Mardi 10 novembre 2 10 /11 /Nov 12:16
Je suis lasse de frotter par terre !
parfois (l'été le plus souvent quand la chaleur ambiante réveille ma libido) je rêve qu'un beau garçon viendra m'aider...
Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 21:53

"Bisous mouillés, le secret"

 

Le vrai secret de mon attachement à mes « Bisous mouillés »

 

Comment tout a commencé ? Je ne sais plus

Avec ma charmante nièce (majeure) nous avions céder à une attirance mutuelle et depuis quelques années, lorsque nous nous retrouvons seules, il nous arrive de nous laisser aller à quelques plaisirs saphiques.

Malgré une expérience certes tardive mais certaine, je dois avouer que c’est elle qui m’a initiée à ces plaisirs que je ne connaissais pas et qui même me répugnaient a priori.

L’homosexualité n’a jamais été ma tasse de thé, homme ou femme pareillement. Je ne juge pas et suis heureuse que certaines et certains puissent s’épanouir ainsi, mais moi il me faut un homme, au moins, pour me combler tout à fait.

Mais l’amour que je portais à ma nièce, la tendresse naturelle qui nous liait ont effacé le dégout du sexe opposé. Ces baisers sur mes joues étaient si doux. Son parfum si troublant… Cela s’est fait très simplement.

Je ne suis toujours pas bisexuelle, je ne pratique qu’elle, même si parfois, c’est vrai, je me suis laisser aller à quelques excès en boite libertine. Mais ce n’est pas ma préférence. Mais ma petite Lolita qui a si joliment grandi ! J’adore ses caresses et ses baisers.

 

Ce soir là il y avait un Toulouse-Monaco (je m’en souviens parfaitement) et nos hommes avait préféré le foot à nous.

Tant pis (pour eux)

 

Nous avons papoté pendant une petite heure peut-être avant que la conversation ne vienne se poser sur « les choses de la vie ». Lolita m’avait connue très très libertine et en avait même profité un peu, et lorsqu’elle est de passage (rarement hélas, ils habitent loin, à Paris) elle me demande immanquablement si j’ai repris goût à ces plaisirs ou si j’ai définitivement tiré un trait sur cette vie. C’est vrai que lors da sa précédente visite je ressemblais plus à une bonne sœur qu’à ce qu’elle avait connu de sa tante (j’exagère à peine).

Et bien non ! Si mon chéri a voulu tirer un trait définitif, moi je me suis contentée d’une encre bien sympathique pour rayer cette période. J’aime trop les plaisirs du sexe, les petites exhib gentilles, les petits coups de canifs dans un contrat que j’aime bien juteux (oups ! je me laisse aller).

 

Je disais à ma nièce que son idiot de tonton avait toujours ce besoin un peu pervers de me voir comblée par tous les trous mais ne me prêtait plus comme avant à ses amis, préférant utiliser des godes ou ce qu’il pouvait trouver (j’ai testé pas mal d’objets rigolos ou de fruits et légumes mais rien ne vaudra jamais un sexe mâle, chaud, doux, puissant et généreux !).

 « tu me montres ? » me dit-elle, curieuse de voir ma collection.

 « viens » lui dis-je en allant vers ma chambre.

 

Derrière une pile de linge, une boite à chaussure…

 « Mmm ! j’en essaierais bien moi, faute de mieux. » me dit-elle, coquine.

 « Tu me donnes envie »

Je m’approche d’elle, lui caresse la joue doucement et dépose un baiser très tendre sur ses lèvres. Elle me le rend et me mord la lèvre inférieure

« ça fait longtemps que j’en avais envie »

« moi j’aurais envie de plus »

Et nous nous embrassâmes avec passion. Nos langues mêlées, l’une mordillant les lèvres de l’autre comme deux amoureuses enflammées. Nos mains se mirent à parcourir le corps de l’autre. Me suis-je déshabillée ou m’a t-elle arraché mes vêtement ? Et elle, comment me suis-je retrouvée lui embrassant ses seins si beaux (bien plus que les miens mais je n’arrive pas à être jalouse d’elle). Comment ses doigts ont-ils pu arriver si vite entre les lèvres intimes de mon sexe ?

Comment en sommes-nous arrivées à cet échange de baisers intimes l’une embrassant le clito de l’autre dans un accord si naturel.

Au début nous nous léchions ensemble, faisant monter le plaisir puis, à l’orée de ce plaisir, ne pouvant plus offrir et donner à la fois, nous alternions les baisers et les soupirs, les soupirs et les baisers, changeant d’instinct avant de craquer… pour ensuite se laisser aller. Il faut préciser que toutes deux parfaitement épilées (c’est moi qui l’ai initiée à cette pratique … qui attire la bouche et le sexe des hommes plus sûrement qu’un long discours), les cunni sont autant un plaisir des yeux que du reste.

C’est elle qui a pris le dessus. D’ailleurs c’est vrai, j’étais couchée, un oreiller sous la nuque à caresser ses jolies fesses de jeune femme en goûtant au plaisir qui s’annonçait. Et je fus prise d’un spasme et d’une jouissance merveilleuse.

Après un instant de répits, je repris mes baisers intimes lorsque je sentis le museau de Max qui s’avançait vers cette fontaine au suave parfum bourré de phéromones femelles je suppose.

Max est un expert en léchouille et je le laisse volontiers faire.

Lolita a déjà eu affaire à mon amant et accepte sa grande langue gourmande.

Mais Max est un amant très directif. La première fois qu’il ma prise, il s’était imposé presque méchamment et je n’avais pas osé bouger. Depuis, le connaissant bien, je sais qu’il est juste excité et entreprenant sans aucune méchanceté, même si parfois il laisse passer un grognement qui pourrait impressionner. Il m’est arrivé de le repousser et il n’a jamais eu de geste et ses rares grognements n’ont jamais duré (et jamais ses dents n’ont effleuré ma peau).

Max monte sur ma Lolita et commence son ballet un peu ridicule, son sexe tapant un peu n’importe où sans trouver la voie pourtant béante de son vagin.

Lolita fait l’autruche, plongeant sa tête entre mes cuisses, prenant mes grandes lèvres à pleine bouche avec un entrain qui pourrait laisser croire qu’elle ne sait pas ce qui se passe.

J’aime ce qu’elle me fait, même si c’est aussi violent et désordonné que ce que fait Max, mais j’aime tout ce qu’elle me fait ! J’attrape le sexe de mon cher beauceron pour le guider. Il entre et libère sa fougue.

Elle a cessé de me manger.

J’ai si souvent pris du plaisir avec lui mais voir ce gros sexe rouge plonger dans l’écrin délicat de ma nièce à quelques centimètres de mon visage ! Sentir leur excitation inonder mes narines ! Recueillir sur mes lèvres la rosée qui perle de cette fleur agressé par la bête en rut ! Entendre les râles de jouissance de mon amante adorée ! Sentir sa joue se frotter sur mon sexe grand ouvert !

Quel bonheur, quel plaisir, quel extraordinaire moment de complicité et de laisser-aller au plaisir absolu !

Et soudain ce n’est plus quelques gouttes de rosée qui mouille mon visage mais une chaude averse estivale. De grosses gouttes s’abattent sur mon visage. Mes lèvres s’ouvrent pour recueillir cet élixir que je connais si bien et qui m’enivre à chaque fois.

Puis Max stoppe presque et son sexe sort de son écrin laissant s’écouler son plaisir et celui de ma nièce en d’incroyables filets d’une liqueur parfois épaisse parfois si fluide, la délicatesse paradoxale du mâle animal mêlée aux denses sécrétions de ma belle amante. Ma bouche grande ouverte s’approche, ma langue effleure le sexe de Max qui s’éloigne déjà. Mes lèvres se plaquent contre celles, plus intimes, de ma coquine de nièce qui a planté sa langue au fond de moi.

Puis nous nous sommes relevées et nous nous sommes embrassées sur la bouche.

J’étais trempée de leur plaisir, elle était trempée du mien.

Elle m'a dit tout simplement : "j'adore tes baisers mouillés" et c'est resté

 

 

Bisous mouillés

 

Ps : merci Jean-Phil pour tes dessins qui nous représentent si bien

 

Par Yoni - Publié dans : Zoo - Communauté : chaude&caline
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Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 18:39

L’année dernière j’avais vécu une après midi d’automne (mi octobre) très chaude sur une plage naturiste de Méditerranée. J’avais découvert le plaisir d’une plage naturiste désertée par cette charmante population et réinvestie pat les « textiles ».

Etre la seule nue alors que les promeneurs passent devant vous, habillés bien sur, cela m’avait troublée et bien préparée pour la suite.

Cette année encore, contre toute attente, le soleil m’a permis de m’offrir une petite exhib hypocrite comme je les aime.

Nous étions sur une plage de Soort-Hossegor, face à un spot de surf très connus (prés de Seignosse) et il faisait presque 30°. Nous étions venus surfer, comme la veille (en principe tous les jours c’était le but) mais Je ne pouvais pas manquer un bain de soleil dans ces conditions là.

Et, pour les connaisseurs, il y a une tolérance pour les nudistes sur une partie de cette plage. Enfin, en été, vu que là à par les surfeurs et les vacanciers il n’y avait pas de nudistes. Quelques seins nus mais aucun intégral.

J’ai commencé par m’installer sur ma serviette, en maillot deux pièces.

Mon mari a été surfer un moment et étais revenu s’asseoir prés de moi. Il regardait les surfeurs (et les nanas aussi car il y avait du monde et je ne suis pas dupe)

Assez rapidement j’ai tombé le haut du maillot et profité gentiment de la caresse du soleil. Et j’ai très vite pensé à cette plage de Mateille où les promeneurs-voyeurs venaient passer de plus en plus prés pour vérifier certainement si j’avais un string rose ou si j’étais adepte de l’épilation intégrale. Assise face à la mer, je ne cachais rien de cette fleur qui s’épanouissait sous ce miraculeux soleil d’automne.

En songeant à cela, j’ai senti un frisson me parcourir et j’ai eu une envie folle de me masturber.

Assez isolée en haut de la plage j’ai glissé ma main dans mon maillot et mon doigt s’est posé sur mon bouton. En peu de temps le plaisir m’a traversé, et trempé aussi.

Mon mari, plongé dans sa contemplation, ne m’a même pas vu et ce n’est que lorsque je suis arrivée qu’un petit cri retenu l’a alerté.

-  « Et bien ! tu pourrais m’attendre ! c’est Kelly Slater qui te met dans cet état ? »

-  « Pourquoi ? Il est là ? »

-  « Non ! mais tu te laisserais bien faire ! »

-  « Mmm ! j’adorerais ! »

-  « Tu ne te calmeras jamais toi ! »

-  « tu voudrais que je me calme ? »

-  « Non. Mais maintenant tu as un joli maillot trempée »

-  « C’est ballot ! Il va falloir que je me trempe complètement. Tu viens dans l’eau avec moi ? »

-  « Non merci, moi c’est fait, je te regarde. »

Je me lève et me dirige vers le bord.

Il y a du monde et je passe devant pas mal de personne, seins nus et le maillot trempé au niveau de mes lèvres intimes. Toute nue je ne serais probablement pas plus impudique. Tant mieux. J’aime que l’on me regarde, que l’on me désire.

Il y a plusieurs personnes dans l’eau, elle n’est pas glacée mais pas très chaude quand même (18°). Je reste le temps de jouer avec quelques vagues (j’aime vraiment les vagues) et de faire coucou à mon frileux de bonhomme qui ne se baigne pas sans sa néoprène.

J’ai l’impression que mes coucous n’intéressent pas que lui.

C’est bien.

Il a rapproché un peu les affaires. Plus près de l’eau.

Je sors assez vite et viens m’essuyer.

-  « Zut j’ai plein de sable dans le maillot ! »

-  « Joli coup ! »

-  « Quoi, joli-coup ? »

-  « Tu as envie de te faire une exib et tu te cherche un prétexte ! »

-  « Et toi tu es un idiot pervers ! »

Et sans plus attendre je retire mon maillot, qui est effectivement plein de sable, et lui mets sous le nez

-  « Tu es craquante comme ça debout toute nue en train de bouder ! Maintenant si tu veux enlever tout ce sable tu devrais aller te rincer comme cela ! »

-  « Et c’est moi qui suis exhibitionniste ! t’es pas gonflé toi. »

Mais j’adore quand il me tend des perches pareilles. Je me retourne et vais directement me faire une dernière vague en tenue d’Eve.

 

Le plus difficile est de profiter de mon petit effet sans jouer les provoc. Je suis seule au monde simple naturiste.

L’après midi n’a pas été plus torride. Je suis restée une bonne heure à me faire dorer et j’espère regardée sous toutes les coutures.

 

Nous avons fait l’amour avec passion dés notre retour à la résidence et pendant que je m’adonnais à lui donner du plaisir entre mes lèvres, j’imaginais les surfeurs, les vacanciers, tous ceux qui ont été excité par ma petite exhib. J’imaginais leur sexe dans ma bouche, j’entendais leurs soupirs d’aise et quand mon chéri m’a offert son plaisir, j’ai pensé à tous ces hommes qui auraient pu m’offrir un peu de leur bonheur.

J’espère que leurs compagnes en auront profité.

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 07:08
J'ai découvert un dessinateur de talent, d'une grande douceur et trés gentil
Il a son blog sur erog et c'est vraiment bien (jeanphil-illustre.erog.fr)
je lui ais raconté quelques unes de mes aventures et il m'a déjà fait queleques dessins
Je vous laisse imaginer
Je vous écrirai ce moment un peu plus tard
Bisous mouillés
Par Yoni - Publié dans : libertine - Communauté : chaude&caline
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Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 09:45

Quelques temps après avoir découvert un bien agréable lieu de débauche en banlieue toulousaine, j’avais promis à mon mari que plus jamais je ne m’interdirai un plaisir qui me serait gentiment offert.

Mais je me demande, après tout, si ma timidité n’a pas érotisé encore plus ce premier rapport en public. Je ne sais pas si j’aurais pris autant de plaisir à dévorer mon petit mari, à essayer (en vain toujours) de le prendre tout entier dans ma bouche avec ce besoin de le prendre en moi toujours un peu plus. Je l’aime tant. J’aime tant sa peau fine sur ce pieu si dur, ce goût si doux qui s’épice au rythme des fines gouttelettes qui s’en échappent. J’aime ce sexe au goût si prononcé lors qu’il vient de me fouiller, qu’il est trempé de moi, je ne sais plus alors si je lèche mon amant ou si je me donne un plaisir solitaire, j’aime cette confusion.

Alors j’étais prête à retourner en club, prête à me laisser aller mais peut-être pas sans contrôle. On verra bien.

Je suis bien disposée et heureuse de retourner dans cet endroit.

Je me surprends à jouer les blasées, contente de retrouver cette ambiance, de reconnaître cette montée de la température.

J’ai bien appris la leçon : une jupe et un chemisier suffisent à être chic et disponible.

Ce soir, mon mari a insisté pour que je me fasse plaisir, et que je ne me refuse rien. Et alors que nous contemplions la piste de danse, debout, un bel homme m’a très galamment invité à l’accompagner sur la piste. J’ai interrogé mon mari du regard qui, dans un même regard a confirmé que j’étais libre.

Nous avons entrepris quelques pas de danse un peu empruntés avant qu’un air particulièrement enjoué, brésilien me semble t-il (vous vous souvenez, ce tube de l’été ou l’on voit deux enfants, un petit black et une blonde aux cheveux long danser d’une façon très chaude) ne viennent nous dérider. Mon cavalier a pris sur lui de me guider avec autant de fougue que de maitrise. C’était vraiment très sympa. Sa main posée, ferme et douce, sur mes reins. Son autre main dans la mienne, chaude, sensible. Et lorsqu’il me lançait comme sur un pas de rock et qu’il me faisait tourner au rythme de la musique, que les pans de ma jupe s’envolaient joyeusement, mon cavalier devait savourer le spectacle libertin que je lui offrais. Qu’il s’offrait lui-même serait plus juste.

Puis il me prit par la taille pour me relever (toujours dans le cadre de la danse bien sur), pendant un instant je me suis retrouvée à quelques pieds du sol et il me rattrapa en me posant sur sa poitrine. Il me fit glisser dans un ralenti interminable contre lui. Ma jupe relevée dans le mouvement était coincée entre nos ventres. Mon sexe sans aucune protection à frotté sur son pantalon. Ce n’était pas physiquement agréable mais j’ai eu une sensation de laisser aller total.

Nous n’avons pas été plus loin.

La soirée s’est ainsi déroulée entre quelques danses lascives, quelques caresses de mon mari ou de quelques cavaliers entreprenants qui après avoir glissé une main sur mes fesses ont compris que rien ne pouvait s’opposer à leur découverte.

J’ai appris à aimer ces caresses d’inconnus qui découvrent la douceur de mon pubis et la chaleur trempée de mon sexe. Mais cela ne va toujours pas plus loin.

Nous nous retrouvons alors dans le salon qui borde la piste. Celui-là même où je m’étais initiée au plaisir public. Nous y allons car nous avons vu qu’un couple s’y embrassait langoureusement : « on va avoir la même chance que l’autre jour » me dit mon mari. Et en effet, il ne faut pas longtemps pour que le couple en vienne aux choses sérieuses. Un athlète beau comme un dieu grec et une femme plus quelconque mais surement jolie. Elle lui a sorti son sexe et le branle avec une énergie incroyable (mon chéri n’aimerait pas ça, il aime quand je le branle avec douceur… même s’il « reprend la main » pour accélérer franchement lorsqu’il arrive entre mes lèvres). Lui se laisse faire tout en déshabillant la demoiselle qui se retrouve toute nue très vite.

Les voyeurs s’approchent comme l’autre jour. L’un d’eux pose une main sur les seins de la fille qui le rabroue sèchement. Du coup les voyeurs s’écartent.

Juste en face d’eux nous nous caressons doucement. Le geste de refus, bien que bref, nous a un peu refroidi et nous nous concentrons sur notre plaisir de couple.

Mon chemisier grand ouvert laisse passer sa main qui me malaxent plus qu’elle ne caresse mes seins si sensibles. Je le lui dit, il s’excuse et se penche pour les embrasser. J’écarte mon chemisier pour lui faciliter la tâche. Sa bouche vient prendre mes tétons l’un après l’autre, me couvre de baisers.

Par-dessus son épaule je vois nos voisins faire l’amour. C’est vrai que c’est excitant cette situation !

J’ai envie moi aussi.

Je repousse la tête de mon mari et me relève. Je l’enjambe et m’installe au dessus de lui. Je guide son sexe vers le mien. Je joue un court instant avec son bout pour que mes grandes lèvres le recouvrent. Je suis trempée. Je me laisse aller autour de lui, profondément.

Mais cela ne semble pas lui plaire (ou il arrive déjà) car il me bloque en posant ses deux mains sur mes hanches : « tu n’as pas envie de faire le show ? » me dit-il.

-  « Je ne comprends pas »

-  « alors je te guide. Lève toi et retourne toi »

Sitôt levée et dos à lui, il fait glisser ma jupe. Je suis nue devant tout le monde avec pour tout vêtement un chemisier grand ouvert qui ne fait que souligner l’indécence de la situation.

-  « Pose tes pieds sur le canapé comme la fille l’autre jour »

Je m’exécute dans un état second. Des litres d’adrénaline coulent dans mes veines comme une drogue brulante. Mon cœur va exploser. Je suis mal mais je le fais.

Ses mains sous mes fesses, il me guide jusqu’à lui et m’empale doucement. En deux mouvements et contre toute attente tant la gêne me semblait forte j’ai eu un premier orgasme.

Ce n’était pas le grand pied mais ce premier plaisir m’a décrispée. Je reprends le contrôlé et va et vient sur son sexe dur.

En face nos voisins font toujours l’amour, position des petites cuillères ou quelque chose comme ça (lui sur le coté couché sur le canapé, elle à peu prés pareil, dos à lui) et nous regardent. Soudain la fille se dégage de son dieu grec et s’approche de nous. Repousse la table basse et s’agenouille face à nous.

Elle me regarde, j’ai du esquisser un sourire entre deux grimaces de plaisir. Elle s’est penchée et a commencé à nous embrasser, à caresser mon clito…

D’instinct je bascule en arrière pour lui laisser plus d’espace. Je sens sa langue sur mon clito. J’aime ça.

Je sens sa main sous ma cuisse. Elle veut que je monte d’avantage. Le sexe de mon mari s’échappe. Elle l’attrape et l’avale immédiatement mais avant que je n’ais le temps de me plaindre l’a déjà remis dans son fourreau naturel.

Elle s’amuse à ce petit jeu un instant. Cela ne me déplait pas.

« Eh ! Tu te trompes »

Non elle ne se trompait pas. Elle avait sciemment posé le bout de la verge sur mon anus, et dans cette position il était trempé de ma sueur et de mes sécrétions. Il m’appartenait de descendre ou non.

J’adore quand son gland détend doucement mon petit trou et quand il le franchit à peine, alors je descends lentement pour profiter de cet instant si plaisant. J’e m’arrêté là. Pas plus loin. Je savoure l’instant, les yeux fermé. Une langue douce vient laper mon sexe grand ouvert et me ramène à la lumière. Je pose mes mains dans ses cheveux l’invitant à me manger autant qu’elle le peut. L’orgasme est fulgurant. Je ne l’ai pas senti venir. Et il semble se maintenir sur une corde tendue. Je lui plaque la tête avec force contre moi pour qu’elle arrête sinon je meure.

Je reste un instant ainsi. Je la relâche, elle me regarde et me souri.

Je me laisse alors aller sur mon mari. Le pal me transperce. La douleur est vive mais ne dure pas. Je m’habitue vite et recommence les va et vient. Ma voisine me caresse les seins. Un énième orgasme me submerge.


Et comme toujours après, il me faut un petit moment pour sortir de mon nuage. A mon réveil, toujours empalée sur mon mari, le visage d’une femme prés de mon sexe béant et devant moi son dieu grec qui se masturbe doucement face à mon visage.

Ma main vient remplacer la sienne et mes lèvres l’invitent à nous rejoindre. Avant que je n’ai pu lui montrer tour ce dont j’étais capable il m’a offert son plaisir. C’était bon et chaud, même doux. C’était mon dessert.

Et c’était ma première fois avec un couple.


Merci Jean Phil pour ce dessin de moi (tu étais dans la boite coquin !) 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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