Jeudi 6 janvier 4 06 /01 /Jan 16:02

je vous envoie mes meilleurs voeux pour l'année 2011.

Beaucoup de bonheur et de plaisirs

Bisous mouillés

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Par Yoni - Publié dans : libertine
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Mercredi 13 octobre 3 13 /10 /Oct 22:10

 

[Désolée de vous avoir laissés en plan. La vie a ses hauts et ses bas, ses petits cahots comme celui qui m’a éloignée de vous quelques temps, n’ayant plus la tête aux confessions coquines. Mais l’orage est passé et me revoilà, avant la prochaine éclipse !]

 

[Heureusement les moments forts que j’avais commencé à vous raconter sont gravés dans ma mémoire et je devrais pouvoir reprendre sans trop d’oublis, je me rappelle des odeurs, des bruits, de mes impressions, de ma gêne, de mon excitation…]

 

Mon mari me tenait toujours les cuisses ouvertes, jambes passées derrière ses bras. J’ai horreur de cette position trop inconfortable. Je ne la supporte jamais longtemps et là cela fait maintenant une éternité qu’il me la fait subir. Ce serait très désagréable si ses caresses et les vibros ne procuraient pas tant de plaisir… et surtout s’il n’y avait cette ombre aperçue dans l’entrebâillement de la porte.

J’en oubliais ses doigts et ces vibros qui allaient en moi. Je pensais à mon ombre. J’hésitais entre mon frère et ma belle-sœur. J’avais envie que ce soit mon frère. Envie qu’il me voie enfin comme une femme, envie qu’il ait envie de moi, envie qu’il me mette au centre de ses fantasmes. Et mon esprit me ramène à mon adolescence, lorsqu’il me racontait ses sorties avec ses potes. Ce jour où il me raconta comment avec un copain il avait été voir une prostituée et l’avait partagée en découvrant au fur et à mesure les choses qu’ils n’avaient qu’imaginer. Sait-il combien de fois j’ai rêvé être cette femme ? Je crois qu’il ne l’a jamais refait mais il m’en a tellement parlé par la suite que je suis certaine qu’il aurait adoré recommencé. Je suis là ! Offerte à lui. Mais viens donc au lieu de rester caché.

Ou alors c’est ma chère belle-sœur. Si douce, si gentille, si gentillette ! Sait-elle les aspirations de mon frère? Lui a-t-elle offert ce dont il a besoin ? Regarde ! Regarde-moi donc ! Regarde ce que tu pourrais être ! Un jouet entre leurs mains. Oui, bien-sûr. Mais c’est moi qui jouit, qui perd le compte des vagues qui naissent sous leurs doigts, leurs langues, leurs sexes et tout ce qui les amusent, ces vagues qui d’un point se répandent jusqu’à mes orteils, jusqu’à mes cheveux. Oui, regarde quel jouet on peut être entre leurs mains, combien ils en sont fier et content, et comment le jouet profite !!!

Regarde ce que tu dois offrir à mon frère !

 

La porte s’ouvre, un grincement imperceptible résonne sur mes sens hypertendus.

Mon cœur va éclater.

Mon mari vient de m’enfoncer les deux vibros au plus profond de moi ;

Je suis exhibée comme il serait inimaginable de l’être. Devant qui ?

Il a mis dans mon sexe le gros vibro en silicone. Il est souple et agréable. Un vrai sexe, presque !

Il le fait aller et venir. Il le sort, le replonge.

Le retire.

Il prend mon clito entre ses lèvres. Me lèche longuement le sexe. Pas comme d’habitude.

Je ressens cette différence et aussitôt un profond orgasme me secoue.

Le vibro replonge en moi. Souple mais il semble plus dur que tout à l’heure.

C’est mon frère. J’en suis certaine.

Je ne suce plus le sexe de mon mari depuis longtemps maintenant ; je le serre dans ma main. Fort.

Parfois je luis donne un coup de langue ou le prends entre mes lèvres… qu’il force gentiment.

Il me retire le vibro qui comblait mon petit trou.

Je me sens béante !

Ce qui devrait être le vibro silicone sort de mon sexe pour venir glisser au fond de mes entrailles.

C’est lui, j’en suis sûre et j’adore lui offrir ce cadeau.

Je connais ses fantasmes et reprends mon mari dans ma bouche, essayant maladroitement une « gorge profonde » (sans y parvenir). Je veux qu’il me voie prête à tout.

Il est maintenant en moi et commence à remuer. Doucement d’abord. De lents mouvements terriblement jouissifs. Suis-je encore capable d’avoir un orgasme ?

Son accélération m’apporte une réponse. C’est horrible. Non c’est juste trop bon.

Il se calme. Je ne l’ai pas senti arrivé.

Un doigt vient fouiller mon sexe. C’est agréable.

Puis deux et trois.

Il essaye de mettre sa main.

Ses trois doigts me labourent le sexe. Il essaie le quatrième. Je les sens en moi.

Il doit s’amuser à se caresser en moi. Son sexe toujours entre mes fesses.

Je suis revenue de mes orgasmes. Un peu dégrisée mais d’avantage consciente. J’aime ça. Je n’éprouve plus de plaisir mais il me semble regarder la scène. Mon mari qui me retient écartée, offerte, le sexe au bord de mes lèvres, mon frère dans mes fesses qui essaie de mettre sa main dans mon vagin. Ce n’est même plus obscène, c’est juste touchant ! Je les aime tant tous les deux !

Mon frère essaie de joindre le pouce au reste de la main pour me fister… mais comprends bien vite que je ne peux accepter une main aussi grosse.

Sa petite main (quelques doigts) est désormais immobile mais son sexe a repris ses va et viens. Accélère et explose très vite. Je sens la chaleur de son plaisir se répandre en moi.

Toujours très consciente, je me plais à penser que mon mari va être obligé d’avouer que ce n’était pas le vibro en silicone qui a pu déverser tout cela ! Mais mon mari est malin et, après que l’ombre ait glissée hors de notre chambre et retrouvé la sécurité d’une porte entrebâillée, il me libère de mon inconfortable position, me retourne et me prend en levrette. Juste assez pour me remettre sur le chemin du plaisir et changer de voie et se répandre à son tour entre mes fesses.

« Le salaud » pensais-je. Il me vole mon secret !

Mais je ne suis pas sotte moi non plus, et connaissant mon goût irrépressible pour cette liqueur il ne saurait être surpris de me voir le gober aussitôt sorti de mon intimité. Non, je n’ai aucune attirance pour le scato et s’il était sale j’aurais été bien embêtée, mais j’ai toujours eu la chance d’avoir à gouter de beaux sexes mâles gorgés de cette si fabuleuse liqueur, ou trempés dans nos plaisirs communs, ou comme là, trempé dans son propre plaisir même s’il est vrai, une saveur plus épicée y est remarquable. Mais je connais par cœur les différents parfums de sa liqueur, qui changent souvent mais que je reconnaîtrais entre mille (mmm je rêve) et là, sa liqueur, même marqué de mes épices, avait une fragrance inconnue.

 

Comme j’aimerais pouvoir dire à mon frère comme j’aimerais connaître le parfum simple que je n’ai qu’entre-aperçu, caché dans un cocktail par ailleurs enivrant !

 

PS : bien évidement mon petit mari n’a pu tenir le secret – le voulait-il ? – et il m’a raconté les détails de cette soirée. Et m’a dit que la sodo était juste une « diversion » car s’il voulait bien me prêter, il n’avait pas envie d’élever les gosses des autres. Alors s’il a consenti à laisser mon frère découvrir la douceur de mon sexe, dépourvu de préservatif, il l’a rapidement réorienté vers la voie étroite. Et oui, on est parfois rattrapés par des considérations bien terre-à-terre !

 

Bisous mouillés


 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Mercredi 11 août 3 11 /08 /Août 11:18

Satanée chatte !

J’étais bien partie, le plaisir me submergeait… je naviguais sur une mer un peu houleuse d’un plaisir gentiment pervers et cette maudite chatte me ramène sèchement à la réalité, éclairant brutalement ma douce nuit. Non ce n’est pas elle, la lumière vient du couloir et l’entrebâillement de la porte lui permet de pénétrer la chambre, dans le sillage laissé par cette maudite chatte !

Mais qui a allumé ? Qui est là ? Bon sang, mon frère et ma belle-sœur !

Je panique et rejette le sexe de mon mari hors de ma bouche pour l’alerter :

Cédric (prénom changé) il y a quelqu’un, arrête !

Il me maintient dans la position extrêmement indécente et me répond très doucement :

Chhhut ! Si tu ne fais pas de bruit celui ou celle qui est monté faire pipi va repartir sans se douter de rien.

La lumière s’éteint. Nous restons immobiles. Rien ne se passe.

La chambre est baignée d’une très légère lumière diffusée par les radios-réveils. C’est très léger. Je me sens d’avantage dans l’obscurité que dans la lumière et cela me rassure un peu. Et puis devrais-je l’avouer j’aurais détesté être ainsi surprise par ma belle-sœur mais j’espérais –tout en le craignant – que mon frère puisse me voir ainsi.

Moi, après tout, je l’avais vu plusieurs fois sortir de sa douche et se changer devant moi. Au début ce fut accidentel, j »étais entrée dans son studio alors qu’il se douchait, je ne pensais pas mal car, me douchant dans la salle de bain commune, je sortais toujours avec une sortie de bain (comme les parents d’ailleurs), et lui ne savait pas que j’étais là et ne voyait pas le mal être nue « chez lui ». J’ai piqué un phare mémorable mais suis restée là, comme l’idiote que j’étais. Il s’est retourné mais j’ai eu le temps de le voir et cela m’a troublée.

Par la suite, fuyant l’ambiance empesée, pesante, oppressante de la bourgeoisie quasi vulgaire de mes vieux, je squattais chez mon frère certainement plus souvent qu’il l’aurait souhaité et que j’aurais dû. C’est ainsi qu’il commença à me raconter ses aventures sentimentales, puis sexuelles. C’est ainsi qu’il me laissa regarder sa collection de magasine très très hot !! C’est ainsi qu’il prit plus d’aisance avec moi, avec sa nudité… alors que moi je ne me suis jamais dévoilée devant lui. C’est ainsi que mon amour pour lui, fraternel et détaché de toute perversion a commencé à être parasité par des pensées que je réprouver autant qu’elles m’embarrassaient et provoquaient en moi de troublantes bouffées de chaleur ; je mis cela sur le compte de la puberté (qui chez moi fut tardive, comme plein de choses d’ailleurs) et ais refoulé tout cela au fond de moi. Juste derrière mes ovaires !

Je ferme les yeux et me laisse à rêver. Je reprends le sexe de mon mari entre mes lèvres en essayant d’imaginer à quoi pourrait ressembler celui de mon frère en érection.

Je déguste avec gourmandise ses perles de plaisir. Les prémisses de sa jouissance. Quel goût aurait mon frère, ainsi surpris à l’orée de son plaisir. Trahi par quelques gouttes innocentes et claires.

Je me fiche de ce qui est bien ou pas, j’ai le droit de rêver, de fantasmer sur qui je veux. Je suis bien la seule à le savoir.

Mon mari fait maintenant aller et venir le gode annelé dans mon intimité. Il l’enfonce à fond. Je sens le relief du fond, au niveau du bouchon des piles, qui effleure mes muqueuses. Il le maintien ainsi et viens me léchouiller le derrière. Il lèche et fait glisser sa langue… j’adore. Il fait des va et viens avec comme s’il s’agissait d’un petit sexe essayant de me pénétrer, et c’est vraiment délicieux surtout avec ce gode vibrant qui me remplit. Je suis trempée, il doit baver, je sens couler entre me fesses. Il glisse enfin doucement le gode silicone dans mes fesses. Doucement, alors j’aime bien.

Assez vite il libère mon petit trou et recommence à le lécher… c’est merveilleux.

J’adore quand, couchée sur le ventre, jambes écartées, il me léchouille longtemps cet endroit-là. Je joui très souvent juste comme ça. Et moi qui apprécie peu la sodomie, quand il me fait ça, cela m’arrive de la lui demander (rarement car j’ai toujours honte).

Ce soir-là, il innovait en me léchouillant après m »avoir déjà sodomisée, certes avec un accessoire, mais sans être vexante, il supportait la comparaison avec l’original. Et donc je devais lui offrir la vision d’une certaine béance ! Peu m’importe, sa langue allait dans des endroits magiques, d’une sensibilité inespérée.

Je rêve… et je joui dans ce rêve.

Et dérangée par mes petits cris la maudite chatte vient contre moi. Me sort de mon rêve.

Je relâche encore le sexe de mon homme pour râler sur cette maudite bestiole lorsqu’il me semble voir une ombre dans l’entrebâillement de la porte.

... à suivre

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Dimanche 1 août 7 01 /08 /Août 10:41

Mon grand frère.

 

Cela fait un petit moment que je pense à vous raconter cette histoire, assez récente (l’été dernier) mais cela m’étais difficile. Il aurait fallu demander à mon mari de le faire, mais il ne sait pas que je me confie à vous.

Je vais essayer.

D’abord un petit retour très loin en arrière. Cela à son intérêt je pense.

Comme vous avez dû le comprendre je suis issue de certaine bourgeoisie (et même d’une très haute aristocratie mais le prestige de mes ancêtres n’est plus connu que des historiens et généalogistes. Ma « branche » n’a pas de titre ronflant à faire valoir… dommage pour mon paternel qui ne vit que pour le paraître et les mondanités. Bref je m’égare encore) et mon éducation franchement pas drôle ne m’a pas aider à vraiment m’épanouir. Enfin, entre la musique classique et l’opéra, les expositions et tout le tralala (tout le tralala dont j’étais d’ailleurs exclue, devant attendre leur retour seule dans la maison) vous imaginez la joie.

Heureusement j’avais un grand frère de quatre ans mon ainé qui avait, plus ou moins, réussi à s’émanciper. C’était Deep Purple et Queen, moto et copains «d’un autre monde ». Et on s’adorait ! Et j’adorais quand il invitait ses potes dans sa garçonnière. Il avait réussi à pouvoir emménager ce qui au départ devait être un simple abri de jardin mais qui après travaux était un véritable studio avec tout le confort. Et assez loin du salon de la villa il y avait moins d’interférence entre Rachmaninov et Freddy Mercury !

Quand ses copains venaient, j’aimais bien trainer dans le coin, prétextant leur amener du Coca ou autre chose ; Ils étaient sympa avec moi. J’avais 15 / 16 ans mon frère 19 / 20 et ses potes souvent plus. Avec eux il a découvert la vie et se confiait à moi. Il me disait tout, même lorsqu’il a été voir des prostitués avec un des copains (son dépucelage vers 19 ans), ce qu’ils ont fait. Et cela a continué.

Il avait chez lui des magazines pornos qu’il me laissait feuilleter. Cela m’apparaissait comme le comble du vulgaire et de l’odieux. Mais je les ai tous parcourus. C’était hypnotique.

Et lui ne se gênait pas pour aller et venir, sortant nu de sa douche devant moi.

Je me demande aujourd’hui a qu’el point il était naïf ou pervers. Je ne saurais trancher. Mais dans mon esprit, les comptes rendus de ses sorties, les magazines porno, sa nudité affichée sans complexe (c’était un athlète de près de 2 m, costaud de partout… et à la fin du compte je commençai à gamberger. J’évacuais toute idée incestueuse dès qu’elle se présentait, certes, mais j’évacuais de plus en plus souvent et quand il a quitté la maison pour se mettre en ménage avec sa copine (il avait alors 21 ans et cela faisais 3 ans que nous étions très, très intimes), je dois avouer que cela a été autant un déchirement qu’une certaine libération.

25 ans plus tard (environ), quel plaisir de le recevoir avec sa (deuxième) femme pour quelques jours à la maison. Quelques années auparavant ils étaient passés avec leurs enfants et nous avions le nôtre avec nous. Les 3 / 4 jours passés ensembles, souvent autour de la piscine (BBQ et apéros) pendant que les jeunes pataugeaient et jouaient. C’était très sympa. Cette année, nous sommes entre vieux ! Mes neveux et nièces ont quittés la maison, ce sont de jeunes adultes. Mon fils, grand ado, devrait être chez un copain pour la semaine (il y est, forcément sinon je l’étrangle), mais l’absence totale de nouvelles me laisse à penser qu’il n’a pas besoin de nous. Le dernier SMS (réponse au mien) faisait état d’un programme dans lequel nous n’apparaissions pas (un oubli sûrement). Je le préviens que son oncle et sa tante sont là, il passera demain en fin d’aprem. Bel effort

Nous sommes tous les quatre au bord de la piscine. Fin de journée chaude. Mon mari prépare l’apéro et nous l’apporte dans la piscine (on peut s’y asseoir, c’est agréable). Moi j’aime bien un petit Muscat.

On bavarde, on rigole (surtout après 2 ou 3 Muscat ! d’habitude je n’en prends qu’un, et assez rarement). On refait le monde et on commence à ressortir les vieilleries, l’adolescence pas très sympa en ce qui nous concerne, les premières motos (pour les garçons), les premiers flirts… Bref de l’apéro dans la piscine à la fin de la soirée vers 01 heure du mat, on a fait revivre une époque des plus troublantes. Bien sûr Jean (mon frère – prénom modifié par souci discrétion) n’a pas évoqué mon initiation, très théorique, à la pornographie ni ses humeurs naturistes en ma présence… mais moi je ne pouvais pas ne pas y penser et, de l’avoir vu nager avec toujours autant de puissance, le voir à l’approche de la cinquantaine encore aussi athlétique me taquinait les ovaires ! Par ailleurs, mon petit bikini blanc qui, une fois mouillé se colle avec une certaine impudeur sur mon pubis bien évidemment toujours lisse (3 jours sans m’en occuper et j’aurais une petite réflexion : « tu n’aimes plus quand je te fais des bisous là ! », ou quelque chose d’équivalent. Jamais méchamment… et puis je dois avouer y avoir pris goût. Ce n’est pas désagréable de s’occuper de soi ! Bref assise sur les margelles, mouillée en sortant de l’eau et les genoux un tant soit peu écartés, mon frère et ma belle-sœur pouvaient se faire une idée assez précise de mon anatomie. En ai-je eu conscience ? Oui, à un moment, et cela m’a gêné. J’ai resserré mes jambes, un moment, et puis je me suis laissée aller au petit jeu que j’affectionne tant « mais non je ne m’exhibe pas, mais si vous regardez vous ne serez pas déçus ! ».

01h du mat. On est fatigués, surtout jean qui a 600 km dans les pattes. On s’embrasse, on va se coucher.

Jean et sa femme dorment en bas. Il y a une chambre et une salle de bain (pas de WC, travaux à venir).

Nous rejoignons notre chambre à l’étage. Il fait très chaud, début aout près de Toulouse pour ceux qui< connaissent… nous nous allongeons sur le lit, tous nus. Mon mari m’embrasse pour me souhaiter bonne nuit tout en posant machinalement sa main sur mes seins. Il me caresse. Je soupire. Je l’embrasse et murmure :

« Bonne nuit ça veut pas forcément dire dodo ? »

« Tu n’es pas fatiguée ? »

« Oui, très, et alors, j’ai pas l’intention de faire le boulot. Je comptais un peu sur toi »

« Et si moi je suis fatigué, tu t’en fiche ?

« Oui. »

« Bon je vais faire une effort ! »

« Mmm j’aimerai bien que tu ressortes les trucs bizarres » (ce sont mes sex-toys qu’honnêtement j’utilise très peu ayant toujours préféré le vivant, palpitant et si déroutant appendice du mêle dominant.)

Il se lève et récupère la boite à malice cachée sous une pile de drap. Je le regarde faire, allongée sur le dos, les mains derrière la nuque, jambe écartées. Une petite brise presque fraiche entre par la fenêtre grande ouverte (qui bien heureusement ne donne pas sur la même façade que la chambre de mon frère. Si on fait un peu de bruit ce n’est pas grave.).

Il prépare lentement les « accessoires », met des piles dans les vibros, les essayent… il joue manifestement avec moi. Et j’aime ça. Je le regarde toujours. Je me régale déjà.

Il a posé différents sex-toys sur sa table de nuit. Fait le tour du lit et se plante face à moi. Il s’agenouille et s’avance vers moi. J’écarte encore les jambes pour lui faire de la place. Son visage est devant mon sexe. Il m’embrasse au creux de l’aine. A gauche, à droite. Caresse l’intérieur de mes cuisses. Il pose sa langue sur mon nombril, il joue avec. Puis sa langue descend. J’attrape ses cheveux, le force à ma bouffer toute crue. Mais il est bien plus fort que moi et ma pression ne change rien. Il léchouille tout ce qu’il peut, va jusqu’à remonter le sillon extérieur de mes grandes lèvres sans jamais embrasser vraiment ma vulve.

Il s’arrête. Je sens le souffle de sa respiration sur mon sexe mais, malgré ma pression sur ses cheveux il refuse toujours de céder. Il me regarde et revient vers mon sexe. Il souffle dessus ; C’est horrible. J’en veux plus.

« Viens»

Il me regarde à nouveau et, toujours aussi insolent, il vient vers moi. Sa langue remonte, glisse sur mon ventre, le long du sillon de mes seins, le long de mon coup. Il glisser derrière mon oreille, sur ma joue jusqu’au coin de mes lèvres. Il m’embrasse avec passion. Je lui rends largement son baiser, d’autant plus qu’en remontant, il a passé une jambe entre les miennes et sa cuisse exerce une pression – très volontaire, je le connais – contre mon clito qui réagit aussitôt. Je suis au bord du gouffre.

Il redescend, attrape un de mes seins dans sa bouche pendant qu’il maltraite l’autre avec sa main.

Il descend encore en attrape mon clito à pleine bouche. L’aspire, le titille de sa langue, le relâche pour en lécher la base et le corps (j’adore ça, le bout est trop sensible et c’est rapidement plus agaçant que plaisant). N’allez pas croire que j’ai un gros truc, non j’ai un clito tout petit et normal, je pense, mais c’est quand il lèche son « corps » que je me régale.

Enfin, il se relève et m’attrape par les hanches pour me mettre en travers du lit. Il s’installe à genoux, sur le coté, son sexe devant ma bouche et (d’où la position) sa main droite disponible pour prendre sur la table de nuit les sex-toys qu’il a préparé.

Pendant que je le suce, je sens pénétrer le vibro annelé dans moi… et mon dieu que c’est bon !

Nous nous amusons ainsi depuis quelques minutes quand la porte, en face de mon intimité, s’ouvre (mal fermée). C’est le chat qui vient profiter du lit… La porte reste légèrement entrebâillée, nous sommes trop bien partis pour s’en soucier. Et puis nous sommes sels à l’étage…

A suivre...

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Jeudi 29 juillet 4 29 /07 /Juil 20:53

Chasseur

 

Nous étions, comme souvent en WE , parti marcher dans l'arrière pays toulonais (où nous habitions au moment des faits). Il y avait un site merveilleux autour d'une abbaye d'un ordre contemplatif je crois. Si l'on ne pouvais pas visiter, on avait du dessus une vue extraordinaire sur les bâtiments. Sur les hauteurs de cette abbaye, il y avait un paysage de roches tourmentées absolument féériques: Les aiguilles de Valbelle !

Nous y venions assez souvent car le site était magique, pas très loin de chez nous et la douceur du climat nous permettait de s'y promener à peu prés toute l'année.

Et comme nous y venions souvent, je me rappelle quelques douceurs particulièrement coquines.

 

Je vous passe les petites gâteries qui ponctuaient si souvent ces balades. Mon mari adorait et j'y trouvait un peu mon compte, n'ayant jamais bouder mon plaisir ni ma fierté de voir mon homme pendu à mes lèvres, dépendant de moi et fondant de bonheur sous mes baisers gourmands. Généralement il ne me fallait pas plus de quelques secondes pour que mes doigts sur mon bouton m'offre une délivrance toute aussi agréable...

 

j'allais passer sur la première fois que nous avons fait l'amour dans ce petit paradis. J'allais passer car bien que ce soit un excellent souvenir, a priori cela n'avait rien d'extraordinaire, mais si, en fait il y avait un peu matière à raconter. Je parlerai donc de chasseur plus tard.

Cette première fois donc auprès de l'abbaye.

C'était sinon l'été, une journée très chaude. Nous marchions donc sur ce sentier, justement au dessus de l'abbaye, là où le chemin est (enfin) plat. Nous allons à l'ombre des arbres, mains dans la main (en montant ce n'est pas toujours possible et j'aime moins) quand mon coquin de mari me prend par la taille et m'embrasse dans le coup.

« j'ai envie de toi »t

« Maintenant ? Mais on peu pas ! »

« mais si, viens »

Il me reprend la main et m'entraîne hors du sentier. Le sol est praticable, il y a peu de broussaille mais si l'on avance aisément, il n'y a pas vraiment de « masque » pour être tranquille.

Si l'idée me titillait, ma pudeur et mon éducation (encore très prégnante à l'époque) m'interdisait de faire cela ainsi.

« On va nous voir, ce n'est pas possible ! »

« Allons plus loin ! »

Et il nous emmena franchement assez loin du sentier, 200 mètres peut-être. D'un seul coup il s'arrêta, comme s'il avait vu quelque chose puis fit demi-tour et décida d'un coin d'herbe à quelques mètres de là.

L'histoire s'est déroulée il y a longtemps déjà et je vous mentirais en décrivant les détails de la scène. Mais il y a eu quand même des choses qui restent. Ce dont je me rappelle est que nous nous sommes embrassés longuement, et longuement caressés aussi. Je me souviens comment il a retiré mon short et ma culotte pour me manger avec une fougue que je ne lui connaissais pas. Mon débardeur ne résista guère plus longtemps. En fait comme il adore me caresser les seins pendant qu'il me mange (j'aime beaucoup) c'est moi qui l'ai relever pour ne pas l'esquinter. Quant, assez vite, j'ai eu un premier orgasme, il s'est relevé, m'a retiré mon débardeur (sans rien dessous ma poitrine ne justifiait pas un soutien permanent) et m'a présenté son sexe dur comme rarement. Je me souviens l'avoir mangé un petit moment. Bizarrement, au lieu d'être face à moi, il me maintenait assise en tailleur, un pied au creux de mon genoux et restait de coté, me forçant à tourner un peu la tête pour le prendre tout entier (enfin autant que possible je n'ai jamais réussi à prendre un sexe entier dans ma bouche comme dans les film... comment font-elles?). Puis il est venu sur moi et ma prise face à face, en missionnaire. Je me rappelle qu'il a mis mes jambes sur ses épaules. Il adore cette position, moi un peu moins car comme il est plutôt costaud de la chose, j'ai l'impression qu'il tape le fond de mon vagin et ce n'est pas ce que je préfère. Lui oui, et ce jour là il en avait vraiment envie. Il me retourna aussi et vint me prendre en levrette et là encore, bizarrement, il ne s'est pas contenter, comme souvent, de rester à genoux, il a commencé comme ça, m'écartant les genoux avec les siens pour ma forcer à ouvrir puis m'a demandée de rester comme cela et s'est levé. Les pieds à plats, il m'a prise de très haut, son sexe perpendiculaire au sol. Quand il fait cela je crains toujours qu'il passe par l'autre coté sans préparation... et ça je n'aime pas du tout. Là il va et vient un moment puis tout en me demandant de rester comme cela, il vient exploser entre mes lèvres.

Ce qui était également étrange c'était qu'il était resté habillé, il avait juste ouvert sa braguette, alors que moi j'étais totalement nue ! Ce n'était pas la première fois, il le faisait souvent en rentrant du boulot. Il me déshabillait complétement et restait habillé. Parfois, rarement, il nous est arrivé de faire l'inverse et c'est vrai qu'être habillée alors que lui était tout nu, cela fait une drôle d'impression.

Mais nous ne l'avions jamais fait dehors.

Et puis ce qui était beaucoup plus marquant – mais il ne me l'a avoué que bien plus tard – c'est que lorsqu'il s'était brutalement arrêté, c'est simplement que l'on était parvenu... au sentier, qui manifestement faisait une sorte de boucle, ou que nous ayons marché le long de ce dernier,  peu importe. Il savait que nous étions à une quinzaine de mètres d'un sentier très pratiqué et qu'il était quasi certain que quelqu'un passerait. Il m'a odieusement manipulée, au sens propre comme au figuré, pour m'exhiber aux randonneurs dans une totale indécence. J'étais furieuse lorsqu'il me l'a annoncé. Mais la boule de feu dans le ventre qui venait de s'allumer me susurrait intérieurement « je me demande si quelqu'un ma vue ! » , « j'aimerai être une petite souris et voir les randonneurs me regarder ! » , « et s'ils s'étaient avancer ? » , « et si... »

Mon mari a ressenti mon trouble et a plonger sa main sous ma jupe. Ma culotte était trempée. Il m'a traitée d'hypocrite et de cochonne tout en m'embrassant et me caressant mon bouton qui ne demandait que cela pour me faire partir. Je ne lui en ais pas voulu très longtemps.

 

Désolée pour cette digression, elle était peut-être nécessaire pour comprendre comment a pu arriver l'histoire suivante.

Quand était-ce ? Septembre, octobre ? Je ne sais plus mais ça nous ramène à une bonne dizaine d'années. Nous nous promenions dans le même secteur,  il y avait des falaises (ce devait être à une vingtaine de km des aiguilles de Valbelle), plus sec. Des pinèdes, les odeurs de thym et d'origan, le soleil.

Nous étions gentiment en train de pic-niquer, sans aucune arrière pensée (on a fait de nombreuses balades très sages, vraiment) lorsque, levant les yeux, je vois un mec dans un arbre à une petite centaine de mètres de nous. « Quel con ! » me suis-je dit. C'était manifestement un chasseur qui attendait. Quoi ? Je n'en sais rien. Je ne suis pas experte en gibier mais j'ai cru comprendre que l'on chassait plutôt à l'aube qu'à 13 ou 14h ! Surtout quand deux touristes déballent leur pic-nic et discutent sans retenue (on se parle tout le temps, surtout moi, désolée). Bref j'ai trouvé ce chasseur particulièrement stupide. J'allais le dire à mon mari quand une pensée m'a traversée. Je tenais ma revanche et j'allais me faire plaisir sans avouer mes petites perversions qu'une femme bien élevée ne saurait admettre.

« Il fait super chaud ! Tu crois que je peux me mettre à l'aise ? »

Genre de question dont on connait la réponse à coup sûr. Tellement prévisible un bonhomme !

« bien sûr ma chérie, mets-toi à l'aise. »

Je me mets en culotte et soutien-gorge (ce coup là j'en avais) et m'allonge sur la natte (en fait un matelas de mousse). Une fois allongée je regarde, discrètement, l'effet produit. Bingo! Le gars regarde. Je crois même qu'il a des jumelles.

Mon cœur s'emballe. Je ne sais plus que faire. J'ai un peu peur. Je pose la tête et ferme les yeux.

Je me repose. Je bronze. Doivent croire mes deux hommes. Non je gamberge.

Et puis zut, mon homme, le vrai, en est un justement et je ne crains rien prés de lui. Je me relève et tourne ma natte pour être dans l'axe. M'assied face à lui et dis à mon mari.

« je vais innover, après les marques de maillot je vais me faire des marques de culotte ! J'aurais du mettre un string mais c'est pas agréable pour marcher. »

« Enlève-donc ça tu es si jolie sans et là on est plus que tranquille » (tellement prévisible ! Merci d'être comme vous êtes)

« tu crois » (oui, il a raison, je suis hypocrite)

« mais bien sûr tu peux te lâcher on est loin des chemins ici » (c'était vrai, nous étions sur un espace plat et vert – rare - prés d'un rocher que l'on connaissait bien d'où on avait une belle vue en contrebas, sans vis à vis sinon la Corse, loin du chemin)

Je dégrafe mon soutien-gorge et le pose sur mes affaire puis retire ma culotte et la pose également.

Je m'allonge, écarte un peu les jambes. S'il a des jumelles comme il me semble il doit voir mon intimité toute nue. Déjà adepte de l'épilation totale je m'offrais à lui sans retenue.

Après quelque temps à profiter de ma nudité, je pose un main sur mon sexe et commence à me caresser doucement.

«  Hey ! ça je peux le faire moi  si tu veux ! » mon petit mari semble intéressé... mon chasseur devrait l'être aussi.

« Non. J'ai envie de me faire plaisir toute seule. »

Mon petit mari accepte docilement mon petit jeu mais très vite approche une main de mes seins.

« j'ai le droit de toucher là ? »

« Oui, pince-moi doucement les bouts »

Comme à mon habitude mon plaisir arrive très vite et je me laisse aller à un orgasme (un peu) bruyant.

« ça ne te mets pas en appétit tout ça ? Tu n'es pas tentée par un hot-dog bien chaud ? »

« Mmm ! Tu me tentes »

(il sort son machin)

«  Non, obsédé je veux une knackie, une vraie »

Il fait une petite moue déçue mais qui se transforme vite en un petit sourire pervers.

« je pourrais au moins allez chercher un peu de sauce dans le pot? »

« non, je veux me faire plaisir toute seule mais peut-être un petite gâterie, si tu saurais te contenter de ma bouche... pour le moment »

« Tu sais parler aux hommes toi! »

J'attrape la knackie pendant qu'il approche son sexe de ma bouche. Je lui donne un coup de langue et m'assied en tailleur. Je présente la knackie et caresse ma vulve, mon bouton, puis la fait entrer en moi. C'est mou, froid et pas bien épais. En fait la chose ne me donne aucun plaisir mais je regarde souvent vers le chasseur, de moins en moins discrète et savoir qu'il me regarde m'excite. Mon mari est toujours là, contre mes lèvres. Je l'avale le plus loin possible et lui fait un belle gâterie tout en faisant aller et venir la knackie en moi.

J'ai envie de plus.

Je le libère de mes lèvres et me lève

« allonge toi, je te veux dans moi »

« vos désirs sont des ordres »

il me remplace, dans le bon sens (j'étais prête à lui demander de prendre LA bonne position. Aujourd'hui c'est moi qui joue).

Je me mets sur lui, fesses vers le chasseur, le knackie toujours au fond de moi. Mon mari saisi mes fesses à pleine main tout en se présentant à l'entrée de mon intimité.

« je rentre avec ça ou je l'enlève »

L'alternative est tentante, il lui est déjà arrivé de me pénétrer avec un vibro déjà en place.

« non, enlève-le mais ce serait dommage de ne plus en profiter »

Mon mari est certes prévisible mais loin d'être bête, il comprend de suite. D'une main il retire la knackie alors qu'il trempe un doigt de salive. Très vite je sens son gros sexe au fond de moi et son doigt qui glisse dans le petit trou.

Puis il essai d'y glisser la knackie. Pas facile, c'est vraiment mou.

Il revient avec ses doigts, en glisse deux et joue, avec mon sphincter alors que j'essaie de me détendre au maximum. Enfin la knackie entre. C'est pas terrible. C'est savoir qu'un chasseur un peu stupide va avoir un malaise en me matant qui est terrible.

Je veux aller au bout du délire. Je me relève, enlève la knackie et la jette. Je tourne le dos à mon mari et m'accroupis sur lui. Mon chasseur doit se régaler.

Je pose mes fesses sur le sexe que mon mari maintient bien droit pour faciliter l'entrée. Je m'empale doucement, profondément. Ainsi ouverte, mon sexe est béant. Je vais et viens sur le sexe de mon mari. Je crains autant que j'adore la sodomie!

« je viens ! »

Brave petit mari. Lors de ma première gâterie il a dit ça pensant que j'allais arrêter et le ressortir; j'avais pas compris. Il est arrivé dans ma bouche; Un peu oie blanche je ne savais simplement pas qu'on pouvait recracher. Et j'ai bien aimé. Maintenant c'est quand il arrive hors de ma bouche qu'il me prévient, connaissant mon goût pour sa liqueur. Et très souvent je viens le finir entre mes lèvres. Aujourd'hui plus que jamais.

Je me relève encore et ouvre la bouche sans le prendre entre mes lèvres. Je veux que mon chasseur voit tout.

Bouche ouverte, langue taquinant le frein de son sexe, je le branle rapidement et il explose comme j'aime. Très vite je le prends dans ma bouche. Il aime quand juste après la délivrance je le garde en bouche.

Je pose mon visage sur son ventre, son sexe toujours entre mes lèvres, le regard dans le vague, vers les arbres, vers mon chasseur.

 

Épilogue

Ou plutôt devrais-je parler de suite fantasmée

 

Je rêve parfois en pensant à cet épisode de ce qui se serait passé s'il était descendu de son arbre.

Après tout il était armé et aurait pu être dangereux.

Et s'il était venu pendant que je lui tournais le dos ?

Et si, sous la menace de son arme il m'avait prise comme j'étais par derrière?

Des fois je fantasme sur lui pendant que mon mari me fait l'amour. Il me force à le prendre de toutes les façons, seul ou avec mon mari, contraint d'accepter sous la menace de son arme.

Et dans mes fantasmes les plus fous, ils sont plusieurs. Mon mari nous regarde pendant que les chasseurs me prennent à plusieurs. Quand je fantasme la-dessus mon orgasme arrive toujours très vite et très fort.

 

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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