Mercredi 10 février 3 10 /02 /Fév 23:06
aimes-tu.jpg J’aime juste quand, rasé de prés, tu poses ta joue là, si prés de ce plaisir qui t’attend.
J’aime quand tu n’y fais rien, endormi ou presque, posé au creux de mon aine.
Je sens ton souffle caresser mon intimité.
Mes sens s’éveillent doucement.
J’aimerais que tu t’occupe de moi mais on est si bien ainsi !
-
J’aime quand tu n’oses pas, ou devrais-je dire quand tu veux m’obliger à te supplier.
J’aime quand ta langue glisse sur ma peau, explorant chaque millimètre sans se risquer à goûter au fruit défendu. Mon ventre se serre, se noue.
Je meure d’envie de plonger mes doigts dans tes cheveux pour que tu mettes fin au supplice ! je me retiens. J’aime ce supplice et je sais que tu aime me sentir ainsi.
J’aime quand, alors que je me cambre à me briser les reins pour t’obliger à m’embrasser vraiment, tu viens mordre l’arrête qui sépare ces fossettes que tu aimes tant.
 -
J’aime quand tu ne me touches plus, quand tu restes là à quelques centimètres de ta proie, immobile.
J’aime quand tu souffles, un souffle lent et régulier, sur mes lèvres ouvertes. J’aime quand ton souffle se concentre sur mon clitoris brulant du désir de toi. J’aime ce souffle qui ne saurait sécher ce miel qui coule de moi et t’enivre malgré toi.
-
J’aime quand, toujours immobile tu plantes ton regard dans le mien.
J’aime cette promesse muette.
J’aime quand, ne me lâchant pas du regard tu ouvre doucement la bouche, tout doucement
Et que tu plonge comme un cobra sur une proie pourtant toute offerte.
 -
 J’aime cette violence libératoire qui me transperce et me fait jouir dans la seconde !
J’aime me sentir comme un papillon épinglé par un naturaliste sadique, ta langue me transperce et mon corps se tend, prêt à rompre.
Tu m’infliges une jouissance si soudaine et si persistante !
J’aime me sentir comme la guitare que le rocker fait vibrer longtemps en écrasant la corde contre le bois, et qui du bout de son majeur fait rouler jusqu’à l’épuisement.
J’aime quant tu pince si fort mon bouton entre tes lèvres agressives.
 -
J’aime cette jouissance née de ton si beau visage ;
J’aime celle qui va suivre quand plus rien au fond de moi ne pourras ignorer ce contact si doux et i puissant.
J’aime même quand un peu trop gros, un peu trop brute, tu viens frapper au fond de moi, et que j’ai mal.
 -
J’aime quand, après tout, c’est entre mes lèvres que tu t’abandonneras.
J’aime m’endormir ainsi, savourant la chance que j’ai d’être mariée à un amant adorable.
 -
Mais j’aime rentrer chez nous avec le souvenir encore chaud d’autres saveurs…
Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Mardi 29 décembre 2 29 /12 /Déc 17:51
Je voudrais envoyer de gros bisous à tous ceux qui ont aimé me lire (et me regarder). Et à tous les autres aussi.
Soyez heureux !
Aimez autant que cela est possible.
Rêvez à qui vous voulez mais aimez et donnez du plaisir à votre partenaire, votre femme, bref que vos visites dans mon intimité soient un prétexte à décupler vos plaisirs bien réels.
Mon mari se régale avec moi comme je me régale de lui et de mes amants de passage.
Et lorsque je rêve d'un autre, c'est souvent lui que je mange!
Je vous aime
Très bonne année
miam-1.jpg
Bisous mouillés
Yoni
Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Samedi 19 décembre 6 19 /12 /Déc 15:24
On m'a demandé plus de photo mais on en fait peu, désolée.

Je pense toujours à cette demande qui m'a été faite de plus de lingerie...

Voila de la lingerie (la photo n'est pas bonne mais ce qui m'a été offert ce jour là était délicieux)
Bisous mouillés petite-tenue-copie-1.jpg
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 11:47

Grâce à jean qui a gardé nos échanges par mail, je vous livre cette aventure vielle de déjà 7 ans !

Le temps passe si vite.

Bisous mouillés à tous


12 décembre 2002

Bonjour,
Tant de questions et si peu de temps pour vous répondre !

Max s’occupe de moi tous les 2/3 jours, j’évite soigneusement la sodomie, il est trop gros et trop brusque ; il fait trop mal ! en revanche j’aime à le goûter pour débuter nos rapport et pour terminer.

Généralement mon mari participe, pas toujours.

J’ai réussi, sans difficultés, à le convaincre d’inviter notre voisin (c’était son idée) mais ça a été plus dur pour la fessée. Je me suis traitée de sotte méritant des gifles et comme il ne réagissait pas je lui ai dit que si j’étais encore une gamine c’est une bonne fessée que j’aurais méritée !

Là il a réagi !

Il me l’aurait bien donné sans tarder mais je l’ai convaincu que ce serait mieux si c’était notre voisin !

Je l’ai vu hier, je lui ai demandé s’il voulait bien venir bricoler ma tondeuse en panne … et parler plus sereinement de ce qu’il avait pu voir.
Rendez-vous demain (aujourd’hui mercredi j’avais mon garçon à la maison !)

J’ai hâte maintenant

En fait ce sera, j’espère, la première fois que le fantasme de mon mari se réalisera : mes 3 accès honorés ! moi ce que j’espère, c’est d’avoir entre mes fesses un sexe souple qui me donnera du plaisir sans douleur (mon mari est comme Max : gros, dur et peu délicat)
Vous avez raison, Max n’entrera qu’après la fessée, sinon il va dévorer ce pauvre monsieur !

 

13 décembre 2002

 

M.Martin est venu vers 14h

Je l’ai accompagné jusque dans l’atelier de mon mari (où se trouve la tondeuse et d’où mon mari peut nous entendre).

Je lui ai immédiatement présenté mes excuses pour le spectacle involontaire.

Il m’a dit que ça l’avait effectivement choqué mais que tout le plaisir était pour lui, je l’ai gentiment corrigé précisant que c’était bien pour moi aussi.

Puis je lui ai demandé de ne pas me juger trop durement, tout cela s’étant passé sans ma volonté, suite d’événement…

Je lui ais expliqué la gâterie à 4 pattes et l’arrivée de Max, son coup de langue et ma réaction, il me coupe « mais vous étiez encore habillée ! »

« Oui mais avec une jupe si courte, et dans cette position ! »

« Mais vous aviez une culotte »

« non, jamais »

« Vraiment ? Même maintenant ? »

Sans rien dire j’ai soulevé le devant de ma robe : mon pubis fraîchement rasé lui démontrait la vérité.

« Effectivement c’est appétissant » me dit-il

« Imaginez dans la position » et je prends la pose devant lui, au sol

Max vient mettre son museau, je le repousse « vous voyez, si mon mari ne m’avait pas maintenu il ne se serait rien passé ! », Sur ce mon mari intervient avant que je ne me relève.

« Encore ! Mais tu es vraiment en chaleur ! Monte là haut, tu vas voir ! » Je file à l’étage

Je l’entends essayer de m’excuser et inviter M. M à monter également, ils montent.

Arrivé en haut mon mari me fait une scène et me menace d’une punition, le voisin prends ma défense, cela ne le calme pas, il m’attrape par la taille et dit qu’une bonne fessée devrait me calmer.

Il me pousse vers M et relève ma robe, commence à me gifler (faiblement à vrai dire)

Sincèrement j’ai peu honte, j’y avais tellement pensé, mais je suis déjà trempée !

Pour mieux gifler mes fesses il me penche vraiment et mon visage est sur le ventre de M.

Ma main se pose sur son sexe : il semble dur !

Mon mari le voit et s’énerve « mais c’est vraiment une chienne, rien ne la calme » il continue « tenez, continuez pour moi, autant en profiter ! »

Il me retourne, M n’hésite pas un instant et sa main continue la fessée.

Mon mari sort son sexe, m’attrape la nuque et me force à l’avaler.

Dés qu’il s’enfonce en moi, je sens les gifles s’abattre beaucoup plus fort sur mes fesses, ça chauffe vraiment !

Très vite, ils changent à nouveau, mon mari dit « mettez vous à l’aise, faites comme moi »

Le sexe de M est plus petit et moins dur que celui de mon mari mais très honorable.

Il sent bon, il me plaît.

Je l’avale.

Mon mari reprend ses claques au bout d’un instant il dit « on va la laisser se caresser seule, si ça suffit pas on appellera Max

 

C’est fou comme les choses du sexe se passe facilement avec les hommes, jamais je n’aurais pensé que cela sois si aisé de plonger ainsi dans la luxure !

…………

Mon mari s’est installé sur le canapé comme la 1ère fois avec Max et m’a appelé « viens, à 4 pattes, mange moi, montre à M. M comment tu es ! »

Je m’installe et commence à le manger.

il tire sur ma robe (qui avait repris sa place lorsque je me suis relevée) et dit à M

« Faites entrer Max il piaffe d’impatience derrière la porte »

Max entre et viens mettre son museau entre mes fesses (il connaît bien le chemin maintenant)

Mon mari me prend par les aisselles et m’amène contre lui, genoux sur le canapé, il me pénètre, Max me lèche.

M. M regarde le spectacle, je le regarde et lui souris, il s’approche, je le prends dans ma bouche.

Excité, Max me monte dessus ! je me relève pour l’empêcher de me sodomiser (il me fait trop mal) , mon mari râle « tu ne va pas laisser Max comme ça, c’est pas sympa, viens mon chien approche » il le fait monter sur le canapé (pattes avant) jusqu’à ce que son sexe puisse être prés de ma bouche, je l’attrape (j’avais lâché M quand Max m’est monté dessus) et commence à le sucer, le plus profondément possible, puis le léchant du bout de la langue.

Mon mari reprend « maintenant c’est notre voisin qui est frustré ».

Je dis « venez derrière, doucement, prenez soin de mon petit trou, il aime ça mais il est fragile ! »

Mon mari peine à extraire un préservatif de sa poche et lui donne, il le met.

Il se positionne, son sexe n’est pas trop dur, il entre doucement et entame un va et vient délicat. C’est vraiment délicieux !

Je taquine Max mais je goûte le plaisir de mon tendre voisin.

Mon mari n’est qu’un accessoire ! Un gros accessoire tout de même.

Au bout d’un moment, le voisin annonce qu’il va arriver.

Je lâche Max et dit « venez dans ma bouche ».

Il vient vers moi, je lui retire le préservatif et l’avale, il tarde un peu.

Pendant ce temps Max, têtu, est repassé derrière mais le terrain a été préparé et il me sodomise violemment mais sans douleur.

Mon voisin se répand alors, j’ouvre la bouche pour qu’il puisse profiter du spectacle de son sperme sur ma langue et mes lèvres. Son dernier jet arrive sur ma joue.

Je passe une langue gourmande sur mes lèvres pour avaler sa liqueur.

Max se fait plus pressant.

Je me retourne alors, à ma grande surprise, il me lèche le visage, récupérant le sperme de M. Martin qui restait encore sur mes joues.

Mon mari arrive en moi et du attendre un long moment que Max arrive à son tour.

Enfin libéré, il me tend son sexe ramolli et trempé que je lèche très vite avant de m’occuper d’avantage de celui de Max…

La suite fut plus calme.

Mais il y en aura sûrement d’autre…

 

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 17 novembre 2 17 /11 /Nov 11:23

(mail à Jean mon guide en libertinage)

 

Vous êtes un monstre !

Comment avez-vous pu me faire faire une chose pareille ?

Comment ais-je pu me laisser entraîner à faire une chose aussi dégradante, aussi humiliante

Je suis morte de honte

Je suis tellement…

Heureuse d’avoir osé le faire

Fière d’en avoir eu le courage

Et mortifiée

J’ai eu très mal (je vous expliquerais)

Et j’ai joui comme jamais

Mon mari et Max pour moi seule

Tout c’est passé comme vous l’avez probablement imaginé

Mon mari ET Max

Ça a été extraordinaire

Depuis le matin j’étais en jupe (mon mari m’a demandé de mettre LA plus courte ! même mon petit garçon était surpris de ma tenue – et cela m’a beaucoup gênée) avec plug et boules.

J’ais fait mon petit ménage comme cela, ainsi que quelques courses (le pain et du courrier à faire peser à la poste).

Bouger avec des boules de geishas est hallucinant !

Très désagréable si ce n’est pas inscrit dans un scénario coquin (ma première expérience fut très décevante) mais génial quand on « joue le jeu ». Et là je savais que cela allait monter crescendo car Jean, ma mauvaise conscience, m’avait poussée dans un défi qui m’excitait.

Et je suis restée ainsi pour amener mon fil au tennis, pour l’attendre… Plus d’une heure ainsi au bord du court dans un club très actif (toujours du monde !) et une bonne demi-heure au moins au club house à attendre qu’il se change et fasse avec ses copains un dernier baby foot.

Soit je tentais de m’asseoir discrètement, et le plug semblait s’enfoncer plus encore, bousculant au passage les boules capricieuses. Quant à ma jupe, elle semblait alors remonter au dessus du raisonnable. Un voyeur, assis face à moi dans l’axe, aurait pu penser que j’avais mes règles en voyant la ficelle de mes jouets qui dépassait. Soit je restais debout pour ne pas risquer de dévoiler ce que ma trop courte jupe peinait à cacher, mais les boules venaient alors s’entrechoquer doucement dans mon ventre distillant de petites ondes troublantes et risquait de tomber d’un moment à l’autre car ma gêne n’empêchait pas mon démon intérieur d’ouvrir les vannes d’un plaisir malsain qui humidifiait mon intimité. J’avais l’impression d’être observée par tout le monde, déshabillée du regard et certainement l’objet de réflexions fort désobligeantes…

Max est resté avec moi toute la journée. J’avais peur qu’il sente mon excitation et vienne coller son museau sous ma jupe lorsque j’étais en ville ou au club mais il est resté sage.

Toute la journée j’ai caressé Max gentiment et, lorsque nous avions un instant d’intimité, je trempais mes doigts en moi pour les lui donner à lécher : il aime.

Et puis après avoir déposé mon gamin chez ses amis en fin d’après midi et pour la soirée, fait quelques pas en centre ville (ce qui m’a mis dans un état d’excitation pas possible) ; nous sommes rentré et j’ai poussé mon mari sur le canapé du salon me suis mise à genoux et l’ais dégrafé pour le manger goulûment.

Max n’a pas traîné à venir

Il m’a reniflé et j’ais stoppé ma fellation pour « râler » un peu, mon mari m’a dit « laisse lui ce plaisir ta liqueur est si bonne.

Effectivement il a commencé à ma lécher.

Je lui ais dit alors

« Avec le plug il n’y a pas beaucoup de place »

« Lève-toi » me dit il, il me fait retourner, m’enlève le plug et dit « reviens me manger »

Je reprends la position, genoux plus écartés encore, Max se mit à me lécher partout, j’ai joui très vite.

Mais lui aussi très excité est monté sur mon dos, j’ai protesté (j’avais peur) mon mari m’a pris les épaule pour me dire «laisse toi faire »

Et Max est entré dans moi et ce fut douloureux car il est entré la où c’était possible…

Il est entré comme une brute dans mon fondement

J’ai eu très mal mais heureusement que le plug m’avait préparée ; la douleur s’est vite atténuée et mes premières larmes ont vite laissé la place à un grand plaisir.

Mon mari était comme fou, … mais je ne le suçais plus, j’avais trop à faire à subir Max, déchaîné, alors il a glissé du canapé, sous moi, et m’a entraînée sur le tapis (Max ne me lâchait pas bien sur, les pattes serrées autour de ma taille)  alors il a enlevé les boules de Geisha et m’a pénétré à son tour.

C’était indescriptible mais extraordinaire

Encore merci Jean de m’avoir permis cela

Je vous adore

 

(nota : mon mari croit encore que c’est lui qui m’a initiée, ce jour là à la zoophilie, alors que c’est mon « amant », ma « mauvaise conscience » qui m’y a poussé)

 

Bisous mouillés

(bisous plus enveloppant encore et qui va finir trés mouillé à JeanPhil pour le remercier du dessin)

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : libertinage et amateurisme
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