Vous devez me prendre pour une exhibitionniste ! Bien sûr. Moi j’hésite encore.
Si une exhibitionniste est une femme qui aime se montre nue, éventuellement pour choquer les biens pensants ou pour exciter des hommes en mal d’émotion, alors je ne suis pas
vraiment cela.
Je mens.
Dans mon blog j’adore imaginer des hommes me lisant, se plongeant dans mon passé pour trouver du plaisir. Imaginant poser leurs mains sur mon corps que je dévoile parfois.
Mais quand je me montre vraiment, sans floutage, sans le filtre de l’anonymat, quand je laisse un rideau de cabine d’essayage mal fermé j’ai juste peur. Je ne suis pas excitée, je n’ai aucun
plaisir, je panique simplement… Mais lorsque j’ai remis de l’ordre et que je suis loin de mes voyeurs, alors j’ai comme une montée de chaleur qui rapidement me met dans une excitation extrême.
Jamais je ne me serais lancée si un homme ne me l’avait pas demandé.
Depuis j’aime ce stress qui je le sais désormais va me procurer un grand plaisir.
Lorsque mon mari m’a entrainé sur les plages naturistes, somme toute assez rarement, je suis toujours mal à l’aise. Je ne suis ni exhibitionniste, ni naturiste. Je sais simplement que cela sera
formidable ensuite.
L’automne dernier a été chaud, L’été indien ! Mon mari et moi sommes partis nous promener le long de la plage de Grazeille, à Gruissan, Il faisait si chaud que nous étions habillés comme en
juillet et si beau que nous n’avions pas envie de rentrer trop tôt alors on à poussé jusqu’à la plage de Mateille. Le centre de la plage est naturiste mais en octobre il n’y en avait pas.
Arrivé là mon mari a prétexté une petite fatigue pour faire une pause. Après tout c’était agréable de s’allonger là, là où de temps à autre nous venions laisser le soleil nous chauffer. Là où il
aimait voir les autres me mater pendant que mon cœur battait la chamade.
Il faisait chaud.
C’était bon.
Quelques minutes de sieste au soleil plus tard mon mari me dit qu’il a vraiment très chaud et commence à se déshabiller. Il me demande d’en faire autant.
Nous sommes nus au milieu de cette plage quasi vide. C’est étrange.
Nous sommes restés là une bonne heure. Quelques promeneurs, des pêcheurs également, sont passés prés de nous.
C’était très étrange en effet. L’été il y a bien quelques voyeurs qui passent devant moi pour me regarder mais ce sont des nudistes. Là ce sont des gens habillés qui me dévorent du regard.
J’en parle à mon mari qui décide de pousser plus loin encore mon malaise. Alors qu’un groupe avance dans notre direction (encore à quelques centaines de mètres quand même) il me demande de ne pas
bouger et me dit qu’il aimerait me regarder de loin, voir comment se comporteraient les voyeurs si j’étais seule.
Il m’embrasse sur les lèvres, se lève et joue un petit « jeu de rôle » en se levant :
« J’en ai marre ! reste seule moi je me tire ! »
Et il fait mine de s’en aller pour se cacher en arrière de la plage.
Je suis terrifiée d’être là, toute seule, nue sur cette plage.
Mon cœur bât à tout rompre… puis lentement se calme un peu. Je m’allonge et ferme les yeux.
Les minutes passent.
« Bonjour, vous être seule ? »
Il y a quatre jeunes, peut-être 25 ans, debout devant moi. Jean tee-shirt, bronzés, souriants.
« Vous venez souvent bronzer ici ? »
C’est le même qui a parlé les deux fois, un grand brun athlétique. Et sympa.
« Non, je viens rarement » leurs dis-je.
« On a de la chance alors ! »
« Je ne sais pas » leur dis-je encore tout en m’asseyant en tailleur.
Ils s’assirent à leur tour, face à moi.
Leurs regards caressèrent rapidement ma poitrine, mais elle n’est pas assez orgueilleuse. En quelques secondes je les ais sentis plonger entre mes cuisses avec une telle insistance que je me suis
surprise à regarder moi-même. Le rouge a du recouvrir mon visage en constatant mon impudeur. Eux en jean, moi nue assise en tailleur, le sexe lisse rasée du matin même, les lèvres grandes
ouvertes comme celle d’une orchidée rouge.
Nous avons parlé de sexe, je leur ai dit mes préférences, je leur ai dit combien j’adorerais les boire tous les quatre après qu’ils m’aient donné assez de plaisir… mais je les ais déçus en disant
que mon mari ne serait probablement pas d’accord. Je leur ais dis qu’il nous regardait de loin, que c’était son plaisir. J’étais sincèrement désolée pour eux. J’aurais adoré les satisfaire. Je me
suis même excusée et leur ai laissé un petit espoir… on ne sait jamais.
Et j'y pense souvent quand mon mari me fait l'amour
Mail (fin 2002)
De : yonigift@gmail.com
A : Jean @xx
Je vais essayer de vous raconter, en plusieurs fois, cette folle journée à Toulouse, fin septembre
La journée de l'aéroport (avec Joseph et François voir dans le blog) aura été pour moins une "renaissance" de ma sexualité"...
J’étais donc parti à Toulouse en voulant vivre vos fantasmes, les vôtres et ceux de mon mari.
Je me suis habillée d'une jupe courte mais serrée (elle ne se relève pas au vent) d'un chemisier et de chaussures d'été à haut talons (enfin haut pout moi : 7 cm) sans rien d'autre, et après un
bain et mes soins intimes que vous connaissez. J'ai voulu tester à nouveaux les boules de geisha, seule, et je me les ais mises avant de partir.
Sans culotte, j'avais toujours l'impression qu'elles allaient partir alors j'ai contracté mon périnée en quasi permanence.
La première émotion fur le péage, ma jupe un peu relevée était en limite d'exhibition et le jeune homme du péage tardait à me donner la monnaie: premières sueurs.
Garée parking Jean Jaurès j'ai ensuite pris le bus, bondé, pour aller de l'autre coté du centre....
A suivre
Bisous mouillés
Yoni
From : Jean @xx
To : yonigift@gmail.com
Bonjour Yoni
[…]
"Je vous aurais fait relever, tout en conduisant votre jupe pour que votre corps soit en contact direct avec le siège et pouvoir ainsi mieux encore le caresser, le parcourir et lorsque nous
serions arrivé au péage ce jeune homme aurait lui aussi découvert votre merveilleux trésor mais vous auriez été rassurée par ma présence et lui auriez donné le temps de vous admirer
Peut être même alors aurais je déboutonné un peu votre chemisier pour qu'il puisse encore mieux voir quelle femme magnifique vous êtes, ensuite nous aurions continué jusqu'au parking et soyez
certaine que d'autres personnes des deux sexes vous auraient encore admiré et que plusieurs se seraient plus tard donné du bonheur en pensant à vous Yoni et je crois que avant que vous ne
descendiez de votre voiture mes doigts et ma bouche vous auraient conduit au plaisir... "
[…]
De : yonigift@gmail.com
A : Jean @xx
Vous auriez aimé cela, m'exhiber aussi franchement?
J’aurais probablement refusé mais l'idée m'excite terriblement.
Bon je vais essayer de continuer ma journée....
Dans le bus bondé j'étais debout faute de place, avec plein de monde à mes cotés. Je me sentais tellement nue et tellement fragile avec ces choses en moi!
Chaque "à coup" et il y en avait souvent faisait que les gens (hommes et femmes) venait me heurter, me toucher (mais sans me manquer de respect) mes boules s'entrechoquaient sans cesse et j'avais
l'impression d'entendre le bruit qu'elles faisaient (mes voisins entendaient ils aussi?) j'avais peur qu'elles ne tombent alors je contractais mon périnée et serrais mes jambes.
J'ai eu un plaisir extraordinaire sans pour autant d'avoir d'orgasme fulgurant, juste un plaisir qui est venu de loin et m'a emmené très haut, sans à coup.
J’ai quitté ce bus les jambes tremblantes non sans avoir croisé quelques regards appuyés et quelques sourires masculins (ils n'avaient pourtant rien vu j'en suis certaine!)
Je suis entrée dans un grand magasin pour me calmer ou plus, en effet j'avais envie de cet orgasme simple. J’ai attrapé une robe au hasard et me suis rendue aux cabines d'essayage.
Il y en avait une dizaine et quelques chaises pour patienter.
Elles étaient occupées, je me suis assise sagement. Il y avait 2 messieurs qui devaient attendre leur femme (la cinquantaine pour l'un) ou sa fiancée (à peine la vingtaine pour l'autre). Nos
regards se sont croisés; les 2 étaient insistants mais différemment, le jeune à la fois très direct et très gêné, l'autre plus discret mais plus sur de lui (il m'a même souri).
J’ai détourné mon regard et me suis mise à penser au film avec Sharon Stone (basic instinct) pour autant je ne me voyais pas en faire autant.
Sans les regarder j'ai croisé discrètement mes jambes, puis mon regard a balayé l'entrée des cabines et les 2 hommes.
Puis, le regard baissé (je n'ai pas osé plus) j'ai décroisé et recroisé mes jambes façon "Sharon" afin qu'ils puissent voir, très rapidement.
À cet instant la dame plus âgée sort, je me lève et croise le regard du mari qui me souri à nouveau, plus franchement
J’entre dans la cabine et me caresse comme une folle jusqu'à l'orgasme.
... (à suivre)
PS: cela aura été une des journées les plus folles de ma vie!!!!
A bientôt bisous
Au fait j'ai 2 questions en suspend, si vous ne répondez pas j'arrête de vous écrire:
1) j'ai aimé votre site (pipe-show) mais je vous ai demandé
-où me verriez-vous? Où NOUS verriez-vous?
2) dans la "bulldog list" il y a une dizaine de catégorie, j'en ai éliminé quelques une et pas d'autres et je voulais que vous réagissiez à cela (il y avait de quoi!)
A vous
Je vous prends entre mes lèvres et ne vous lâcherais plus tant que vous ne m'avez pas répondu
From : Jean @xx
To : yonigift@gmail.com
Bonjour Yoni
Vous me faites languir et aussi tout à fait autre chose
Quand j'ai commencé à lire votre message très rapidement mon sexe a réagit
Je vois imaginais vous préparant déjà toute excitée dans votre bain votre trésor devait se trouver tout humide et probablement vous êtes vous caressée avant d'introduire en vous ces boules de
geisha
J’imagine votre adorable trésor s'ouvrir pour avaler doucement chacune de ces boules, hummmmmm voilà elles sont en vous maintenant dans votre intimité, peut être n'étiez vous pas encore vêtue
quand vous les avez enfilées dans votre trésor tout humidifié de votre douce liqueur dont j'espère connaitre un jour le délicieux parfum
Et vous êtes partie en voiture avec cette jupe courte qui découvrait toutes vos magnifiques jambes et la majeure partie de vos cuisses et ce chemisier sans rien dessous et dont l'étoffe devait
caresser sensuellement vos seins faisant ressortir vos tétons adorables
Oh comme j'aurais voulu me trouver assis à vos côtés pour vous admirer dans cette tenue vos jambes écartées afin de pouvoir accéder aux pédales je crois que je n'aurais pas résisté au plaisir de
caresser délicatement cette peau si douce que vous me découvriez ma main aurait continuer cette caresse pour aller se glisser sur votre trésor, je crois qu'elle aurait encore fait glisser cette
jupe pour le découvrir et que je puisse mieux le caresser et y introduire mes doigts qui serein et venus délicatement sur votre bouton d'amour.
je vous aurais fait relever, tout en conduisant votre jupe pour que votre corps soit en contact direct avec le siège et pouvoir ainsi mieux encore le caresser, le parcourir et lorsque nous
serions arrivé au péage ce jeune homme aurait lui aussi découvert votre merveilleux trésor mais vous auriez été rassurée par ma présence et lui auriez donné le temps de vous admirer Peut être
même alors aurai-se je déboutonné un peu votre chemisier pour qu'il puisse encore mieux voir quelle femme magnifique vous êtes , ensuite nous aurions continué jusqu'au parking et soyez certaine
que d'autres personnes des deux sexes vous auraient encore admiré et que plusieurs se seraient plus tard donné du bonheur en pensant à vous Yoni et je crois que avant que vous ne de scandiez de
votre voiture mes doigts et ma bouche vous auraient conduit au plaisir
En attendant la suite de ce récit je vous fais mille baisers
Je vous voudrais devant moi là en ce moment en train de vous donner de la joie, du bonheur du plaisir vous êtres une femme superbe et adorable que je désire plus que jamais.
De : yonigift@gmail.com
A : Jean @xx
Suite de ma journée de folie toulousaine:
Après la cabine, toujours nue sous ma jupe mais sans les boules que j'avais retirée à la fin de mes caresses dans la cabine, je me suis promenée en ville puis suis allée manger une salade en
terrasse place du Capitole
J’ai choisi une table en limite de place, ainsi il n'y avait rien entre moi et la foule de promeneurs
J’ai pris mon temps pour manger tranquille et pour mon café me suis laissée aller en arrière, jambes croisées sagement ... mais vu la longueur de ma jupe et la position qui sait si dans le
mouvement un promeneur chanceux....?
La suite (et fin) est la pire chose que j'ai jamais faite.
Je me promenais en direction de la Garonne lorsque 3 gars (jeunes et athlétiques) m'ont dépassée d'un pas rapide, se sont retournés sur moi en plaisantant et après quelques sourires "limites" ont
continués leur chemin
Ils étaient maintenant à au moins 2 ou 300 m lorsqu'ils sont entrés dans un magasin.
Lorsque je suis arrivée au niveau de ce dernier, je n'ai pu m'empêche de regarder : c'était un sex-shop
"Attention danger! N’entre pas" me suis-je dis "pour le moment je m'amuse, j'ai repris le contrôle de ma vie mais si j'entre..."
Je pousse la porte et entre
Les garçons sont invisibles, il y a manifestement des recoins ici
Le "marchand" me demande si j'ai besoin d'aide
Je lui dis que je voudrais juste jeter un œil
Il insiste pour me vendre des objets et fait le tour du comptoir.
Il commence par me demander c'est pour moi, une ami ou même mon mari, "pour moi" dis-je simplement" il me demande alors si j'en dispose déjà, je lui dis que oui et que j'aimerais quelque chose
d'original
Les trois garçons apparaissent à nouveau et s'excitent manifestement en me voyant, ils s'approchent de moi
A suivre
Bisous mouillés
Yoni
De : yonigift@gmail.com
A : Jean @xx
Suite...
Je vous ais abandonné dans le sex-shop...
Le vendeur me proposait toutes sortes d'objets, les 3 gars s'étaient approchés (assez pour entendre) et je lui répondais " non merci ça j'en ai déjà" (boules) ça aussi (vibros classiques).
Le plus entreprenant des 3 gars s'approcha de nous et me dit à l'oreille en me montrant un mini gode: " vous devriez essayer ce petit là où t'imagine pendant que ton gars te fait l'amour, ma
copine adore" "mon mari m'en a ramené un aussi, c'est vrai que c'est bien mais je suis habituée à des choses plus sérieuse, merci quand même" et je me suis franchement détournée de lui pour
demander au vendeur : "combien coute le gros noir, là? (25 cm x 7)
Puis j'ai regardé le gars en souriant un très bref instant puis je suis revenu vers le vendeur.
Je l'ai acheté.....
From : Jean @xx
To : yonigift@gmail.com
Bonjour Yoni,
Vous ménagez le suspens pour votre promenade à Toulouse mais que c'est excitant de vous imaginer ainsi à chacun de vos messages sur le sujet j'ai très envie de connaitre la suite
Vous êtes dans ce sex-shop et je me plais à imaginer tellement de choses qui vont vous y arriver Yoni ;
Je viendrai vers 13h comme hier espérant que vous serez là comme vous me l'avez dit
Je vous imagine assise devant cet écran au milieu de plein de monde
(nota de Moi : je tapais mes mails à Jean depuis un cyber café)
Aujourd’hui vous n'avez pas de string en dentelle car vous avez pensé à moi et ce matin vous êtes partie avec votre trésor à l'air hummmm comme je voudrais être parmi les passants qui pourront
vous voir et vous admirer Yoni ils ne savent pas la chance qu'ils ont, aurais je un jour ce bonheur Yoni ?? J’aimerais tellement
Hier je vous ai envoyé quelques photos durant notre "dialogue" et dans l'après midi j'ai fait de même avec des récits sur ce sujet, avez vous eu le temps de les regarder et de les lire Yoni et si
oui qu'avez vous ressenti?
Vous êtes vous caressée en le faisant ou cela vous a t il déplu?
Vous m'avez dit que vous aviez un chien et que vous aviez pensé à vous faire lécher par lui peut être suite à cela aurez vous pris la décision de le faire ou plus encore Yoni
Je vous attendrai donc tout à l heure, je vous voudrais nue sous vos vêtements alors si vous lisez ce message avant 13 h ; ôtez vos sous vêtements Yoni vous êtes tellement désirable j'ai
tant envie de vous , vous êtes merveilleuse et lorsque je vous ai envoyé mon premier message suite à votre récit je n'aurais jamais imaginé un seul instant que j'aurais le bonheur de pouvoir
dialoguer ainsi avec vous et je vous remercierai jamais assez pour cela j'espère que de votre côté vous ne regrettez pas et que vous ne regretterez jamais notre relation actuelle
Je vous voudrais là devant moi Yoni, je vous voudrais offerte là et je me pencherais sur vous pour couvrir vos trésors de baisers et vous donner du plaisir
A tout à l'heure Yoni
Votre Jean
De : yonigift@gmail.com
A : Jean @xx
Suite...
Le jeune gars revient vers moi, un peu vexé, (ou profitant de l'occasion) il me dit: "si tu (il est passé au tutoiement) accepte ça dans les fesse en plus de ton mec, on a surement mieux à te
proposer... on est libre tout les 3!"
"Non merci, c'est tentant mais non. Désolée"
"Allez ne dit pas qu'on te fait peur?"
"Peut-être mais ce n'est pas parce qu'une femme s'achète un gadget qu'il faut imaginer qu'elle couche avec n'importe qui, faut pas vous faire de film les gars!"
"Alors juste pour le plaisir je te paye un film"
Le vendeur intervient: "les films sont visibles en cabine individuelle uniquement!"
"C’est parfait ça!" dis-je alors, puis vers le gars "ok pour la toile mais chacun chez soi" le gars râle mais accepte
Il me laisse choisir, il y avait plusieurs choses qui me tentaient (animal notamment mais je n'ai pas osé) j'ai choisi pour rester dans l'ambiance un "gang-bang" avec une blonde épilée, (on ne se
refait pas!)....
Nous allons donc vers les cabines, le plus entreprenant des 3 gars me tiens galamment le porte de la cabine, j'entre (c'est vraiment petit) puis, de ce que j'entends, ils occupent les cabines
mitoyennes, je m'enferme.
Le film démarre, c'est un peu long et j'en profite pour remettre mes boules de Geisha, autant aller au bout des choses (je les nettoie dans ma bouche, l'une après l'autre), toujours pas d'action,
je prends mon gros noir entre les mains et décide de le nettoyer avec une lingette (2 en fait) puis le "rince" avec ma langue. Une fois prés je le passe sur mes lèvres intimes puis sur mon
bouton, les vibrations me transportent doucement.
Le jeune frappe à la cloison, il me demande si j'ai enlevé ma culotte, je lui réponds que je n'en avais pas - "la vache!" cri t il, est-ce un compliment? L’action commence enfin, et plutôt fort,
la fille avale le sexe d'un noir pendant qu'un autre (blanc) la prend en levrette.
Je reprends mon olisbos dans la bouche et entame une fellation.
Ils changent de position et le noir la pénètre - je me pénètre aussi - le vibreur butte sur les boules, je les retiens avec la ficelle (allongée par mon mari depuis qu'ils les avaient perdues au
fond de moi) mais je pousse au maximum.
Cela dure - je fais durer aussi.
De temps en tps le jeune tape à la cloison et me parle, maintenant le "tu" à systématiquement remplacé le "vous": "est-ce que tu l'as mis dans ta chatte?" je réponds simplement "oui"
Le noir athlétique se couche et la file vient s'empaler sur lui, je retire les boules pour enfoncer le gode à fond... c'est tellement bon!
Je ne peux me retenir et je jouis bruyamment - je me laisse aller - les jeunes l'entendent et me crient leur enthousiasme: des "Ouais!", "super", "elle est arrivée!!"
Le film continue, je recouvre mes esprits, doucement, un deuxième gars prend la fille par derrière - elle en a deux en elle maintenant - un troisième se place entre ses lèvres et elle l'avale
Le jeune tape et me demande si je veux ça, je lui réponds: "oui - mais pas avec vous - restez comme ça" et je reprends le va et vient au font de moi.
Les acteurs changent de position, la fille se lève et s'accroupi dos au noir, elle pose son anus sur son sexe dressé - je retire mon vibreur et replace les boules dans mon ventre - je place alors
mon gros noir contre mon anus trempé, la sensation est sublime!
L'actrice s'empale doucement, il disparait, enserré par son anus alors que ses lèvres intimes s'ouvrent grand.
La jeune tape, "tu te le mets aussi?" - je réponds encore "oui" et l'enfonce un peu (pas trop, le mien est énorme) j'en ais assez enfoncé pour qu'il longe les boules de Geisha qui vibrent alors
de concert.
Je joui encore
Je recouvre une fois encore, lentement, mes esprits. Lorsque je reviens à moi, l'actrice reçoit sur son visage le plaisir de ses amants.
J'ouvre sans bruit la porte de la cabine et m'enfuit du magasin avant que les jeunes ne s'en rendent compte.
Je n'ai plus rien en moi - je n'en ai même plus envie –
Je marche jusqu'à la voiture, l'agitation des rues autours de moi me semble totalement irréelle.
Je rentre à la maison.
Tendres bisous de mes lèvres mouillées de votre liqueur
Ce n’est plus du plaisir c’est l’expérience de la folie ! (mais du plaisir aussi)
Je me suis habillée comme vous le vouliez : jupe courte, string dentelle, bas noirs et porte-jarretelles, chemisier en soie et cardigan par dessus car il ne fait pas si chaud.
Tout a commencé hier soir, j’ai demandé à mon mari de me combler, et j’avais sorti la « boite à jouet », il m’a effectivement comblée. Ce matin avant de partir je lui fais une fellation
puis lui ais demandé de (l’écrire me gêne) « m’enculer » oui, je le lui ais demandé ainsi (c’est la première fois) et il ne s’est pas gêné.
Je lui ais demandé s’il voulait que je pense à lui comme la dernière fois, bien sur qu’il a accepté et s’est fait une joie de me planter le plug entre les fesses, puis de placer les boules
de Geisha.
Bref je suis partie vers 09h30,
Au péage j’étais comme prévu… mais c’était une dame qui n’a pas fait de commentaire
En revanche avant d’arriver au centre commercial, grand moment d’émotion, de stress et de gêne : contrôle d’alcoolémie par les gendarmes : vous imaginez le gendarme !
J’ai soufflé dans sa boite ça allait bien sur mais il a pris le temps de vérifier mes papier, m’a fait ouvrir le coffre, la totale… très excitant…après coup !
J’ai fait mes courses très vite pour être débarrassée mais dans le magasin j’ai réalisé que j’avais oublié de prendre le gode que vous m’aviez demandé, j’ai alors acheté un joli concombre
(assez gros mais raisonnable pour entrer dans mon sac à main – qui est vaste !)
Un peu avant midi, j’ai failli vous envoyé un mail depuis un cyber café !
J’ai retrouvé Joseph et son ami dans un hôtel-restaurant proche de l’aéroport, nous nous sommes reconnu de suite et j’ai eu une (agréable) surprise : son ami est noir, âgé certes mais noir,
et c’était un de mes fantasmes ! Si j’hésitais encore là je n’hésitais plus
Nous avons mangé, un peu, parlé de moi beaucoup, ils voulaient tout savoir de nos relation (pour Joseph, vous êtes mon amant) je n’ais même pas songé à me déboutonner ou à les taquiner du
pied. En revanche, quand il a demandé l’addition, je me suis retirée au toilette et me suis masturbée comme une folle, me suis essuyée avec mon string et au retour l’est offert à Joseph.
Il était en boule dans ma main, je l’ai mis dans la sienne discrètement ; mais il l’a ouverte et s’est exclamée « est-ce une invitation ? »
« Pour vous deux si vous le désirez ! » lui ais-je répondu
Puis nous sommes allés vers les chambres.
Arrivés je leur ais dit : asseyez vous et regardez :
Je me suis déshabillée doucement : cardigan, chemisier, chaussure
Lorsque la jupe est tombée ils ont été surpris par ma peau lisse mais je les ais fait taire « chut ! Ne dites rien »
J’étais nue
J’ai posé un pied sur le lit et attrapé la ficelle des boules
« Tu es indisposée ? » dit Joseph
« Chut ! »
J’ai tiré doucement, une boule est apparue, puis est sortie d’un coup, trempée
« Ho ! » ont-ils fait
Puis j’ai continué avec l’autre
Quand ce fut fini, je me suis mise à genoux (écartés), dos à eux sur le lit et ais dit « François » (son ami) peux tu m’enlever ça, je l’ai depuis ce matin et je préférerais quelque chose
de plus chaud »
Il s’est approché et a retiré le plug
« Prends sa place »
Il a vite enfilé un préservatif et s’est enfoncé en moi
« Joseph, viens dans ma bouche ! »
Il est venu et nous avons passé un moment génial
- - -
Suite… (Mail du 20/12/2002)
Au bout d’un moment je me suis avancée vers Joseph, laissant François sur sa faim. (je ne vous l’ai pas dis, il a un sexe comme on peut se l’imaginer, gros et long… mais pas très dur, très
souple, ce qui est parfait pour moi, trop dur fait mal !)
J’ai rampée jusqu’à Joseph et me suis plantée sur son sexe, je lui ai mis mes seins sur le visage en lui disant « à toi de me manger » puis me retournant vers François « reviens, ne me
laisse pas ainsi, reprends ta place ». Et nous avons fait l’amour ainsi un long moment (les vieux c’est un peu comme Max, il semble qu’il leur faut plus de temps pour arrivé ; mais tout le
plaisir est pour moi !)
J’ai joui je ne sais combien de fois
L’un après l’autre ils sont arrivés en moi
C’est lorsque je les mangeais tranquillement que François dit « dommage que l’on ne soit plus en forme, je suis certain que tu en aurais aimé encore »
Je lâche le sexe de Joseph et lui dit « ouvre mon sac et prend de quoi me satisfaire » et je reprends ma gâterie
Il ouvre et s’exclame « ho ! Mais c’était prémédité ! »
Il s’approche de moi avec le concombre je lâche encore joseph « va le rincer s’il te plait »
Il s’exécute et revient avec
Il essaie de l’enfoncer, ça bloque « lèche moi, et met de la salive dessus »
Il le fait ça passe mieux et c’est bon
Joseph devient plus ferme je lui demande « encule-moi » (je pensais à vous en disant cela, je me suis forcé à le dire, 2 fois en 2 jours ! mais ça m’a plut et ça l’a manifestement excité)
il s’est levé est passé derrière moi et s’est enfoncé entre mes fesses. François continuait à bouger le concombre mais me dit « c’est pas facile avec Joseph au milieu » « attends » dit Joseph, il
sorti, me prit par les hanche et me dit, « viens » en me retournant sur le dos. Joseph allongé, moi dos à lui accroupi je commençais à m’empaler.
Trop difficile, je retire le concombre et m’empale puis me laisse aller en arrière offrant une vue très impudique à François « remets-le s’il te plait » et il s’exécute : c’est dur, gros
presque douloureux mais tellement excitant
François me demande de prendre la place du concombre, « viens » lui dis-je, il le retire et s’enfonce en moi
Nous avons encore joui
La suite fut plus calme, gâteries et câlin
Douche et retour (avec mes accessoires en moi)
…
Et au retour un mari qui m’attendait excité et qui m’a terminée
Ouf !
Pas tous les jours quand même !
Je me demande si je ne suis pas arrivé au terme de ma débauche, je ne vois pas ce que je pourrais faire de pire
Bisous
PS : j’ai des problèmes de connexion… et je suis fatiguée, ne m’en voulez pas trop si je vous néglige
J’ai peu de temps pour vous écrire là mais je tenais vivement à vous remercier pour votre message d'hier.
Je suis si heureux que vous ayez fait cela et que vous y ayez trouvé du plaisir je vous en reparlerez plus longuement bientôt et j'espère que vous me ferez le récit de ce qui c'est passé
ensuite dans cette chambre et de votre retour à votre domicile car je suppose que votre mari a du avoir envie de vous enlever vos jouets et de les remplacer par son sexe, peut-être même que max
est venu l'aider à vous satisfaire pleinement
Hier soir j'étais tellement excité après la lecture de votre récit et en pensant à vous en imaginant François dan votre "cul" que j'ai fait l'amour à ma femme mais c'est à vous que je le
faisais et quand je l'ai prise en levrette c'était vous à genoux sur ce lit dans cette chambre que j'honorais et c'est dans votre trésor que ma liqueur c'est vidée c'entait super ma belle et
adorable Yoni, ce fut une jouissance merveilleuse grâce à vous
à bientôt j'attends avec impatience la suite de cette journée
>From Yoni
Bonsoir
Pour vous mettre dans l'ambiance une photo prise par mon mari (nous n'en avons évedemment pas prise avec mes amants)
Résumé : Julie, une chateuse avec laquelle nous nous amusions à nous lancer des défis d’exhib me pousse à lui avouer un fantasme qui est en fait plutôt une « obsession » :
je suis fascinée par le sexe de mon chien.
Je prends mille précautions pour le lui avouer, lui demandant par avance de ne pas me juger et de garder notre amitié même si mon « annonce » devait la choquer.
Elle me rassure, je me lance et lui avoue ma fascination pour ce large sexe rouge et lisse qui m’obsède. Contre toute attente elle n’est pas choquée et m’avoue s’être déjà laissée lécher le minou
par un chien et avait trouvé cela génial.
Elle me demande s’il est là.
Oui
Elle me demande si j’ai de la confiture. C’est ainsi qu’elle a fait avec son chien, une bonne gourmandise offerte.
J’ai du miel.
Elle me demande d’aller le chercher…
Et ma connexion me lâche ! Je suis déçue car son entrain m’aidait. Je n’osais pas franchir le pas.
Mais j’avais ce pot de miel la main, Max dans les pattes et le feu au ventre.
J’ m’installe au salon, sur mon canapé en skaï et trempe 2 doigts dans le pot de miel.
Je les tends à Max qui me lèche immédiatement, longuement. Ce ne sont que des doigts et il me semble que mon plaisir monte déjà.
Je plonge dans le miel et ose me caresser le sexe ainsi puis offre mes doigts à Max qui se régale à nouveau.
Je me laisse aller en arriéré, écarte les jambes, Max me suit, me léchant toujours la main.
Ma main s’approche de mon sexe
Je n’ose pas et reste un instant à quelques centimètres à peine. Sa langue m’effleure presque.
Je craque, j’ai besoin d’arriver. Je ne pense plus forcément à Max, juste à mon plaisir. Je pose mes doigts sur mon clitoris et commence à me masturber toute seule… Mais Max me suit et trouve
tout ce bon miel étalé sur mon minou tout lisse et si sucré. Il me lèche avec avidité. Je me caresse comme une folle. J’ai un premier orgasme quasiment de suite.
Je retire alors ma main et me laisse aller à moitie saoule.
Je le regarde me lécher, c’est si bon !
Je m’imagine déjà à quatre pattes, la chienne de mon chien…
Je m’imagine le prendre dans ma bouche… mes amants aiment tant cela et j’aime tant quand ce sexe qui explose par ma seule volonté…ce gout si agréable…
Je reprends mes caresses et arrive encore une fois.
Mais Max n’a pas d’érection, le goujat. Trop gourmand !
Je me lève et vais chercher ma boite à malice… Je pose un peu de miel sur un gros gode et lui donne à lécher… ce qu’il s’empresse de faire. Dés qu’il est bien mouillé je le
mets entre mes lèvres intimes et mets en route les vibrations… Max reprends ses léchouillés.
Au terme de cette seconde visite mon gynéco repris une attitude plus professionnelle et beaucoup plus froide. Il retourna à son bureau et pris quelques notes. Il me fixa d’autorité un prochain
rendez-vous pour le mois suivant, à la même heure et dans les mêmes conditions.
Les semaines passèrent et ma passion pour cet amour de jeunesse grandissait sans cesse. Je me fi belle pour ce rendez-vous et arriva très impatiente au rendez-vous fixé.
La secrétaire me fit patienter. Il y avait une jeune toute femme avant moi, très jolie. Je me découvrais jalouse. Mais je me rassurais : j’étais habillée sexy avec une petite robe d’été
courte et légère qui mettait en valeur mes longues jambes (j’en suis très fière)… On verra !
La jeune femme est invitée à entrer. J’attends seule, impatiente. Je me refais le film de notre première aventure. Je repense à son sexe, je me souviens de sa chaleur, de son odeur, du parfum
envoutant de sa liqueur coulant dans ma bouche.
Son assistante m’appelle enfin. J’ai tellement envie de lui que j’espère qu’il va me sauter dessus comme un adolescent… mais c’est le toubib qui me reçoit, assez froidement. Sa seule concession
est un tutoiement poli :
Bonjour Alanys, tu te déshabille et tu t’installe s’il te plait, j’arrive.
Et pendant qu’il consulte son écran je me déshabille. Ma robe tombe. Je reste un instant en sous-vêtement afin qu’il puisse apprécier l’érotisme de la situation :
« une leçon de séduction » avait dit la pub !
Il lève son regard sur moi, me sourit et lance un :
"Très joli mais u es encore plus belle sans !
Je les retire et m’installe sur le fauteuil. Il se lève, s’approche de moi et, à peine son regard posé sur la courte toison blonde de mon pubis se raidit, visiblement contrarié et se met en
colère :
J’avais dit « mêmes conditions », tu aurais du t’épiler avant !
Je n’ai pas eu le temps de comprendre sa réaction qu’il me tendit ma robe et ajouta :
Tiens, rhabille-toi. Il y a un supermarché au bout de la rue, va acheter de quoi te raser et reviens de suite.
Obéissante, je me lève, prends ma robe et m’avance vers mes sous-vêtements
Non ! Ne perds pas de temps, enfile ta robe et va acheter le nécessaire.
A la fois surprise et fascinée, je ne me sens pas capable de réagir. Je fais comme il me demande.
Il y a une heure, je me trouvais sexy avec cette petite robe et ces dessous coquins. Là je me sens nue. Encore dans le couloir de l’immeuble il me semble sentir une brise ma caresser le sexe.
S’il y a le moindre souffle de vent dehors je me fais embarquer par les flics !
Je marche rapidement jusqu’au magasin, il y a beaucoup de monde et je suis gênée comme jamais je ne l’ai été de ma vie (j’avais eu une petite expérience d’exhibition mais nue sur une plage
naturiste je suis passée presque inaperçue).
Horreur, le rayon « hygiène » est à l’étage. Je prends l’escalator. Deux jeunes me suivent. Forcément ils doivent avoir une vue dégagée. Je reste collée au bord pour limiter la vue mais
l’un d’eux se baisse franchement pour regarder sans honte aucune.
Je me dépêche d’aller au rayon qui m’intéresse. Les jeunes sont sur mes talons. Je prends un rasoir et lorsque je lève un bras pour saisir la bombe de gel l’un des jeunes me passe une main sous
ma robe et attrape mes fesses et tente de glisser plus loin.
Je me retourne et le gifle violemment avant de rejoindre les caisses, payer et retourner au cabinet.
Il y a du monde dans le cabinet et il me faudra attendre, et l’attente sera longue. Pendant presque une heure, assise à demi nue, l’empreinte de la main du malotru encore chaude sur mes fesses
et, à mon corps défendant, sur mon sexé en émoi que je sens ouvert et trempé… et rien pour arrêter ces fuites honteuses.
Depuis mon départ du cabinet et mon escapade au magasin, nue sous ma courte robe, une sensation étrange est montée en moi, mélange de gêne, de honte et d’excitation. Et je dois avouer qu’à
présent, toute gênée que je suis, je suis terriblement excitée. J’étais revenue un peu inquiète ne sachant si nous allions répondre là où nous nous étions quittés, ou si la raison, ou la morale
allait remettre les choses en ordre. Maintenant je suis sûre que dans un instant je me livrerais à lui et que nous allions encore faire l’amour.
Enfin c’est mon tour. Il me fait entrer et me dit de m’installer. Une fois nue sur la table de visite, il prend le gel de rasage et le rasoir et me demande si ça c’est bien passé. Je lui réponds
que oui sans m’étendre d’avantage.
Il va chercher un linge, le trempe d’eau très chaude et le passe sur mon pubis.
C’est brulant mais supportable.
Il est assis devant moi, le visage entre mes cuisses écartées, les pieds dans les étriers. Je suis offerte et disponible.
Il coupe d’abord aux ciseaux la plus grande parie de ma toison puis étale le gel qui fait mousser en me massant longuement. Délicatement, il entreprend alors le rasage, allant beaucoup plus loin
que je ne l’avais fait moi-même en allant traquer le moindre poil perdu entre mes fesses.
Une fois fait il me rinça puis sorti sa pommade et m’en passa partout insistant longuement pour que tout pénètre, jusqu’entre mes fesses, jusqu’à mon anus, prenant un certain plaisir à en déposer
sut mon sphincter pour le faire pénétrer avec ses doigts.
Il sorti sa verge, enfila un préservatif et plongea dans mon sexe trempé.
Excitée comme je l’étais je fus clouée par un premier orgasme d’une rare violence après quelques mouvements à peine. Il s’en aperçu et me dit :
Tu démarre vite, on va voir comment tu va réagir à ça.
Et il posa son sexe sur mon anus
N on pas ça je n’aime pas !
Ça te fait mal ? me demande t-il
Un peu, et puis je ne trouve pas ça normal.
Ça on s’en fiche. Ce qui compte c’est ton plaisir… et le mien !
Et il fit pénétrer son gland entre mes fesses. Ainsi écartée et préparée il semblait bien que j’étais prête et il n’eu aucun mal à s’enfoncer en moi.
Il me demanda s’il me faisait mal et rassuré par ma réponse s’enfonça jusqu’à me caresser le sexe avec son pubis, tout entier en moi.
Il resta un court instant immobile puis, la légère douleur passée, commença à aller et venir au fond de moi de plus en plus vite.
Puis brutalement sorti, s’accroupi et me lécha le sexe et l’anus comme s’il n’avait rien mangé depuis une semaine…
Se releva et replongea sans précaution au fond de mes entrailles m’arrachant un cri de douleur vite remplacé par le plaisir de ses va et vient vigoureux…
Il s’amusa avec moi longtemps alternant cunni fougeux et sodomies violentes.
Je ne saurais vous dire combien d’orgasmes je lui dois…
Mon mari me trouva fatiguée mais je n’ai pas eu le cœur de me refuser à lui. Je l’aime toujours autant et je crois que ma fatigue risque de perdurer.