Vendredi 21 novembre 5 21 /11 /Nov 14:22

Petit jeu dangereux



Dieu sait si j'aime me dévoiler, aidant parfois la providence pour qu'un homme aperçoive une intimité, qu'un chemisier mal fermé ou un courant d'air fripon offrent à leur regard. C'est vrai que parfois, pressée d'essayer de nouvelles fringues, je ne prends pas le temps de vérifier si le rideau de la cabine est bien tiré. Et c'est vrai que me sentir accessible au courant d'air qui s'insinue sous mes jupes et caresse mon intimité que plus rien ne protège. c'est vrai que cela m'émeut à chaque fois et que je ne suis vraiment pas une exhibitionniste blasée.

En fait je suis plutôt pudique et c'est par jeu, pour faire plaisir à un mari coquin, que je me suis initiée à ces petits jeux.


Pourtant, jusqu'à présent, ma plus grande émotion, pétrie d'excitation et de peur, surtout de peur, aura été un court séjour au Maroc. Contraste étonnant à Casa, où des femmes voilées comme des ninjas croisent des bimbos qui se feraient même remarquer sur la Croisette ! Entre les prémices d'extrémismes rigoristes et une aspiration aux libertés occidentales.


Nous étions au Habbous, probablement le coin le plus joli de cette ville sans âme, et faisions les boutiques « en touristes ». Nous sommes entrés dans un magasin de vêtements locaux, pas un magasin pour touristes, un vrai magasin, mais qui vend aussi aux touristes bien sûr.


Il y avait les traditionnelles babouches sans intérêt et des djellabas superbes. Pas facile pour faire ses courses à Monaco ou Neuilly mais joli. Des prix très raisonnables (car nous savions que si on l'achetait je la porterais peu !) On a choisi un modèle au tissu très fin agrémenté de petites broderies. Simple mais vraiment de très bon goût. D'un vert émeraude profond.


Je l'essaie ; elle me va mais mon mari me dit que ma blondeur choque un peu et que ce serait « raccord » d'acheter un voile assorti. Je butte un peu car je ne veux pas être déguisée. mais mes souvenirs d'exhib sur internet avec des photos floutées m'ont donné envie d'accepter. On n'a pas trouvé le même ton mais un foulard vert presque noir. Jolie couleur, surtout si je laisse, par mégarde, une petite mèche rebelle, une toute petite ! Un soupçon de blond clair sur ce sombre tissu. j'aime bien.




  • - Et si tu restais ainsi ? me dit-il.

Chiche ! Quitte à être dans un quartier "tradi" autant aller jusqu'au bout, on ne fait pas de mal. Et mon mari étant un pur méditerranéen, mat et bronzé. nous sommes plus vrais que vrais (sauf si on parle et que l'on voit nos sacs de touristes !). Nous sortons ainsi et continuons notre promenade. Il fait chaud bien sûr, soif, on va boire un thé sur un terrasse. Le thé chaud est agréable ici. Même très sucré.


  • - Tu sais ce qui me ferait plaisir ma chérie ?
  • - Non !
  • - Te savoir nue là-dessous.
  • - T'es dingue ! S'ils s'en rendent compte je vais me faire lapider !
  • - Calme-toi, on n'est pas à Kaboul, mon cour et ta djellaba descend jusqu'aux chevilles ! À moins de passer au-dessus d'un geyser, tu n'as aucun risque !

Il n'avait pas tort. Mais sans être raciste, marcher au milieu d'une foule de Maghrébins pour une fille élevée à CNN, ça met pas à l'aise pour ce genre de défi. Mais c'est vrai que tous les Marocains à qui on a eu affaire étaient charmants, gentils.

Je lui lance en me levant :


  • - Il faut que j'aille aux toilettes.
  • - Tu vas le faire ?
  • - Chut ! Tais-toi donc, tu verras bien.

Je vais aux toilettes et en profite pour retirer ma culotte. J'hésite un instant, après tout quand le vin est tiré. Je retire mon soutien-gorge également. Je laisse retomber le tissu sur mes chevilles et sors de mon WC. Je me regarde dans le miroir, surprise. Est-ce moi ce visage encadré d'un voile, cette femme recouverte de ce tissu léger ? Je bouge un peu, balançant les hanches et les épaules pour voir l'effet. Oui mes seins tracent une petite marque mais vraiment, on ne voit rien. Je remonte et rejoins mon mari.


  • - Je sais que tu l'as fait !
  • - Arrête ! Ça se voit ?
  • - Tes seins ne sont pas gros mais d'une totale impertinence. On ne voit rien, rassure-toi. Mais je sais qu'ils sont libres, n'importe quel homme aimant les femmes le ressentirait. mais vraiment, on ne voit rien ! Et j'imagine que si tu l'as fait pour le haut, ton petit trésor doit être libéré lui aussi.

Je lui tends mon sac à main ouvert. Il y trouve ce qu'il cherche.


  • - Tu es géniale ! J'adorerais te prendre quelque part dans le coin.
  • - T'es dingue on n'est pas à Amsterdam, ici ! C'est peut-être pas Kaboul mais on se retrouve en taule pour bien moins que ça. Contente-toi de ça, chauffe-toi bien et tu me paieras tout ça en rentrant !

S'ensuit une après-midi très sympa de promenade et de visite. Main dans la main, et souvent son bras autour de ma taille. Quelquefois sa main descend un peu, discrète sur ma hanche, comme pour s'assurer de temps à autre que je suis bien toujours nue sous ma djellaba si fine.


Arrivés à l'hôtel, nous sommes chauds-bouillants tous les deux. Ascenseur : nous y sommes seuls ; direction sixième étage. Mon mari se jette à mes pieds, à genoux ; il me remonte ma djellaba jusqu'au ventre et plonge sa bouge sur ma fontaine.


Le contact de ses lèvres sur les miennes, sur mon bouton surexcité, provoque en moi un mini orgasme, immédiat, comme si on m'avait planté un gode électrifié ! Je lui ai planté mes ongles dans le crâne. Labouré le cuir chevelu.

Mais ça va trop vite, l'ascenseur ralentit. Je le repousse et redescends ma « robe ».


La suite se déroule naturellement dans notre chambre. La baie vitrée grand ouverte, il me prend sur l'un des deux fauteuils, exhibée aux éventuels voyeurs. Mais au sixième il y en a peu. Notre vis-à-vis est à deux cents mètres au moins. Sentiment d'irresponsabilité plaisante. Qu'ils en profitent s'ils peuvent, moi je compte bien en profiter.


Il me fait la totale, mais nous faisons souvent le tour de mes capacités avant de nous écrouler. Il me prend ainsi, tantôt en levrette, tantôt assise sur lui les seins au soleil. Nue à l'exception du foulard qu'il a voulu que je garde. Un fantasme qu'il avait oublié de m'avouer.


Et pour en finir, il m'offre enfin mon péché mignon, ce plaisir si particulier de sentir toute la puissance et la virilité de son homme fondre comme un bonbon fourré entre nos lèvres. Le sentir si fragile à cet instant. Se sentir si puissante à cet instant. Alors que je sais qu'il ne va pas tarder à fondre pour moi, en moi, ce goujat se retire et, d'un ou deux coups de poignet, se répand sur mon visage, comme dans ces mauvais films X pour mâles en manque de femme. Je le rattrape immédiatement pour ne pas perdre tout et de longs jaillissements de vie viennent me rassurer. Et Dieu que c'est bon !


Un ange passe !


Lorsque je vais me rincer, appréciant peu quand l'élixir de vie se pétrifie sur mon visage et semble faire craqueler ma peau, comme si j'étais vieille et sèche, lorsque donc je me trouve face à mon image devant le miroir, je vois un long trait blanc qui s'étire de ma joue jusque sur le foulard sombre. Je comprends soudain son fantasme, enfin peut-être, mon visage sous ce voile me fait paraître tellement virginale et pure.



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Le surlendemain, aéroport de Casablanca, vol intérieur pour Agadir. Notre deuxième semaine de vacances.


J'ai pris goût à ma tenue, nous en avons acheté une deuxième pour le change. J'adore. L'enregistrement est fait, nous n'avons qu'un petit bagage à main. Nous nous dirigeons vers la porte d'embarquement.


Mon dieu ! Même dans les vols intérieurs il y a les contrôles des flics. J'avais oublié. Je n'ai rien à me reprocher, je n'ai même rien à déclarer, justement, je n'ai rien d'autre que ce (grand) bout de tissu sur moi, et toujours mon foulard. Je commence à paniquer. Le calme et le petit sourire de mon goujat de mari laissent à penser qu'il n'est pas surpris et qu'il m'a laissée me préparer en sachant ce qui allait se passer.


  • - Ne t'inquiète donc pas, le portique ne va pas sonner avec ce que tu as sur toi.
  • - Et s'il sonne quand même ? m'inquiété-je.
  • - Pourquoi voudrais-tu qu'il sonne ? Tu n'as pas mis ton ouf vibrant quand même ?
  • - Mais non idiot, je te l'aurais dit, et c'est toi qui monopolises la télécommande, je sais même pas où elle est.

C'est notre tour. Mon mari passe, ça ne sonne pas. Ouf !


  • - Monsieur s'il vous plait, dit le flic en demandant à mon mari d'écarter les bras.

Il passe ses mains partout. Mon Dieu, merde, zut, je vais faire demi-tour.


  • - Madame s'il vous plait, avancez.

Terrifiée j'avance, sûre qu'avec le stress que j'affiche je suis une candidate idéale ! Quelle conne je fais ! Une policière s'adresse à moi :


  • - Vous pouvez écarter les bras s'il vous plait ?

Oh la la ! Ses mains se posent sur mon cou puis descendent le long de mes bras. Elles se posent sur ma gorge et descendent, évitent à peine les seins mais en en épousant le contour, insistant sur ce qui aurait dû être la base du soutien-gorge. Ses mains passent sur mon ventre puis descendent encore. N'ayant de guide que mes formes, elles viennent se positionner en haut de mon pubis, glissent dans le creux de l'aine pour aller le long de mes jambes. Là encore, pas de contact direct. Rétrospectivement j'en éprouve un sentiment de déception, sur le moment j'étais décomposée.


Puis elle me demande de me retourner (je ne peux éviter de penser d'un éclair à mon mari « tourne-toi » me dit-il souvent quand il veut me prendre autrement). Je me retrouve face aux touristes qui semblent au spectacle. Mes seins pointant maintenant outrageusement tant ils sont sensibles et se fichent de mon angoisse (je ne contrôle rien, là). Ses mains glissent dans mon dos et descendent vers mes fesses.

« Elle ne va pas me prendre comme ça quand même ! » me dit mon esprit que je ne contrôle pas plus que le reste. Non, j'attends, inquiète, mais rien ne se passe.


  • - Merci madame, vous pouvez y aller.

Je récupère mon sac à main et remarque que la fliquette va dire quelque chose à son collègue. Il a une réaction suivie d'un sourire contenu. On nous laisse passer. Je souffle, j'ai les jambes qui tremblent, mon mari me prend dans ses bras et m'embrasse tendrement. Puis rajoute comme le goujat qu'il sait être parfois :


  • - Alors ma coquine, on se fait caresser par des inconnues ? Et devant tout le monde ? Et puis tu ne m'avais pas dit que tu étais bi ? Ça va te coûter cher toutes ces cachoteries.
  • - Espèce de salaud ! lui dis-je en lui donnant une tape bien trop légère pour paraître sincère.

Il a encore gagné.


On va s'asseoir en salle d'embarquement. Une fois revenue au calme, mon esprit ne peut se détacher de cette fouille. J'y pense sans cesse et je me prends à délirer complètement. Je revois le flic et son demi-sourire. Non il ne sourit pas, c'est un rictus.


  • - Madame, veuillez nous suivre s'il vous plait.

Mon mari s'inquiète.


  • - Rassurez-vous : contrôle de routine, on en a pour cinq minutes.

Une autre policière arrive, elle est splendide. Je déraille complètement, je suis hétéro, juste hétéro et je n'aime pas les filles. Elle m'emmène dans un local et me demande de me déshabiller. J'ai failli dire « complètement » mais non c'est ridicule, je n'ai que ça. Je défais mon foulard et libère mes longs cheveux blonds que le soleil a encore éclaircis. Puis, soumise, retire ma djellaba.


  • - Allongez-vous.

Je m'allonge sur le dos, totalement offerte à cette femme.


  • - Transportez-vous de la drogue ? me demande-t-elle.
  • - Mais non voyons où voulez vous que je la mette ?
  • - Pas d'ingestion ? dit-elle en enfilant des gants stériles (je prends peur).

Elle commence alors à me palper l'abdomen.


  • - Rassurez-vous je suis médecin (ça me rassure pas).

L'examen est bon je n'ai rien « ingéré ».


  • - Tournez-vous !

Encore ! Ça devient une habitude de me confondre avec une crêpe bretonne !


  • - Mettez-vous à quatre pattes, ne vous inquiétez pas, je ne vous ferai pas mal.

Je sens quelque chose de froid sur mon anus, je sens quelque chose qui rentre, elle m'a mis son doigt ! Il me fouille, il cherche.


  • - OK, là ça va aussi, ne bougez pas.

Je reste ainsi comme une chienne offerte et humiliée. Rien ne m'oblige à rêver cette humiliation mais mon esprit m'emmène là malgré moi. Encore malgré moi ! Je la vois changer de gant. Elle s'approche avec une bouteille de je ne sais quoi, envoie une giclée de produit sur mon sexe et dans sa main. Elle repose la bouteille et étale le produit sur tout le gant comme si elle se lavait les mains. Puis s'approche de moi.


  • - Décontractez-vous, on a presque fini.

Bonjour l'ambiance décontraction ! Elle introduit rapidement un doigt dans mon intimité, il plonge sans difficulté tant elle a mis de produit (ce qui était certainement inutile, rien que d'imaginer la scène je suis trempée). Puis le deuxième suit immédiatement. Comme un amant elle fait quelques va-et-vient pour s'assurer que ça passe puis le troisième. en un instant je sens sa main buter dans mon entrée. Quelques mouvements de vrille semblent suffire. D'un coup je l'aspire et sens sa main en moi. D'un mouvement très professionnel je la sens faire le tour de mon vagin. Le contrôle est fini. Je la sens toujours en moi, un doigt plus insistant que d'autre. non, elle n'ira pas plus loin.


Elle commence à sortir et, alors que sa paume retrouve le jour, j'attrape son poignet d'un mouvement totalement irraisonné, la bloquant à l'entrée de mon ventre :


  • - S'il vous plaît, encore, juste un peu encore, s'il vous plaît ! je l'implore.

Son visage dur s'éclaire enfin. Elle me sourit. Sa main replonge en moi alors que sa bouche vient au contact du premier point visité. Sa langue lui demande pardon. Sa main déclenche rapidement une tempête dans mon corps. Je m'effondre.


  • - Ça va ? me demande mon mari inquiet. Tu es en sueur.
  • - Excuse-moi, je me suis assoupie et j'ai fait un cauchemar.

Quoique.

Par Yoni - Publié dans : Jeux
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Samedi 15 novembre 6 15 /11 /Nov 12:10

J’étais seule à la maison, mon mari était parti faire quelques courses. J’avais moi aussi plein de choses à faire mais il y avait un feuilleton à la télé que je voulais enregistrer. Je branche le magnéto et essaie d’introduire une K7 vierge. Elle n’entre pas, il y en a déjà une. Eject. C’était la K7 que mon  mari a enregistré hier: « Private ... » curieuse, je la lance. Une première scène torride dans une salle à manger de château où une femme joue avec des fruits avant de jouer avec le maître d’hôtel puis l’hôte, particulièrement patient jusque là....

J’étais très excitée  et j’espérais que mon mari revienne vite pour me faire l’amour, vraiment.

Mais il traînait et je commençais à me caresser devant ma télé. J’étais plongée dans l’action, je subissais les assauts des acteurs, je les sentais en moi. J’avais tellement envie qu’il arrive pour s’occuper de moi! Et lorsqu’ils se déversèrent sur son visage et ses lèvres, je me souvenais de la liqueur de mon mari, chaude un peu amère...

 

Enfin j’entends la voiture. Je stoppe le magnéto et me dirige vers lui. Je l’entends monter les escaliers. Par le garage. Je l’accueille dans la cuisine et lui saute au cou.

Le cœur battant de ma séance vidéo et onanisme, je suis un peu mal à l’aise, du coup je prends l’initiative et le gronde d’avoir été absent si longtemps.

« Tu ne devrais pas me laisser seule si longtemps, surtout quand j’ai envie de toi! »

«Et pourquoi? » Me demanda t-il tout en m’embrassant dans le cou et en me caressant les fesses.

« Parce que je suis excitée comme une puce et que j’étais prête à m’offrir au premier beau garçon qui passe? »

« Avec le portail fermé à clef tu pouvais attendre longtemps! » me répondit-il toujours aussi rationnel

«  Alors je me serais vengée sur le régime de bananes! » lui lançais-je sans trop réfléchir

«  Et bien faisons comme si je n’étais pas rentré. »

«  Comment ça ? » lui dis-je

«  Je voudrais bien voir si je serais jaloux d’un régime de bananes! »

«  Ne sois pas idiot! Viens ! »

«  Non, non, je ne suis pas là... commence sans moi »

 

J’étais décontenancée, frustrée et un peu vexée; mais puisque c’est comme ça je prendrais mon plaisir sans lui. Je décroche une banane, la caresse, la jauge, la lèche, « mmm  trop petite! » Et j’en décroche une autre, plus droite, plus grosse. De même je la caresse sur toute sa longueur, passe ma langue dessus, la prends dans ma bouche. Puis, je me tourne vers l’évier, attrape un couteau qui séchait et en coupe l’extrémité dure, je la passe sous l’eau et la rince abondamment tout en la caressant.

« Tu vas louper quelque chose! »

« Je prends le risque » me répond-il

« Regarde, elle est aussi grosse que toi, ça aurait dû être toi » et je caresse la banane sensuellement avant de la prendre en bouche et d’entamer une fellation, délicate et gourmande à la fois.

Puis je pose un pied sur le banc (on a une table et deux bancs en pin) et relève ma jupe. Mon sexe lisse et gonflé d’envie se dévoile. Mon mari intervient:

« Hé! Mais tu n’as pas de culotte! »

« Je l’ai enlevée tout à l’heure; je t’ai dit que je m’impatientais!  Mais maintenant c’est à toi de patienter. »

Et je commençais à me caresser tout en le regardant.

Je repris la banane, lui donna quelques coups de langue, la pris une fois encore dans ma bouche puis la porta à mon sexe. D’abord je lui fis découvrir mes lèvres et mon bouton puis l’introduisis en moi, doucement, la faisant ressortir un peu avant de la replonger plus profondément. Et cela jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus aller plus loin. Alors je la fis aller et venir comme un sexe d’homme jusqu’à un premier orgasme.

 

Pendant ce temps mon mari avait dégagé son sexe et avait commencé à se masturber devant moi. Et moi j’adore le sentir en moi, j’adore le manger!

Je retire mon pied du banc et y pose un genou afin d’atteindre son sexe avec ma bouche

« On a le droit? » me demande t-il

Pour toute réponse je l’attrape et le fait disparaître à moitié entre mes lèvres

« Reprends ta banane, tu étais tellement excitante avec! »

Sans lâcher ce sexe que j’aime tant, je reprends le fruit et le replonge en moi, mais la position est un peu difficile

« Fait-le toi si tu veux » lui dis-je en laissant la banane plantée en moi

Il se penche alors au dessus de moi, toujours « retenu » dans ma bouche, écarte mes fesses d’un geste viril et, tout en les maintenant écartées d’une main, reprend le contrôle de la banane.

D’abord curieux et hésitant, son geste devient de plus en plus rapide et violent.

Les premières gouttes de sa liqueur donnent un goût plus précis à ma gâterie et le fruit en moi m’entraîne dans une seconde jouissance.

Il attend que je me calme pour se retirer de ma bouche

« Tu ne veux pas arriver comme ça? »

« Pas tout de suite »

Il passe derrière moi, enjambe le banc et, tout en continuant son mouvement avec le fruit, commence à me lécher l’anus, ….  Je crains le pire!

Bien sur, après m’avoir longuement préparée, avec sa langue puis ses doigts, il se relève et pose le bout de son sexe sur mon œillet si fragile, et il s’enfonce.

Apres un temps sans bouger (sans quoi je ne peux pas) il commence un lent va et vient qui me transporte;

Mais le fruit, livré à lui-même se dégage de moi et tombe sur le banc.

Mon mari s’arrête et sort de mes reins, récupère la banane et me demande de me coucher dos au banc.

Je m’exécute, il reprend la banane blanche de ma liqueur et me la donne à lécher, je le lèche gourmande.

Puis il la reprend et la replonge en moi.

Il se repositionne alors, dépose un peu de salive et replonge entre mes reins.

D’une main il actionne la banane pendant qu’il me sodomise... il n’aura fallu que quelques mouvements pour que j’arrive encore.

Je le sens arriver lui aussi, il se dégage et s’approche de mon visage, j’ai à peine le temps d’ouvrir mes lèvres pour recueillir son plaisir. Il était brûlant et amer. Il retira le fruit de mon ventre, retira la peau et le replongea en moi, le ressorti et en mangea un morceau puis le replongea en moi. C’était étrange, ainsi coupé, puis il retira son sexe tari de ma bouche et me donna à manger. Et là c’était doux, sucré.

Et après ce fut des caresses et des baisers

 

 

Par Yoni - Publié dans : insertion - Communauté : chaude&caline
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 23:40

Mon ami gynéco

 

J’étais furieuse, cela faisait 10 ans que je suivais mon mari dans ses déplacements incessants, vivant comme une saltimbanque 6 mois ici, un an là, et maintenant qu’il enfin un poste stable (un peu moins bien payé mais zut!) et que je pouvais enfin aller deux fois de suite chez le même gynéco, j’apprends qu’il prend sa retraite. C’est rageant, moi petite épouse modèle, arrivée vierge au mariage (enfin presque mais seul mon futur mari avait eu l’honneur de mon jardin secret), fidèle depuis le premier jour, je passe mon temps à m’exhiber devant des hommes - parfois des femmes - que je ne connais pas! Et je n’aime pas cela du tout!

Les hommes qui fantasment sur les délires gynécologiques n’ont aucune idée de la froideur d’un examen, de l’inconfort et de la brutalité d’une table de visite, de l’humiliation des étriers, de l’absence totale d’érotisme de cette situation simplement médicale.

Bref, mon gynéco parti, soit je maintenais mon rendez-vous avec son successeur, soit je m’en trouvais un autre. Et à quoi bon? Un autre pour un autre! Je confirme donc mon RDV à la secrétaire qui venait de m’appeler.

Le jour venu, je me présente à mon rendez-vous, très anxieuse (comme d’habitude) et particulièrement contrariée. J’espère au moins que ce sera un bon praticien et qu’il ne va pas déménager ou prendre sa retraite trop vite.

Il n’y a personne dans la salle d’attente. Au moins le nouveau ne déborde pas et je n’aurais pas à attendre trop longtemps.

Des bruits de portes, une voix masculine, chaleureuse pour ce qui m’en arrive, le médecin raccompagne la patiente précédente, ça va être à moi.

A chaque fois je suis stressée, comme s’il s’agissait d’un examen scolaire. Il entre, mon regard se pose sur lui et ne peut s’en détacher. Je suis incapable de parler. Je connais ce visage, j’en suis certaine, il y a 15 ans déjà nous étions ensemble au lycée. A l’époque il m’ignorait royalement mais moi j’en pinçais sérieusement pour lui! J’étais hypnotisée.

« Madame, ça va? »

« Heu! Oui, pardon, j’étais ailleurs! » Il m’invitait à me suivre.

Evidemment je le suis, si seulement il m’avait invitée à le suivre il y a 15 ans!

J’entre dans le cabinet, il ne m’a pas reconnue.

Il consulte ma fiche, et s’il peut y lire mon prénom, il est associé au nom de mon mari : Alanys Martin (j’ai modifié le nom par pudeur) et à 500 km de notre enfance, 15 ans plus tard ni mon prénom ni mon visage n’évoque pour lui ce passé qui m’est encore cher. Tant pis! Je n’ose en dire plus mais moi je suis sûre, son visage inoubliable, sa voix, son regard, sa silhouette et puis son nom. Je n’avais pas réagi au téléphone lorsque la secrétaire m’a prévenue du départ de mon gynéco mais maintenant il n’y a plus de doute.

Ou tant mieux après tout, ce sera plus simple pour moi.

Il me demande de me déshabiller. Jamais je n’ai été aussi troublée pour me déshabiller devant un gynéco. Je dois être écarlate!

Il ne me brusque pas et essaie manifestement de me mettre à l’aise, prévenant, il m’aide à m’installer.

S’ensuit la plus délicate visite jamais subie. J’ai l’impression que ses palpations mammaires, généralement rapides et vigoureuses, s’éternisent en caresses sensuelles. Longuement il garde dans sa main ferme mes seins de plus en plus durs. Ses doigts caressent, pressent, s’éternisent vraiment... Mais ce doit être mon imagination d’adolescente impubère qui revient au galop!

Ses mains descendent sur mon ventre, recherchant mes ovaires, froidement, en principe, mais je subis encore ses caresses et je me sens fondre. Maudite imagination! Ainsi écartée par les étriers, il ne peut pas ignorer ma vulve qui se gonfle de sang, qui s’ouvre généreusement et qui, je le sens, commence à perdre quelques gouttes. Effectivement, et d’un ton chaleureux mais toujours distant il me dit : « vous êtes très sensible! » Oh! Oui pense-je, si tu savais!

Il enfila ses affreux gants en plastique et s’attacha à contrôler mon vagin. Enfonçant (sans mal) le spéculum glacé, éclairant, triturant, rien, vraiment rien d’érotique dans cette situation qui pourtant me faisait vibrer, trembler comme une feuille.

Il me dit qu’il fallait faire un frottis, soit! Il s’exécuta. Ce dernier acte calma un peu mon émoi... Je n’étais qu’une patiente en visite chez son gynéco. Et c’était mieux ainsi.

Il termina, me dit de me rhabiller et s’assit à son bureau. Il nota quelques points de la visite et lorsque je m’assis en face de lui, me questionna sur ma santé, mes éventuels incidents de type MST (je le rassure, je n’ai jamais rien eu), si j’avais des rapports extraconjugaux, avec ou sans protection (je suis vexée mais je le rassure encore, je suis une épouse modèle!), si je pratiquais telle ou telle pratique sexuelle, voire franchement déviante (il y en a que je ne connaissais même pas!). Si la visite m’avait semblé plus longue et méticuleuse que jamais, ses questions devenaient de plus en plus intimes et embarrassantes. Entre vexation, colère et fascination, j’en venais à expliquer à ce jeune et troublant gynéco comment mon mari me sodomisait pour l’entendre m’expliquer ensuite les mesures d’hygiène que l’on devait associer à ce genre de pratique. J’étais mortifiée mais avec un sourire désarmant il ajouta « mais madame est manifestement d’une hygiène irréprochable, mes recommandations sont purement formelles et il est inutile de vous ennuyer d’avantage avec cela ».  Dés qu’il parlait je retombais bêtement sous le charme. Quelle sotte j’étais!

« Bien, tout est parfait, ce sera tout jusqu’à votre prochaine visite de contrôle » et d’un geste autoritaire il me raccompagna vers la sortie.

Je quittais le cabinet dans un état second, en colère, à la fois heureuse et malheureuse, totalement déboussolée. Comment ce goujat avait-il pu ne pas me reconnaître et me faire subir cette humiliante visite ?

On a quand même passé deux ans dans la même classe ! Ais-je tellement changée ? Ais-je tellement vieillie depuis 15 ans? C’est vrai qu’à 15/17 ans je n’avais pas la même silhouette, j’étais si maigrichonne, si effacée que personne ne s’intéressait à moi. Et lui non plus d’ailleurs! Mais quand même, deux ans ensemble et oublier jusqu’à mon visage, j’en étais morte de rage! Et ni les années ni la distance ni mon nouveau nom ne pouvaient être une excuse à son indélicatesse.

Mais même s’il m’avait oublié j’avais plus que jamais envie de lui faire retrouver la mémoire.

 

Les semaines qui suivirent  furent très chaotiques. Mon mari eu droit a des bouffées de chaleur pendant lesquelles je l’étonnais de mes audaces suivies d’abstinence pendant lesquelles le sexe me répugne. En fait, Jeff (Jean-François, mon gynéco) monopolise mon esprit  et me trouble plus que de raison. Je dois absolument le revoir.

Je téléphone au cabinet pour prendre un nouveau rendez-vous. Je prétexterais des règles trop douloureuses, peu importe mais je dois y retourner!

...

Voila, c’est pour demain. Ce soir, malgré mon envie de sexe, je repousse gentiment mon mari, je ne saurais plus avec qui je ferais l’amour!

 

08h00, mon mari est parti à son travail, je me fais couler un bain pour être parfaitement propre pour mon rendez-vous. Quelques bandes de cires  désagréables ont tôt fait de rendre à mes jambes la douceur de leurs 16 ans. Je les caresse satisfaite mais, en remontant mes mains s’accroche à ma toison pubienne. Il y en a beaucoup trop! Bien sûr Jeff n’avait pas eu l’occasion de voir mon pubis juvénile mais j’avais envie de remonter le temps. Je prends une paire de ciseaux et commence à couper mes jolis poils blonds jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’une fine couche, comme lorsque j’étais adolescente. Voila, c’est bien, je peux enfin me plonger dans mon bain et me laissais aller à rêver. Ma main se pose machinalement sur mon sexe, presque naturellement, et je me caresse sans même y penser. Une foule d’idées se télescope: Jeff, mon mari, moi, mes envies, celles de mon mari, Jeff... « Tu ne voudrais pas t’épiler complètement, ce doit être agréable à caresser et à embrasser! » Mon mari me l’a souvent demandé et j’ai toujours refusé. Je suis faites comme ça donc c’est comme ça ou rien. Mais ma main passe sur ma toison fraîchement aérée et l’idée saugrenue de mon petit mari commence à s’imposer. Je m’imagine nue, tellement nue. Comment réagirait-il? J’ose à peine me poser la question: comment réagiraient-ils? Oserais-je me présenter ainsi devant mon imperturbable gynéco? L’idée de réussir à le perturber excite mes envies d’adolescentes et sans plus de réflexions, je me saisis du gel à raser de mon mari et de son rasoir. En un instant mon pubis disparaît sous une  mousse qui s’épaissit à mesure que je masse, et d’un geste prudent, j’entame un rasage périphérique. Je découvre un peu honteuse le plaisir de s’occuper de soi, de son sexe, la peau lisse qui apparaît doucement. Je continue.

J’ai du mal à conclure, je repasse là (il me semblait qu’il restait quelque chose) puis ici (ma peau accrochait un peu). C’est fini, vraiment, me voila revenue au tout début de mon adolescence. Je redécouvre une douceur oubliée et vraiment troublante.

Mais l’heure tourne, il faut me dépêcher à présent.

J’enfile une paire de bas (Dim Up), un ensemble culotte dentelles et soutien gorge assorti, jolie jupe, chemisier blanc et hop!

 

J’arrive au cabinet, je tremble comme une feuille. Je suis folle, je le sais, je commence à prendre conscience de la situation plus que déraisonnable: je ne veux pas tromper un mari que j’aime mais je viens me présenter fraichement épilée, sous un faux pretexte qui ne tiendra pas longtemps, à un homme que je veux simplement faire réagir, pour qu’il me reconnaisse! Si seulement ce goujat m’avait reconnue... Je devrais partir.

Trop tard! La porte s’ouvre, mon beau gynéco me souri et m’invite à le suivre.

Installés dans son cabinet, il me demande le motif de cette visite et lui raconte une histoire de règles douloureuses. « Vous avez encore mal ? » « Non, cela remonte à une semaine » « Vous auriez du insister pour avoir un rendez-vous de suite, maintenant on risque de ne plus voir grand chose! mais installez-vous, on va quand même contrôler »

Je me déshabille, dos à lui, gênée, puis, ne pouvant reculer indéfiniment l’échéance, m’installe sur la table, jambes serrées. « Installez-vous dans les étriers, j’arrive » dit-il sans regarder, en préparant ses instruments de torture. Il s’avance vers moi, mon cœur bât à en exploser, mon visage me brûle, il doit être rouge peut-être même violet! Je suis pétrifiée.

« Ah! Il y a eu du changement depuis votre dernière visite, essayez de vous détendre un peu je vous sens très nerveuse » dit-il simplement avant de continuer et d’effectuer son examen trop mécanique. Cela dura quelques minutes et sa calme indifférence me rassurait un peu (quant à ma honte de me présenter ainsi en bas coquins et le sexe lisse). Mon cœur reprenait un rythme presque normal.

« Bon et bien je ne vois rien d’anormal, je vais vous prescrire un anti-inflammatoire, cela apaisera vos douleurs » et il me laissa ainsi, allongée, les pieds coincés dans les étriers, le sexe nu et ouvert face à lui. Il s’assit à son bureau et commence à rédiger l’ordonnance. Ma gêne revint alors au grand galop et j’aurais pu alors lui demander si je pouvais me rhabiller, je ne pouvais rien faire.

Il rajouta, levant son regard sur moi:  « je vous mets aussi un tube de crème X à passer sur la peau aprés le passage du rasoir, vous devez absoluement la soigner aprés le rasage si vous voulez en préserver la douceur. Je marque à renouveler 2 fois ainsi vous êtes tranquille jusqu’à votre prochaine visite »

Je restais prostrée, ouvert, indécente et muette. Incapable de dire quoique ce soit, de toute façon c’était la panique dans ma tête, avais-je bien compris qu’il m’invitait à garder cet état? Il appréciait?

Il se lève de son bureau, se dirige vers une armoire, l’ouvre et prend un tube de crème, se retourne vers moi et s’approche. Il dit alors d’une voix douce « c’est joli et j’envie votre mari mais une peau aussi douce mérite des soins attentifs »

Il dispose alors une bonne noix de crème sur mon pubis et commence à masser pour la faire pénétrer. Je ferme les yeux, je l’entends me dire: « Ça va? » J’ouvre les yeux, il me sourit en continuant son doux massage.

Quel idiot! Me demander si ça va? Demande à un aveugle s’il veut voir? Je ne réponds pas, esquisse un sourire et laisse ma tête retomber en arrière, les yeux refermés. Il me masse longuement, étale la crème bienfaitrice  partout où le rasoir est passé, il m’excite affreusement.

Des fois mon mari s’amuse à me caresser autour sans toucher mon clitoris - je ne le supporte que peu de temps et le force à aller plus loin. Je dois me retenir.

Sa main glisse le long des grandes lèvres, nerveusement je resserre les genoux, ses doigts glissent alors dans mon sexe trempé. Il ne l’a pas fait exprès, moi non-plus, juste mon geste nerveux de pudeur mal placée. J’ouvre à nouveau mes cuisses pour le laisser travailler, ses doigts ne quittent pas mon intimité, ça y est, il me caresse, me pénètre de ses doigts, pincent mon clitoris, me caressent, me pénètrent, m’enivrent. Je suis à 500 Km de là, 15 ans en arrière, on avait ri en cours et avions écopés tous les deux d’une colle dans cette classe sordide. Le pion avait disparu, j’étais couchée sur le grand bureau du prof, Jeff me tenait par les chevilles, cuisses écartées et dévorait le sexe de sa bouche d’adolescent gourmand. J’eus alors un orgasme d’une rare intensité, long, profond.

J’ouvre les yeux, un peu sonnée, nous n’étions pas en colle, le rêve s’était envolé, ne restait que des regrets et ce plaisir fugace.

« Tu étais quand même plus timide il y a 15 ans! »

Dit-il calmement en continuant ses caresses

Le triple goujat, non seulement il m’avait reconnue mais il a joué avec moi tout ce temps!

Il me murmura: « ne reste pas la-dessus, ce n’est pas très confortable » et posa un baiser sur mes lèvres. Il m’aida à descendre de la table.

A peine debout au milieu de la pièce il me prit dans ses bras et m’embrassa comme l’adolescent qu’il était resté pour moi.

Je ne sais pas comment il s’y est pris mais sans vraiment cesser de m’enlacer et de me caresser, il se dégagea et posa le bout de sa verge à l’entrée de mon sexe. (Il avait réussi à enfiler un préservatif, je ne saurais dire quand ni comment) Je n’eus qu’à lever une jambe pour l’avaler tout entière. Sa main prenait toute ma fesse et soulageait ma jambe. Il me pénétrait ainsi debout mais avec autant de tendresse que d’ardeur.

Très vite un second orgasme me traversa, in n’attendit pas beaucoup plus et me cria presque: « j’arrive, donne-moi ta bouche » Je me laissais presque tomber à genoux alors qu’il retirait son préservatif; J’attrapais son sexe et le guida entre mes lèvres. Il explosa immédiatement, je sentis le flot brûlant sur ma langue et dans ma gorge. Il était épais, salé, différent de celui que je connaissais. Je l’avais et ne voulais plus le lâcher. Je le bu jusqu’à la dernière goutte, insistant longtemps.

Je le senti se détendre et reprendre de la vigueur.  Nous fîmes l’amour une fois encore avant d’achever cette folle séance.

Je récupérais mes vêtements, mon ordonnance, pas ma lucidité car je partis sur un nuage sans savoir trop que faire ou penser.

J’avais un rendez-vous pour dans trois mois…

 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 23:35

The pool house.

Je vivais une période difficile, je venais de déménager et j’avais laissé beaucoup de moi-même dans ce coin de Bretagne que j’aimais tant.

J’avais aussi quitté  mes amis les plus intimes et comble de malheur je venais de perdre un être cher. Cela faisait beaucoup à la fois surtout que mon mari, tout à ses nouvelles fonctions semblait ne pas comprendre la profondeur de mon désarroi.

Je m’enfonçais doucement dans la déprime lorsque, au cours de mes démarches administratives je fis la connaissance d’un homme charmant avec lequel « quelque chose » passa immédiatement. Nous nous vîmes quelques fois lors de mes passages en ville, en tout bien tout honneur, jusqu’à ce jour de septembre où il m’invita à prendre un café chez lui.

Je n’avais jamais accepté un tel rendez-vous mais je me sentais délaissée et, après tout, je ne faisais rien de mal. Il habitait une superbe villa avec piscine, un jardin entouré d’une haute haie, je ne pus m’empêcher de penser à ce que l’on pourrait faire dans un tel cadre. C’était mon fantasme: pouvoir nager et bronzer nue! ..; mais je n’étais pas chez moi. Tout à l’heure, après le café, j’irais nager et bronzer au lac de la Cavayère, sagement, avec mon bikini de femme honnête!

Il me fit visiter et m’expliqua qu’il vivait seul (sa femme venait de le quitter) avec son grand fils qui entrait en fac cette année... Il était l’heure de reprendre le travail et nous allions nous quitter mais quand il apprit que je partais prendre le soleil au lac, il me proposa de rester là et alla chercher un double des clefs du portail: « Tenez, vous fermerez derrière vous en partant et il n’y aura qu’à mettre la clef dans la boite aux lettres. J’étais très gênée et refusais, il insista, me rappelant la « faune » qui traîne souvent au lac et que de toute façon il fallait bien utiliser cette piscine puisque ni lui, ni son ex femme ni son fils (il ne doit rentrer que ce week-end) n’en profitait. J’ais cédé, après tout, là encore je ne faisais rien de bien méchant.

Il partit et me mis en maillot de bain. Après quelques longueurs, mon fantasme commence à m’obséder. Pourquoi pas? J’étais seule, enfermée, cachée derrière une haie en plein soleil. Mon maillot tomba et je replongeai dans l’eau turquoise de la piscine. Sensation merveilleuse de liberté et de plaisir. Je sortis et m’allongea sur mon drap de bain. D’abord sur le dos, c’était vraiment magique, je sentais le soleil me caresser, m’embrasser. Très vite la douceur devint brûlure, je sentais les lèvres de mon sexe gonfler et devenir presque douloureuses (il faut dire que je m’épile totalement le maillot et si, de l’avis de mon mari, c’est très excitant, c’est surtout une absence totale de protection et le soleil me mord littéralement le clitoris). Bref, entre la peur d’un coup de soleil mal placé et une certaine gêne que je ne peux réprouver, je bascule sur le ventre pour lézarder tranquille.

Je me prélasse ainsi depuis un moment lorsqu’un bruit me sort de ma torpeur: Quelqu’un vient d’ouvrir la porte du garage qui donne sur le jardin. D’un regard j’aperçois un jeune homme d’une vingtaine d’année, probablement le fils de mon hôte. Il ne m’a pas vue et n’est pas censé savoir ni qui je suis ni que je suis invitée par son père. Allongée comme je le suis, il peut ne pas me voir, prendre ce qu’il est venu chercher et repartir. Ou au moins rentrer, le temps que je me rhabille. Si je bouge il ne peut que me voir: je prends le risque de ne pas bouger et même de jouer les belles endormies ainsi même s’il me voit, il n’aura vu qu’un dos et des fesses et n’osera jamais venir me déranger.

Erreur! Double erreur! J’entends des pas vers moi, il doit être tout près. Que faire? Me retourner devant lui et lui montrer mon intimité si vulnérable? J’aurais voulu le provoquer, je n’aurais rien imaginé de mieux; Hurler et ameuter le voisinage? J’aurais alors du mal à expliquer ma présence ici, nue chez  un homme que je connaissais à peine. Je fis l’autruche. Je dors, il va regarder mes fesses et repartir.

Brusquement un filet d’huile tombé sur mes reins me fit sursauter:

Vous allez attraper un coup de soleil! Laissez-moi faire».

Sa voix était douce, ses mains étaient douces, j’étais terrorisée. Que faire? J’étais à la fois paniquée et pétrifiée, incapable de réagir. Que faire, sinon subir ce supplice, cette sorte de viol.

Ses mains étalaient l’huile sur mon dos, doucement, avec attention. Arrivées au cou, elles me massèrent lentement. Ses massages étaient dignes d’un kiné ... ou d’un grand amateur de sensualité, peu à peu je me détendais. Il ne se permettait aucun geste déplacé, juste un long massage; j’en oubliais ma position, ma tenue ... mon état d’excitation que j’avais de plus en plus de mal à accepter et à cacher.

L’huile coula à nouveau, sur mes jambes. Les massages devinrent caresses. Pas un seul de mes orteils ne fût délaissé, ses mains m’embrassaient, me léchaient.

L’huile coula encore, sur mes fesses. Cela me réveilla, de nouveau la peur me repris et mon corps se crispa.

Le jeune homme m’enjamba alors, se mis à genoux et recommença ses massages, ses caresses, courant de ma nuque à mes fesses, insistant plus fréquemment sur mes reins puis prenant chacune de mes fesses dans ses mains (je suis plutôt menue) pour les malaxer de plus en plus vigoureusement.

Je brûlais d’envie qu’il s’occupe de mon sexe et j’espérais qu’il s’en aille, je ne savais plus, mon corps ne m’appartenait plus et allait au devant de lui, mais mes restes de raisons me disaient de fuir, de hurler.

Ses doigts vinrent caresser enfin, j’étais trempée. Ses doigts me fouillèrent presque brutalement. Trempée d’huile (entre autre) comme je l’étais, il n’hésita pas à me pénétrer de plusieurs doigts et même d’explorer mon fondement. Je n’aime pas trop cela, et là, j’aimais. Je cambrais les reins pour mieux m’offrir.

Il retira sa main et se rapprocha. D’un seul coup je le sentis au fond de moi. Son sexe était terriblement dur et me semblait me remplir tout entière. A peine quelques secondes suffirent pour que je hurle ma jouissance. Et cela dura un long moment avant que je ne me reprenne et que, une fois encore, je recouvre en partie mes esprits:

S’il vous plait, n’arrivez pas dans mon ventre, je ne prends pas la pilule.

Le jeune homme de bonne famille se retira et s’enfonça entre mes fesses, lentement, sans à coups, mais sans ménagement non plus. Il s’enfonça jusqu’à buter contre mes fesses et recommença un profond va et vient.

Et c’était horriblement bon!

Mais cela ne semblait pas lui suffire: il posa ses pieds à plats de part et d’autre de mes fesses, s’accroupi au-dessus de moi et replongea en moi. Il me semblait faire le double, il s’enfonçait en moi comme jamais je n’aurais pu imaginer que ce fût possible. Encore quelques mouvements, je jouissais à nouveau. Je sentis alors au fond de mon ventre les spasmes de sa jouissance.

Il resta un instant prostré contre moi, son sexe encore si dur toujours fiché entre mes fesses.

Il m’embrassa dans le coup, très tendrement et me dit à l’oreille :

Ne dit rien à mon père, sinon il va me tuer!

Promis.

Ce fût à peu prés le seul mot que je lui dis, bien trop contente qu’il m’ait pris pour la nouvelle conquête de son père.

Il se leva et rentra dans la maison. Je replongeai dans la piscine pour évacuer ce qui pouvait l’être, me rhabilla et disparu.

Je ne revis plus jamais ni le jeune homme, ni son père...

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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