Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 23:08

 

Mon aventure trop vite écourtée avec la maréchaussée a provoqué chez mon amant de cœur une question : ais-je déjà pratiqué les jeux de l’amour avec un homme et une femme ?

Je ne peux répondre aussi brutalement que « oui » ou « non ». Je vous dois quelques confidences.

Et la réponse arrivera d’elle-même. Peut-être pas tout de suite.

Mais bref !

Oui, comme le suggérait mon ami, cela commença en club.

C’était la toute première fois que nous venions dans ce genre d’endroit et, si on en avait lu beaucoup de chose, la pratique est toujours surprenante. Et je fus agréablement surprise car il n’y avait rien de glauque ou vulgaire mais une ambiance plutôt raffinée. Il y a des règles strictes et les gérants insistent poliment mais fermement sur le respect de l’autre et qu’un simple signe de refus, si discret soit-il signifie qu’il ne faut pas insister sous peine d’exclusion du club. Libertin mais sacrément directif !

Arrivés assez tôt, nous avons pu apprécier l’évolution de la soirée. Une mise dans l’ambiance d’une grande simplicité. De la musique de qualité, une ambiance chaude au sens « agréable » et conviviale. Un vidéoprojecteur projetait des clips musicaux parfois un peu plus sexy que ceux qui passent à la télé mais sans plus. Puis la sono a pris le relais, avec DJ plutôt bon et toujours des projections mais de plus en plus chaudes jusqu’au pur porno.

Les gens étaient plutôt plus âgés que nous mais pas très (j’avais 35 ans à l’époque) et avaient soignés leur tenue : classique-chic pour les messieurs, franchement plus glamour pour les dames avec pas mal de lingerie de qualité (bas et porte-jarretelles) pour les dames plus âgées et mini robe pour les plus jeunes.

Nous avons beaucoup dansé, un peu bu (nécessaire pour éliminer la gêne évidente) et ouvert les yeux comme des gosses dans un magasin de jouets.

Après quelques danses un peu dynamiques, nous nous effondrons l’un contre l’autre dans un grand canapé moelleux… Mmm ! Je suis bien !

Je pose ma tête contre mon amoureux et ferme les yeux de bonheur. Je les ouvre un court instant plus tard et mon regard se pose sur le couple en face de nous, à un mètre à peine. Ils sont jeunes, beaux et manifestement très amoureux au regard de leur façon passionnée de s’embrasser avec fougue et gourmandise. Je me reconnais en eux et me plait à les regarder. Leur bonheur est communicatif. L’Homme embrasse la jeune femme en lui caressant doucement la joue, c’est si mignon, si touchant !

Puis ils se séparent un instant. Elle attrape son verre, boit une gorgée et se laisse allée en arrière sur le dossier du canapé. Il la suit et vient lei dévorer les lèvres. Il aime embrasser cet homme là. Mon cœur de midinette commence à éprouver une petite poussée de jalousie, d’envie en tout cas. J’adorerais être livrée à sa gourmandise.

Et d’un coup je me réveille ! Sans cesser de l’embrasser et d’une main de maître il a défait les boutons de son chemisier et exposé à tous une poitrine orgueilleuse et dont les pointes semblaient, malgré la pénombre, durs comme du marbre.

Loin de se plaindre, la jeune femme pose sa main sur le pantalon de son amant… Très vite un sexe débordant de vie et de puissance nous est offert en pâture. J’aurais adoré me précipiter sur lui, le goûter, le manger, le faire fondre doucement, magnifique sucre d’orge pour grande enfant !

Nous étions au spectacle ! Quelques voyeurs s’étaient approchés mais comme le couple était faces à nous, juste séparés par une table basse, les voyeurs ne nous gênaient pas.

Sans m’en rendre compte, et comme je le fais souvent quand avec mon mari on se regarde un film X à la maison, je pose ma main sur son sexe et commence à le caresser avec nonchalance tout en regardant un film particulièrement réaliste.

Et lorsque sa main glisse sous ma jupe et sous mon string (nous étions au tout début de ma période de débauche et il m’arrivait encore de porter quelque chose sous mes jupes, mais je vous rassure je ne m’embête plus avec ça) et que ses doigts viennent s’occuper de mon clito, je n’ai réagi qu’avec un grand soupir d’aise.

Me voici en train de me faire tripoter devant tout le monde et ça le fait si naturellement…

La jeune femme est passée depuis un moment déjà au plaisir qu’ils me refusent : une fellation gourmande.

Elle a quitté son chemisier et vraiment, sa poitrine est une insulte aux pauvres femmes comme moi qui n’auront jamais (sinon après un passage sur le billard) de quoi exciter les hommes comme elle peut le faire. Et ils sont maintenant assez nombreux autour du couple. Ils y a des femmes aussi mais je suis moins attirée et ce n’est pas ce que je regarde en premier.

La jeune femme se relève et enjambe son homme. Relève sa mini mini jupe (et manifestement elle n’avait rien dessous) et viens s’empaler sur son homme. Ouaou ! À un mètre de moi ! Une première.

Mon mari profite que l’attention soit portée sur les autres pour me dire de venir s’asseoir sur lui. Sur ses genoux mais face à eux pour que je continue à regarder.

Je me lève. Il a serré ses jambes. Je m’installe un pied de chaque coté et commence à descendre. Sa main vient se poser à plat sous mes fesses : « attends une seconde » me dit-il. Puis guide ma descente. Je sens son sexe dur qui est dehors. D’un doigt il écarte mon string et se glisse en moi. Je le laisse faire. Ma jupe repose sur mes cuisses. Je suis hyper discrète. Enfin je croyais.

Mon plaisir monte en flèche et je joui en quelques secondes.

Je reste un instant assise sur mon chéri. Empalée sur un pieu qui n’a pas encore exprimé son plaisir. Il sait qu’on va repartir et me laisse souffler un instant.

Pendant ce temps il maintient son excitation en me caressant les seins et en matant nos voisins. D’ailleurs eux aussi ont du arriver à un tournant de leur petite affaire et la jeune femme s’est mise accroupie, les pieds sur le canapé, dos à lui … et face à nous.

Nos regards se sont croisés. Elle m’a souri. C’était le sourire d’un ange ! Impudique, naturelle, heureuse et sans aucune perversion. Juste un sourire de bonheur partagé avec nous, avec moi.

Ses genoux ainsi relevés et écartés laissaient voir un sexe presque aussi glabre que le mien. Ma voisine était adepte du ticket de métro. Pas moi mais ce soir là personne ne le voyait.

Des voyeurs de plus en plus nombreux se masturbaient ouvertement devant elle et elle ne se gênait pas pour en caresser un ou donner quelques coup de langue à un autre, voire gober un gland imprudent sur lequel elle ne s’attardait pas.

Mon mari continuait à me pénétrer doucement, s’arrêtant souvent pour ne pas en finir trop vite.

Et les voyeurs commençaient à s’intéresser presque autant à nous. Il y avait deux ou trois gars prés de moi qui se masturbaient.

Et c’est moi qui n’en pouvais plus. Je me suis mise à imposer mon rythme. Me plantant le gros sexe de mon homme jusqu’au fond de moi et glissant jusqu’à sentir son gland au bord de mes lèvres. Je sais que je ne retenais plus mes soupirs et que ma bouche entrouverte devait émouvoir mes voyeurs car j’ai vu plusieurs jets de sperme partir en phase avec ma propre jouissance.

Quelques gouttes ont même atterri sur ma joue. Je n’ai pas osé les recueillir et les goûter comme je le ferais aujourd’hui.

La fille en face a joui également.

Elle s’est levée, s’est mise à genoux sur la table… pour venir m’embrasser sur la bouche. Et s’en est retournée prés de son amant en m’offrant un dernier sourire.

C’était ma première en boite libertine. J’avais prévenu mon mari : « on regarde, on ne fait rien ».

Raté.

 

Le lendemain, dégrisée mais toujours l’esprit libertin, nous avons reparlé de cette soirée et mon mari qui sait que je prends autant de plaisir que lui à le faire jouir dans ma bouche m’a demandé si je n’avais pas eu envie de prendre ces hommes entre mes lèvres.

« Oh bien sur que j’en mourrais d’envie mais je n’ai pas osé »

Il m’a expliqué que dans ce genre d’endroit personne n’aurait trouvé à redire, que bien au contraire j’aurais fait quelques heureux de plus.

Je lui ais promis de ne plus jamais niaiser. Je ferais des heureux

 

Bisous mouillés

 

PS : Ce récit ne répond pas à la question posée au début… mais il y a une suite

PS : La photo n'a pas été prise pendant la soirée bien sur, mais la tenue était la même à la veste prés

 

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 00:54

Malgré le coup de frais de ces derniers jours, je béni le ciel d’habiter dans le sud.

Par les grandes fenêtres des chambres et la grande véranda du salon, le soleil vient chauffer la maison… assez pour me permettre d’aller et venir chez moi en nuisette légère sans avoir froid.

Et comme je suis d’humeur coquine ces jours-ci, je me régale à traîner ainsi en espérant la visite du facteur. Très sympa, discret et qui n’a encore jamais céder à mes charmes, mais il faut dire que je n’ai jamais vraiment tendu la perche. Le jeu, pour moi, consiste à lui faire comprendre qu’il a toutes ses chances de réussir s’il ose, mais hors de question pour moi de faire du racolage !

Facteur ou toute autre personne, virile de préférence, qui voudrait bien me mettre dans ce délicieux embarras que d’avoir à ouvrir dans cette tenue à un inconnu (pas intime en tous cas).

Aujourd’hui, j’ai dépassé toutes les bornes que j’avais imaginées ! Non que j’ai poussé l’exhibition plus qu’auparavant mais quand même !

Il y a eu une série de cambriolage dans mon impasse. Sur la quinzaine de maisons, trois ont été visitées et plusieurs jardins et abris de jardin d’autre maison également.

Nous, pour l’instant, sommes tranquilles. Il faut dire qu’avec Max, quand il montre ses crocs de beauceron en colère, on ne doit pas avoir envie de chaparder quoique ce soit.

Mais le quartier a vraiment été la cible de malfaiteurs, voyous ou autres et les gendarmes ont entamé une visite systématique des habitations  pour nous mettre en garde, prodiguer quelques conseils et si possible recueillir quelques informations pour leur enquête.

C’est dans ce cadre que ce matin j’ai entendu frapper à la porte, sans savoir encore ce dont il s’agissait. J’ouvre donc dans ma tenue très légère. Je vous laisse imaginer ma stupeur en voyant deux gendarmes devant moi (un homme la quarantaine et une femme, la trentaine). Affolée en les voyant (que s’est-il passé ? mon fils ? mon mari ?...) je suis restée pétrifiée à demie nue devant eux. Il a fallu qu’ils m’expliquent en quelques phrases de quoi il en retournait. Largement assez de temps pour constater mon impudeur (presque) involontaire.

Revenue au calme, j’ai alors mesuré l’inconfort de la situation, surtout que je les ais naturellement invités à entrer car ils avaient plein de choses à me dire (conseils de prudence, etc.). Cramoisie de honte je les invite à m’attendre au salon pendant que je vais enfiler quelque chose de plus décent.

Ouvrant la porte, Max qui était sur la terrasse  se précipite en grognant, les crocs menaçant. Machinalement je me baisse pour l’attraper par le cou et le forcer à se calmer. Offrant à mes visiteurs une vision que vous connaissez bien (voir mon dernier post, avec photo en nuisette). Max se calme et je m’éclipse afin d’aller passer un peignoir.

Derrière la porte de la chambre m’attend un kimono en soie noire… ça        ira bien (le peignoir était dans la salle de bain, tant pis). Je le passe et retourne voir mes gendarmes.

En entrant dans le salon, je me suis immédiatement sentie déshabillée par leurs regards. Je baisse les yeux pour m’assurer que je ne suis pas indécente, je constate que ce kimono (que je ne mets que rarement) est très court et s’arrête à mi cuisse (pour ne pas dire moins). Ben ma grande tu es habillée mais ça ne cache pas grand-chose, me suis-je dit en un éclair. Trop tard je ne vais pas faire un défilé de mode.

Je m’assois et les écoute poliment.

Nous avons passé ainsi un bon quart d’heure, peut-être plus. Assise confortablement dans un fauteuil, j’ai essayé de me contrôler pour garder les genoux serrés sans quoi le gendarme en face de moi aurait vu sous ma nuisette. Il aurait probablement vu que le trouble qui m’a envahi distillait son émotion sous forme de fine gouttelettes perlant sur les ourlets de mes lèvres.

Je ne suis pas certaine d’avoir réussi à rester genoux serré.

J’espère pas !

Lorsque j’ai proposé un café, la gendarmette a donné le signal du départ. Dommage cela aurait été formidable !!! Je plaisante. (Quoique)

En partant, alors que la gendarmette entrait dans leur voiture, le gendarme s’est retourné vers moi en me disant de rester prudente… et qu’il repasserait prendre des nouvelles. MMM ! Peut-être de futures aventures à venir.

 Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : Journal intime
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Jeudi 15 octobre 4 15 /10 /Oct 11:37

Je suis d’humeur libertine ces jours-ci et, outre le plaisir de me confier à vous dans ce blog, j’aime également me confier aux facéties du destin.

Bien sûr le destin est triste ! Si l’on veut profiter un peu de la vie il faut parfois l’aider un peu.

Lorsque je suis ainsi d’humeur coquine, ma méthode est simple : après que mon mari ait quitté la maison et mon fils ait rejoint son école, je me douche, affine mon rasage intime, me soigne avec quelques produits très simples (la gamme Nivéa est très bien et pas chère) puis un brin de maquillage presque invisible avec quand même un petit contour des yeux, quelques gouttes de parfum et je m’habille d’une nuisette.

C’est tellement agréable de faire son ménage ainsi. On se sent si femme, si libre. Et surtout si prête !

Combien d’aventures restées sans suite lorsqu’un recommandé amène le facteur à sonner et échanger avec moi un instant que nous aurions aimé prolonger mais que son timing rends quasi impossible (et puis crac-crac, ça ne marche pas comme ça !), lorsqu’un artisan vient proposer ses devis de ravalement de façades, de coupes de haies…

Mais à chaque fois quel trouble et quel plaisir d’être ainsi sous le regard de ces hommes, le plus souvent tellement gênés qu’ils ne tentent ni ne disent rien mais dont les yeux disent tous les regrets de ne pas oser.

Combien de fois me suis-je donné un plaisir solitaire après leur passage.

 

Et parfois ils osent

Et parfois je cède

Bisous mouillés

Par Yoni - Publié dans : exibition - Communauté : libertinage et amateurisme
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Mercredi 14 octobre 3 14 /10 /Oct 15:29

Max

Depuis des mois maintenant, j’ai une hygiène de vie presque irréprochable. Il faut dire que mon mari est là presque tous les jours et me satisfait largement. Pourtant quand parfois j’ai le temps de rêvasser ou de reprendre mon blog, je pense à ces deux années de grande débauche (2002-2005) mais aussi aux aventures que j’ai pu vivre depuis.

 

Mon seul amant régulier est Max. Je n’ai pas encore osé vous en parler franchement car certains d’entre vous ont trouvé mon site sympa et je sais que si je confesse ces rapports là, je vais être jugée et méprisée.

Au début ce n’était que des caresses très normales, puis ce fut un peu un jeu lorsque, trop seule, je me caressais toute nue au salon et qu’il venait quémander un câlin.

D’un câlin sans équivoque au trouble d’une érection particulièrement impressionnante, il y a eu des petits pas timides, gênés, honteux…

Et puis au bout du chemin il y a un amant fidèle, discret avec un sexe viril… comme n’importe que sexe mâle. Certes il a quelques différences mais n’y en a-t-il pas d’un homme à un autre ?

 

La première fois – je vous la raconterai dans le menu – a été une surprise. A quatre pattes en nuisette, il m’a prise ainsi, sous l’étendage du linge. J’aurais probablement pu me lever et tout se serait arrêter là. Je ne me suis pas levée. Peur de ses crocs près de ma joue, impressionnée par ses pattes qui me tenaient, secrètement en attente de cet instant qui arrivait enfin !

 

Par Yoni - Publié dans : Journal intime - Communauté : chaude&caline
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Dimanche 11 octobre 7 11 /10 /Oct 11:27

En regardant hier à la télé un thriller franco-japonais dans lequel une geisha (geiko, pardon) léchait et suçait avec un érotisme rare les orteils de Benoit Magimel, j’ai eu envie de vous raconter pourquoi je signais mes mails en terminant par « bisous mouillés ».

Parce que je suis une geiko !

 

Non, juste parce que j’aime embrasser. Ma bouche est une zone érogène. Ma langue, mes lèvres me donnent autant de plaisir que la caresse d’un homme (que j’aime aussi).

 

J’aime lécher mon partenaire, sucer ses orteils, ses doigts, ses oreilles…

J’aime lui mordre les lèvres, attraper sa langue entre mes lèvres et la sucer. Ceux qui me connaissent en jouent et la tendent come un petit sexe, alors je leur fait une fellation linguale qui généralement fait son petit effet.

 

Bisous mouillés donc à tous ceux qui me lisent ou me connaissent.

 

A vrai dire, il y a une autre raison qui fait de mes baisers des bisous mouillés mais la faute revient exclusivement à mes amants

 

Par Yoni - Publié dans : amatrice - Communauté : libertinage et amateurisme
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