ne dors pas avec culotte et soutien-gorge).
Rien d’anormal ni d’excitant si ce n’est que, pendant que je suis penchée en avant pour embrasser mon chéri dans la voiture, mon artisan est sorti pour rejoindre sa camionnette. Il est vrai que je ne pouvais pas le voir, il était juste derrière moi.
Rien d’anormal ni d’excitant jusqu’à ce que mon mari me susurre à l’oreille, tout en me tenant aussi doucement que fermement dans ma position (il avait passé son bras par la fenêtre de sa voiture et posé sa main sur mes reins ce qui avait pour effet de relever encore ma nuisette qui, sans cela, ne cachait déjà rien de mon intimité à mon beau voisin.) :
Reste un peu comme cela ma chérie, je vais être excité toute la journée et ce soir je m’occupe de toi encore plus que d’habitude.
Pourquoi ? lui ais-je demandé sans malice.
Parce que j’ai une belle femme et que j’aime quand les voisins bavent toi.
Je me retourne brusquement et machinalement. Mon artisan me salue discrètement d’un geste de la tête. Je passe du rose pâle ou rouge vif en moins d’une seconde !
Tu sauras lui résister ou je reste à la maison ? Me demande mon goujat de mari
Vas t-en espèce de malotru… et reviens vite.
Je l’embrasse et file me réfugier dans la maison.
Enfin seule, je ne peux m’empêcher de penser à ce voisin plutôt séduisant. Certes il n’a pas trop le profil des hommes que j’ai fréquenté jusqu’alors, plutôt rustique. Façon joueur de rugby : grand, carré, puissant… excitant !
J’avoue m’être donnée du plaisir toute seule en pensant à ses grosses mains sur moi, et au reste de son corps…
Lorsque mon mari est rentré, il n’en a pas parlé jusqu’à ce que nous nous retrouvions pour notre câlin du soir.
Alors que je suis en train de lui faire une petite gâterie et qu’il me pénètre d’une bougie (on a acheté nos premiers sex-toys à cette époque), il me dit :
Ferme les yeux.
Mange-moi comme tu aimes le faire.
Dis-moi que tu aimes.
Mmm ! J’adore te manger, j’aimerai me nourrir que de ça !
Puis, alors qu’il fait aller et venir la grosse bougie dans mon sexe il reprend
Et celle-là tu n’aimerais pas la manger aussi ?
De la bougie ? Beurk ! Je préfère la vraie
Mais non pas la bougie… Garde les yeux fermés et imagine
« nous sommes encore dans la rue ce matin, tu es penchée par la fenêtre t tu me fais une gâterie dans la voiture… Et notre voisin est tellement excité que sa bite est plus dure que jamais,
et il est en toi, tu la sens ? » (il s’enfonce plus brutalement)
Aie !
Oui il te fait un peu mal mais tu es si excitante qu’il ne peut pas se retenir le bougre !
Il agite la bougie dans mon ventre et semble vouloir que je l’avale d’avantage. Je ne mense plus à cette bougie. J’ai le sexe du voisin dans mon vagin, violent, puissant, fabuleux. Je joui avec une intensité rare.
Mon mari aussi et se répands dans ma bouche. Je le garde ainsi un moment.
Je suis apaisée, j’aime le gout de son plaisir, je fais durer le mien. Plaisir de gourmande amoureuse et sereine.
Lorsqu’il reprend vigueur, nous enchaînons sur des « positions » plus classiques…
On n’a jamais réitéré cette exhibition involontaire et je n’ai jamais adressé la parole à ce voisin voyeur malgré lui.
Intermède 1
Depuis 15 ans, nous avons eu, mon mari et moi, l’occasion de gouter à des situations bien plus perverses, mais nous parlons de temps en temps de ce moment lourd d’émotion et, lorsque nous étions (2002-2003) à l’acmé de notre parcours libertin, mon mari m’a souvent dit :
Dommage qu’on ait loupé cette occasion. C’aurait pu être assez génial.
De me faire prendre dans la rue ? T’es dingue !
Non, peut-être pas, mais avoue que la situation était « caliente ».
Depuis nous avons déménagé plusieurs fois et actuellement nous habitons en banlieue toulousaine dans un quartier résidentiel, au fond d’une voie privée sans issue, avec très peu de passages et des voisins très discrets… l’histoire se répète ! Sauf que, faute d’un voisin rugbyman, il n’y a que des (très) retraités.
Je ne vais pas me plaindre quand même. L’un de mes deux voisins (plus de 70 ans aujourd’hui) a eu assez souvent l’occasion de passer à la maison et pas forcément pour boire une verveine (mais cela fera l’objet d’autres épisodes).
Disons que depuis 15 ans la jeune femme naïve et bien élevée est devenue plus libre. J’assume mon plaisir et me fiche de ce que l’on peut penser de moi. Tant que j’ai la chance de vivre et de disposer d’un corps sensible et encore assez attirant je ne vais pas me gêner.
Intermède 2 : Jean
En 2002 j’ai connu un homme sur un forum. Je lui ais confié mes premiers états d’âme et mes craintes aussi. Je croyais être une « soumis » car j’adorais être le jouet un peu « irresponsable » d’une situation, alors je lui ais demandé d’être mon maître (j’ai demandé à un ou deux autres). Cela n’a pas marché ! Je suis une insoumise, je n’en fais qu’à ma tête, je suis juste une libertine hypocrite qui recherche l’irresponsabilité afin de ne pas culpabiliser (bon, maintenant je ne me pose plus ces questions). Jean a su me garder. Etre gentil.
Peut-être devrais-je lui en vouloir car au lieu de me ramener vers une vie plus normale, lui qui pourrait être mon père (65 ans) m’a au contraire incitée à aller de l’avant. Même lorsque je lui parlais de mes amours avec Max (mon chien) il me poussait à aller plus loin. Lorsque je lui disais fantasmer sur l’âne du voisin (3 maisons plus loin), il a essayé de me faire passer à l’acte (pas fait trop peur !). Malgré cette mauvaise conscience, mon Gepetto lubrique, il a toujours été là lorsque je passais de mauvais moment (la débauche n’est pas un long fleuve tranquille). Et je crois que je l’aime d’un amour platonique autant qu’incestueux.
Si je lui ais envoyé des photos de moi régulièrement (visage non flouté), je n’ai jamais voulu avoir des photos de lui.
Il y a peu j’en ais eu envie. J’ai aimé ce visage de papy dégarni.
J’ai aimé, sur cet autre cliché, cette barre de chair que l’on a envie de faire fondre sur la langue.
Il voudrait, depuis longtemps, que je lui raconte mes aventures amoureuses avec des mots crus. Je ne l’ais jamais fait. Je n’aime pas cela. Mais je luis avais promis que ma prochaine bêtise fera l’objet d’un texte plus cru.
C’était hier.
Deuxième épisode : « une épouse libertine »
Hier. 21 juillet 2009.
Mon mari doit partir de bonne heure. Il est 06h45 et je vais ouvrir le portail (j’en profite pour prendre le journal, le livreur vient de passer je l’ai entendu).
La voiture avance, mon mari a ouvert la fenêtre pour m’embrasser.
Je me penche pour mon bisou, sa main m’enlace et relève le tissu léger de ma nuisette (aussi légère qu’il y a 15 ans). J’aime cette caresse.
J’entends des pas à coté. Mon voisin vient lui aussi prendre son journal (il a entendu aussi le livreur).
Il est à quelques mètres de moi. J’embrasse encore mon chéri en écartant légèrement les jambes pour plus de stabilité (oui, je suis une hypocrite). Je sens une petite Tramontane fraiche remonter le long de mes jambes et caresser mon sexe déjà humide. J’ai un frisson.
Pourquoi ce frisson ? tu as froid ? Ou tu veux que je reste ?
Non merci, ça ira ! Et puis sinon je demanderais de l’aide à monsieur Martin.
Dis donc toi, tu crois que je peux te laisser dans cet état ?
Non, mais tu dois partir. Gros bisous !
Il râlouille en plaisantant et surtout en me demandant de lui en garder pour ce soir. Sous entendu, je peux en donner un peu.
Et il démarre.
Je reste debout sur le chemin, je lui fais un coucou machinal de la main (ma nuisette ne supporte pas cela) et, mon voisin se trouvant à présent entre mon mari et moi, je ne peux l’ignorer et le salue également.
Encore parti ? Me demande monsieur Martin, connaissant un peu le boulot de mon mari.
Oui, mais il rentre en fin de semaine.
N’hésitez-pas si vous avez besoin de quoi que ce soit !
Merci monsieur Martin… et n’hésitez pas à passer me voir si vous voulez.
C’est sorti comme ça, vraiment, sans malice.
Je m’en retourne chez moi, M. Marin aussi.
5 minutes à peine sont écoulée que quelqu’un frappe à la porte. Je vais ouvrir.
Re-bonjour, mon épouse dort encore, elle ne se lève pas avant 9 heures et je me suis dis que l’on pourrait boire le café ensemble et papoter un peu. Et puis je vous ais amener quelques produits du jardin (quelques salades, et un solide concombre dont je doute sincèrement de la provenance – je remercie sans relever)
Entrez, il est prêt, j’en fais toujours une cafetière pleine.
Je nous sers dans des mugs en grès que l’on peu garder en main, c’est un contact chaud et doux que j’aime autant que le café qu’il contient. Nous nous installons au salon, par habitude (chez eux il m’est arrivé d’en prendre avec madame, mais ça se passe à la cuisine, chez moi c’est rare).
Bien installés, nous commençons à boire en engageant la conversation.
M. Martin s’arrête au milieu d’une phrase, le regard perdu dans le triangle de mes jambes dont rien ne cache le « trésor » comme Jean l’appelle. Le moindre de mes mouvements laisse apparaître la peau rose de mon pubis toujours rasé et M. Martin doit entrevoir les lèvres de temps à autre.
Votre mari a vraiment de la chance d’avoir une femme comme vous !
Si belle, si libre !
Et si gourmande ! me suis-je surprise à ajouter.
Je pose ma tasse et m’approche de lui. Je m’agenouille et en parlant pose mes mains sur sa ceinture pour commencer à le déshabiller :
Vous savez, j’ai un ami, ou plutôt un confident à qui je me confie mais auquel je ne veux jamais céder pour préserver la magie de nos rapports. Il est un peu plus jeune que vous et rêve de moi en train de lui faire l’amour en parlant avec des mots crus. Vous pouvez m’aider ?
Bien sur ma chère voisine mais alors, au moins pour ce matin tu oublie les « vous » et les « monsieur » et tu te lâche.
Bien maître !
Déshabille-moi vite.
Oui, je veux te bite dans ma bouche, ça fait longtemps que je ne l’ais pas eu.
Je libère son sexe et l’avale d’un trait
Mmm ! c’est bon !
Pour moi aussi me dit « Jean » (je l’appelle comme cela, ce n’est pas son vrai prénom mais ainsi je pense d’avantage au vrai « Jean » mon vieux confident, mon Gepetto pervers), Passe bien ta langue dessous, Oui comme ça.
Son vieux sexe mou a du mal a durcir mais je le connais je sais qu’il va gonfler. Je m’applique.
A cet instant je pense à mon confident, le vrai Jean avec qui je baise si souvent par procuration. J’essai d’imaginer le goût de son sexe.
Il attrape le bas de ma nuisette et la remonte, je suis obligée de le lâcher un instant pour qu’il la retire totalement. Je suis nue.
Où est Max ? Va le chercher.
Il doit être dehors !
Va le chercher.
Je me lève, attrape ma nuisette
Laisse tu n’en as plus besoin aujourd’hui.
Je me lève et descends, nue, dans le jardin. Certes il est clôturé et de belles haies me protège des vue mais la descente des escaliers (maison à un étage), coté rue, me laisse à la merci de quiconque passerait par là ou de mon voisin d’en face.
Sitôt en bas, Max vient me faire des fêtes. Je le caresse et le fait entrer.
La montée des marches ne vaut probablement pas Cannes mais c’est impressionnant tout de même. Malgré mes extravagances et perversions, je ne me suis jamais habituée à l’exhibition et cela m’émeut toujours autant (sans quoi j’arrêterais d’ailleurs).
« Jean » se branle doucement en m’attendant.
Max t’as baisé ces jours-ci ?
Non, cela fait longtemps d’ailleurs.
Lèche le, bouffe-le comme tu viens de me bouffer.
Je me glisse au sol et caresse mon chien qui se laisse faire volontiers. C’est vrai que cela fait des mois qu’il n’y a plus droit. Mon mari ne veut plus et, honnêtement, je suis assez comblée avec lui sans avoir à me faire mon chien. Son sexe est doux. Je le caresse mais il ne semble pas avoir envie.
Lèche-le.
Je m’exécute, titillant du bout de la langue l’extrémité de son sexe mais rien ne se passe.
Branle-le.
Je le caresse, tire un peu son prépuce pour faire sortir son vrai sexe… malgré mes bisous et mes léchouille il ne veut pas de moi. Je suis un peu vexée, il n m’avait pas habituée à ça.
Il ne veut pas je crois ! Dis-je à mon vieil amant.
Continue. Dit-il en se levant
J’entends de l’eau couler, Jean revient avec son concombre à la main.
Je me suis dit que si je ne pouvais assurer il pourrait m’aider. Couche-toi sur le dos.
Il s’installe sur moi en 69 et me donne son sexe un peu mou à manger puis viens me bouffer la moule. Très vite je sens le bout dur et froid du concombre (sincèrement messieurs, une belle bite vaut bien mieux que tous les trucs que vous me fourrez dans le vagin ou le cul).
Alors c’est pas une belle bite ça ?
Pour toute réponse j’essai de l’avaler entièrement en aspirant et léchouillant tout ce que je peux. D’un doigt je lui caresse l’anus, ça provoque en lui un mouvement vers l’avant. Son sexe grandissant cogne ma glotte et me fait réagir. Mais je le bouffe encore. Il est presque bien.
Enfin dur, ou presque il se relève.
Reprend ta pipe à Max, à genoux.
Je me lève et reprends ma gâterie. Max aime bien mais reste calme.
Jean continue à me pénétrer de son concombre.
Il le retire.
Je sens sa langue puis ses doigts qui s’occupent de mon cul. Va-t-il oser m’enculer avec ce truc ?
Non, le concombre plonge à nouveau entre les lèvres de mon vagin. Il va et vient. Et si je préfère un vrai sexe, je dois avouer que le plaisir arrive. Encore quelques aller-retour en moi et je jouis. Un orgasme lent qui vient doucement.
Je suis toujours là, le concombre immobile au fond de mon vagin, ma bouche sur le sexe peu motivé de mon chien. Je reprends doucement contact avec la réalité lorsque je sens le sexe de Jean se présenter sur mon œillet.
Non pas par là !
J’ai trop envie de t’enculer ma belle, bouge pas.
Il écarte mes fesses et pousse son sexe mi-dur au fond de moi. C’est agréable.
Branle-toi avec le concombre.
Je me retrouve sur un avant bras, encore plus cambrée. Je prends le concombre et le fait bouger. Je ressens parfaitement le frottement sur mes chairs intimes là où il entre en contact avec le sexe de Jean. Agréable impression. Je soupire d’aise.
Tu aimes ça ma salope ! tu va en avoir.
Et il commence à me pilonner de plus en plus fermement. Me sentir ainsi enculée par cet homme si âgé, si charmant et si vulgaire à cet instant est tellement exceptionnel.
Je pense à Jean, j’aimerais lui faire ce cadeau un jour.
Non, lui il doit rester le confident.
Max veut se lever. Je le maintien. Si lui ne veut pas moi j’ai envi de sentir un sexe dans ma bouche.
« Jean » me sodomise longuement (c’est pour cela que j’ai des rapports avec lui, son sexe jamais très dur ne fait pas mal et il n’éjacule pas vite), j’ai le temps d’arriver encore avant qu’il ne me prévienne
J’arrive !
Je fais un petit bond en avant pour l’extraire de mon cul, évacue le concombre et me retourne avant qu’il ne se soit rendu compte de ce qui lui arrivait.
Ma main remplace mon sphincter et je le branle sur mes lèvres.
Il n’est pas surpris, nous finissons à peu prés toujours comme cela. J’aime son sperme, cette mâle liqueur que m’offrent mes amants. Je le tête jusqu’à ce qu’il s’écarte de moi et s’assoie sur le canapé.
Il reste du café ?
J’ai un peu de mal à atterrir
Oui, surement. Dis-je en me levant
On a pris notre café comme çà, moi nue, lui habillé mais le sexe à l’air, dépité, endormi.
Le soir j’ai tout raconté à mon mari. Je craignais sa réaction car il est aussi pervers que possessif mais il m’avait donné la permission je crois.
Nous avons fait l’amour comme des bêtes.
Merci mon Jean de m’accompagner ainsi.
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