Lundi 23 janvier 1 23 /01 /Jan 16:47

Uchronie : subterfuges - épisode 2 - Jean

 

Jean le 4/1/2012

- "Salut Jean !"

- "Salut! Ça va? Je promenais le chien dans le quartier et je me suis dit que j'allais faire un petit coucou à mon pote de toujours". Dis-je avec un grand clin d'œil et un hochement de menton interrogatif.

- "T'as bien fait." me répond-il dans un grand sourire. Puis il me chuchote :

- "Ça a marché comme sur des roulettes... elle t'attend là-haut prête comme tu me l'as demandée. "

- "Bon ben je te laisse, le chien est trop impatient" dis-je bien fort pour que tu m'entendes.

Pierre referme la porte fermement en la faisant claquer, puis remonte l'escalier en me faisant signe de le suivre.

Nous avions mis au point ce scénario depuis longtemps et je bandais par avance en t'imaginant tel que je l'avais imaginé, et tel que je l'avais exigé de ton mari.

En effet celui-ci s'était mis sous ma coupe au tout début de votre relation car il souhaitait que tu t'émancipes et ne savait pas trop comment s'y prendre. Il avait commencé à m'en parler un soir de beuverie après le boulot, et depuis j'écoutais ses confidences et le conseillait. Mais il avait du mal à mettre en pratique. La semaine dernière, il m'a presque supplié de lui venir en aide. Je lui ai dit que je lui préparais quelque chose, mais qu'il devrait suivre mes instructions à la lettre, et qu'ainsi il parviendrait à ses fins. Il était prêt à tout et a accepté.

Et c'est ainsi que je suis arrivé sur le palier de ta chambre, dans les pas de ton homme, nue, les yeux bandés, les mains attachées.

C'est la première fois que je te voyais nue, "en vrai", car bien sûr ton mari m'avait montré des photos de toi.

 

Jean le 4/1/2012

 

Tout est prêt comme je l'avais demandé. Le bloc note et le stylo pour que je puisse communiquer avec ton mari sans parler.

Les différents objets tels que la bougie, les foulards qui te bâillonnent, les gants en latex, l'appareil photo, le tube de vaseline, les cordelettes et bien sûr les sex-toys que ton mari devait se procurer. Différentes formes, différentes tailles, de quoi t'initier à d'"autres" pratiques. Des onguents aussi, des pommades stimulantes...

Ton mari a si bien rempli son contrat que je suis étonné de ne pas voir la banane, parmi les divers fruits et légumes exposés.

Ce que je m'empresse d'écrire à ton mari.

Il t'attrape alors par un bras et te fait retourner. L'incroyable spectacle s'offre à moi. Tes fesses si rondes qui semblent tenir une banane enfoncée entre elles. Je me dis que ton mari semble enfin avoir trouvé la voie... Je lève un pouce en direction de ton mari pour le féliciter.

Je mets les gants en latex et écris à l'intention de ton mari :

- "On va un peu jouer au docteur maintenant..." Il énonce et s'écarte, me laissant le champ libre.

Je vois ta peau frissonner au premier contact un peu froid du latex. Je passe une main dans ton dos, je suis ta colonne vertébrale descend jusqu'à tes fesses, puis remonte, lentement.

J'attrape tes cheveux, les enroule dans ma main afin de bien dégager ta nuque et au moment où je mords à la lisière de tes petits cheveux tout fin dans ton cou, j'empoigne la banane et la pousse fermement dans ton cul. Tu ne peux réprimer un cri de surprise, de plaisir, de douleur ?

 

Alanys le 5/1/2012

 

- « C’était le facteur? »

- « Dis-donc attends que je sois parti avant de trépigner en attendant le facteur! »

- « Mais non idiot, j’attends un paquet c’est tout. C’était quoi alors? »

- « C’était Jean qui passer dire bonjour en promenant son monstre »

- « C’était rapide. Ils sont repartis? »

- « Pourquoi tu aurais aimé que je les invite? »

- « Tu parles! Ils sont aussi envahissant l’un que l’autre! »

- «Tu n’es pas sympa avec mon pote. »

- « Tu sais bien qu’il me met mal à l’aise, c’est comme ça. Et puis son énorme clébard qui met des poils partout… Tu vois c’est bien ton pote, il ne pouvait pas avoir un caniche ou un épagneul non il lui faut frimer avec ce monstre »

- « Oublie ça! Et revenons à nous s’il te plaît. »

- « Et comment comptes-tu t’y prendre? Je ne suis pas une machine »

- « Non mais tu es une gourmande »

Je sens alors son sexe sur mes lèvres. Je les ouvre et l’y fais entrer.

Bizarrement, malgré cet intermède qui m’avait refroidie, lui est dur comme si rien ne s’était passé. Même plus que tout à l’heure encore. Je me recule et le dégage de ma bouche.

- « Dis donc tu m’a l’air bien excité toi! »

- « Je t’imaginais comme ça avec le facteur qui pose le colis et te vois ainsi, ou mon pote…»

- « Et ça t’excite? »

- « Oui. Pas toi?

- « Oui »

- « Et là je me revois t’accompagnant chez le gynéco. Je l’ai vu t’ausculter, j’étais fou d’excitation!»

- « Tu es un cochon, tu vois le mal partout »

- « N’empêche que tu as changé souvent de gynéco et tu n’as jamais été chez une femme »

- « Je ne sais pas… »

- « Bouge pas »

Je l’entends se déplacer, ouvrir un tiroir puis revenir. De nouveau je sens son sexe sur mes lèvres. Je le reprends.

- « j’ai envie d’être ton nouveau gynéco, je vais t’ausculter »

- «Sans les étriers tu auras du mal! »

- « Je me débrouillerai… et puis dans un fauteuil de salon avec les jambes sur les accoudoirs ça pourrait le faire non? »

- « Et tu crois que je vais faire quoi? Tu crois que je fais quoi chez le gynéco? »

- «Laisse-moi imaginer»

 

Puis ses mains descendent dans mon dos. Ses mains gantées de caoutchouc. Quelle sensation étrange, dérangeante !

Il arrive à mes fesses, les écarte puis brusquement, enfonce la banane qui était restée enfichée dans mon petit trou.

- "Aïe ! Tu es dingue ou quoi, ça fait mal.

- "Chuttt!"

Il entreprend alors un mouvement de va et vient avec la banane. La douleur s'estompe un peu.

 

Jean le 5/1/2012

 

Cambrée et crispée dans un premier temps, tu t'es peu à peu détendue et tu as accepté la banane dans sa totalité. Et pas une petite banane des caraïbes, non une belle et grande banane africaine.

Tu as beaucoup de prédispositions, un diamant brut, qui pourrait devenir un bijou extraordinaire, pour peu que le tailleur sache faire briller chaque facette de ta sexualité. Je vais essayer d'être cet artisan, pour que ton mari soit fier de son bijou.

Je fais quelques allées et venues dans tes reins jusqu'à ce que tes soupirs ne laissent plus de doute sur leurs origines. Puis je retire le fruit d'entre les tiens.

Je m'éloigne de toi et reprends le carnet et le stylo.

Ton mari exécute mes demandes. Il détache tes mains, et te conduis jusqu'à la commode. Il t'appuie entre les omoplates et t'allonge à plat ventre sur celle-ci. Il glisse un coussin sous ton pubis, ce qui a pour effet de surélever ton postérieur.

- « Ecarte tes fesses »

Tu gigotes un petit peu sans grand résultat.

- « Ecarte tes fesses avec tes mains. Je veux voir ton cul, voir s'il la banane t'as bien ouverte! »

Tu es un peu surprise de la demande et du ton qu'emploie ton mari. Ça ne lui ressemble pas vraiment.

Néanmoins tu lui obéis et ouvre tes fesses à deux mains.

- « Tu as aimé ça ? La banane ? »

 

Tu réponds d'une voix hésitante...

- « J'ai eu un peu mal au début. Après c'était bon... et maintenant je me sens toute vide... »

Ton anus se contracte encore du traitement qu'il vient de subir.

 

Je griffonne et tend la feuille à ton mari.

- « Allez ! on va vérifier tout ça, chère patiente. Suivez-moi, nous allons passer à côté »

 

Il te guide à nouveau, cette fois vers le fauteuil qui va servir de table d'auscultation. Il te cale bien confortablement au fond, et passe tes jambes de part et d'autre des accoudoirs. Tu te retrouves dans des conditions assez similaires à ce que tu connais chez ton gynéco.

 

Ton mari est désormais à fond dans son jeu de rôle.

- « Je vais devoir faire une exploration, et il ne faudra pas que vous bougiez. Aussi je vais maintenir vos jambes de manière à ce que vous ne puissiez pas vous mouvoir. »

Il prend les cordelettes, replie et attache tes jambes sur tes cuisses, comme une grenouille sur le dos.

Puis il positionne un coussin sous tes reins.

Tu ne peux pas voir le spectacle que tu nous offre, ayant toujours les yeux bandés, mais c'est d'une indécence totale. Tes orifices sont exposés et ouverts à toutes nos envies, à tous nos vices.

 

Je prends un onguent aphrodisiaque et t'enduit les lèvres. Puis je glisse jusqu'à ton bouton, que je titille un peu.  Je reprends un peu de pommade et te pince la pointe des seins.

 

Dans quelques instants, tu vas commencer à ressentir les premiers effets.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- « Mais qu'est-ce qui te prends? Je ne t'ai jamais vu excité à ce point. »

- « Venez madame je vais vous ausculter »

Il me détache les mains puis les rattache devant, il m’emmène au salon. Nous descendons les escaliers. À travers mon foulard je ressens la lumière plus crue. J’espère que les rideaux sont tirés.

Il m'installe sur le fauteuil, m'écarte les cuisses, m'attache les jambes.

- « Tu sais mon chéri que mon gynéco est beaucoup plus sympa avec moi »

- « je ne suis pas votre chéri mais votre gynéco, s'il vous plait madame laissez-vous faire sans faire d'histoire. »

Je ressens quelque chose de froid. Une pommade ? Quelque chose comme ça.

Il m'en caresse le sexe, c'est agréable.

 

Jean le 6/1/2011

 

La pommade ne va pas tarder à agir. Tu gigotes de plus en plus sur ton fauteuil. Tu as même un mouvement de tes mains pour se rapprocher de ton sexe, mais la façon dont tes membres sont liés t'en empêche.

« Ttt Tttt ! Arrêtez de bouger! Je risque de vous faire mal! »

Tu commences à protester alors que ton sexe rosit et que les pointes de tes seins durcissent et se tendent.

Ton clitoris sort tout doucement entre les lèvres. Ton sexe ouvert s'humidifie de plus en plus.

Tu sembles enfin comprendre que ce n'est pas un simple lubrifiant que je t'ai appliqué, mais un stimulant qui aiguillonne tes terminaisons nerveuses perfidement.

« Ne me laisse pas comme ça!!! Fais quelque chose... viens, prends moi! »

« Madame vous n'y pensez pas! Je risque une radiation de l'ordre des médecins »

« Arrête! Je t'en supplie!! Ça chauffe, ça démange trop... »

« Je ne vous ai pas autorisé le tutoiement, et je viens de me rendre compte que j'ai oublié une zone érogène importante chez vous »

J'applique alors l'onguent froid sur ta rosette. La fraîcheur te fait du bien dans un premier temps, mais tu sais que très vite tu vas subir mille "tortures". L'humidité suint de ton sexe et quelques larmes s'écoulent doucement entre tes fesses.

« Nous allons tester l'élasticité de votre périnée. » 

Ton mari joue son rôle à merveille. Je prends un plug, parmi tous les objets qu'avait préparés ton mari.

 

Alanys le 6/1/2011

 

- "S'il te plait ne me laisse pas comme ça !"

- "Aïe" Je viens de recevoir une gifle sur le sexe.

- "Je vous ai demandé d'arrêter ce tutoiement!"

- "S'il vous plait ne me laissez pas comme ça... s'il vous plait"

- "Ne vous inquiétez pas, il n'a jamais été question de vous laisser comme ça"

 

Jean le 6/1/2011

 

Je souris devant cette scène digne d'un vaudeville. Un vaudeville tout de même un peu osé!!!

Ce n'est pas le plus gros des plugs, mais il est tout de même assez large, bien plus que la banane qui l'a précédé. Il est en verre, ce qui donne une touche plus médicale à l'histoire. Je l'applique contre ton anus tout contracté.

Ton mari continue son rôle :

"laissez-vous aller. Décontractez- vous"

Je pousse lentement mais fermement. Les premiers centimètres pénètrent sans difficulté. Puis la progression ralentit, jusqu'à stopper. Je retire alors doucement l'objet, presque entièrement, puis je le réintroduis avec un peu plus de vigueur. En même temps je te caresse le clitoris de ma main libre. Tu halètes fortement, entre douleur et jouissance. À chaque va et vient je vais plus loin et bientôt comme par magie tu avales le gros renflement dans un cri de surprise (?)

 

Alanys le 7/1/2011

 

- "MMMM!" "Ahhh!"

Quelle merveilleuse sensation ! J’adore quand il me caresse ou mieux quand il me lèche mon petit trou. C’est si sensible!

J'adore quand il me pénètre d'un centimètre à peine, j'ai le plaisir sans la douleur. Mais j'avoue que je ne jouis jamais aussi fort que par là. J'en ai terriblement honte et je lui refuse souvent ce plaisir honteux et pervers... mais que c'est bon !

Mais cet objet froid, s'il me procure une sensation folle, elle ne me plait guère. J'aimerai son sexe en moi, un vrai sexe chaud.

 

Jean le 7/1/2011

 

J'adore cette image. Ton anus qui a avalé le plug et qui dans cette position fais ressortir ta chatte, l'expose comme un fruit mur gorgé de jus sucrés. Je ne peux résister et plonge mon visage entre tes cuisses. Je glisse ma langue depuis ton périnée tendu vers ta fente juteuse, je remonte doucement tes petites lèvres et avale à pleine bouche ton bourgeon arrogant. Je l'étire, l'aspire, le titille du bout de la langue, le mordille.

Tu t'agites et ne peux réprimer un :

"oh chéri..."

qui me rassure dans le fait que tu n'as pas encore éventé la supercherie.

Je bouge tout doucement le plug au fond de toi, de petits mouvements concentriques tout en continuant de te lécher goulument. Tu es à ma merci, ligotée, les yeux bandés et j'en profite abondamment. De ma main libre je fais rouler entre mes doigts les pointes de tes seins. 

 

Alanys le 7/1/2011

 

Je suis dans un rêve-cauchemar.

Mon corps ne m’appartient plus. Mes seins brulent, mon sexe brule, mes fesses brulent… mais sans réelle douleur. Étrange sensation ! Sensation folle de sentir ce chose entre mes fesses qui me remplit et excite mes muqueuses. Sensation folle de sentir cette bouche sur mon sexe qui m’arrache jouissance après jouissance. Je ne jouis plus, je suis la jouissance. J’ai l’impression de surfer sur un vague gigantesque de jouissance.

Mon chéri est déchainé, il me mange, il me dévore comme jamais il ne l’a fait. Il joue avec mes fesses tout en plongeant sa langue dans mon sexe. Il vrille le plug (je l’ai aisément reconnu), il le visse et le dévisse, le ressort presque pour mieux le remettre. Il pince mon bouton avec ses lèvres. J’ai presque mal. Presque. Il est vraiment déchainé. Je ne le reconnais plus. Mmmmm ! Je jouis encore !

Ma tension tombe. A peine quelque secondes. Je sens le plaisir qui remonte. Je suis sur un nuage. J’essaie d’ouvrir les yeux mais le bandeau m’en empêche. Quel spectacle dois-je lui offrir ! Est-ce cela qui l’excite ainsi ? Brutalement je me sens dans la peau d’une actrice porno. Je réalise la sensation qu’elles peuvent ressentir à exciter tant d’hommes qu’elles ne voient pas… Je suis une star du porno.

 

Jean le 10/1/2011

 

Tu surfes d'un orgasme à l'autre. Il semble que tu n'arrêtes jamais de jouir. Tu es complètement abandonnée, complètement ouverte, soumise. Le moindre attouchement te fais réagir, gémir.

"Tu veux que j'arrête ?" ton mari te demande hypocritement.

"Oui, non arrête je n'en peux plus... viens prends moi" tu parles d'une voix mourante à peine audible.

Après une dernière plongée entre tes cuisses, et un nième orgasme de ta part, je me recule. Je retire doucement le plug, ton étoile s'étire, s'estompe, puis se referme un instant boudeuse, avant de se rouvrir, avide. J'admire le tableau, ta reddition, ma victoire. Tu es devenue "ma chose", exsangue, le plaisir qui a coulé de ton sexe et qui trempe les draps. Tes lèvres intimes qui ne sont plus un rempart à ta pudeur, mais un écrin prêt à accueillir tous les membres. Ton cul entrouvert agité de petits spasmes. Je peux à cet instant te demander ce que je veux, ce que tu as toujours refusé à ton mari, ce que tu n'as jamais osé faire, demander. Tu n'es plus qu'un sexe en fusion.

Vas-tu reprendre l'initiative?

 

Alanys le 10/1/2011

 

- "Prends-moi s'il te plait, prends moi partout, prends-moi fort, ne t'arrête jamais …

 

Jean le 10/1/2011

 

Je bande comme jamais. Mes instincts dominateurs sont mis à rude épreuve. J'ai envie...

J'ai envie de te faire exploser de plaisir, de te faire mal, de te faire du bien, de te remplir, de te fesser, de te pincer de te mordre... de te manger.

 

Je pose mon gland violacée sur ta rosette. Je suis moins bien loti que ton mari, mais mon gland est épais et rond. Il s'écrase entre tes fesses qui résistent à peine puis s'infiltre entre elles, lentement mais sûrement.

Putain que c'est bon. Chaud, serré... Je vais jouir immédiatement. Je pense à autre chose... le travail, les soucis... ton cul. Un flash... ça vient. Je me retiens, c'est douloureux au niveau du scrotum. J'ai envie de te dévaster...

Je me calme. Je ne bouge plus et j'apprécie tes petites contractions qui me massent à l'intérieur.

Le plaisir reflue lentement. L'orage est passé. Je ne sais pas, je n'ai pas vu tes réactions. Ton visage est figé sur une grimace : douleur plaisir? Tu halètes et reprends ton souffle.

Sais-tu qui est en toi? As-tu remarqué que ce n'était pas le sexe de ton mari qui te sodomisait?

 

Je glisse un doigt dans ton sexe détrempé. Le majeur à la recherche de ton point G. Il s'arrête sur une surface un peu plus granuleuse, presque sous ton clitoris. Il masse doucement. Tu t'agites.

Un deuxième et un troisième doigt t'investisse. Ton mari me donne un gode noir en silicone assez souple. Je retire mes doigts et les remplace par le gode. Il est assez large et cela me comprime dans ton autre gaine.

Il glisse en toi, tel un gros serpent qui rentre dans un terrier.

J'ai envie de te voir remplie de partout...

Mais je ne veux pas que tu découvres ma présence pour le moment.

J'imagine, j'essaie d'imaginer, de me mettre à ta place...Je ne bouge toujours pas entre tes fesses, comme si c'était un autre gode, ou un concombre?

Je fais signe à ton mari qui s'approche de ta bouche. Dès que tu sens le gland sur tes lèvres tu avales ton mari. Le goujat en profite et s'enfonce au fond de ta gorge. Il va et vient comme s'il te baisait. Ta salive s'écoule sur ton menton, sur ton cou, sur tes seins.

Je n'ose pas bouger. Je ne veux pas casser la magie de l'instant. Tu es telle que dans mes fantasmes. Pleine. Tous tes orifices comblés.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je suis au paradis, en enfer... peu importe

Il me sodomise avec tant de douceur j'adore...

Je suis toute à mon plaisir, pas envie de décrire.

 

Il me sodomise gentiment et me caresse, me fouille avec son doigt, m'excite comme jamais il ne l'a fait.

Mmm! et ses doigts en moi... j'adore. J'en suis à rêver de sa main entière, de son poing. On a si souvent essayé en vain, j'aimerais aujourd'hui qu'il réussisse.

 

Non je reconnais le gode silicone. MMM et ces vibrations MMmm je ne peux rien dire, je jouis et jouis encore.

Viens dans ma bouche"

 

Je sens son sexe contre mes lèvres

 

 - "Hey ! Mais qu'est-ce que tu m'as mis derrière ?"

 

Sans ménagement, il profite de ma bouche ouverte pour s'y glisser et s'enfoncer sans douceur.

 

 - "Le jeu continue ma chérie, je t'ai mis quelque chose de nouveau, devine quoi"

 

Je ne le suce plus, je pense trop à ce qu'il m'a mis dans les fesses. Mais il va et vient dans ma bouche, je le laisse faire, je l'accueille entre mes lèvres sans trop y penser, je pense à cette chose. J’étais persuadée que c'était son sexe, cette sensation si agréable que ne me procure aucun de ses jouets.
Il s'enfonce un peu trop, j'ai un haut le cœur, il ressort. J'ai l'impression de me baver dessus !

 

"Ne vas pas trop loin, je ne peux pas plus.... dis-moi c'est quoi dans moi ?"

"devine » "

"je ne sais pas mais c'est le premier sex-toy qui me procure un tel plaisir, fais-le bouger en même temps que l'autre, je veux m'imaginer prise par une bande de brutes"

 

Jean le 10/1/2011

 

"C’est un sex-toy des plus réalistes, ma chérie..."

 

Il me fait un clin d'œil et je retiens un éclat de rire.

Je commence à reculer doucement, retirant simultanément le gode de ton sexe, comme si nous étions solidaires. J'essaie d'effectuer un déplacement le plus régulier possible, jusqu'à ce que mon gland soit presque sorti de ton petit trou. Puis j'avance à nouveau, lentement, inexorablement, te remplissant complètement. Tu es tellement excitée que les deux membres n'ont aucun mal à coulisser dans tes deux orifices. Ils sont là pour ça, ils sont conçus pour ça.

 

"C’est la première fois que je te vois prendre autant ton pied avec ..."

Il laisse sa phrase en suspens.

 

Je suis devenu une "fucking-machine", comme sur ce site où j'avais rencontré le sexe dernière génération, des femmes aux prises avec des robots mécaniques, qui les faisaient jouir sans discontinuer, par devant, par derrière.

 

Maintenant que la place est faite dans ton corps, j'augmente le rythme en évitant de trop m'enfoncer pour ne pas que mes hanches viennent claquer contre tes fesses. C'est la première fois que je réalise une double-pénétration tout seul !

Je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Je suis tellement serré dans ton petit cul, et cette scène me rend complètement surexcité.

Je regarde ton mari, d'un œil interrogateur... Nous avions convenu qu'il déciderait au moment venu d'éventer ou pas la supercherie.

J'attends son assentiment.

 

Alanys le 10/1/2011

 

Je le sens ressortir

- "Non, ne t’arrêtes, pas continue, emporte-moi plus loin !"

 

Jean le 10/1/2011

 

Je suis dans l'expectative. Mais je ne suis pas un surhomme. Et toi qui m'implore de continuer... Ton mari semble vouloir s'épancher dans ta bouche. Malgré le peu de liberté que te laisse tes liens, tu t'appliques à avaler copieusement le sexe de ton mari, tu le branles littéralement avec ta bouche. Des spasmes le secouent et il laisse échapper un râle. J'imagine qu'il se déverse au fond de ta gorge. Je te laisse déguster quelques instants, car ton mari m'a dit que tu aimais ça. Il s'écarte un peu de toi après que tu l'aies bien nettoyé. Puis je décide de donner plus d'ampleur à mes mouvements. Je viens butter contre tes fesses. Tu n'as pas réalisé, je pense, emportée au septième ciel. Ma queue a complètement disparu dans ton cul. J'attrape alors tes cuisses à pleine main et commence à te pilonner violemment. Le gode est complètement enfoncé dans ton sexe. Mes hanches claques contre tes fesses, tes cuisses. Je ne me suis jamais senti aussi gros. Je vais jouir. Je sens le plaisir bouillonner dans mes testicules et se ruer dans ma hampe. Je me retire et me présente devant ton visage. Une première giclée s'envole...

 

Alanys le 11/1/2011

 

J'ouvre grand ma bouche si heureuse de profiter encore de sa liqueur

Il met son sexe dans entre mes lèvres, je le reprends. Il se déverse en moi, je m’enivre de lui, encore.
Encore.
Encore !

Encore ?

Son sperme est plus salé que tout à l'heure, son sexe a un goût bien plus fort comme quand il m'a...

Mon Dieu mais j'aurais dû le sentir, il est plus large... Je le recrache et me débat

 

"C'est quoi ces conneries ? Détache-moi. "

"Calme-toi. Tu m'as dit que tu voulais que je t’emmène loin, tu m'as supplié de ne pas m'arrêter"

"Avec toi, pas un autre"

"Ne sois pas hypocrite les yeux bandés ça ne t'a pas posé de problème... Alors on continue"

"Non !"

"Ma chérie, ce n'étais pas une question. détends-toi, repose-toi le temps que l'on voit ce qu'on va faire de toi, avec toi..."

 

Jean le 11/1/2011

 

"MMMmmm ça a été un vrai régal Alanys"

 

Tu reconnais ma voix, tu t'en doutais depuis un moment, mais là c'est confirmé"

 

"Jean!! Sors d'ici tout de suite ! Chéri, je ne veux pas, fais le partir !"

 

"On ne traite pas ainsi les invités, ma chéri!! À moins que tu ne me fasses changer d'avis! Qu’est-ce que tu me proposes?" Il me fait un clin d'œil.

 

"Ben je ne sais pas... tu veux que je te reprenne dans ma bouche?"

 

"Déjà fait, autre chose!" répond-il tout en détachant tes jambes qui sont complètement ankylosées.

 

"Tu veux me prendre par devant ?"

 

"Hein? Je ne comprends pas! Exprime-toi plus clairement"

 

Je vois où il veut te mener. Il souhaite que tu emploies des mots qui ont du mal à sortir de tes lèvres en général, que tu te soumettes à sa volonté.

Tu trouves que depuis ce matin, son attitude a changé, il est plus dur avec toi. Certainement l'influence de Jean.

 

"Tu veux me ... baiser?"

"Non... ou juste pour commencer..."

 

Il te répond tout en te redressant doucement pour que tu retrouves tes sensations. Puis il te fait faire le tour du fauteuil et te pousse contre le dossier. Tu bascules en avant, laissant ton postérieur en grand danger.

 

"Tu veux mes fesses ?"

Tu n'as pas le temps de finir ta phrase qu'une claque formidable s'abat sur tes fesses exposées.

"Aïe..."

"Je n'ai pas compris ce que tu me proposes!" et une deuxième claque rougit un peu plus tes fesses.

 

 

Alanys le 11/1/2011

 

Je suis tellement "groggy" que je râle pour le principe. Je suis morte de honte mais heureuse d’avoir fait ça. Je n'ai rien fait de mal que m'amuser avec mon mari alors si à mon insu... J'aime trop le plaisir de la chair et les sensations d'excitation mêlée de honte et d'envie pour me plaindre vraiment. Je suis prête à tous pour faire durer ce moment.

"Fais ce que tu veux, faites-moi ce que vous voulez, tout ce que vous voulez !"

"Tout ?"

C'est Jean qui a parlé

"Oui, faites-moi ce que vous voulez, je suis à vous"

 

Jean le 11/1/2011

 

"Très bien, je note et j'ai un témoin. N'est-ce pas Jean? Tu vas faire exactement ce que nous te demanderons. Tu peux toujours arrêter, à tout moment. Il suffira que tu dises que tu ne veux plus, que tu ne veux pas aller plus loin. J'arrêterai immédiatement. Et définitivement. Nous reprendrons notre train-train et nous n'évoquerons plus cette journée, et l’évolution de nos relations.

Je ne veux pas être celui qui fera que notre relation se ternira. Donc tant que tu ne décideras pas d'arrêter explicitement ces nouveaux agissements, je considérerai agir avec ton consentement, et n'aurai pas de limites. Toujours Ok ? "

 

Un tout petit "oui" sort de tes lèvres.

 

"Comment ? Je n'ai rien entendu?"

 

"Oui, je suis à toi. Je suis à vous. Faites-moi tout ce que vous voulez!"

 

"Parfait! tout d'abord tu vas réveiller nos sens : nous avons besoin de retrouver un peu de rigidité pour la suite."

 

Pierre t'enlève le bandeau des yeux. Tu mets quelque temps à t'adapter à la lumière du jour.

Tu rougis. Devant toi, deux mâles nus, le sexe au repos.

Tu approches, visiblement pour nous caresser. Cette fois c'est moi qui t'arrête.

 

"Stop ! tu dois nous exciter sans nous toucher. Tu peux utiliser tous les objets à ta disposition. Tu ne t'arrêteras que lorsque nous serons tous les deux en érection"

 

Après un moment d’hésitation, tu comprends le challenge. Tu es encore jeune mais néanmoins tu sais comment t y prendre pour faire monter la pression chez un homme.

Tu te bloques un instant lorsque tu vois Pierre prendre la caméra numérique que vous veniez d'acquérir. Mais tu te lances.

Tu commences à bouger lentement, sensuellement. Tu secoues tes seins et tes fesses devant nos yeux. Je dois dire que j'essaie de penser à autre chose, pour ne pas succomber dès tes premiers agissements.

 

"Oui, c'est bien ma chérie! bouge, montre-toi! ouvre-toi!"

 

Tu passes les mains sur ton corps, tu pinces les pointes de tes seins qui réagissent immédiatement, tu glisses une main entre tes cuisses puis un doigt entre tes lèvres. Il ressort tout luisant, ce qui en dit long sur ton état. Tu le porte à ta bouche et tu nous regardes en baissant la tête et en levant les yeux, comme une vraie fausse timide.

Tu reprends tes caresses. Tu t'accoudes sur la table, tout en remuant tes fesses tournées vers nous. Tu passes une main entre tes jambes. Tu caresses ton petit bouton, tout en ouvrant rythmiquement tes fesses. Tu tournes ton visage vers nous, tout en écartant tes fesses à deux mains. Ton petit trou s'est bien refermé depuis mes derniers outrages. Je sens ma gorge s'assécher, mon sexe se lever lentement.

 

Clac! Un bruit sec!

Tu viens de te fesser sèchement! D'ailleurs la marque de tes doigts rougit ta peau blanche. Je ne résiste pas à ça! D'autant plus que tu récidives et que tu n'y va pas de main morte...

En quelques secondes ton cul est tout rouge. Nous sommes hypnotisés. J'ai capitulé et présente une érection honorable.

 

Pierre lui, semble résister encore un peu. Il est peut-être habitué à tes turpitudes ?

Tu t'empares d'un tube de crème hydratante. Tu t'en enduis les mains, puis tu te masses les fesses énergiquement. Tu glisses une main entre elles et tu glisses deux doigts dans ton cul.

Je vois le sexe de Pierre se lever lourdement, par à-coups. Tes fesses luisent et le rouge a faibli pour un rose des plus allechant.

 

Nous sommes tous les deux au garde-à-vous, prêt à honorer notre "victime"...

 

 

Alanys le 12/1/2011

 

Quelles sensations incroyables! Je découvre ce mélange de gêne, de honte même, voire d’humiliation mais compensé par un réel plaisir, un sentiment d’être le centre du monde, sentiment de puissance et même une grande fierté quand je vois ces deux hommes encore tout riquiqui et sans force il y a un instant recouvrer leur honneur, leur vitalité, leur envie de moi…

 

Ça y est, j’ai réussi, ils bandent tous les deux juste à me regarder, je suis très heureuse, très fière.

Je m’approche d’eux à en marchant à quatre pattes, féline. Je m’approche de leur sexe qu’ils me tendent tous les deux, les tenant à l’horizontale comme pour viser ma bouche.

 

Je m’approche et m’agenouille devant Jean, j’ai envie de profiter de ce sexe que je connais si peu. Il est plus petit que Pierre mais il semble concentrer sa puissance sur le bout, bien plus large, plus gros. Je le regarde et l’attrape d’une main. Jean retire la sienne. Je viens enserrer la base de son sexe du pouce et de l’index.

 

J’ai envie de serrer. Pourquoi? Je ne sais pas j’ai envie. Presque à lui faire mal. Pierre est là, à côté, je le regarde. Mon regard lui demande «qu’est-ce que je fais?», «est-ce que je peux?» ou simplement «au secours!». Le sien est presque vide, ailleurs. Il se masturbe devant mon visage. Je sens son odeur, sa chaleur… mais rien d’autre.

 

Jean s’impatiente. Son gland est gonflé de sang, encore plus gros. Ma langue ne l’effleure qu’à peine. J’attends un mot de Pierre qui ne vient pas. Jusqu’à maintenant j’ai subi sans savoir, là c’est moi qui fait, je ne peux pas, il doit me le demander, me le permettre. Pierre s’il te plait…

 

Jean s’impatiente!

 

 

Par Yoni - Publié dans : soumise - Communauté : libertinage et amateurisme
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Vendredi 20 janvier 5 20 /01 /Jan 07:51

Uchronie : subterfuges - épisode 1

 

Cette histoire commence par un souvenir bien réel (développé au début) que j’ai raconté à un ami avec qui on a imaginé une suite différente. Nous avons fait cela par mail, voilà nos échanges

Alanys le 4/1/2012

Préambule

 

Bonjour Jean
je vais essayer de reprendre nos conversations...

Pour commencer je voudrais te raconter une histoire, sans trop me dévoiler quand même, tu peux réagir mais laisse-moi la finir avant de reprendre la main et de changer le cours de l'histoire. Après tu m’emmèneras où tu voudras.

 

C'était avant notre période de libertinage extrême, nous n'avions pas encore goûté aux clubs libertins ni rien de tout cela.

Nous étions seuls à la maison pour le WE et, à cette époque plus encore qu'aujourd'hui, nous faisions l'amour très souvent (comme les médicaments "matin, midi et soir" ou presque, et parfois plus). Comme mon chéri ne pouvait pas tenir trop longtemps quand même mais voulait absolument continuer, ou faire durer, il utilisait beaucoup ce qu'il pouvait pour se substituer à sa virilité (à cette époque j'ai découvert les bananes, bougies et autre canette de Coca... ça c'est dur et froid, pas terrible !).

Introduction (ce qui s’est vraiment passé)

Ce jour-là, fin de grasse matinée et déjà pour moi quelques orgasmes terribles. Lui se remettait doucement de son premier.

Il a voulu jouer un peu et avec un foulard il m'a bandé les yeux, avec un autre il m'a lié les poignets dans le dos.

Ensuite il m'a caressée, touchée, pincée un peu.

Il m'a donné à manger (tu sais que j'aime, il sait aussi) puis est venu un peu dans moi, s'est retiré, m'a introduit quelque chose à la place de lui; je n'ai pas su ce que c'était, le lui ai demandé.

- "tu ne sais pas ? Vraiment ? On va jouer. Tu dois le découvrir"

Alors il l'a sorti et me l’a donné à sucer. J’ai vite compris que c'était une bougie

- "plus difficile"

Il me remet quelque chose, je ne sais toujours pas ce que c''est, un vagin est moins sensible qu'une langue et des lèvres!

il lui donne des mouvements de va et vient, je ne pense plus à l'objet car le plaisir revient.
Il le ressort, le laissant sur ma faim.

- "Alors ?"

- "je ne sais pas, je donne ma langue au chat" lui dis-je en ouvrant la bouche

- "trop facile !"

Ses doigts se posent sur mon petit trou, trempés de salive. Je proteste.

- "C'est le jeu ma chérie, tu es trop douée avec ta bouche, on la gardera pour la fin.

Et petit à petit il force ma petite porte

C'est moins douloureux que je ne le craignais, l'objet est assez souple. je serre les fesse, il semble s'écraser

- "une banane! "

- "Bravo" me dit-il en glissant son sexe dans le mien, sans retirer la banane.

...

On joue un moment comme cela lorsque la sonnette retentit.

Mon chéri fait la sourde oreille, moi je sais que j'attends un colis, je lui demande d'aller voir.

- "OK mais tu m'attends comme ça"

J'ai toujours les yeux bandés, les mains attachées dans le dos et quelque chose planté dans moi.
La chambre est à l'étage.

Il descend (en survet ou peignoir, je ne sais pas) et ouvre.

- "Salut Jean ! "

C'est un ami intime qui promène son chien, ils discutent un moment, je ne comprends pas ce qu’ils disent…

Et ensuite... il est remonté et nous avons repris notre petit jeu.

Il avait retrouvé de la vigueur, il m'a "honorée" avec fougue et m'a offert son plaisir pour terminer.

Deux petits détails : il ne m'a pas laissé le prendre entre mes lèvres, il m'a juste demandé d'ouvrir la bouche; et puis il m'a laissée encore toute seule un moment... bruit de porte.

...

Bon j'étais naïve et j'y ai trouvé mon compte, mais je me doute bien de ce qui s’est passé.

Mais revenons à nous.

Maintenant que tu connais cet épisode de ma vie, disons que c'est toi qui sonne à la porte...

A toi

Bisous gourmands

Alanys

 bandeau2.jpg

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Vendredi 30 décembre 5 30 /12 /Déc 16:22

** Date: Fri, 25 Nov 2011 08:28:03 +0100

From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick  

"oh oui !
Il a commandé ça aussi.
C'est un œuf vibrant, on en avait déjà un mais celui-là est plus moderne".
Joël (mon jeune homme) est plus à l'aise désormais, il me demande :
"je comprends assez bien à quoi ça peut servir mais en quoi ça peut être moderne?"
"Celui-là est muni d'une télécommande sans fil, comme cela il pourra le déclencher quand il voudra."
"Et cet anneau?"
"Ça c'est un truc que mon mari aime bien, et moi aussi. il en avait déjà un mais très vieux"
"et ça sert à quoi ?"
"Mis au bas de la verge, ça la fait gonfler. Je dois avouer que l'on sent la différence ! déjà qu'il est plutôt gros au départ!"
" je ne connaissais pas ça. ça ne fait pas mal ?
" Essaie-le si tu veux, tu verras bien"

 

*** Le 25 novembre 2011 09:48, : Patrick a écrit :

Cela fait plusieurs fois qu'elle fait allusion à son mari… et à la taille de son sexe. Paradoxalement, ça me rend jaloux.

Même si pour moi elle n'est qu'une aventure, je sens déjà les affres de la concurrence mâle. J'ai envie innocemment de lui prouver que je suis meilleur que lui. Toujours cette testostérone qui jaillit au moment où on s'y attend le moins.

Aussi j'exhibe fièrement mon érection. J'essaie d'enfiler maladroitement le fameux anneau. Ça serre !! Je ne sais pas trop où il faut le positionner...

Je jette un regard éploré à mon "Pygmalion", Alanys...

 

*** Date: Fri, 25 Nov 2011 17:07:31 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To Patrick

"Laisse-moi faire"
mon jeune homme n'est pas un expert des sextoys, mais il est si jeune! je l'adore.
Je lui prends l'anneau des mains et le desserre un peu
"tu vois c'est assez simple en fait on ouvre en grand on le mets et on tire là pour resserrer"
Je ne peux m'empêcher de m'agenouiller pour profiter un instant de son sexe. et puis je nettoie toujours mon amant quand il est venu dans mon petit trou avant qu'il ne vienne dans mon vagin (hygienne intime que toutes les femmes comprendront) et, sauf bien sûr s'il y avait des traces fécales, je ne rechigne pas à le faire avec ma langue, je sais que ça excite mes amant et j'aime tant les fellations !
tout en lui prodiguant ma gâterie préférée, je lui passe l'anneau, le glisse jusqu'à la base.
"Tu es prêt"
- "oui" 
Il a l'air un peu inquiet
je serre l'anneau, un peu. Le sang qui afflue dans son sexe peine à repartir, il enfle. je serre un peu plus.
"mmm ! tu étais bien monté te voilà exceptionnel !
J’ai envie de le taquiner
"tu es monstrueux ! Qu’est-ce qu'on va bien pouvoir faire de toi ? De ce truc énorme?"
Je le tiens fortement dans ma main et ne peux repriser un début de fellation

 

*** Le 26 novembre 2011 08:38,    Patrick a écrit :

 Je n'ai jamais vu mon sexe aussi gros. Quel drôle de système !! Aussi gros et aussi sensible.
Mon amante est une reine de la fellation. Elle  m'avale avec lenteur et semble vraiment y prendre du plaisir. J'adore lorsqu'elle lève ses yeux vers moi, cherchant mon regard qui se trouble. J'ai alors un sentiment de puissance, de domination (?), qui m'envahit. Bien que je me demande qui domine qui, dans cet acte. Je me sens tellement à sa merci, il suffirait qu'elle m'abandonne là, pour que je la supplie de me reprendre dans sa bouche. A chacune de ces lipettes, mon sexe grandit, durcit. Je me sens énorme. Mais j'ai envie d'autre chose. Je me retire doucement. "Viens, j'ai envie de toi"

 

*** Date: Tue, 29 Nov 2011 10:37:31 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick

oh oui j'ai envie de lui
envie d'être prise, d'être comblée
envie de me sentir investie, totalement
si seulement il pouvait me prendre des deux cotés à la fois ce serait le rêve!
je ne sais pas, je ne sais plus;
je me retourne, à quatre patte, je m'offre à lui, il fera ce qu'il veut pourvu qu'il me prenne
qu'il m'entraîne avec lui dans ce plaisir, ce bonheur, cette jouissance si simple, si profonde, si lointaine, quelle drogue pourrait m'en donner plus
"Viens !"

 

*** Le 30 novembre 2011 00:38,    Patrick a écrit :

Une chatte en chaleurs ! Elle m'offre son cul en se tortillant. Ses deux orifices m'appellent. Sa chatte ruisselle, ses lèvres brillent et font un écrin humide à son bouton rose. Son petit trou, récemment outragé garde quelques boursouflures de mon passage. Je ne sais que choisir. Je poursuis mon idée et présente mon gourdin étranglé entre ses petites lèvres. Il parait monstrueux par rapport au minuscule orifice qu'il s'apprête à forcer. Mais ça n'est qu'apparence. Il pénètre sans difficulté et vient se lover tout au fond, bien au chaud, que c'est bon! "C’est bon!!!" elle n'est plus qu'une femelle qui subit son mâle. Je m'agrippe à ces hanches pour la prendre plus à fond. Je me vois entrer et sortir de ce corps accueillant. Je vois un peu au-dessus ton petit cul qui m'aguiche de son œil entrouvert. J interromps mes mouvements et tends ma main derrière moi. J'attrape le colis et fouille un instant dedans...

 

*** Date: Wed, 30 Nov 2011 11:42:43 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick

(tu m'obliges à te laisser continuer, mais je te suis volontiers)
J'aimerais qu'il me remplisse, qu'il me donne du plaisir jusqu'à en mourir
Je suis bien entre ses mains
je suis déjà écartelée par son sexe enflé, prêt à exploser sous la pression du sang qui afflue, bloqué par le garrot.
Je me sens tellement comblée !
J’aimerai qu'il continue plus encore...
je suis prête à tout
j'ai envie de lui
je suis folle
j'aimerais qu'il soit fou !

 

*** Le 30 novembre 2011 12:16,  Patrick a écrit :

Je m'empare du premier objet qui me tombe sous la main. Un martinet, avec un manche noir en forme de sexe, de taille moyenne. 
Je vais de surprise en surprise... Je flagelle doucement le beau postérieur, et en moi se réveille de vieux démons  alimentés par des fessées reçues ou contemplées dans ma prime jeunesse. Je cingle un peu plus fort en attendant une réaction qui ne vient pas. Une acceptation? Un refus muet? 

 

*** Date: Thu, 1 Dec 2011 15:41:09 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick

mon jeune amant semble moins naïf qu'il n'y parait!
Il a trouvé notre martinet et m'en caresse les fesses. C'est agréable.
Oups! Il vient de me fouettée un peu plus fort. Surprise! Mais sans douleur. J’aime bien ce jeu.
Aï ! Eh il va fort le vilain ! Non je n'ai pas vraiment mal mais quand même.
Aï ! Il recommence. Il insiste. Mes fesses doivent rougir ! Je sens la chaleur. Pas encore la brulure mais ça chauffe vraiment.
Je ne pense pas qu'il oserait me faire mal.
Son sexe enflé, gorgé de sang me pénètre à chaque fois. il m'arrache presque un orgasme à chaque fois
Il me fouette et me pénètre à chaque fois
à chaque fois plus fort
j'aime ça
je suis folle

 

*** Le 1 décembre 2011 17:03,   Patrick a écrit :

Je suis fou.

J'aime ça.

A chaque fois plus fort, je la fouette et la pénètre.

Les petits cris qu'elle pousse m’encouragent à poursuivre.

Mais je ne veux surtout pas lui faire mal. Juste éprouver un peu ses limites... et les miennes.

De petites stries surgissent sur les fesses d'Alanys. Elles rougissent tout doucement. Je sens qu'elles chauffent. ça doit être bon d'y pénétrer maintenant.

D'autant que son petit trou s'ouvre et se ferme au rythme des flagellations. 

Je décide de récompenser ce cul qui m'a déjà tant donné. Je prends le martinet par les lanières et introduit le manche dans le petit trou.

Préparé comme il l'a été durant toute la matinée, l'objet s'y glisse sans problème. Je suis obligé de le pousser à fond car je veux reprendre mes pénétrations.

Lorsque je me retire, le manche suit le mouvement et se trouve partiellement expulsé, et quand je me réintroduis, je le pousse avec mon ventre et il retrouve sa place tout au fond.

 

Je ne sais pas ce que ressent Alanys. Moi je suis au comble de l'excitation devant un tel tableau, et je sens que je ne vais pas tarder à exploser, une nouvelle fois...

 

*** Date: Fri, 2 Dec 2011 17:21:35 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick

AAAAhh ! le salaud ! oups ! pardon
mais il m'a enfoncé le martinet dans le C..!
Heureusement que j'étais préparée et que ce n'est pas un vieux truc en bois plein d'échardes mais un bon gros manche en plastique.
Passé la surprise je commence à apprécier.
J’aime ce moment quand mon mari s'accompagne d'un gode pour me prendre par derrière. Quand il entre, le manche du martinet pousse le sexe et le fait écraser mon point "G".
Je ne sais pas s'il existe vraiment mais j'adore les caresses à cet endroit-là! J’adore quand son sexe frotte là!
J’adore, maintenant, sentir le sexe gonflé de mon jeune amant qui frotte là et me sentir prise par derrière, comblée
...
et quand il joue, ses va-et-vient désordonnés avec le martinet, tantôt ensembles, tantôt décalés, je suis traversée de je ne sais combien de secousses telluriques, de tremblements.
Je ne fais plus la différence entre la jouissance, le bonheur, la folie.
Dans un éclair j'imagine son sexe garrotté, énorme, gonflé de plaisir et peut-être de douleur. Je l'imagine exploser sur mes lèvres... je rêve 
J'espère

 

*** Le 2 décembre 2011 23:09,   Patrick a écrit :

Je ne peux plus tenir. Je vais exploser. Malgré mon inexpérience, j'ai décelé le péché gourmand d'Alanys.

Et je veux lui faire plaisir. Et me faire plaisir.

Je me retire doucement tout en continuant à fouiller ses fesses avec le martinet. Je m'allonge sur le lit tête bêche. 

Je glisse mon visage entre ses cuisses et lui présente ma queue. Il me semble que le garrot m'empêche de jouir. Aussi

Je compte sur Alanys pour me libérer. Sa bouche gourmande m'enveloppe dans un océan de douceur.

Je happe ses lèvres intimes et mordille son petit bouton. Je reprends les mouvements dans son petit trou.

Des frissons parcourent tout mon corps, la jouissance est là toute proche à fleur de lèvres d'Alanys.

 

*** Date: Sun, 4 Dec 2011 11:26:14 +0100
From: yonidouce@gmail.com
To: Patrick

il a compris mes envies et vient m'offrir mon dessert préféré
je saisi son sexe immédiatement et en goûte sa saveur. J’adore
nos plaisirs mêlés m'offre une gâterie délicieuse. J’ai envie qu'il explose dans ma bouche. Je veux le boire encore.
MMM ! Ses lèvres me tirent de mon plaisir gourmand et m'entraîne vers d’autres plaisirs. il taquine mon intimité. sa bouche sur mes lèvres intimes, sur mon clitoris exacerbé, je ne peux plus me concentrer sur lui. je me laisse aller, son sexe oublié entre mes lèvres, je joui encore.
... je suis sur un nuage !
Je  reviens doucement. Son sexe toujours entre mes lèvres, prisonnier, garrotté, mon dieu ! Je dois le libérer.
Je desserre l'anneau tout en reprenant ma gâterie... dans la seconde je reçois un jet puissant contre mon palais. Puis c'est une cascade merveilleuse. Je continue mon petit jeu d'incorrigible gourmande, il ne cesse de se libérer. Je le bois, je m’enivre. Je suis heureuse. je suis bien.
Combien de temps cette fontaine a-t-elle coulée ? 
Je l'adore

 

*** Le 4 décembre 2011 23:09,   Patrick a écrit :

Alanys a ouvert les vannes.

Je me sens libéré d'une tension incroyable et il me semble que je me vide par le sexe.

Quelle explosion! Je me sens jouir de toutes les fibres de mon corps, comme si cette bouche extirpait du plaisir de chacune de mes cellules.

Je reste longtemps en l'air, très haut!! Au septième ciel? C’est ça la petite mort?

Puis je m’effondre littéralement. Je suis parti loin, très loin et la descente est impressionnante.

Je m'endors aussitôt après, épuisé.

Quelle femme!

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Samedi 26 novembre 6 26 /11 /Nov 04:49

Cette « nouvelle » est un échange entre Gérard et moi. Il me demandait de quelle manière je m’y prenais pour trouver mes amants.

18 nov

Bonjour Gérard

en ce qui me concerne, je n'aime pas "chasser", provoquer quoi que ce soit, en revanche mon mari adore me mettre en scène et oui, il nous est arrivé (toujours dans ma période "débauche", bien terminée) de provoquer un voyeur pour qu'il participe à nos ébats mais jamais dans un magasin (à une unique exception près, une fois dans les toilettes d'un grand centre commercial) mais plutôt sur les aires d'autoroute (on l'a fait quelques fois, enfin mon mari m'a mis dans cette situation, ce n'est pas moi). Moi, quand je suis d'humeur libertine, et si possible par temps chaud, je sors en petite robe légère qui laisse le vent dévoiler certaines choses et attiser l’appétit d'amants potentiels, voire je reste à la maison en tenue très très légère en espérant une hypothétique venue (postier ?)...

18

Bonjour Alanys

Quand j'étais encore étudiant (il y a quuuuueeeeellllques années...) j'ai été facteur en Espagne dans le cadre d'échanges d'étudiants avec la poste. Je suis parfois entré dans l'intimité de quelques jeunes femmes qui me recevaient en nuisette. Innocemment je pensais qu'elles venaient de se lever, ou pire que je venais de les réveiller... A 17 ans on est vraiment pur!! Ah si j'avais été plus entreprenant!!

Tu aurais fait quoi si je m'étais présenté chez toi ?

18 (Alanys)

Je te laisse imaginer

Juste pour te situer, mon sac à main se trouve dans l'entrée posé sous une tablette (où je pose mon portable et mes lunettes) et j'ai toujours besoin d'y prendre quelque chose

18 (Gérard)

Je n'ai pas eu le temps de te remettre le colis que tu t'es retournée, ce qui a fait voleter ta nuisette en soie. Puis tu te penches en avant, sans plier les jambes vers ton sac (?) tout en disant "je vais chercher un stylo".

Je bredouille bêtement "je... je crois que j'en ai... " Puis j’arrête ma phrase, bouche bée. Ta position dévoile tes fesses rondes.

"Zut, je ne le trouve pas! Ah les sacs des femmes... vous savez ce que c'est !"

Je suis pétrifié. Tu tends une jambe comme pour prendre ton équilibre. Les yeux me sortent des orbites...

19 (Al)

Il m'est vraiment arrivé de me prêter à ce petit jeu. Exceptionnellement bien sûr mais cela m'est arrivé quelque fois. En vérité, cela n'a jamais été plus loin.

Je ne saurai dire si je le regrette ou pas! Parfois ce sentiment confus me parait plus précieux qu'un simple rapport sexuel. Je ne suis pas en manque.

En revanche de pareilles situations sont précieuses. Ventre noué, jambes molles, cœur battant la chamade, envie de profiter de l'émotion que je procure à mon visiteur sans sembler le regarder plus que cela...

Mais tes uchronies sont là pour changer les histoires, alors… je cherche ce foutu stylo en souriant intérieurement "j'ai bien fait de parfaire mon rasage ce matin, je me demande s'il peut le voir"...

19 (G)

Et moi qui n’ai jamais osé aller plus loin... 17 ans, toi tu es déjà plus âgée. Pour moi tu es une Femme. Bien loin de mes copines d'alors.

Merde! Mais je vois son minou... Mais elle n'a pas de poils! C'est la première fois que je vois une chatte rasée. Une force irrepressive me pousse à avancer, mes mains se tendent vers le trésor convoité. Je ne suis plus qu'à quelques centimètres, lorsque tu te retournes, sourire aux lèvres, stylo à la main...

19 Al

... je l'entends s'approcher. J’attends encore ou j’arrête là ? Sans réfléchir je me redresse et me retourne; quelle idiote !je ne sais pas ce que je veux. Je regrette déjà.

" Je signe où ?"

Le jeune homme me montre sa planchette et la case qui m'est réservée. Je signe, il me tend mon Colissimo.

"c'était quoi déjà ? " dis-je simplement      
"désolé madame ça j'en sais rien"     
"vous pouvez attendre une minute que je vérifie ce que c'est et si c'est en bon état"    
"bien sûr"    
Ce jeune homme est bien patient avec moi, je pense que ma tenue aide un peu je commence à défaire le paquet (c'est génial internet on peut commander si facilement des choses qui n'existe pas dans notre patelin ou que l'on n'oserai pas acheter dans son quartier...)

19 G

Je ne sais plus comment masquer la protubérance qui tend mon pantalon. Ce n'est pas le problème de cette superbe femme qui s'escrime avec son colis.

Puis je l’entends s'exclamer "enfin, depuis que j’attendais ça !"

J'essaie d'apercevoir ce dont elle parle mais je ne comprends pas ce que c'est. Un genre de bijou métallique avec une grosse pierre, comme un très gros diamant.

"C’est mon rosebud! "

Je suis encore plus consterné... De quoi parle-t-elle ?

19 A

[J’avais pensé à un sextoy plus "classique" ! tu es plus pervers que moi]

Le jeune homme semble ne pas connaître : "pardon, c'est quoi un rosebud?"

"Excusez-moi ! C’est la dernière lubie de mon mari qui m'a présenté la chose comme un bijou".

Il n'avait pas vu l’intérieur du colis et devant mon enthousiasme s'est autorisé à regarder avec plus d'insistance... il voit.

"Oups ! Pardon, désolé, je crois comprendre... enfin sauf pour le bijou"

"Ne vous excusez pas, c'est moi qui suis terriblement gênée, vous allez me prendre pour "je ne sais quoi".

"Ne vous excusez pas non plus mais laissez-moi oser vous demander pourquoi le bijou?"

"Là oui je suis très gênée... disons que quand je l'ai en moi, on ne voit que le bijou"

Mon jeune homme semble aussi gêné que curieux, là je crois que la curiosité l'emporte sur sa pudeur.

"Vous allez me prendre pour un gamin mais ce genre de jouet c'est pas prévu resté en place non? C’est, excusez-moi, quand on s'en sert que ça a de l’intérêt"

Comme il est mignon il croit que c'est un gode, va falloir que j'explique.

 

Qu’est-ce que je dis là ? Oui, « je reviens tout de suite » après avoir été passer un peignoir. Quelle idiote ! J’y vais ou pas ?

Et puis zut ! Je vais prendre un peu de vaseline dans ma table de nuit en mets un peu sur mes doigts pour lubrifier mon petit trou et mon plug puis l'insère. Je prends mon peignoir et le passe.

Je reviens voir ma jeune victime (pas malheureuse).

- "Et voilà !" "Ça tient tout seul comme par magie et quand mon mari rentrera je serai prête !" "

20

Elle revient! Quelle déception ! Elle a enfilé un peignoir et je ne vois plus ses formes... Mais ses propos me laisse perplexe... "Il a disparu comme par magie... " Elle veut jouer?

Je prends mon courage à deux mains. Après tout, elle n'a pas l'air si farouche.

"Je peux vous aider à le chercher si vous le permettez?"

20

"M’aider ? Non je ne crois pas! Je crois qu'il est bien positionné... et il devrait suffire à me préparer pour mon chéri"

... zut et rezut, ma pauvre tu en as envie de ce bel étalon plein de fougue ou tu vas rester dans ton rôle d'allumeuse, lance-toi bon sang !

" Mais si je sens bien à quel point il me prépare déjà, je ne sais pas si l'effet visuel est réussi... je ne voulais pas m’exhiber ainsi, c'est horriblement gênant, mais si j'osais je vous demanderais..."

21

Je ne comprends pas sa gêne soudaine. Et puis, tout en terminant sa phrase, elle se retourne, soulève peignoir et nuisette et me dévoile ses fesses. Je suis éberlué. Mon regard se pose sur l'admirable postérieur et reste vrillé sur le fameux bijou fiché en son milieu. Quel tableau! Même dans mes rêves les plus osés, je n'aurais imaginé cela, ou du moins que cela m'arrive. Je comprends mieux, toutes les paroles précédentes de cette superbe femme.

Stupidement, je demande : "mais ça ne vous fait pas mal?"

21 (Al)

"Non, ça va, en fait c'est justement pour ne pas avoir mal !"

Mon jeune ami n'a manifestement aucune expérience de la sodomie et me demande pourquoi, pourquoi cette chose devrait m’empêcher d'avoir mal. Avec rien j'aurais forcément pas mal... il est adorable, il faut que je lui offre cette première fois.

"Disons que cette chose en moi, je peux la glisser doucement et sans douleur... si tu voyais la taille du sexe de mon mari tu comprendrais que sans cette préparation, oh oui j'aurai mal."

- "ah! Je comprends, je suis stupide, vous devez me prendre pour un gamin ridicule"

"Non tu es touchant, adorable et très malin ! Te rends-tu compte de ce que tu m'as amené à te montrer de moi, à te dire de mes relations intimes ? Tu es plus malin que tu ne le dis".

-"vous êtes sympa mais je dois avouer que je ne savais vraiment pas, je ne vous ais amener à rien... je n'aurais pas osé, comme je n'oserais pas faire, enfin vous demander, pardon vous me perturbez... Vous êtes si belle et si sexy! Vous me montrez votre, enfin le bijou sur vous, c'est magnifique... comme j'envie votre mari.

21 nov (G)

Je m'embrouille dans mes dénégations. 

"Viens je vais te montrer comment ça marche!" Elle m'amène dans sa chambre. Il me semble que je suis en train de me consumer de l'intérieur. Mon sexe me fait mal, serré dans mon jeans. Il a envie de prendre l'air. 

Arrivée dans la chambre, elle ôte son peignoir et s'allonge à plat ventre sur son lit. "Viens, approche, n'ai pas peur ! Je ne vais pas te manger" 

Je suis tellement intimidé par cette femme plus âgée que moi. Mais je n'ai jamais manqué de courage et l'occasion est trop belle...

Elle a soulevé sa nuisette et cambre un peu son cul. Magnifique! Je pose mes mains sur ses fesses, que je commence à caresser doucement. Mon regard est rivé sur le bijou et je suis des yeux le doux mouvement ensorcelant qu'elle imprime à son bassin. Je suis hypnotisé.... Je l'entends dire d'une voix légèrement enrouée "vas-y... doucement... retire-le..."

D'une main tremblante, j'attrape l'objet. Mes doigts effleurent ses fesses. Je suis en train de rêver. Je meurre d’envie de caresser ces fesses si attirantes si impudiqument offetes mais j’ai trop peur de la décevoir. Je me contente d’obéir. J’attrape l’objet. Je sens les vibrations de son corps, à travers le « rosebud ». 

Elle s'est immobilisée. Je vois ses doigts caresser son sexe un peu plus bas. Mon cœur bat tellement vite que j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine. 

Je commence à tirer, mais elle ne semble pas vouloir me faciliter la tâche. Et le gel qui l'entoure ne suffit pas. Je vois son petit trou s'ouvrir autour du renflement métallique, puis reprendre possession de son bien, comme une bouche avide. Elle soupire et je pense lui avoir fait mal.

"Je suis désolé"

21 (A)

"Non, ça va, continue".

"J’ai peur de vous faire mal, ça coince".

« C’est normal, il doit tenir tout seul, mail il doit être enlevé aussi. Il est là pour faire beau, et pour me préparer à accepter quelque chose de plus vivant et pour ça il faut bien l'enlever".

"Mais ça ne fait pas mal ?"

"Non, pas vraiment, vas-y"

Il force un peu pour le tirer vers l’extérieur. Je décide de « pousser » un peu pour lui faciliter la tâche... "plop!"  La sensation du passage du gros renflement est toujours si agréable. J’essaie de réprimer le réflexe de serrer les fesses. Je continue à "pousser" légèrement, pas trop non plus il ne faudrait pas tout gâcher par un accident fâcheux.

21 (G)

Je me retrouve le bijou à la main. Il pèse bien lourd et je ne l'avais pas vu si imposant, si large, par rapport au minuscule orifice dans lequel il était logé. Heureusement il semble élastique et tout à fait à même de l'accueillir à nouveau.

Je commence à me sentir de mieux en mieux. J’ose essayer de jouer avec elle. Je pousse à nouveau le plug dans sa rosette encore entrouverte. Je force un peu au niveau le plus large puis il est à nouveau goulûment avalé par l'anus. Je joue doucement avec l'objet métallique, faisant mine de le retirer, pour le renfoncer aussitôt. Je me fie aux petits soupirs pour savoir si je suis sur la bonne voie.

Finalement je le retire avec beaucoup plus de conviction que la première fois. 

"Ahaaaaaaah" Ses doigts s'agitent toujours entre les lèvres que je constate complètement inondées. 

Je n'ai d'autres recours que de m'occuper du trou laissé libre, et enfonce un doigt dans l'anus gourmand. Il rentre facilement, et je comprends maintenant les propos de tout à l'heure. Le passage est fait. Je joins mon majeur à mon index et fouille profondément entre les fesses de mon initiatrice. Les soubresauts qu'ils suscitent m'encouragent. Mais je sens que je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps... Dois-je continuer et lui donner du plaisir ou lui faire comprendre que je veux passer à autre chose ? 

21

"MMM" c'est agréable ce que tu me fais !

« Tu comprends maintenant à quoi ça sert, à m'élargir un peu pour laisser passer un sexe d'homme sans me faire mal.    
Mais je n'ai jamais testé cet objet, tu crois que ça suffira ? »

"Euh... je ne sais pas. " Puis je m'entends dire... "Il faut peut-être essayer ?" 

J'ai peur de sa réponse, j'ai peur qu'on aille plus loin et qu'elle me compare à son mari, à un "Homme".

Je sais que je suis plutôt bien pourvu, suite à quelques comparaisons furtives dans des vestiaires ou sur certaines images pornographiques.

Je n'ai aucun complexe à ce niveau-là. Mais par rapport à un homme mûr, sur de sa force !?

"Vas-y! Mais sois doux..." me dit-elle en me donnant le tube de vaseline.

Ces paroles me transportent littéralement dans un dédoublement de personnalité, tant je suis ému.   

Je vois cette superbe femme, offerte, les fesses tendues vers moi, je la vois ouvrir ses fesses à deux mains, ne laissant aucun doute sur ce qu'elle attend. 

22

Je suis folle mais j'adore ça

ça fait tellement longtemps que je m'amusais à ouvrir en petite tenue sans jamais oser aller plus loin ! Et puis il est vraiment mignon, et puis il a l'air naïf et sans expérience mais ne devrait pas être brutal, il semble si gentil et prévenant.

Il défait fébrilement son pantalon et sort son sexe... mmmm bel objet !

Pas un monstre (et c'est mieux pour ce que je vais en faire) mais une belle chose. Il ouvre le tube de vaseline... naïf mais pas idiot.

J’ai une envie, une pulsion soudaine

"Non ! Attend!"

Je vois sur son visage une grosse déception

Je me retourne et sans lui laisser le temps de réagir l'avale d'une seule bouchée. Puis je reste quelques secondes sans bouger, la bouche pleine;

Et je commence une vraie fellation. Je me demande s'il connait.

Il a bon gout

J’aime son sexe

22(G)

Ouah !!!! C’est de la folie ! Mieux que dans mes rêves les plus intimes! Je ne peux pas croire que cela m'arrive à moi. 

J'avais déjà eu droit à une petite pipe vite fait à l'arrière d'une voiture, mais la jeune fille ne savait pas s'y prendre et je craignais vraiment pour mon sexe à chaque fois que je sentais ses dents. Une morsure un peu plus forte avait interrompu l'acte.

Mais là, que c'est bon! Ma queue baigne dans un océan de douceur, de sensations délicieuses. Je suis au paradis. Je ne suis plus que quelques centimètres carrés de peau entre mes jambes. Je me sens dur comme de la pierre.

Je baisse les yeux et croise ses magnifiques yeux bleus. J'y lis une telle passion, un tel désir qu'une vanne s'ouvre en moi et que je me sens partir.

"Attention! " j'essaie d'éloigner sa bouche mais elle est agrippée à mes fesses et continue d'engloutir mon membre jusqu'au fond de sa gorge.

"Aaaaaahhhhh " je n'ai pas pu retenir un cri au moment où un torrent déferle violemment depuis mon scrotum pour se ruer dans la bouche accueillante.

Je me tends de tous mes muscles, puis je vois mille étoiles. Puis je redescends, je reviens peu à peu sur terre, avec de petits soubresauts de mon bas ventre.

Désormais je peux mourir.  

23

Que c'est bon !

Que c'est bon de sentir cette vigueur, cette puissance, cette force virile qui se laisse aller entre mes lèvres

Que c'est bon de le sentir au bord du précipice et quel bonheur que ce feu d’artifice dans ma bouche, cette explosion de bonheur qui m'est offerte !

Quel plaisir de gouter cette liqueur magnifique, cet extrait de plaisir.

Il s'est lâché, je le sens bien. Je sens entre mes lèvres qu'il va bien, je suis heureuse de lui avoir offert ce moment.

Mais maintenant j'ai envie de prendre ma part. J’ai envie d'aller au bout de mon délire, je le veux entre mes fesses.

Il n'a pas molli mais je le garde un moment en bouche... tout doucement, amoureusement, lentement... j'ai du mal à le laisser partir mais j'ai envie d'autre chose aussi. Je le libère.

"Viens maintenant ! Montre-moi si mon nouveau jouet m'a bien préparée.

23

Ses lèvres abandonnent mon sexe tout doucement. Ma bite, je devrais dire tellement je la sens dure et raide. 

Elle me demande de remplacer son jouet... de la prendre « par derrière », de l'en... Je chasse le mot de mon esprit. Ce moment est magique et je ne veux rien gâcher.

Mais je ne suis pas au bout de mes surprises. J'attends qu'elle me présente ses fesses et elle se met sur le dos... 

Devant mon regard interloqué, elle me dit : " J'ai envie de te voir..."

Puis elle attrape ses jambes sous ses genoux et les ramène contre son torse. Elle est d'une indécence à couper le souffle. 

Je ne peux me retenir et plonge mon visage entre ses cuisses. Sa chatte est complètement ouverte, complètement trempée. Elle a bon goût et je me délecte de son jus. Ma langue joue avec son petit bouton et je la sens frétiller, soupirer, s'impatienter.

"Viens... Viens."

Je me redresse. Mon visage est barbouillé de son jus. Mon sexe est toujours couvert de salive et son entrejambe est tout mouillé. Je glisse ma queue entre ses lèvres afin de récolter des substances lubrifiantes et me positionne plus bas, contre son petit trou.

Je suis tellement ému, tellement surpris, tellement fier. Cette superbe femme à ma merci, ouverte pour moi. Je pousse légèrement et je vois mon gland pénétrer entre ses fesses.

Un soupir. Je lève les yeux et les plante dans les siens. J'y lis un désir infini, un assentiment, un appel au mâle. 

"Vas-y ! Prends-moi" Je pousse encore et glisse lentement. Effectivement, le 'rosebud' l'a bien préparée. Je m'enfonce sans trop de peine dans ses reins.

23

Enfin !

Quel bonheur!

Je n'avais plus envie de rien, de rien dire, de rien faire.

J'étais plongée dans mes pensées, dans mon plaisir.

Il me semblait sentir vraiment ce sexe mâle me pénétrer avec toute l'impudeur de cette pratique.

Je profitais simplement de toi, de ton sexe dur au fond de moi, de cette pénétration obscène et anormale que je crains tant d’habitude (ça fait si souvent mal) mais que j'adore (quand je n'ai pas mal, mes orgasmes sont sans commune mesure avec une pénétration normale), le plaisir sans la douleur, juste du bonheur... alors j'avais envie d'en profiter.

24 (G)

Je suis resté longtemps, très longtemps, lové entre ses fesses. Je suis allé et venu paresseusement, doucement, profitant de son abandon total, de son acceptation totale de mon sexe au plus profond d’elle. J'ai fait de longues pauses où j'ai profité de ses tressaillements, de ses ondulations, de ses vibrations...

Je suis tellement bien au chaud dans son puits resserré. Que c'est doux! Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là, dans Elle... 

Il me semble un instant, ou une éternité. 

Elle joue avec moi. Je ne suis plus que mon sexe. Maintenant, lorsque je recule elle m'enserre, je sens ses muscles se contracter, elle me suce avec son anus, puis quand je l'investis à nouveau, elle s'ouvre comme un fruit mûr, elle m'avale de plus en plus facilement, jusqu'à ce que je vienne buter contre ses collines rebondies.  

Malgré ma précédente jouissance, je sens le plaisir se ruer à nouveau dans mes reins. J'essaie de réfréner ma fougue, je ne veux pas lui faire mal, même si ce que je lis sur son visage ressemble de plus en plus au plaisir. J'écrase alors doucement son petit bouton de mon pouce, puis je le masse lentement mais fermement. Je l'attends... Elle s'anime et elle vient maintenant au-devant de moi. Elle s'empale sur ma queue. Elle crie.

Elle jouit en se cabrant. Mon sexe dans son cul est serré vivement. Son sexe semble appeler « au secours » ses lèvres totalement épanouies. Quelle vision ! Quelle sensation qu’être ainsi au fond d’elle ! C'est plus que je ne peux supporter. La jouissance m'emporte aussi, mes yeux dans ses yeux, mes mains ancrées à son corps. Nos plaisirs se mêlent...

 an

Quelques minutes plus tard... Elle semble apaisée, je ne le suis pas. Son corps est tout ce que j'ai fantasmé depuis ma puberté. Et je ne connais pas encore son sexe. Si ce n'est avec ma bouche. Si ce n’est ce spectacle ahurissant de ses lèvres ouvertes au-delà du raisonnable quand j’étais dans son ventre. Elle m’a dit qu’elle « voulait voir », je me demande si elle ne voulait pas plutôt « me montrer » et me rendre fou d’elle. Mais je ne sais pas les choses de l'amour. Je ne sais pas comment relancer nos ébats. Puis je vois le carton que je lui ai livré. Je demande innocemment : " et ça; ça sert à quoi?"

 

 

 

 

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : libertinage et amateurisme
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Samedi 22 octobre 6 22 /10 /Oct 18:55

Ceci est une suite fantasmée de ma petite aventure, réelle, au lycée.

Elle a été écrite par un ami à qui je me suis confiée.

J'ai hésité à la publiée à cause de l'age que j'avais au moment des faits mais je viens d'apprendre qu'à 16 ans j'avais atteint ma "majorité sexuelle" donc autant partager avec vous cette petite suite un peu perverse.

Bisous mouillés.

 

Uchronie n° 1 : au lycée

 

« Arrêtez ça suffit comme ça » tente l’un des garçons, courageusement. Il est vite submergé par ses camarades qui le conspuent et le prient de sortir si ça le gêne.

Je suis soulagée d'entendre quelqu'un prendre ma défense, et tout aussi désappointée devant son peu de motivation face à ses camarades.

Sylvie s'est à peu près rhabillée. Ne trouvant pas d'issue devant cette douzaine, quinzaine, vingtaine de garçons enjoués je cherche une place sur un banc, m'assois et tente tant bien que mal de dissimuler mes petits trésors. Mes joues sont en feu, mes oreilles bourdonnent et je sens bizarrement de petits picotements pas désagréables du tout dans mes seins et dans mon ventre.  

" Nous te rendrons tes affaires si tu es gentille..."

Je suis très en colère mais je n'ai pas beaucoup d'alternatives. "Laissez-moi, qu'est-ce que vous voulez?"

Et Sylvie de prendre ma défense  "laissez la tranquille".

"Tu veux récupérer tes affaires? Oui, alors à chaque fois que tu nous satisferas, nous donnerons un de tes vêtements à Sylvie. Si tu rechignes, nous reprendrons un vêtement... Lorsque tous tes vêtements seront restitués à Sylvie, tu pourras te rhabiller. "

"Vous n'avez pas le droit!" Je cherche Sylvie des yeux, espérant trouver un appui. Bizarrement elle sourit et son regard s'est troublé. Elle semble se prendre au jeu! La garce! J'espère qu'elle ne va pas essayer par cette situation, de me faire payer les refus polis que j'ai toujours opposés à ses avances. Bien sûr nous sommes intimes, nous plaisantons souvent sur les garçons, nous connaissons nos anatomies, nos petits défauts. Un soir de grande complicité, nous nous étions embrassées et un désir incandescent s'était emparé de moi. Je ne sais plus comment j'avais pu la repousser, à ce moment-là, comment j'avais pu résister. Le regard de Sylvie ce soir-là était le même qu'aujourd'hui. Je me demande même si elle n'avait pas prémédité tout cela. A deux, trois reprises, je lui ai dit tout à l'heure "on y va? On va se doucher? " et à chaque fois elle a relancé la conversation sur autre chose... Et sous la douche elle a usé de mille prétextes pour faire durer... "Prête-moi ton savon...", "tu as vu mes seins sont déjà presque tout bronzés... non je ne fais pas de topless, mes parents seraient choqués,  mais je m'arrange pour mettre le plus de surface possible au soleil discrètement"... Ce qui fait qu'on a vraiment traîné, et qu'on s'est faite surprendre. Tout ceci défile dans ma tête et je pense en avoir la confirmation quand j'entends Sylvie dire 

"Allez Alanys, on ne va pas s'en sortir! Fais-ce qu'ils te disent et qu'on en finisse!"

Devant une telle trahison, mes dernières défenses s'envolent. D'autant plus que l'évocation de notre baiser passé a ravivé en moi, une chaleur sournoise entre mes cuisses.

"Je.. je suis d'accord" je m'entends prononcer, comme si j'étais dédoublée.

Les garçons quittent le banc sur lequel je suis assise et s'assoient sur celui d'en face. Sylvie est invitée à prendre place auprès d'eux.

"Lève-toi Alanys"

"Mets les mains le long de ton corps"

"Fais voir tes nichons"

Les demandes fusent de toute part. D'un côté je suis prête à tout pour arrêter ce cauchemar, d'un autre coté le désir d'aller plus loin, de vivre un fantasme s'est insinué en moi. Je crois que c'est à ce moment-là que j'ai découvert le pouvoir que je pouvais exercer sur les "hommes". Ils avaient l'air fascinés comme des petits lapins face à un cobra.

Dans un tourbillon de pensées, une confusion de sentiments, j'ai continué alors à me montrer, à prendre des poses de plus en plus osées, d'aucun aurait dit obscènes.

Debout cambrée, j'offre mes petits seins aux framboises dressées, durcies qui trahissent mon désir.

 

Assise sur le banc, je pose les pieds à hauteur de mes fesses, ouvrant mon abricot si peu protégé.

Je sens les regards y pénétrer, le fouiller, se repaître de l'humidité visible qui s'écoule entre mes fesses.

Sylvie est restée coite, mais je lis son excitation dans ses yeux. Je la fixe alors et passe une main sur mes seins, la bouche entrouverte. Ce que je ressens est dix mille fois plus fort que ce que j'ai jamais vécu. Bien sûr, je me suis déjà caressé. Jusqu'au bout. C'était bon... mais là, je suis transcendée.

Les encouragements, les exclamations me parviennent vaguement : "la salope" "houa  Alanys" "je le savais qu'elle était bonne"

Les ordres aussi "tourne-toi" "montre-nous ton cul"

Je me lève, me tourne et offre mes fesses à leurs yeux concupiscents. Mon cul bouge tout seul lascivement. Suivant les ondulations, mes fesses s'ouvrent et offrent le plus intime de ma personne.

"Écarte tes fesses! Caresse-toi"

Un fond de pudeur essaie de résister à ces dernières demandes. Une image passe devant mes yeux. Moi, nue entrain de m'exhiber face à cette bande garçons... Une nouvelle vague de chaleur emporte mes réticences.

Je prends mes fesses à deux mains. Je les écarte. 

Je pose mes mains sur le banc et tend mon cul vers l'assistance. Je me cambre, j'écarte les jambes, je m'ouvre pour offrir toute mon intimité. Le sang afflue dans mes petits citrons et dans mon abricot... Une vraie salade de fruit juteuse. Il me semble que mon désir s'écoule. Je passe une main entre mes jambes pour vérifier.

Dès que mes doigts effleurent mon petit bouton, le plaisir me prend brutalement. J'essaie de maîtriser, je ne veux pas offrir ça. Mon corps se met à trembler de la tête au pied. Je me mords les lèvres pour ne pas hurler.

Puis c'est le black-out. Je ne me souviens plus de ce qui s'est passé pendant les minutes qui ont suivi...

 

J'émerge doucement d'une torpeur languide. Des sons assez vagues, des voix, une sensation de nudité... Je suis nue, allongée sur une surface synthétique, assez souple... Un tapis de sol ?  Une odeur, une odeur de vestiaire. Un tapis de sol ! Ça y est! Je reconnecte. Les voix des garçons. Une voix de fille, celle de Sylvie: "ce n'est rien, elle a juste eu trop d'émotions!" Tout me revient en mémoire, la terrible réalité. Je viens de m'exhiber devant une classe entière de garçons. Certes, j'y ai été "forcée" mais j'imagine déjà les conséquences, la fin d'année scolaire... Je n'ose toujours pas ouvrir les yeux. Je simule la perte de connaissance. Le plaisir que j'ai pris rôde toujours en moi. Si puissant, si soudain... Je n'avais jamais imaginé une telle chose. Sa seule évocation diffuse dans mon corps de nouvelles ondes, comme les répliques d'un séisme. Je n'ose pas ouvrir les yeux, ou plutôt je n'en ai pas envie. J'ai tellement aimé cette expérience que je souhaite la prolonger. Je n'aurai pas de sitôt une occasion pareille.

 

Les voix se sont rapprochées.

"Regardez comme elle est belle! Elle est dans les vapes. Vous devriez en profiter, ce n'est pas tous les jours que vous aurez l'occasion de voir cette petite bourgeoise nue."  C'est Sylvie, la traîtresse, qui en rajoute.

Traîtresse ou complice? Elle me connaît si bien, elle a vu dans mes yeux le plaisir grimper tout à l'heure et elle a lu mon excitation. "Je suis sûre qu'elle aimerait qu'on la caresse"  La garce! Elle sait que je suis consciente et elle joue avec moi.

"Alors! Pas de volontaires... " Et elle passe une main sur mes petits œufs au plat. Je me concentre pour que mes tétons ne durcissent pas, mais je n'y parviens pas, d'autant que cette sorcière en pince légèrement le bout.

"Regardez comme elle réagit! Même en dormant, elle prend du plaisir cette vicieuse". Je n'entends plus les garçons, si ce n'est quelques déplacements, des raclements de gorges, des chuchotements, des rires forcés.

Je sens une main se poser sur ma cuisse et remonter lentement vers mon fruit gonflé de désir. Je frissonne. J'espère que c'est l'autre main de Sylvie. Non! Celle-ci vient d'empoigner mes deux seins. Une autre main caresse mon pied... Je perds complètement le contrôle! Des mains sur mes épaules, mon ventre...   Les doigts qui se déplacent et convergent vers mes points sensibles. Je suis ensevelie sous les caresses. Je ne distingue plus les paumes, les phalanges, les ongles... Je ne suis plus qu'un maelström de sensations. Je fais mine de me réveiller, je bouge légèrement en soupirant. Comme par enchantement, toutes les mains se sont immobilisées en même temps. J'en ai profité pour écarter "naturellement" et très légèrement les cuisses. Aussitôt une main remonte entre elle et atteint mes lèvres intimes trempées. Une autre main descend sur mon ventre, écarte le haut de mes lèvres et trouve habilement mon petit bourgeon. Mes seins sont malaxés par des mains douces, fermes, nerveuses...

Le doigt entre mes cuisses est arrivé à destination. Il pénètre lentement en moi. Je vais jouir. Il se retire et glisse à nouveau un peu plus loin.

"Doucement...Attends un peu!" C'est Sylvie qui intervient. Je sens le doigt se retirer.

 

A nouveau, je soupire et comme si j'étais partie pour une longue nuit de sommeil, je me tourne sur le côté, la jambe du dessous tendue, et celle du dessus repliée. Toutes les mains se sont envolées comme une nuée de papillons...

et comme telle, elles se reposent délicatement sur mon corps, après un temps plus au moins long.

Mon répit a été de courte durée. Si mes seins et mon sexe sont un peu plus difficiles d'accès, mes fesses sont désormais exposées... et explorées.

 

Des mains caressent mes petites fesses rondes. On tire doucement sur mes jambes, pour ouvrir un peu plus l'accès à mes trésors. Des doigts fureteurs retrouvent mon abricot entrouvert. Ils glissent entre mes lèvres et me procurent un bien fou. J'ai envie de crier! Des doigts puissants empoignent mes fesses et les écartent largement. Je me sens ouverte comme jamais, vulnérable. Un doigt vient rejoindre ceux qui sont déjà en moi. Il ressort et remonte vers mon petit trou. Je suis au bord de l'explosion. Je sens sur ma corolle l'humidité que dépose le doigt taquin. Il joue avec ma rosette vierge. Il glisse tout doucement à l'intérieur. C'est divin! Il ressort! J'essaie de le retenir! Je pousse un soupir de dépit! Puis il recommence son manège. Il va chercher de mon jus de plus en plus abondant, en tartine mon petit anneau, puis pénètre de plus en plus loin. Devant tant de savoir-faire, je me rends bientôt. Toutes ces mains sur mon corps, sur ma poitrine, dans ma petite chatte et ce doigt dans mon cul, c'en est trop. Un feu d'artifice éclate dans ma tête! Je me cambre violemment, m'empalant complètement, et crie ma jouissance... sans plus de retenue.

 

Cette fois, j'ai vraiment perdu pied...

Je suis réveillée par une grosse voix... Je suis à peu près rhabillée, par Sylvie je suppose...

 "Qu’est-ce qui se passe ici?"

Là ça se corse. C’est le gardien, un vieux, moche et grincheux (on ne l’aimait pas car il râlait tout le temps pour un oui ou un non). Heureusement que nous sommes habillées, et les garçons aussi.

Sylvie lui raconte je ne sais quoi à brûle-pourpoint. Inventant une explication censée être plausible.

"Ne restez pas là! Suivez-moi!"

Son arrivée aura au moins eu le mérite de me faire partir de cet endroit rapidement, sans avoir à subir les regards de mes petits camarades.

Et nous voilà suivant ce vieux râleur. Je n’avais qu’une angoisse: qu’il cafte au lycée et que l’on soit puni (et la double peine quand mes parents apprendraient). Je ne pensais qu’à cela, pas à mon absence de culotte dont je venais de me rendre compte!

Arrivées dans son antre, il nous redemande ce que l’on faisait là. Sylvie lui répète son excuse bidon (que j’ai totalement oubliée) puis il nous demande nos noms pour rendre compte au lycée. Aïe !

 

 

uchronie n° 2 : au lycée

 

Arrivées dans son antre, il nous redemande ce que l’on faisait là. Sylvie lui répète son excuse bidon (que j’ai totalement oubliée) puis il nous demande nos carnets de correspondance pour rendre compte au lycée. Aïe !

Nous lui jurons que nous ne l'avons pas sur nous, que nous l'avons oublié aujourd'hui.

Il ricane, et dévoile une dentition parfaite. J'en suis étonnée. Il est si négligé. Je le considérais presque comme un SDF, comme une personne misérable, sans aucun charme, à mille lieues de ma "vie dorée". Et ce rire,  un peu méchant certes, le rend un peu plus humain... un peu moins "gardien du stade" acariâtre. Sa réplique suivante me fait atterrir brutalement :

vous me prenez pour un vieux débile ?

Au fond de ces yeux, sous ses sourcils broussailleux je vois une lueur de victoire, un sentiment de domination, un peu de cruauté. Il nous cache quelque chose...

vos carnets!!

Le ton est sans appel... Notre mensonge minable s'effrite devant sa détermination, sa conviction. Nous ne faisons pas le poids. Son uniforme, bien que sale, ajoute à son autorité. Il représente l'ordre.

posez-ça là! Je n'en ai pas besoin pour le moment. Si vous ne m'obligez pas à m'en servir.

La menace est plus que sous-entendue.

S’il vous plaît. Monsieur Guttierez ! Soyez sympa, ne dites rien au lycée!

N’en parlez pas à nos parents.

Nous nous faisions suppliantes.

Venez voir ça!

Il nous indique un écran dans un coin de la pièce. Un système de vidéo surveillance... Il fait défiler les images et nous reconnaissons le stade, le complexe omnisports, les extérieurs et … l'intérieur des vestiaires!!! Nous sommes abasourdies. Sans réaction, bouche ouverte... Il nous laisse réaliser ce que ça signifie, nous laisse nous noyer lentement dans notre désarroi.

Les vestiaires sont vides désormais, les affaires accrochées aux porte-manteaux, ou étalées sur le sol.

M. Guttierez appuie de ses gros doigts boudinés sur les boutons de son magnétoscope. Les images défilent à toute vitesse... Puis clac, lecture. Et là le ciel me tombe sur la tête.

Je me vois nue, au milieu de tous ces garçons, des mains sur tout le corps. L'image n'est pas très nette, en noir et blanc et il n'y a pas de son. Ce qui rend la scène encore plus surréaliste. Mais le doute sur nos identités n'est pas permis. Sylvie semble inciter les garçons à aller plus loin. En tout cas, elle ne fait rien pour stopper la chose.

ohhh non !!!! Je gémis faiblement...

Nous sommes tellement consternées que nous n'imaginons pas un seul instant que ces images sont volées, illégales... La honte paralyse notre cerveau et nous sommes deux petites mouches prises dans la toile d'une araignée géante.

Cette sensation est d'autant plus forte que la loge de M. Guttierez est minuscule et sinistre. Le mince fenestron laisse difficilement pénétrer une lumière blafarde. La faible lumière jaunâtre d'une applique sans abat-jour rend l'atmosphère encore plus pesante. La loge est sens dessus-dessous et une odeur de renfermé me prend désormais à la gorge. Une vieille télé minuscule occupe un coin de la pièce en face d'un lit une place défait, aux draps douteux. Une table et une chaise. Avec de la vaisselle entassée.  Au fond une porte vers la salle de bain, les WC? Seul le coin où nous nous trouvons, où se trouve le système de vidéo surveillance semble plus avenant. La seule distraction de M. Guttierez...

Il doit vivre ici, dans ces quelques mètres carrés. Mon esprit s'évade. J'imagine la vie de ce pauvre homme, enfermé dans ce local confiné.  Sans lumière, sans famille, sans joies. S'y enterrant petit à petit, pour ne plus subir les quolibets des adolescents, de ces lycéens qui sentant la faiblesse de l'homme, ne se privaient pas de l'insulter, de le mépriser, pas forcément par méchanceté, juste pour rigoler, ou par forfanterie devant les filles...

Je le vois se refermer de plus en plus aigri, rêvant de vengeance, de coincer une de ces petites putes adolescentes, le cul presque à l'air dans leurs jupettes... Je le vois faire des cauchemars dans son lit, se lever le matin sans aucune envie, sans projet, si ce n'est de passer une journée de plus, et de descendre une bouteille... C'était ça la deuxième odeur que je n'arrivais pas à distinguer, le vin rouge... Comment serait-il s'il était né dans ma famille, ou dans une des familles de ces lycéens qui le méprisaient tant. Je l'imagine habillé correctement, propre, coiffé, rasé... Un brun ténébreux... souriant. Athlétique, musclé, bronzé un sexe épais émergeant de sa toison abondante d'homme du sud...

Les images continuent de défiler à l'écran, montrant de façon plus qu'explicite ma soumission, mon plaisir à être pelotée par toutes ces mains...

J'imagine désormais M. Guttierez devant son écran, son gros sexe à la main, en train de se masturber devant mon corps dénudé. Je le vois presque saliver, les yeux exorbités, sa main poilue recouvrant son gros gland rouge à chaque aller-retour. Puis je le vois exploser, un geyser de liqueur blanche retombant sur son sexe, ses doigts, jusque dans ses poils noirs...

Cette évocation, ce flash  ravive en moi un désir que je pensais éteint par ma mésaventure (?) précédente. Je ne peux empêcher mon regard de se glisser sur la braguette de M. Guttierez, qui recèle une bosse significative. Un afflux sanguin échauffe soudainement mon entre-cuisse. Puis la vague de chaleur se diffuse dans mon ventre, mes seins et vient rougir mes joues.

Sylvie, tu peux m'attendre dehors ? Je vais essayer de trouver un compromis avec M. Guttierez.

Tu es sûre? Tu souhaites vraiment rester seule ici ?

Oui, ne t'inquiète pas! Si ça ne va pas je t'appelle! Reste à portée de voix.

Guttierez n'en demandait pas tant. Il se méfie un peu et pense que Sylvie va en profiter pour aller chercher de l'aide. Mais je le rassure :

Faites-nous confiance! Nous ne souhaitons pas que nos parents apprennent tout ça...Ni le lycée d'ailleurs! Et puis ça sera plus facile pour toutes les deux.

Sylvie sort.

Il s'assoit sur son lit et me demande d'approcher. Je vais devoir jouer serré. Il passe la main sous son matelas et en sort une revue. Ce n'est pas une simple revue de pin-ups dénudées. Ce sont des images pornographiques.

Viens-voir! Approche.

Je ne sais quelle attitude adopter... la Sainte Nitouche, petite fille de bonne famille qui n'a jamais rien vu de tel... Ou la jeune fille délurée qui connaît tout ça et qui n'a pas froid aux... yeux. Mais après ce qu'il venait de visionner sur moi, j'aurais du mal à être crédible.

Tu as déjà fait ça?

Il me montre une femme aux formes plantureuses, le minou empli par un sexe énorme...

Non, M. Guttierez ! Je suis vierge...

Puis une autre, où une jeune femme blonde avalait une queue de couleur, les yeux mi-clos...

Je l'imaginais à nouveau, en train de se branler, son magazine à la main.

Déshabille-toi!

Vous me laissez partir après?

Si tu es gentille avec moi et que tu fais tout ce que je te dis...

Le dilemme... à nouveau ma personnalité se dédouble. Je me vois me plier aux exigences de ce pervers... à nouveau le désir s'empare de moi. Mon sexe s'humidifie.

Je vais essayer...

Déshabille-toi!

Je soulève mon petit chemisier qui ne cachait pas grand-chose. Mes tétons sont déjà dressés, et je vois le regard lubrique de M. Guttierez... Il doit s'imaginer que c'est lui qui m'excite, ce que je m'interdis de penser ! Et pourtant !

Je vois sa main approcher de mes petits seins. Elle s'y pose doucement, mais sa peau est rugueuse. Un frisson me parcourt de la racine de mes cheveux au bout de mes orteils, en insistant lourdement entre mes fesses... Ces sensations sont nouvelles pour moi. J'ai envie de croire que c'est un frisson de dégoût, mais j'ai surtout peur que ça s'arrête.

 

S’il vous plaît....

Tais-toi! Enlève ta jupe !

Pendant qu'il masse mes petits citrons de ses mains râpeuses, je me déshabille à nouveau. Ma jupe rejoint mon chemisier sur le dossier de la chaise.

Petite garce! Tu n'as pas de culotte!

Ses mains descendent le long de mes flancs, pas très marqués à cette époque-là. Puis elles empoignent mes fesses avec vigueur. Je me dégage et recule jusqu'à la table.

Non! Arrêtez!

Assis toi sur la table! Écarte les cuisses.

Je m'exécute et ouvre légèrement les jambes, essayant de cacher mon intimité.

Fais voir ta petite chatte de vierge! Écarte tes lèvres !

La tension monte d'un cran. Je veux fuir, crier pour que Sylvie vienne me chercher... Mais j'ai aussi envie de continuer, de satisfaire les pulsions de ce vieux pervers, et surtout de satisfaire les miennes.

Tout en fixant de manière effrontée M. Guttierez, j'offre mon bijou à son regard. Puis je fais glisser mes mains entre mes cuisses et écarte mes lèvres trempées à nouveau.

Caresse-toi!

J'attendais cet ordre depuis toutes les fibres de mon corps. Je pose un pied sur la table afin de m'ouvrir encore plus. D'une main, je tire sur mes petites lèvres. Ma chatte émet un bruit de succion humide en s’entrouvrant. Puis je glisse un doigt entre mes petites lèvres. 

Mets-toi un doigt!

La voix virile, son regard vicieux poussent mon index à l'intérieur de moi. De mon autre main, je caresse frénétiquement mon bouton. Il approche à nouveau.

Non! Ne me touchez pas! Je ferais tout ce que vous voulez mais ne me touchez pas!

Comme tu veux! Dit-il en ricanant à nouveau

Et je le vois ouvrir sa braguette et sortir son sexe. Il est tel que je l'avais imaginé, épais, lourd, avec un gland énorme: Une prune! Il commence à se branler tout en me regardant me caresser. Je suis au bord de la jouissance et je sens que ça va être encore très fort.

Arrête ! Petite salope! Allonge-toi sur la table! Monte tes jambes... Voilà ! Monte encore! Attrape-les avec tes mains derrière les genoux! Approche-les de ta poitrine!

Le salaud! Dans cette position je suis complètement ouverte. Je n'ai plus rien à lui cacher! Je le vois en train de se branler de plus en plus vite.

Tire en arrière sur tes jambes! Je veux voir ton cul! Ton petit cul de vierge! Continue de te caresser! Oui c'est ça passe ta main dans ta raie! Petite vicieuse! Tu aimes ça hein... te tripoter le cul? Exciter les vieux Messieurs comme moi...

Oh nooooon !!! M. Guttierez ! Nooooon! Je ne veux pas !

Paradoxalement, tout en disant ça, je glisse mon majeur entre mes fesses... L'enfonce lentement, complètement. Cette fois j'ai atteint le point de non-retour. La jouissance s'empare de moi et je crie mon bonheur, ma honte, ma fierté d'exciter un homme.

Tout doucement les vagues de plaisir refluent dans mon corps... M. Guttierez a les yeux qui lui sortent de la tête. Il a l'air aussi excité qu'étonné par mon orgasme. Il a arrêté de se masturber, mais sa queue semble avoir doublé de volume. C'est la première fois que je vois un sexe d'homme en érection. Je suis attendrie par cet hommage viril. J'ai envie de le prendre dans mes mains et de le cajoler.

Comme s'il lisait en moi à cœur ouvert, M. Guttierez se dirige vers moi. Il est à portée de main. Je lis dans ses yeux une supplique. Mes mains se tendent et se saisissent du membre. Il est chaud, brûlant même, et doux, si doux.

J'essaie d'imiter maladroitement les mouvements qu'il faisait lorsqu'il se masturbait. Je sens la vie pulser entre mes doigts. M. Guttierez regarde mes petits doigts tout fins et si blancs s'activer sur son membre turgescent.

Je suis prise d'une impulsion folle. L'image de la blonde tout à l'heure qui avalait le sexe de couleur s'impose à moi.

Je me tourne un peu sur la table et approche la queue de mes lèvres. Je ne sais pas ce que je fais, je ne sais pas ce qui va se passer, mais j'en ai trop envie. J'ouvre ma bouche et essaie d'avaler la grosse prune. Ça passe! C'est chaud, c'est doux c'est bon. J'ignore tout de cette pratique. "Sucer"! bien sûr j'en ai souvent entendu parler, dans des blagues grivoises, ou parfois par des copines un peu plus délurées que moi. Mais de là à le faire moi-même... Je n'aurais jamais imaginé ce matin en être là à midi !!! Sucer... je décide d'improviser... J'aspire et essaie d'avaler le membre raide. Je force un peu mais j'arrête avant d'avoir un haut le cœur. J'entends M. Guttierez soupirer. Il a posé ses mains sur ma tête et accompagne mes mouvements.  Je me retire doucement et recommence. J'essaie de descendre le plus possible, car je l'entends grogner lorsque je fais ça. Je continue et de mes mains libres je caresse ses testicules poilues. Quelle drôle de sensation! Quel sentiment de puissance aussi … Je tiens un homme entre mes mains! Entre mes lèvres! Ma main glisse entre ses jambes explore et j'entends un grognement plus fort que les autres. La pression sur ma tête s'accentue. Les doigts se crispent dans mes cheveux. Je crains d'avoir fait mal à M. Guttierez, de l'avoir mordu... Tout à coup un flot chaud et onctueux s'écoule dans ma bouche. Je suis tellement surprise que j'essaie de me dégager, mais je suis tenue fermement. Je sens M. Guttierez se déverser dans ma bouche par saccade. Il est complètement crispé et a poussé un long cri guttural.

J'essaie de maintenir le sperme dans ma bouche, mais n'y parvenant pas, j'avale la substance et découvre un nouveau plaisir. J'adore !! Je glisse ma main entre mes cuisses et me caresse avidement, tout en continuant à téter le sexe encore vigoureux. Le plaisir me gagne en cinq secondes !! Je jouis tout en me délectant du nectar...

Sylvie qui a entendu des cris, n'ayant pas eu de réponse à ses appels a entrebâillé la porte et a passé la tête pour voir ce qu'il se passait. Elle reste bouche bée en me voyant nettoyer le sexe de M. Guttierez à coup de langue. Je lui fais un signe discret que tout va bien.

Quelques minutes plus tard, je la rejoins. Elle est stupéfaite et ne s'en remet pas. Je lui raconte tout, ainsi que l'accord passé avec M. Guttierez. Nous oublions tous les deux, tous les trois, tout ce qui s'est passé dans cette matinée. Plus personne n'en parlera jamais.

Je n'ai pas eu le cœur de lui demander de débrancher sa caméra pirate dans les vestiaires... Après tout, il ne fait de mal à personne, et c'est certainement la seule distraction de sa vie. Je lui ai aussi laissé l'espoir qu'un jour peut-être je repasserais le voir...

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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